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La communauté en tant que lieu du non-lieu

Guenin, Esma 02 1900 (has links) (PDF)
Dans ce mémoire nous avons tenté de comprendre comment l'être-en-commun (ou la communauté) implique un être-hors-de-soi de chaque individu de telle sorte qu'aucune communauté ne puisse se désigner par l'appartenance? Deux auteurs sont au fondement de la démonstration soit Heidegger et Bataille puisque l'horizon philosophique sur lequel se profile notre démarche est la question heideggérienne de l'oubli de l'être et l'idée d'impossible communauté positive développée par Bataille. Heidegger nous permet de relever que l'être-en-commun n'est pas un sujet, mais un (état étant) un être, un acte où il importe de faire exister l'avec (de l'être-avec ou de l'être-ensemble) en étant en commun. Ce n'est donc pas sur le mode du transitif, mais par opposition, celui de l'intransitif (la communauté en tant que mouvement toujours déjà-là et toujours en formation) qu'il faut rendre compte de la catégorie de la communauté. Bataille nous permet d'insister sur l'idée que l'être-en-commun implique une proximité dans la distance (puisque l'être-avec présuppose nécessairement un être-hors-de-soi) qui ne peut se dévoiler que par le travail du négatif de sorte que la communauté est ce qui constitue l'homme sans jamais lui appartenir et sans jamais pouvoir se désigner comme sujet substantiel car la singularité caractérisant le sujet retire son être (qui est perpétuellement réinvesti de l'autre et du monde) à toute identité. Notre démonstration nous emmène à conclure que la communauté est ce qui constitue originellement et quotidiennement la réalité commune des êtres humains sans que jamais pourtant elle ne puisse leur être dévoilée par cela même que c'est une structure négative désavouant toute liaison substantive car se manifestant par l'être-hors-de-soi. ______________________________________________________________________________
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La communauté politique au-delà de l'unité : proposition à partir de Jacques Rancière, Giorgio Agamben et Jean-Luc Nancy

Koromyslova, Nadejda 10 1900 (has links) (PDF)
La pensée politique se heurte aujourd'hui à l’impossibilité de définir la communauté politique une fois les catégories traditionnelles (Nation, Peuple, Classe) mises en déroute. À l'heure de la critique de toutes les catégories totalisantes, de toutes les essences, la tâche de penser le commun paraît ardue. Pourtant, trois auteurs de philosophie politique, Giorgio Agamben, Jean-Luc Nancy et Jacques Rancière, ont tenté, dans leurs œuvres respectives, de relever le défi. Ce mémoire passe en revue leurs propositions pour une communauté désubstantialisée, ne s'assemblant plus autour d'une particularité exclusive mais ne sombrant pas non plus dans l'universalisme abstrait. Il présente les prémisses principales sur lesquelles s'appuie cette vision de la communauté : une politique sans archè, la fin de toute téléologie et l'appropriation de l'impropriété. La dernière partie du mémoire présente la proposition de recherche qui stipule que c'est en réactivant le thème de l'exigence communiste que ces trois auteurs peuvent énoncer la communauté politique comme un partage extatique, évitant le piège du libéralisme mais aussi du communautarisme. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : communauté, Jacques Rancière, Jean-Luc Nancy, Giorgio Agamben, extatique, anarchie, Bataille, désœuvrement, singularité, impropriété, commun, exigence communiste.
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Du "nous femmes" au "nous féministes" : l'apport des critiques anti-essentialistes à la non-mixité organisationnelle

