• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 6
  • 2
  • 2
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 12
  • 12
  • 11
  • 11
  • 10
  • 10
  • 9
  • 6
  • 6
  • 6
  • 6
  • 6
  • 6
  • 3
  • 3
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

L’oggetto in generale. L’orgoglio dell’ontologia da Clauberg a Leibniz / L’objet en général. L’orgueil de l’ontologie de Clauberg à Leibniz / The object in general. The pride of ontology from Clauberg to Leibniz

Ragni, Alice 30 September 2016 (has links)
Par le néologisme ontologia (1606), on indique à l’époque moderne la science générale, autre que la théologie, dont l’objet est l’ens quatenus ens est avec ses propriétés transcendantales. De cette tradition, qui voit le jour dans le cadre de la Schulmetaphysik, ce travail examine l’âge « post-claubergien », c’est à dire les années qui suivent la diffusion et la réception de l’Ontosophia (1647) de Johannes Clauberg et notamment la troisième et dernière édition de son écrit, la Metaphysica de ente (1664), qui témoigne de son adhésion au cartésianisme. Cette phase de la Schulmetaphysik est marquée par la question de l’organisation de la métaphysique sur la base de la « dissociation », non plus de la « partition », entre la doctrine générale de l’étant (ontologia ou ontosophia) et la science des substances immatérielles (pneumatica ou pneumatologia). Cette « canonisation » de l’ontologie est attestée dans les lexiques philosophiques, mais elle est confirmée aussi par les critiques qui sont adressées à l’« ontologisation » de la métaphysique et jusqu’au rejet leibnizien de l’ontologie. Les traités d’ontologie suivent la tendance à une restriction de leur objet selon son fundamentum in re (« ontologie réelle ») ou à une extension de cet objet au pure intelligibile (« ontologie noétique »). On examine en dernier lieu la question de l’identité de l’ontologie et de la prima philosophia et, de celle-ci, le caractère de science post-physique. En ce sens, Jean-Baptiste Du Hamel et Ehrenfried Walter von Tschirnhaus, figures étrangères au contexte réformé et protestant, s’engagent dans des tentatives originales de légitimation non seulement « horizontale » (formelle), mais aussi « verticale » (subjective) de l’ontologie. / In early modern philosophy the neologism ontologia (1606) comes to indicate the general science, other than theology, whose object is the ens quatenus ens est, along with its transcendental properties. The present work analyses the “Post-Claubergian” period of the ontology tradition, which originated in the Sculmetaphysik context. These were the years that followed the circulation and reception of Johannes Clauberg’s Ontosophia (1647) and what would become its third and last edition, Metaphysica de ente (1664), which included the new elements of Clauberg’s Cartesianism. This period of the Schulmetaphysik is connected mainly to the question of the organization of metaphysics, based on the “dissociation”, and no longer “partition”, between the general science of being (ontologia or ontosophia) and the science of immaterial substances (pneumatica or pneumatologia). The “canonization” of ontology is attested by philosophical lexicons, but also by the criticism directed to the “ontologization” of metaphysics, up to Leibniz’s refusal of ontology. Treatises of ontology tend to limit their object on the basis of its fundamentum in re (“real ontology”) or to extend it to the pure intelligibile (“noetic ontology”). Finally, this study considers the question of the identity of ontology with prima philosophia and the nature of this latter as a post-physical science. In this sense, Jean-Baptiste Du Hamel and Ehrenfried Walter von Tschirnhaus, both stranger to the Protestant and Riformed scolastic context, provide an original attempt to establish ontology not only “horizontally” (formally), but also “vertically” (subjectively).
2

