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Entre similitudes et différences : le sexe et le genre en question

Mougeot, Brigitte 08 1900 (has links)
Les différences hommes/femmes sont un présupposé que nous considérons souvent comme une évidence. Les similitudes, en revanche, sont présentées comme des particularités propres à certains individus. Elles ne sont souvent pas perçues comme une caractéristique humaine intrinsèque. Il existe cependant un rapport entre similitude et différence. Ce qui sépare fondamentalement les similitudes des différences c'est le point de vue de l'observateur : celui qui décide ce à quoi il va accorder de l'importance, non pas en fonction de critères scientifiques et objectifs, mais plutôt en fonction de croyances et de présupposés. Les scientifiques, eux-mêmes, ne sont pas à l'abri de ce biais, et ce, en dépit du fait que les différences sont scientifiquement observables et mesurables. L'importance qu'on leur accorde n'est pas plus réelle que les similitudes auxquelles on accorde, en revanche, beaucoup moins de valeur, d'attention et que l'on étudie beaucoup moins, mais qui seraient néanmoins mesurables. / Gender differences are a presupposition that we often take for granted. Similarities, however, are presented as the particular traits of individuals. Often they are not perceived as an inherent human characteristic. But there is a relationship between similarity and difference. What fundamentally separates the similarities from the differences is the viewpoint of the observer: The importance accorded to the one or the other is not based on scientific and objectives criteria, but rather the observer's beliefs and assumptions. Scientists themselves are not immune to this bias, even though the differences are scientifically observable and measurable. The significance of differences is no more real than that of similarities which, nonetheless, are granted much less value, attention, and are less often studied, although they are measurable.
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L’évolution de la motivation pour les mathématiques au second cycle du secondaire selon la séquence scolaire et le sexe