Mayer, Stéphanie 10 1900 (has links) (PDF)
Les espaces politiques non-mixtes entre « femmes » représentent, en raison de l'autonomie qu'ils permettent d'acquérir, un mode d'organisation qui s'est avéré efficace pour mener des luttes en faveur de la liberté. Ce type de rassemblement se constitue sur la base du « Nous femmes » qui fait l'objet depuis près de trois décennies de nombreuses résistances de la part des féministes post modernes et poststructuralistes. Ces critiques de l'essentialisme remettent en cause les fondements du « Nous femmes » et ébranlent, par le fait même, le mode d'organisation en non-mixité construit sur l'identité « femmes ». Ce mémoire vise trois objectifs principaux : 1) retracer l'importance politique du mode d'organisation en non-mixité « femmes »; 2) explorer à partir d'une perspective féministe postmoderne et poststructuraliste les tensions relatives au « Nous femmes » et à l'expérience qui lui est propre; et 3) montrer la pertinence du déplacement vers le « Nous féministes » qui permet de penser une non-mixité entre féministes. Cette analyse épistémologique met en dialogue les cadres théoriques des féministes radicales, principalement matérialistes, avec ceux des féministes postmodernes et poststructuralistes au sujet du « Nous femmes » et de son expérience spécifique. Cette discussion aboutit sur une proposition actualisée en termes de concepts féministes mobilisés dans le cadre d'une organisation en non-mixité, qui conjugue anti-essentialisme et radicalisme politique. La proposition centrale de ce mémoire entend inciter les féministes (militantes et théoriciennes) à emprunter le passage du « Nous femmes » vers le « Nous féministes ». Ce déplacement permet la conceptualisation d'une non-mixité entre féministes invitée à se saisir, dans une perspective féministe, de l'ensemble des enjeux sociaux. Cette démarche repose sur le postulat que les féminismes représentent une réflexion politique qui concerne l'ensemble de la société; ils constituent un projet démocratique. Les conclusions de ce mémoire rappellent l'importance de ce déplacement épistémologique et politique du « Nous femmes » vers le « Nous féministes » afin de contourner les paradoxes théoriques que revêtent ces ancrages essentialistes associés à la catégorie « femmes » et la non-mixité sur cette base. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : non-mixité organisationnelle, mixité sociale, mouvements des femmes, mouvements féministes, féminisme radical, féminisme postmoderne, féminisme poststructuraliste, «Nous femmes», «Nous féministes», démocratie.
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Les manières de décrire l'événement de Polytechnique : entre "décision souveraine" et "décision de justice"

Deslandes, Charles 12 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire interroge les effets produits par les différentes manières de décrire l'événement de Polytechnique (6 décembre 1989). À partir du débat sur l'«état d'exception» opposant Carl Schmitt, Walter Benjamin, Jacques Derrida et Giorgio Agamben sont théorisées les dispositions interprétatives de la décision souveraine et de la décision de justice. Ces deux dispositions permettent de faire l'analyse des manières de décrire l'événement. Tout comme les positions défendues par chacun des auteurs du débat sur l'«état d'exception», la décision souveraine et la décision de justice se rapportent à trois principes de souveraineté : I) L'événement qui pose problème en termes de sens dont la souveraineté se manifeste par le fait que c'est lui qui commande de produire du sens. II) Le concept de nomos qui désigne l'ordre à l'origine de l'événement, mais aussi sa logique de mise en ordre. Le nomos est souverain, car son existence agit comme condition de possibilité de l'événement et parce qu'il prescrit l'interprétation. Dans le cas de Polytechnique, c'est le nomos de la binarité qui est à l'origine de l'événement. Sa souveraineté s'exprime par la diffusion de la logique binaire à l'ensemble des textes sur les causes de l'événement. III) La force performative qui produit du sens en se rapportant soit au principe de l'événement souverain ou à celui du nomos souverain. Les dispositions interprétatives de la décision souveraine et de la décision de justice s'organisent à partir de ces principes, mais se distinguent selon l'effet qu'elles produisent. La décision souveraine entretient un rapport étroit avec le nomos de la binarité. En appliquant la logique binaire, elle fonde et conserve sa souveraineté, mais, surtout, elle produit un effet de certitude. La décision de justice, quant à elle, interprète l'événement, mais d'une manière qui a pour effet d'invalider l'applicabilité de la logique binaire. Elle produit un effet d'incertitude au sens où elle expose le problème de la représentation de l'événement et des catégories qui lui sont appliquées («victimes», «tueur», etc...) et évalue l'ensemble des significations propres à l'événement sans chercher à les hiérarchiser ou à en exclure. La décision souveraine revendique la capacité de trancher en toute certitude sur les causes de l'événement. La décision de justice tend à contester cette certitude décisionnelle. Plutôt que d'affirmer la souveraineté du nomos de la binarité, elle affirme la souveraineté de l'événement sans le réduire à sa capacité d'en produire un sens. Appliqués à un corpus de textes délimité selon la méthode de l'analyse du discours, ces concepts rendent visibles les effets produits par chacune des dispositions interprétatives. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Polytechnique, décision souveraine, décision de justice, Giorgio Agamben, Jacques Derrida, Walter Benjamin, Carl Schmitt, analyse du discours.
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Lecture et interprétation : le langage à l'épreuve du sens

