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L’abbaye de Saint-Sulpice et ses dépendances : l’expérience monastique au féminin dans le diocèse de Rennes, XIIe – XVIIIe siècles / The Abbey of Saint-Sulpice and its dependencies : female monastic experience in the diocese of Rennes, 12th – 18th centuries

Trébaol, Céline 10 January 2017 (has links)
Fondée au début du XIIe siècle au coeur d’un mouvement de renouveau monastique, l’abbaye bénédictine de Saint-Sulpice s’est rapidement développée grâce à l’impulsion de son fondateur, l’ermite Raoul de la Futaie, et du soutien du pouvoir ducal, la plaçant ainsi à la tête d’un réseau d’une quarantaine de dépendances au terme du XIIIe siècle. Les principes rigoristes de l’érémitisme se retrouvent dans l’architecture de l’église abbatiale dont les espaces cloisonnés et la décoration sobre et dépouillée favorisent une vie conventuelle basée sur la contemplation. Conçue comme un ordre double lors de sa fondation, l’insubordination des frères profès conduit à leur disparition au cours du XVIe siècle, faisant de Saint-Sulpice une abbaye exclusivement féminine. Guidées par leur vocation, les moniales s’engagent dans une vie de contraintes dont la stricte clôture, décrétée lors du concile de Trente, en marque le point d’orgue. La règle de saint Benoit et les Constitutions du monastère imposent un cadre restrictif à la religieuse qui ne peut trouver le bonheur que dans la soumission et l’oubli de soi. A la tête de sa communauté, l’abbesse exerce ses pouvoirs avec discretio et guide ses filles sur le chemin de la perfection. Les prieurés, éloignés de l’autorité de la maison-mère, acquièrent progressivement une indépendance qui est accentuée par l’instauration d’un noviciat dès la seconde moitié du XVIIe siècle. L’essor des prieurés conventuels face au déclin des dépendances rurales mène à une dichotomie du réseau à la fin du XVIIIe siècle. / Founded in the early years of 12th Century in the heart of a movement of monastic renewal, the Benedictine abbey of Saint-Sulpice quickly grew thanks to its founder, hermit Raoul de la Futaie, and to the support of the Dukes of Brittany, thus getting at the head of about forty priories by the 13th Century. The rigorist principles of hermits can be recognized in the abbey church’s architecture, whose partitioned spaces and bare, sober decoration favour a conventual life based on meditation. Originally meant as a double monastery, the insubordination of the male friars lead to their disappearance in the course of the 16th Century, leaving Saint-Sulpice as a fully women’s abbey. Led by their vocation, the nuns enter into a restricting life whose landmark is their strict enclosure. The Rule of Saint Benedict and the monastery’s Constitutions bind the nuns’ environment so that they can only find comfort in their own submissiveness and self-abnegation. At the helm of her community, the abbess rules with discretio and guides the girls towards perfection. The priories, remote from the mother house, progressively gain some independence, increased still by the reception of their own novices from the 17th Century on. The rise of conventual priories against the decline of rural houses leads to a dichotomy of this network by the end of the 18th Century.
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Les prêtres de Saint-Sulpice face à Vatican II et à la sécularisation du Québec (1960-1970)

Toledo Ortiz, Francisco January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le roi, l'église et la guerre : la prédication à Montréal au moment de la conquête (1750-1766)

Décary, Simon January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Le roi, l'église et la guerre : la prédication à Montréal au moment de la conquête (1750-1766)

Décary, Simon January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Les troubles de 1860-1880 à Oka : choc de deux cultures

Pariseau, Claude L. January 1975 (has links)
No description available.
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Les troubles de 1860-1880 à Oka : choc de deux cultures

Pariseau, Claude L. January 1975 (has links)
No description available.
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Widor och gregorianiken : En diskussion kring Widors två sista orgelsymfonier