Leblond, Anne 01 1900 (has links)
De nombreuses études sur l’évolution de la motivation pour les mathématiques sont disponibles et il existe également plusieurs recherches qui se sont penchées sur la question de la différence motivationnelle entre les filles et les garçons. Cependant, aucune étude n’a tenu compte de la séquence scolaire des élèves en mathématiques pour comprendre le changement motivationnel vécu pendant le second cycle du secondaire, alors que le classement en différentes séquences est subi par tous au secondaire au Québec. Le but principal de cette étude est de documenter l’évolution de la motivation pour les mathématiques des élèves du second cycle du secondaire en considérant leur séquence de formation scolaire et leur sexe. Les élèves ont été classés dans deux séquences, soit celle des mathématiques de niveau de base (416-514) et une autre de niveau de mathématiques avancé (436-536). Trois mille quatre cent quarante élèves (1864 filles et 1576 garçons) provenant de 30 écoles secondaires publiques francophones de la grande région de Montréal ont répondu à cinq reprises à un questionnaire à items auto-révélés portant sur les variables motivationnelles suivantes : le sentiment de compétence, l’anxiété de performance, la perception de l’utilité des mathématiques, l’intérêt pour les mathématiques et les buts d’accomplissement. Ces élèves étaient inscrits en 3e année du secondaire à la première année de l’étude. Ils ont ensuite été suivis en 4e et 5e année du secondaire. Les résultats des analyses à niveaux multiples indiquent que la motivation scolaire des élèves est généralement en baisse au second cycle du secondaire. Cependant, cette diminution est particulièrement criante pour les élèves inscrits dans les séquences de mathématiques avancées. En somme, les résultats indiquent que les élèves inscrits dans les séquences avancées montrent des diminutions importantes de leur sentiment de compétence au second cycle du secondaire. Leur anxiété de performance est en hausse à la fin du secondaire et l’intérêt et la perception de l’utilité des mathématiques chutent pour l’ensemble des élèves. Les buts de maîtrise-approche sont également en baisse pour tous et les élèves des séquences de base maintiennent généralement des niveaux plus faibles. Une diminution des buts de performance-approche est aussi retrouvée, mais cette dernière n’atteint que les élèves dans les séquences de formation avancées. Des hausses importantes des buts d’évitement du travail sont retrouvées pour les élèves des séquences de mathématiques avancées à la fin du secondaire. Ainsi, les élèves des séquences de mathématiques avancées enregistrent la plus forte baisse motivationnelle pendant le second cycle du secondaire bien qu’ils obtiennent généralement des scores supérieurs aux élèves des séquences de base. Ces derniers maintiennent généralement leur niveau motivationnel. La différence motivationnelle entre les filles et les garçons ne sont pas souvent significatives, malgré le fait que les filles maintiennent généralement un niveau motivationnel inférieur à celui des garçons, et ce, par rapport à leur séquence de formation respective. En somme, les résultats de la présente étude indiquent que la diminution de la motivation au second cycle du secondaire pour les mathématiques touche principalement les élèves des séquences avancées. Il paraît ainsi pertinent de considérer la séquence scolaire dans les études sur l’évolution de la motivation, du moins en mathématiques. Il semble particulièrement important d’ajuster les interventions pédagogiques proposées aux élèves des séquences avancées afin de faciliter leur transition en mathématiques de quatrième secondaire. / Researchers have recently been interested in the evolution of student motivation in mathematics during the high school years. Many findings have underscored gender differences in student motivation. Research has yet to consider motivational differences according to skill level in mathematics during the final years of high school. Because performance-based streaming in mathematics is a conventional educational practice in its system, the Canadian province of Quebec offers an excellent opportunity to study such student differences over time, according to gender. Thus, the main objective of this study is to document the evolution of student motivation in high school mathematics while attending to mathematics skill level and gender. Based on existing performance-based educational policy, participants (1864 girls and 1576 boys) were already grouped in two skill levels of mathematics courses: advanced and basic. They were enrolled in one of 30 French-language public high schools in the Montreal area. Between ninth and eleventh grade (mean ages 14.60 and 17.84, respectively), students completed a self-report questionnaire at five different time points. The questionnaire addressed the following five motivational variables at all five time points: competence beliefs, performance anxiety, perception of mathematics utility, interest for mathematics, and accomplishment goals (mastery-based, performance-based, and avoidance-based approach goals). Grade 11 represents the final year of high school in Quebec. Hierarchical linear modeling analyses were employed to achieve the objective of this study. The results indicate that student motivation generally decreased by the end of high school. However, this decrement was particularly remarkable for students at the advanced mathematics skill level. More specifically, students in the advanced level showed a steeper decline in self-perceived competence, expressed interest, and perceptions of usefulness of mathematics at the end of high school. Their performance anxiety also increased during the same developmental period. Although the results revealed decrements in mastery-based approach goals for all students, those at the basic skill classification maintained generally lower levels of such goal-directed behaviors at the end of high school. Conversely, only students at the advanced skill level reported decreased performance-based approach goals. They also showed important increases in avoidance-based goals. Though students registered in the basic mathematics skill stream consistently reported lower motivation scores, their counterparts at advanced skill levels reported comparatively more important motivational decrements by the end of high school. Therefore, the results of this study suggest that decreases in mathematics motivation by the end of high school particularly affect students at more advanced mathematics levels. As for gender, motivational differences between girls and boys were not often found significant. This finding is above and beyond the fact that girls consistently maintained lower motivation scores than boys registered at the same mathematics skill level. This finding highlights the importance of considering possible gender differences when facing the challenges of the high school math curriculum, regardless of skill level. The most important findings suggest that pedagogical interventions be prospectively adjusted in tenth grade in order to circumvent decreases in student motivation at advanced levels by the end of high school.
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Nation, miscegenation, and the myth of the Mulatta/o Monster 1859-1886

Murphy, Jessica Alexandra Maeve January 2009 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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L'espérance de vie selon différents degrés d'incapacité et de désavantage : nouvelles estimations pour le Québec et les régions canadiennes en 2001

Garneau, Karine January 2009 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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An fMRI study of emotional episodic memory in schizophrenia : effects of diagnosis and sex