La théorie cartésienne du jugement / Descartes'theory of judgment

Cassan, Élodie 06 December 2008 (has links)
Cette thèse étudie la question de savoir pourquoi et comment Descartes peut définir la science comme une combinaison de jugements vrais dans les "Regulae a directionem ingenii" et dans les "Meditationes de Prima Philosophia", sans concevoir l'acte de juger et la structure des jugements dans les mêmes termes dans ces textes. De "Reguale" aux "Mediationes", Descartes passe en effet d'une fondation du jugement sur l'entendement à une fondation du jugement sur la volonté, et d'un rejet d'une composition prédicative qui reproduirait la composition réelle des choses à une prise de distance par rapport à cette indifférence ontologique. On explique le passage de la première théorie cartésienne du jugement à la seconde par l'évolution de la théorie et de la pratique cartésienne de la science : après avoir fait du jugement l'énoncé de rapports entre les paramètres d'une "quaestio", mathématique ou physique, Descartes s'intéresse spécifiquement à la physique, et il pense le jugement comme l'expression des attributs et des modes de la substance corporelle, conformément à la distinction réelle de l'âme et du corps démontrée dens les "Meditationes". Dans cette perspective, l'accent finalement mis sur la volonté a une sens épistémique. Il exprime la nécessaire subordination de toute affirmation à une conception claire et distincte de l'objet examiné. On introduit au rôle de substitut de la logique des théories cartésiennes du jugement par un rappel de la prise de position de Descartes par rapport à la logique scolastique et aux critiques adressées par ses contemporains à celle-ci. Dans une première partie, on analyse la place réservée à ces théories dans la constitution de logiques cartésiennes / In the "Regulae" and in the "Mediationes", Descartes defines science as a combining of true judgments. However, in these works, he does not conceive the act of judging and the structure of judgments in the same way. In the "Regulae", a judgment is produced by the intellect ; in the "Meditationes", it depends on the will. In the "Regulae", Descartes rejects the idea that the construction of a judgment about how things are related is simply a mental mirroring of how those things are related in the world. In the "Mediationes", he bases predication on three notions which play the part of categories : thought, extension, union. We account for this development by referring to some changes in Descartes'approach to science, end to his progressive focus on physics. Consequently, we show that, although, in the first place, Descartes reduces judgment to the affirmation of the relationship between the parameters of a given "quaestio", taken either from the field of mathematics or from the field of physics, later, in the 1630's, he focuses on physics and conceives of judgment as the expression of the properties of the extended substance. Our study of the function and nature of Descartes'concept of judgment is introduced by considering the meaning of the term "judgment" among Descartes' contemporaries (Late Scholastics, Montaigne, Bacon, Ramus). It ends with an examination of the reception of Descartes' theories of judgment in Clauberg's "Logica Vetus et Nova", in the "Port-Royal Logic" and in Malebranche's "Search after Truth"
3

El uso equívoco de los términos "formal" y "material" en las Meditaciones metafísicas

Caravedo Durán, Joan 13 May 2014 (has links)
La noción de idea en Descartes es uno de los términos trasversales en el conjunto de su obra y muestra una nueva consideración al respecto de lo anímico y de su relación con lo material. Procurar negar el rol fundamental de las ideas cartesianas nos dejaría sin la capacidad de comprender una de las obras más importantes de este autor, en la cual nos centraremos en el presente trabajo: Meditaciones metafísicas. La noción de “idea”, que recibe un tratamiento detallado recién en la tercera de las meditaciones, nos sirve como elemento fundamental para la comprensión del conjunto del texto, al punto que incluso las dudas escépticas de la primera meditación pueden ser vistas como el despliegue de un camino hacia el descubrimiento del terreno del cogito, región de una clase de los entes puramente espirituales, que son las ideas / Tesis
4