Lindblom, Patrick January 2022 (has links)
I mitten av 1800-talet inleddes i Frankrike en renässans för den tidiga kyrkomusiken i allmänhet och den gregorianska sången i synnerhet. Charles-Marie Widor var en av dem som tog intryck av denna rörelse och genom den utvecklade och delvis omvärderade sin syn på musik i kyrkan. Han baserade sina sista två orgelsymfonier, Symphonie Gothique och Symphonie Romane på kyrkans mest centrala teman – Kristi födelse och uppståndelse. Mitt syfte med denna uppsats och att studera dessa orgelsymfonier har varit att fördjupa mig i hur gregorianiken påverkade Widors kompositionsstil och hur konsertant musik utanför gudstjänstens liturgi kan bära ett kyrkligt budskap baserat i dess valda teman. Jag har velat dokumentera min process att som organist och kyrkomusiker studera in och komma fram till en medveten konstnärlig gestaltning av symfonierna. Widor blev med åren övertygad om att kyrkomusik måste vara baserad på kyrkans egna teman för att kunna bli sakral konst. Han använde sig också av en palett av former och kompositionstekniska grepp för att variera musiken i symfoniska dimensioner. Dessa två orgelsymfonier är Widors bidrag till den rörelse som inte bara återupprättade utan gav den gregorianska sången högsta status i den romersk-katolska kyrkan vid sekelskiftet 1900.
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La Bibliothèque du Collège pontifical canadien à Rome (1888-1974) : une bibliothèque québécoise outre-mer

Bouchard, Éric 07 1900 (has links)
Ce mémoire cherche à dresser l’historique de la bibliothèque du Collège pontifical canadien de 1888 à 1974, soit au moment où le Collège occupait le bâtiment sis au 117 rue des Quatre-Fontaines à Rome. Par cette recherche, nous tenterons de déterminer si cette bibliothèque, de par son origine, son intégration dans le monde catholique, son administration, son fonctionnement, sa fréquentation, et la nature de sa collection, peut être considérée comme une bibliothèque québécoise d’outre-mer, c’est-à-dire une bibliothèque faisant partie intégrante du réseau des bibliothèques canadiennes-françaises de l’époque. De plus, nous verrons dans quelle mesure cette bibliothèque a été l’objet de relations franco-québécoises à l’étranger. / This thesis seeks to establish the history of the library of the Pontifical Canadian College from 1888 to 1974, when the College occupied the building at via Quatro Fontane 117 in Rome. Through this research, we will attempt to determine whether this library, in its origin, its integration in the Catholic world, its directors, its operation, attendance, and the nature of his collection can be viewed as an oversea library of Quebec, that is to say a library an integral part of the French-Canadians libraries at this time. The same way we try to prove if that library was the subject of relations between France and Quebec abroad.
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La Bibliothèque du Collège pontifical canadien à Rome (1888-1974) : une bibliothèque québécoise outre-mer

Bouchard, Éric 07 1900 (has links)
Ce mémoire cherche à dresser l’historique de la bibliothèque du Collège pontifical canadien de 1888 à 1974, soit au moment où le Collège occupait le bâtiment sis au 117 rue des Quatre-Fontaines à Rome. Par cette recherche, nous tenterons de déterminer si cette bibliothèque, de par son origine, son intégration dans le monde catholique, son administration, son fonctionnement, sa fréquentation, et la nature de sa collection, peut être considérée comme une bibliothèque québécoise d’outre-mer, c’est-à-dire une bibliothèque faisant partie intégrante du réseau des bibliothèques canadiennes-françaises de l’époque. De plus, nous verrons dans quelle mesure cette bibliothèque a été l’objet de relations franco-québécoises à l’étranger. / This thesis seeks to establish the history of the library of the Pontifical Canadian College from 1888 to 1974, when the College occupied the building at via Quatro Fontane 117 in Rome. Through this research, we will attempt to determine whether this library, in its origin, its integration in the Catholic world, its directors, its operation, attendance, and the nature of his collection can be viewed as an oversea library of Quebec, that is to say a library an integral part of the French-Canadians libraries at this time. The same way we try to prove if that library was the subject of relations between France and Quebec abroad.
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Giovanni Niccolo' Servandoni (1695-1766) : architetto / Giovanni Niccolo' Servandoni (1695-1766) : architecte / The architect Giovanni Niccolo' Servandoni (1695-1766)

