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Le rôle du Québec dans le dossier de la diversité culturelle : l'affirmation internationale d'une entité fédérée

Maltais-Provencher, Bruno 12 1900 (has links) (PDF)
Le gouvernement du Québec et la société civile québécoise ont joué un rôle de premier plan dans le processus menant l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO) à adopter, en octobre 2005, la Convention sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles. Cette activité soutenue de la diplomatie québécoise s'inscrit dans la participation de plus en plus importante des gouvernements locaux et régionaux aux activités internationales. Cette fragmentation de la politique étrangère, qui relevait jadis des seuls gouvernements centraux, nécessite une redéfinition des acteurs internationaux et des relations entre eux et, par conséquent, un nouveau cadre d'analyse pour situer les acteurs subétatiques dans un contexte politique qui dépasse la distinction traditionnelle entre la politique intérieure et la politique étrangère. À partir du cas du Québec, nous présentons les principaux déterminants qui expliquent le développement d'une paradiplomatie de la part d'une entité subétatique, à savoir la mondialisation, la crise de l'État et le nationalisme. Nous voyons ainsi qu'en raison de ces déterminants, il a été plus efficace pour le Québec d'utiliser ses propres voies diplomatiques pour défendre ses intérêts, et ainsi de jouer un rôle distinct de celui du Canada dans le dossier de la diversité culturelle. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Québec, relations internationales, paradiplomatie, politique étrangère, diversité culturelle
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La construction de la menace et la sécuritisation en Corée du Nord : effets sur la politique étrangère

Hardy-Chartrand, Benoit 02 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire propose une analyse approfondie de la sécuritisation en tant qu'instrument politique mis en œuvre par le régime de Kim Jong-Il en Corée du Nord. Nous visons à démontrer la façon dont le régime tente de présenter le monde extérieur, particulièrement les États-Unis, comme une menace immédiate à sa survie afin de justifier les mesures politiques qui s'en suivent, notamment la militarisation extrême et le développement de l'arme nucléaire. En établissant un lien entre la propagande, qui constitue une partie intégrante de l'acte de langage et de la sécuritisation, et les actions posées par Pyongyang, nous cherchons à démontrer que la représentation d'une Corée du Nord menacée existentiellement pousse le régime à adopter une politique étrangère qui contribue à l'hostilité et la tension dans la région. Nous partons de l'hypothèse que les efforts marqués du gouvernement pour dépeindre les États-Unis comme une menace à la survie nationale conditionnent forcément la teneur des relations que Pyongyang entretient avec Washington. L'analyse concomitante des déclarations, articles, et autres documents émanant de la Corée du Nord et des actions nord-coréennes permet d'observer un lien entre la teneur de la propagande et les actes « provocateurs » posés par Pyongyang. La recherche tend à démontrer également que la sécuritisation n'est non pas une réaction inévitable et automatique face à un danger perçu, mais qu'elle est mise en œuvre de façon préméditée par le régime nord-coréen. La sécuritisation, vue ici comme un processus politique à long terme, constitue un outil politique de contrôle et de survie pour le régime nord-coréen. Alors que la politique américaine face à la menace posée par Pyongyang a fait l'objet de nombreuses analyses, la littérature actuelle comporte peu de travaux sur la perception de la menace externe du point de vue nord-coréen. Ce mémoire vise à combler en partie cette lacune. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Corée du Nord, sécuritisation, programme nucléaire, propagande, politique étrangère
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Les relations internationales du Québec sous Robert Bourassa de 1985 à 1994 : continuité ou rupture avec le gouvernement de René Lévesque de 1981 à 1985?