Préparation à la lecture des Méditations de Descartes

Comtois, Nicolas 24 April 2018 (has links)
Le présent mémoire interroge le mode de lecture des Méditations métaphysiques de Descartes. Leur auteur a souligné en plusieurs endroits que, pour bien comprendre son texte, il fallait le « méditer sérieusement ». Il faut nous demander quel sens avait cette recommandation pour lui. Descartes avait connaissance des origines de la méditation dans la philosophie antique ; il y a lieu de croire que c'est avant tout de ce point de vue qu'il en envisageait l'exercice. Il a par ailleurs donné à son texte une forme qui rappelle celle des manuels chrétiens de dévotion ; il a trouvé là un moyen de doter son texte d'une structure reconnaissable mais également d'établir un rapport d'autorité avec son lecteur. Des indices font enfin croire qu'il avait une connaissance pratique des modèles de méditation proposés dans les Exercices spirituels d'Ignace de Loyola et dans les écrits d'Augustin d'Hippone. Il a pu trouver dans le premier des procédés permettant de surmonter les obstacles posés dans la méditation par l'union de l'âme et du corps. Il a pu trouver dans le second un itinéraire capable de mener à la connaissance intuitive de l'âme et de Dieu ; de manière à fonder et à garantir la mathesis universalis. Il faut avoir ce contexte à l'esprit au moment de lire les Méditations de Descartes. Nous devons nous défaire de nos propres préjugés si nous voulons pouvoir méditer avec lui.
5

El uso equívoco de los términos "formal" y "material" en las Meditaciones metafísicas

Caravedo Durán, Joan 13 May 2014 (has links)
La noción de idea en Descartes es uno de los términos trasversales en el conjunto de su obra y muestra una nueva consideración al respecto de lo anímico y de su relación con lo material. Procurar negar el rol fundamental de las ideas cartesianas nos dejaría sin la capacidad de comprender una de las obras más importantes de este autor, en la cual nos centraremos en el presente trabajo: Meditaciones metafísicas. La noción de “idea”, que recibe un tratamiento detallado recién en la tercera de las meditaciones, nos sirve como elemento fundamental para la comprensión del conjunto del texto, al punto que incluso las dudas escépticas de la primera meditación pueden ser vistas como el despliegue de un camino hacia el descubrimiento del terreno del cogito, región de una clase de los entes puramente espirituales, que son las ideas
6

O conhecimento imperfeito : ceticismo, alternativas relevantes e finitude

Williges, Flavio January 2009 (has links)
A presente tese doutoral consiste, essencialmente, no desenvolvimento de três tarefas: a) exposição do problema filosófico do conhecimento do mundo exterior a partir da Primeira Meditação de Descartes; b) caracterização das respostas ao ceticismo filosófico acerca do mundo exterior elaboradas a partir da noção de alternativas relevantes por Austin, Dretske, Cohen e Lewis; c) avaliação do grau de sucesso das estratégias de resposta ao ceticismo baseadas na noção de relevância. A tese principal que procurei defender, mediante o desenvolvimento das tarefas elencadas, foi que a abordagem do conhecimento a partir das alternativas relevantes é válida para pensar as condições que nos legitimam a dizer que sabemos (asserção justificada), embora, do ponto das condições do conhecimento, seja ainda possível que não saibamos aquilo mesmo que dizemos saber. Em última análise, isso significa que o ceticismo filosófico acerca do conhecimento do mundo exterior pode ser uma possibilidade para seres finitos como nós somos.
7

O conhecimento imperfeito : ceticismo, alternativas relevantes e finitude

Williges, Flavio January 2009 (has links)
A presente tese doutoral consiste, essencialmente, no desenvolvimento de três tarefas: a) exposição do problema filosófico do conhecimento do mundo exterior a partir da Primeira Meditação de Descartes; b) caracterização das respostas ao ceticismo filosófico acerca do mundo exterior elaboradas a partir da noção de alternativas relevantes por Austin, Dretske, Cohen e Lewis; c) avaliação do grau de sucesso das estratégias de resposta ao ceticismo baseadas na noção de relevância. A tese principal que procurei defender, mediante o desenvolvimento das tarefas elencadas, foi que a abordagem do conhecimento a partir das alternativas relevantes é válida para pensar as condições que nos legitimam a dizer que sabemos (asserção justificada), embora, do ponto das condições do conhecimento, seja ainda possível que não saibamos aquilo mesmo que dizemos saber. Em última análise, isso significa que o ceticismo filosófico acerca do conhecimento do mundo exterior pode ser uma possibilidade para seres finitos como nós somos.
8