Plante, Maxime 03 1900 (has links) (PDF)
On a coutume de voir dans l'absurde l'échec du langage à communiquer son sens. Une telle absence de sens au cœur même du langage ne devrait-elle pas remettre en question son efficacité? L'auteur tente de montrer que le concept d'absurde est pris dans les rets de la dialectique, car il est toujours assimilé à une négativité toujours productive. N'y a-t-il pas lieu pourtant de penser l'absurde en dehors de toute pensée dialectique - sans référence à une finalité, une utilité ou un sens ultime - en se basant sur l'expérience du texte dans la lecture? Une telle tentative nous projette au cœur du jeu de l'écriture et montre qu'en dehors de tout volontarisme de la part de l'auteur ou du lecteur un certain poétique les frappe avant toute intériorisation. Une telle rencontre n'est pas un prélude à la donation de sens mais la nuit de la désorientation. Celle-ci sera porteuse d'une expérience marquante pour la subjectivité du sujet sans posséder une quelconque valeur dans l'ordre de la connaissance. Le toucher du poétique engage le lecteur à la dissolution de sa subjectivité dans l'optique d'une communication qui serait pré-politique. Que signifie cet engagement lorsqu'on le confronte à des auteurs comme Derrida et Lévinas qui placent l'intentionnalité et la décision au cœur de leur pensée? Loin de compromettre la pensée du poétique, la réflexion de ces auteurs permet de la pousser plus avant vers une redéfinition de la liberté autour du motif de responsabilité à l'égard de l'Autre. Une telle responsabilité peut-elle être finalement le noyau constitutif de la subjectivité et le lien entre éthique et politique qui permet de penser une justice inconditionnelle? ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : lecture, écriture, interprétation, absurde, poétique, langage
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La pensée politique de Peter Sloterdijk : de l'émancipation micropolitique à l'esthétique du monstrueux

Couture, Jean-Pierre January 2009 (has links) (PDF)
Cette thèse propose une étude exhaustive de l'oeuvre du philosophe allemand contemporain, Peter Sloterdijk, et des débats qu'elle soulève. En tant que figure de proue d'un renouveau remarqué du courant phénoménologique, la pensée politique de l'auteur milite en faveur de l'existence d'une gauche de tradition nietzschéenne-heideggérienne. Le phénomène « Sloterdijk » comme événement littéraire n'est pas seulement appréhendé par un strict travail d'exégèse, car il est d'abord considéré comme un phénomène social et politique qui révèle l'état du champ intellectuel allemand et qui témoigne des stratégies qui s'offrent aux acteurs intellectuels en lutte pour y obtenir (conserver) une niche. Pour ce faire, l'analyse de l'oeuvre relève d'une double lecture, politique et philosophique, textuelle et sociale. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Sloterdijk Peter, Pensée politique, Philosophie, Sociologie, Théorie, Champ intellectuel, Réseau intellectuel, Bibliométrie, Allemagne, Europe.
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Le management public comme science morale

Rochet, Claude 08 December 2007 (has links) (PDF)
Le débat public sur le changement dans le secteur public s'organise actuellement selon une ligne de démarcation qui oppose les tenants de la performance et de l'efficience qui penchent vers la privatisation des services publics, et de l'autre les tenants de l'assimilation de la « défense du service public » et de l'intervention de l'Etat au rejet de toute notion d'évolution et de performance. Le programme de recherche du management public doit s'enrichir pour contribuer à sortir de ces fausses alternatives et lier la question politique de l'évolution de l'Etat et celle, technique, de la réforme administrative.<br />Nous posons le débat du point de vue de la théorie de la connaissance, en montrant que ces deux postures se rattachant toutes deux au positivisme logique et qu'elles passent à côté des grands enjeux du changement du secteur public. Dans la lignée des travaux de Hayek nous proposons une ligne de démarcation entre positivisme et évolutionnisme. En partant de la distinction faite par North entre institutions et organisations, nous analysons leur dynamique différente et le lien qui peut être établi entre innovation institutionnelle et organisationnelle dans le secteur public. Cette nouvelle perspective implique un retour au politique comme source de la décision publique et donc à la philosophie politique comme point d'où penser le management public.<br />Dans un deuxième temps, nous définissons des axes d'enrichissement du programme de recherche en management public pour lier philosophie politique et efficacité pratique. Le changement dans un environnement incertain demande de réviser le système de croyances sous-jacent aux institutions et repose sur l'apprentissage collectif et la progression par essais et erreurs. Le politique, réduit selon l'actuelle ligne de démarcation à une fonction support de la gestion publique, retrouve toute sa place, au sens de la philosophie politique classique et de l'humanisme civique républicain. Support du questionnement éthique à la base de toute politique, et outil de résolution de problèmes, le management public peut s'inscrire dans le domaine des sciences morales.<br />Nous concluons sur le développement de nouveaux arts pratiques de l'action publique pour conduire le changement.
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Le politique chez Hannah Arendt : entre fragilité et durée