Robichaud, Daniel 03 1900 (has links) (PDF)
Cette recherche analyse l'évolution des relations internationales du Québec sous le gouvernement libéral de Robert Bourassa de 1985 à 1994. Nous y traitons des relations que le Québec entretient avec l'Europe, les États-Unis et la francophonie. Le but de cette recherche est de distinguer les similarités et les différences entre les actions de ce gouvernement par rapport à celui de René Lévesque après la défaite référendaire de 1980. Nous cherchons à savoir s'il y a rupture ou continuité des relations politiques et commerciales dans les années quatre-vingt et du début des années quatre-vingt-dix. Dans un premier temps, nous faisons l'historiographie au sujet des relations internationales du Québec de 1965 à 1994. Dans la première partie, nous analysons les actions gouvernementales de 1985 à 1994 en distinguant les priorités du gouvernement. La deuxième partie porte sur les rapports du Québec avec l'Europe, en excluant les pays qui font partie de la francophonie. Nous y traitons des angles politiques et économiques. La troisième partie concerne nos rapports avec notre voisin immédiat, les États-Unis. Dans cette partie, nous analysons plus particulièrement les États de la Nouvelle-Angleterre, de l'Atlantique et du Centre-Nord-Est. En autres, nous étudions les dimensions politiques dans les milieux de l'énergie et de l'environnement. La quatrième et dernière partie traite de la francophonie. Ces relations mènent à l'établissement des premiers sommets francophones. Dans cette partie, nous regardons plus particulièrement les relations multilatérales, le commerce et la culture. Les relations privilégiées avec la France prendront une part importante dans cette section. Cette analyse aborde aussi les relations du Québec avec les autres pays francophones. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : 20e siècle, politique, économie, francophonie, Europe
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Au-delà de l'intérêt national : une étude sociologique des politiques étrangères française et canadienne dans la crise du Kosovo

Morin, David January 2008 (has links) (PDF)
L'intervention militaire au Kosovo conduite dans le cadre de l'opération « Force alliée » est souvent présentée comme une rupture vis-à-vis de la pratique traditionnelle des États en matière de politique étrangère: une guerre humanitaire et morale dont les intérêts nationaux seraient, sinon absents, à tout le moins secondaires dans les motivations des décideurs. Cette recherche revient sur cet épisode marquant des relations internationales en s'efforçant de comprendre une décision de politique étrangère, celle prise par la France et le Canada de participer à cette intervention. Quel est le sens, la signification de cet évènement au regard de la politique étrangère de ces deux pays? Quels indices nous donne-t-elle sur son évolution? En quoi la guerre du Kosovo a-t-elle contribué à améliorer notre compréhension du processus de décision au Canada et en France? Y a-t-elle seulement contribué? En guise de réponse, cette recherche tente de vérifier l'hypothèse selon laquelle le concept d'intérêt national reste pertinent dans le champ de la politique étrangère, à la fois pour comprendre le comportement d'une partie des élites dirigeantes mais également celui d'une partie des gouvernés. Non pas qu'il soit possible de déterminer un intérêt national objectif et rationnel à partir duquel on juge les décisions prises par les États. En revanche, existe l'idée d'intérêt national en tant que concept structurant au niveau du discours et de la pratique en politique étrangère. Encore trop peu exploré dans les travaux de langue française, cette recherche s'interroge sur les outils conceptuels à disposition du chercheur pour appréhender l'objet politique étrangère aujourd'hui. En prenant pour point de départ un triple questionnement -par qui, pourquoi et comment la politique étrangère est-elle construite -cette thèse tente de mettre en dialogue les approches classiques de la décision (réalisme, analyses décisionnelles) et celles s'inscrivant dans ce qu'il est coutume d'appeler le tournant sociologique des Relations internationales (transnationalisme, constructivisme) et propose l'élaboration d'un cadre d'analyse original. De ce point de vue, le cas étudié confirme que les premières offrent des outils tout à fait pertinents, mais qu'elles auraient avantage à mettre ceux-ci plus en lien avec les pistes interprétatives ouvertes par les secondes. Au « qui », cette étude montre que la décision dans ce champ est indissociable du cadre mondial dans lequel elle s'insère et qu'il n'est plus possible pour les acteurs traditionnels de faire fi de l'émergence d'autres acteurs, non étatiques le plus souvent. Il n'en reste pas moins qu'au vu des efforts déployés par les « professionnels de l'État » pour conserver le contrôle de la gestion de la crise, le sentiment qui prédomine est que l'hypothèse du monopole traditionnel de l'exécutif en politique étrangère n'a pas complètement disparu. Au « pourquoi », cette démarche consent à une complexification des logiques qui, loin de répondre à la seule poursuite égoïste d'intérêts collectifs et/ou individuels, mettent en jeu des valeurs, des normes, des cultures et des identités propres et distinctes, qui agissent non pas comme des variables individuelles mais aussi comme des « standards holistes ». A cet égard, la dichotomie classique entre politiques et bureaucrates reste, malgré des différences importantes en France et au Canada, un point de départ valable pour comprendre le fonctionnement du noyau décisionnel dans les deux États. Enfin, au « comment », cette recherche montre que la décision est avant tout une construction et un processus complexe, au sein duquel intérêts et identités se mêlent, et où le langage tout comme les rapports de pouvoir symbolique jouent un rôle essentiel. Dans cette perspective, malgré de nombreux points communs entre la France et au Canada, cette recherche s'arrête surtout sur ce qui les distingue, ce qui dans la perspective d'une réflexion plus globale sur l'évolution des politiques étrangères dans le système mondial, est riche d'enseignements.
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"Worth living and worth giving" : Charles R. Crane et le progressisme wilsonien : la philanthropie comme moyen de réforme