O conhecimento imperfeito : ceticismo, alternativas relevantes e finitude

Williges, Flavio January 2009 (has links)
A presente tese doutoral consiste, essencialmente, no desenvolvimento de três tarefas: a) exposição do problema filosófico do conhecimento do mundo exterior a partir da Primeira Meditação de Descartes; b) caracterização das respostas ao ceticismo filosófico acerca do mundo exterior elaboradas a partir da noção de alternativas relevantes por Austin, Dretske, Cohen e Lewis; c) avaliação do grau de sucesso das estratégias de resposta ao ceticismo baseadas na noção de relevância. A tese principal que procurei defender, mediante o desenvolvimento das tarefas elencadas, foi que a abordagem do conhecimento a partir das alternativas relevantes é válida para pensar as condições que nos legitimam a dizer que sabemos (asserção justificada), embora, do ponto das condições do conhecimento, seja ainda possível que não saibamos aquilo mesmo que dizemos saber. Em última análise, isso significa que o ceticismo filosófico acerca do conhecimento do mundo exterior pode ser uma possibilidade para seres finitos como nós somos.
9

The other before us? : a Deleuzean critique of phenomenological intersubjectivity

Hugo, Johan 12 1900 (has links)
Thesis (MPhil (Philosophy))--University of Stellenbosch, 2005. / This study seeks to give a philosophical account of, and justification for the intuition that subjectivity is not a stable “Archimedean point” on the basis of which an intersubjective relation can be founded, but is instead profoundly affected by each different “Other” with which it enters into a relation. As a preliminary to the positive philosophical account of how this might work in Part II of the thesis, there is an attempt to critique certain of the classical accounts of intersubjectivity found in phenomenology, in order to show that these positions cannot give a satisfactory account of the type of intersubjective relation which gives rise to the abovementioned intuition. The thesis therefore starts off by examining the account of intersubjectivity in Husserl’s Cartesian Meditations (especially the Fifth Meditation). Husserl is there engaged in an attempt to overcome the charge of solipsism that might be levelled at phenomenology, since phenomenology is concerned with experience as, by definition, the experience of the subject. We try to show that Husserl cannot give a satisfactory account of the Other because he tries to derive it from the Subject, and hence reduces the Other to the Same. We then turn to two other phenomenological thinkers – Merleau-Ponty and Levinas, both of whom are themselves critical of Husserl – to examine whether they provide a better account, but conclude that (although each represents a certain advance over Husserl), neither are able to provide a decisively better account, since each is still too caught up in phenomenology and its focus on consciousness. In Part II of the thesis, we then turn to a non- (or even anti-) phenomenological thinker, namely Gilles Deleuze, to try and find an alternative theory that would be able to provide the account we seek. Our contention is that Deleuze, by seeking to give an account of the constitution of the subject itself, simultaneously provides an account of the constitution of the Other as arising at the same time as the Subject. Crucial to this account is the inversion of priority between the poles of a relation and the relation itself. Deleuze argues that a relation is “external to its terms”, and precedes these terms. Hence, by returning to a level which precedes consciousness and the order of knowledge – that is, by returning to the level of the virtual multiplicities and singular events that underlie and precede the actualization of these events and multiplicities in distinct subjects and objects – we argue that Deleuze shows that, contra phenomenology, there is in fact no primordial separation between subject and Other. The contention is therefore that the problem of intersubjectivity as posed by phenomenology is a false one that can be eluded by means of Deleuze’s philosophy. This philosophy is not based on the subject, but instead shows the subject to be the product of an underlying network of relations. Finally, we turn to Deleuze’s appropriation of Nietzsche to trace out the transformation of “ethics” that result from adopting a position like that of Deleuze.
10

Visão em Deus : uma análise da Recherche de la Verité III, II, 1-6

Pricladnitzky, Pedro Falcão January 2011 (has links)
Resumo não disponível

Page generated in 0.1248 seconds