Guidoboni, Francesco 07 July 2014 (has links)
Il s’agit d’un projet de thèse doctorale en cotutelle – entre la «Sapienza» Università de Roma et l’Université de Paris I «Panthéon- Sorbonne » – visant à étudier la vie et l’oeuvre architecturale de Jean-Nicolas Servandoni, une figure d’artiste parmi les plus emblématiques et moins connues du XVIIIe siècle. Peintre, architecte et décorateur, Servandoni est connu pour avoir remporté le concours pour le projet de la façade principale de l’église Saint-Sulpice de Paris, et pour le grand nombre des décors réalisés d’abord pour l’Opéra, puis pour la Salle des Machines des Tuileries. Au cours de sa vie il eut la chance de travailler auprès des souverains les plus importants d’Europe, de Paris à Londres, de Madrid à Lisbonne, de Bruxelles à Vienne et encore à Dresde et Stuttgart. Ce travail de recherche s’est fixé pour objectif d’étudier les périodes les moins connues de sa vie, comme sa formation d’abord à Florence puis à Rome, ses premières missions en Angleterre avant son arrivée à Paris en 1724, ses voyages à travers l’Europe, son travail pour les plus importantes familles royales européennes, et les autres commissions d’architecture en France, au-delà du chantier de Saint-Sulpice. La difficulté majeure a été d’identifier les principales sources bibliographiques et documentaires à partir desquelles on a établi des renseignements biographiques qui ont été transmis à travers le temps jusqu’à aujourd’hui. Il était donc nécessaire de réaliser une opération de «nettoyage» de tous les renseignements faux ou inexacts «incrustés» dans les siècles sur la vie de Servandoni. Grâce à ce «nettoyage», il a été possible d’identifier les sources «premières», sur lesquelles reconstruire la biographie de notre architecte. La recherche dans les archives de plusieurs pays a mené à d’importantes découvertes, tel que la présence de Servandoni à Rome entre 1719 et 1720. Ici il résidait dans le palais du Prince Guido Vaini, un homme «entièrement attaché à la France» et lié au milieu du théâtre d’Alibert et Capranica, où Servandoni aurait évidemment pu se former comme scénographe. Tout cela a permis de formuler des hypothèses sur ses contacts dans la capitale de la papauté, comme son lien avec l’atelier de Benedeto Luti dans le Palais de Florence, où travaillaient, parmi d’autres, Jean Paul Pannini et William Kent. Cette étude a donc mis en évidence sa relation étroite et continue avec les britanniques tout au long de sa vie – à commencer par son séjour romain – de sorte qu’on peut relire son oeuvre architecturale avec une nouvelle clé, davantage liée au milieu palladien anglais. En outre, la lecture des documents a permis d’identifier deux enjeux fondamentaux, qui expliquent en même temps la réussite et l’échec de sa carrière : la question de la nationalité de Servandoni et la légitimation de son rôle d’architecte. Servandoni, en effet, par sa naissance italienne – pourtant d’un père d’origine lyonnaise – dès son arrivée en France fut toujours apprécié comme peintre et décorateur «de Florence». Pour sa qualité d’«ultramontain», il fut choisi par le curé Languet de Gergy, comme architecte de la fabrique de Saint-Sulpice, véritable symbole et point de référence de l’Église de Rome à Paris, contre les «novateurs» jansénistes. [...] / This research work - a phd thesis in co-supervision between the "Sapienza" University of Rome and the University of Paris 1 "Panthéon-Sorbonne" - was born with the aim of shedding light on the life and work of the architect Giovanni Niccolo Servandoni, one of the most emblematic figures and less-known artist of the eighteenth century.At the same time he was painter, architect and decorator and his name was famous thanks to a large number of sets made for the Opéra and to the design of the façade of the church of Saint-Sulpice in