Leclair, Zacharie 04 1900 (has links) (PDF)
Au cœur du mouvement progressiste aux États-Unis et alors que le réformisme consolide sa place en politique nationale grâce à l'élection de Woodrow Wilson en 1912, émerge à côté du nouveau président élu la figure de Charles Richard Crane (1858-1939), auparavant quasi-inconnu sur la scène nationale. Industriel richissime, réformateur, mécène et philanthrope de Chicago, Crane avait fait sa marque dans les cercles progressistes du Midwest en plus d'avoir soigneusement cultivé des relations importantes à l'étranger. En même temps, ses intérêts et ses accointances variés le rendirent utiles aux yeux de Wilson qui l'intégra dans un cercle très sélect de conseillers intimes. Rapidement devenu ami avec le président, Crane fut tour à tour choisi pour de multiples tâches politico-diplomatiques de relative importance : contributeur majeur des élections de Wilson en 1912 et 1916, promoteur et facilitateur des réformes sociales et politiques du programme de la New Freedom, mission diplomatique en Russie révolutionnaire, soutien à la création de la Tchécoslovaquie, commission d'experts au Moyen-Orient dans le cadre de la Paix de Versailles et ambassade américaine en Chine comptent parmi ses principales tâches au sein du wilsonisme. À travers ces années avec Wilson, les plus déterminantes de sa vie à ses propres yeux, s'écrivit une carrière publique remarquable qui illustre des aspects du wilsonisme à la fois caractéristiques et inédits. Son engagement dans un réformisme assez radical, qui se manifesta autant dans la sphère nationale, avec des politiques agraires et anti-monopolistiques, qu'à l'étranger, avec l'appui à des causes révolutionnaires, anti-impérialistes et humanitaires, et la constance de son discours wilsonien et de son appui à Wilson apportent un éclairage différent à la perspective historienne du progressisme wilsonien et de l'époque qui l'a produit et façonné. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Charles Richard Crane, Woodrow Wilson, relations internationales, Première Guerre mondiale, histoire de États-Unis, ère progressiste
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La politique étrangère du Hamas 2006-2013 : idéologie, intérêt et processus de décision / Hamas foreign policy 2006-2013 : ideology, interest and decision making process

Seurat, Laetitia Leila 27 June 2014 (has links)
Bien qu’évoluant dans un cadre national dépourvu d’institutions étatiques, le Hamas exerce bel et bien une politique étrangère qui s’explique bien plus par les intérêts que par l’idéologie. L’analyse des processus de décision internes au mouvement le confirme. Agissant comme des filtrent des intérêts et des propositions idéologiques, ces processus, plus ou moins inclusifs en fonction du contexte et de la nature des décisions, illustrent l’importance des intérêts et la marginalité du rôle de l’idéologie. Seule la trêve conclue en juin 2008 avec Israël a donné lieu à des divergences idéologiques et à conduit au départ de certains membres de la branche armée du mouvement qui ont alors choisi de rejoindre des groupes salafistes. Au-delà de ces divergences, les intérêts des différents acteurs au sein du Hamas convergent au moins parce qu’ils cherchent tous à garantir la prépondérance politique de leur mouvement. La politique étrangère leur permet de réaliser un certain nombre d’intérêts à la fois extérieurs et intérieurs: obtenir la reconnaissance diplomatique et symbolique, rechercher des ressources matérielles, assurer leur domination sur la bande de Gaza et enfin concurrencer leurs adversaires nationalistes et islamistes. Les propositions idéologiques sont constamment adaptées pour accompagner la défense de ces différents intérêts. / The present thesis argues that the Palestinian movement Hamas pursues its own foreign policy even though it may be considered a non state actor, or a semi-state actor at best. The key independent variables determining this foreign policy are internal decision-making processes and various types of interests that in the vast majority of cases prevail upon ideological considerations. Decision making processes vary from period to period and sometimes from case to case. Sometimes their output reflects a compromise of competing interests, even though these compromises are always biased in favour of the stronger groups or factions within the movement. Only the 2008 truce with Israel gave rise to substantial ideological debates which left their trace in the run-up to this event and subsequent cleavages and defections, in particular to the al-Qassam brigades. In spite of various diverging interests, the leaders and members of Hamas share a basic objective which is to guarantee the political supremacy of their movement in Palestine. Its foreign policy enables Hamas to pursue a number of interests both external and internal: to obtain diplomatic and symbolic recognition, mobilize material and symbolical ressources, secure its domination over the Gaza strip, and compete with its nationalist and islamist opponents. Ideological propositions are constantly adapted to these different interests.
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La dimension africaine dans la politique étrangère libyenne 1969-2002 / The African dimension in Libyan foreign policy 1969-2002