Di Croce, Marianne 02 1900 (has links) (PDF)
Hannah Arendt développe une conception du politique centrée sur l'action commune des humains, sans laquelle la liberté et le pouvoir ne peuvent exister. L'importance que la philosophe accorde à la liberté l'amène à distinguer catégoriquement le pouvoir de toute forme de domination et de violence, pour le concevoir de manière horizontale et comme quelque chose de collectif qui s'exerce directement par l'action dans l'espace public. Si cela fait la richesse de sa conception du politique, cela engendre aussi certaines difficultés. Outre celle qu'il y a à le définir – parce qu'Arendt n'en fournit pas une définition systématique – il y a, au sein du politique arendtien, une tension importante entre différents éléments qui le composent. Le fait de concevoir le politique à partir de l'action lui induit une fragilité à laquelle Arendt tente de remédier en mettant en relation ce qui y est essentiel mais fragile (liberté, pouvoir, nouveauté) avec des éléments visant à assurer sa durée (fondation, autorité, augmentation). Ce rapport entre durée et fragilité est problématique, car la fragilité apparaît comme un caractère intrinsèque de ce qui importe dans le politique. Il apparaît donc difficile d'assurer la durée du politique sans le dénaturer et perdre ce qu'Arendt y défend. Ce mémoire porte donc sur la tension entre la nature fragile et la finalité de durée du politique arendtien. Le premier chapitre trace un portrait général du politique arendtien. Il expose la façon dont Arendt construit le politique à partir de différentes expériences historiques – polis grecque, civitas romaine et Révolution américaine – et comment cela y génère une tension. Le deuxième chapitre est directement consacré à l'étude de cette tension. On démontre d'abord, par la réflexion d'Arendt sur la révolution et sur l'histoire, comment la tension se manifeste dans le politique. Ensuite, en se penchant sur l'œuvre et la promesse – éléments porteurs de durée chez Arendt – on voit pourquoi la tension ne peut être surmontée. Le troisième et dernier chapitre vise à comprendre le politique arendtien à la lumière de la tension qui l'anime. On explique pourquoi Arendt pense ainsi le politique, malgré la tension qui en découle et ses conséquences sur la valeur de sa conception du politique. On voit notamment que le politique arendtien se pose en réponse aux maux de la société moderne, qu'il est l'objet de critiques (il serait utopique), mais que la tension l'animant est intéressante pour penser des institutions politiques et une action citoyenne plus dynamiques dans nos sociétés démocratiques. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Hannah Arendt, politique, action, liberté, pouvoir, révolution, démocratie
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Une théorie normative de la diversité linguistique

Robichaud, David January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Lectures contemporaines de Machiavel: la question de l'interprétation chez Leo Strauss, Quentin Skinner et Claude Lefort

Marcotte Chénard, Sophie 29 September 2011 (has links)
Dans cette thèse, nous cherchons à penser les enjeux philosophiques de l’application de méthodes herméneutiques en histoire de la philosophie politique. À partir d’une étude comparative des interprétations de l’œuvre de Nicolas Machiavel offertes par Leo Strauss, Quentin Skinner et Claude Lefort, nous interrogeons le rapport que l’interprète institue avec le texte qu’il étudie. Nous montrons qu’il y a dans les trois cas un écart entre l’exposition théorique des principes herméneutiques et l’application effective de ces derniers. Nous soutenons que les divergences fondamentales entre les trois lectures des écrits machiavéliens ne trouvent pas leur fondement dans la différence des méthodes employées, mais proviennent en dernier lieu de la compréhension particulière qu’ils ont du rôle et du statut de la pensée de Machiavel. Autrement dit, nous cherchons à montrer que l’intérêt pour la signification de l’œuvre machiavélienne dépasse la simple analyse des écrits d’un auteur du passé; les trois interprètes entretiennent un rapport singulier à la pensée du secrétaire florentin. En ce sens, l’étude des herméneutiques de Strauss, Skinner et Lefort appliquées à Machiavel est indissociable d’une interrogation sur l’articulation entre interprétation et politique.

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