Paris. During his life, Servandoni had the opportunity to travel throughout Europe, where he worked for the major courts of that time, from Paris to London, from Lisbon to Brussels, Vienna, Dresden and Stuttgart.The research work has the objective to investigating especially the lesser-known aspects of the architect's life, like as the period of his training in Florence and Rome, the years where he lived in England before his arrival in Paris in 1724, his travels in Europe and his architectural work as well as the site of Saint-Sulpice, both in France and abroad.Thanks to this research, Servandoni's complete work- so vaguely interpreted as an anticipation of the "goût à la grecque" and the revival of the classicism of the late of eighteenth century - is reinterpreted as the result of his training in Italy and England. It is indebted, in fact, that as well the classicism that characterized the Florentine architecture of that period as his close contact with the English Palladian circle and with the Wren, Vanbrugh and Hawksmoor's works, exercised a great influence on him. / Questo lavoro di ricerca - una tesi di dottorato in co-tutela tra la « Sapienza » Università di Roma e l’Université de Paris I «Panthéon- Sorbonne» - è nato con l’obiettivo di far luce sulla vita e l’opera dell’architetto Giovanni Niccolò Servandoni, una tra le figure d’artista più emblamatiche e meno conosciute del XVIII secolo. Allo stesso tempo pittore, architetto e decoratore, il suo nome è rimasto famoso per il gran numero di scenografie realizzate per l’Opéra e per il progetto della facciata della chiesa parigina di Saint-Sulpice. Durante il corso della sua vita, Servandoni ebbe l’opportunità di viaggiare in tutta Europa, dove lavorò presso le più importani Corti dell’epoca, da Parigi a Londra, da Lisbona a Bruxelles, Vienna, Dresda e Stoccarda. Una delle problematiche maggiori che il lavoro di ricerca ha manifestato, è stata la verifica della correttezza delle notizie riportate dalle fonti a stampa, sia antiche che moderne. Le biografie esistenti dell’architetto riportavano infatti una serie di notizie inesatte o completamente infondate, che si erano «incrostate» nei secoli sulla sua figura. Si è resa quindi necessaria un’operazione di «pulizia» delle fonti che ha permesso di risalire ad alcune notizie certe e verificabili nei documeni d’archivio, che sono state la base su cui ricostruire la biografia dell’architeto. Il lavoro di ricerca si è posto l’obieivo di indagare in paricolar modo gli aspei meno noi della vita dell’architeto, come il periodo della sua formazione a Firenze e a Roma, i suoi anni di soggiorno in Inghilterra prima del suo arrivo a Parigi nel 1724, i viaggi in Europa e le commissioni di architettura oltre al cantiere di Saint-Sulpice, sia in Francia che all’estero. La ricerca d’archivio ha condotto a scoperte innovative, come la presenza di Servandoni a Roma tra il 1719 e il 1720, all’interno del palazzo del principe Vaini - uomo «entièrement attaché à la France» e legato all’ambiente dei teatri Capranica e d’Alibert - che ha permesso di formulare alcune ipotesi sulla sua vita e i suoi contatti nella cità pontificia. E ancora, lo studio ha messo in luce il forte rapporto che Servandoni ebbe con l’ambiente culturale inglese durante il corso di tutta la sua vita - già a partire dal suo soggiorno romano - tanto da poter rileggere la sua opera architettonica in una chiave nuova, più legata alla corrente palladiana che all’architettura romana o francese di quegli anni. L’interpretazione dei documenti ha portato inoltre all’individuazione di due tematiche fondamentali che, spiegano allo stesso tempo la riuscita e la crisi della carriera di Servandoni : il problema della sua nazionalità e quello della legitimazione del suo ruolo di architetto. [...]

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