Abusitta, Abdelgadir 24 September 2012 (has links)
L’objectif de la thèse est d’étudier la politique libyenne étrangère en Afrique pendant la période (1969-2002). Les décisions de la politique étrangère libyenne ont été influencées par plusieurs orientations politiques, idéologiques et internationales. Le pétrole a permis la politique libyenne d’exercer un rôle important en utilisant s’importantes sommes d’argents provenant de ses revenus pétrolier. Ces dernières ont permis d’apporter des aides financières et économiques, ce qui a rendu la politique libyenne d’aide indispensable dans beaucoup de pays africains.Apres la fin de la guerre froide et la domination de la politique américaine au niveau mondial, la Libye a été accusée de l’affaire Lockerbie et a été sanctionnée par les nation-Unis. Les sanctions politiques et l’embargo économique ont conduits la Libye a changé sa politique étrangère et abandonner la lutte contre la présence américaine et israélienne en Afrique, ainsi qu’adopter une politique étrangère avec les intérêts occidentaux. / The aim of this thesis is to study the Libyan foreign policy in Africa from 1969 to 2002. The foreign Libyan political decision had been influence by many political, ideological and international directions. The petroleum had allowed to Libyan politics to exercise an important role by using important amount of money coming from the petroleum revenue. The latter had brought financial and economic assistance, which bring Libyan assistance policy essential in many African countries.After the end of the cold war and the world domination by the American politics, Libya had been accuse in the Lockerbie affaires and had been sanction by the United Nations. The political sanctions and the economic embargo conduct Libya to change its foreign policy and abandon the struggle against the presence of Americans and Israelis in Africa, as well as to adopt a foreign policy in the trends of Occidental interest
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La négociation diplomatique dans une perspective constructiviste : Identité et refus de négocier. / A constructivist analysis of diplomatic negociation : Identity and refusal to negotiate

Ségard, Pauline 22 June 2018 (has links)
Cette thèse propose une étude des représentations de la négociation diplomatique et de leurs implications sur la décision de négocier. A travers une analyse comparée de la politique étrangère des dirigeants américains confrontés aux programmes nucléaires nord-coréen et iranien de 1993 à 2012, elle entend mettre en lumière le rôle des pratiques représentationnelles dans l’acceptation et le refus de négocier et sur les modalités de négociation.L’analyse des discours des membres des administrations Clinton, Bush et Obama à l’aide d’une méthodologie constructiviste permet l’identification de leur imaginaire sécuritaire, grille de lecture à travers laquelle les dirigeants américains ont appréhendé la complexité des problématiques nucléaires nord-coréenne et iranienne et agi en conséquence. L’opérationnalisation de leurs interprétations a toutefois donné lieu à des politiques distinctes en matière de négociation. La thèse discute les implications identitaires que les dirigeants américains ont attribuées à ces politiques, en matière de sécurité ontologique des États-Unis face à la Corée du Nord, en matière de préservation de l’identité de la « communauté internationale » face à l’Iran. Ce faisant, elle propose une compréhension des différences de traitement des problématiques nucléaires nord-coréenne et iranienne et de leur évolution. / This thesis is a study of diplomatic negotiation’s representations and the way these representations impact the decision to negotiate. Through a comparative analysis of the American foreign policy towards the nuclear programs of North Korea and Iran from 1993 to 2012, the role played by representational practices in the acceptance and the refusal to negotiate is enlightened, as well as their role in defining negotiation’s terms.A constructivist discourse’s analysis of the Clinton, Bush and Obama administrations’ speeches allows to identify their security imaginary as an interpretative frame. American leaders grasped the complexity of North-Korean and Iranian nuclear issues through this interpretative frame and took action accordingly. However, the operationalization of their interpretations produced various practices regarding negotiation. The thesis challenges the identity consequences attributed to these practices by the American leaders for the United States, in terms of ontological security in the North-Korean case and in terms of maintaining the “we-ness” of the “international community” in the Iranian case. In doing so, the thesis suggests an understanding of the differences in the way the American administrations responded to North-Korean and Iranian nuclear issues as well as an understanding of their evolutions.
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Politiques canadienne et soviétique lors de la seconde crise de Berlin 1958-1961

Rheault-Campeau, Alexis 04 1900 (has links)
La seconde crise de Berlin (1958-1961) est un évènement majeur de la guerre froide. L'hypothèse de notre recherche remet en question le rôle du Canada et les perceptions négatives de l'Occident envers l'URSS durant cette crise. La recherche se divise en trois volets : premièrement, une revue de l'historiographie de la politique canadienne; deuxièmement, une présentation de la chronologie des évènements de la crise de Berlin, l'importance de la diplomatie multilatérale canadienne et la politique nucléaire de Diefenbaker; enfin, un examen de la politique étrangère soviétique. À partir de sources primaires et d'un bilan historiographique,il fut démontré que, durant la crise de Berlin, le Canada a réussi à influencer l'OTAN et à ménager les gouvernements américains et soviétiques. Quant à l'URSS, contrairement à l'image négative que l'Occident en avait, celle-ci a manifesté durant cette crise des intentions pacifiques envers l'Occident, contredisant les interprétations orthodoxes de la guerre froide. / The second Berlin crisis(1958-1961)is a major event of the Cold War. The hypothesis of our research revises the role of Canada and the negative perception of the occidental countries toward USSR during this crisis. This study is divided in three parts : firstly, a historiographical review of the canadian policy toward NATO; secondly, a presentation of the events in regard to the implication of the canadian governement during the Berlin crisis, the importance of the the multilateral canadian diplomacy and the nuclear policy during the Diefenbaker's governement; at last, an examination of the soviet foreign policy. With the help of canadian primary sources, it will be demonstrated firstly that : while the tensions are to their peaks, Canada succeeded to influence NATO and american policy and tried to spare both soviet and american governements. Secondly, soviet and east-german archives showed that the soviet governement manifested during this crisis his pacific intentions, contradicting the most often supported orthodox interpretation of the Cold War.
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Politiques canadienne et soviétique lors de la seconde crise de Berlin 1958-1961

Rheault-Campeau, Alexis 04 1900 (has links)
La seconde crise de Berlin (1958-1961) est un évènement majeur de la guerre froide. L'hypothèse de notre recherche remet en question le rôle du Canada et les perceptions négatives de l'Occident envers l'URSS durant cette crise. La recherche se divise en trois volets : premièrement, une revue de l'historiographie de la politique canadienne; deuxièmement, une présentation de la chronologie des évènements de la crise de Berlin, l'importance de la diplomatie multilatérale canadienne et la politique nucléaire de Diefenbaker; enfin, un examen de la politique étrangère soviétique. À partir de sources primaires et d'un bilan historiographique,il fut démontré que, durant la crise de Berlin, le Canada a réussi à influencer l'OTAN et à ménager les gouvernements américains et soviétiques. Quant à l'URSS, contrairement à l'image négative que l'Occident en avait, celle-ci a manifesté durant cette crise des intentions pacifiques envers l'Occident, contredisant les interprétations orthodoxes de la guerre froide. / The second Berlin crisis(1958-1961)is a major event of the Cold War. The hypothesis of our research revises the role of Canada and the negative perception of the occidental countries toward USSR during this crisis. This study is divided in three parts : firstly, a historiographical review of the canadian policy toward NATO; secondly, a presentation of the events in regard to the implication of the canadian governement during the Berlin crisis, the importance of the the multilateral canadian diplomacy and the nuclear policy during the Diefenbaker's governement; at last, an examination of the soviet foreign policy. With the help of canadian primary sources, it will be demonstrated firstly that : while the tensions are to their peaks, Canada succeeded to influence NATO and american policy and tried to spare both soviet and american governements. Secondly, soviet and east-german archives showed that the soviet governement manifested during this crisis his pacific intentions, contradicting the most often supported orthodox interpretation of the Cold War.

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