Lakis, Nadia 04 1900 (has links)
La schizophrénie est une psychopathologie largement hétérogène caractérisée entre autres par d’importantes défaillances dans le fonctionnement cognitif et émotionnel. En effet, par rapport à la population générale, forte proportion de ces individus présentent une mémoire déficitaire pour les événements émotionnels. À ce jour, le peu d’études qui se sont penchées sur la mémoire émotionnelle épisodique dans la schizophrénie, ont uniquement mis l’emphase sur l'effet de la valence des stimuli (c’est-à-dire le caractère agréable ou désagréable du stimulus). Toutefois, aucune n’a investigué spécifiquement l’intensité de la réaction aux stimuli (c’est-à-dire une faible par rapport à une forte réaction) malgré quantité de preuves faisant montre, dans la population générale, de différents processus de mémoire émotionnelle pour des stimuli suscitant une forte réaction par rapport à ceux évoquant une faible réponse. Ce manque est d’autant plus flagrant étant donné le nombre d’études ayant rapporté un traitement et un encodage atypiques des émotions spécifiquement au niveau de l’intensité de la réponse subjective chez des patients atteints de schizophrénie. Autre fait important, il est étonnant de constater l’absence de recherches sur les différences de sexe dans la mémoire émotionnelle étant donné l’ensemble des divergences entre hommes et femmes atteints de schizophrénie au niveau de la prévalence, de l’âge de diagnostic, de la manifestation clinique, de l’évolution de la maladie, de la réponse au traitement et des structures cérébrales. Pour pallier à ces lacunes, ce mémoire a évalué : (1) l’effet de la valence des stimuli et de l'intensité de la réaction émotionnelle au niveau des fonctions cérébrales correspondant à la mémoire émotionnelle chez des patients atteints de schizophrénie comparativement à des participants sains; et (2) les possibles différences de sexe dans les processus cérébraux impliqués dans la mémoire émotionnelle chez des patients atteints de schizophrénie par rapport à des volontaires sains. Ainsi, la première étude a comparé les activations cérébrales de patients atteints de schizophrénie par rapport à des participants sains au cours d’une tâche de mémoire émotionnelle dont les stimuli variaient à la fois au niveau de la valence et de l'intensité de la réaction subjective. 37 patients atteints de schizophrénie ainsi que 37 participants en bonne santé ont effectué cette tâche de mémoire émotionnelle lors d’une session d’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf). Pour toutes les conditions étudiées (images négatives, positives, de faible et de forte intensité), le groupe atteint de schizophrénie a performé significativement moins bien que les volontaires sains. Comparativement aux sujets sains, ils ont montré moins d’activations cérébrales dans les régions limbiques et préfrontales lors de la reconnaissance des images négatives, mais ont présenté un patron d'activations similaire à celui des participants sains lors de la reconnaissance des images chargées positivement (activations observées dans le cervelet, le cortex temporal et préfrontal). Enfin, indépendamment de la valence des stimuli, les deux groupes ont démontré une augmentation des activations cérébrales pour les images de forte intensité par rapport à celles de plus faible intensité. La seconde étude a quant à elle exploré les différences de sexe potentielles au niveau des activations cérébrales associées à la mémoire émotionnelle dans la schizophrénie et dans la population en général. Nous avons comparé 41 patients atteints de schizophrénie (20 femmes) à 41 participants en bonne santé (19 femmes) alors qu’ils effectuaient la même tâche de mémoire émotionnelle mentionnée plus haut. Or, pour cette étude, nous nous sommes concentrés sur les conditions suivantes : la reconnaissance d’images positives, négatives et neutres. Nous n'avons pas observé de différences entre les hommes et les femmes au niveau des performances à la tâche de mémoire pour aucune des conditions. En ce qui a trait aux données de neuroimagerie, comparativement aux femmes en bonne santé, celles atteintes de schizophrénie ont montré une diminution des activations cérébrales dans les régions corticales du système limbique (p. ex. cortex cingulaire moyen) et dans les régions sous-corticales (p. ex. amygdale) lors de la reconnaissance d'images négatives. Pour ce qui est de la condition positive, elles ont présenté, comparativement au groupe de femmes saines, des diminutions d’activations spécifiquement dans le cervelet ainsi que dans le gyrus frontal inférieur et moyen. Les hommes atteints de schizophrénie, eux, ont montré une augmentation d’activations par rapport aux hommes sains dans le gyrus préfrontal médian lors de la reconnaissance des stimuli négatifs ; ainsi que dans les régions pariétales, temporales et limbiques lors de la reconnaissance des stimuli positifs. Dans un autre ordre d’idées, notre analyse corrélationnelle a mis en évidence, chez les femmes, un lien significatif entre l’activité cérébrale et les symptômes au cours de la mémoire des stimuli positifs, alors que chez les hommes atteints schizophrénie, ce lien a été observé au cours de la mémoire des stimuli négatifs. Bref, l’ensemble de nos résultats suggère, chez les patients atteints de schizophrénie, un fonctionnement cérébral atypique spécifiquement lors de la reconnaissance d’images négatives, mais un fonctionnement intact lors de la reconnaissance de stimuli positifs. De plus, nous avons mis en évidence la présence de différences de sexe dans les activations cérébrales associées à la mémoire épisodique émotionnelle soulignant ainsi l'importance d’étudier séparément les hommes et les femmes atteints de schizophrénie dans le cadre de recherches sur les plans cognitif et émotionnel. / Schizophrenia is characterized by prominent disturbances in cognitive and emotional functioning. For instance, individuals with schizophrenia are often impaired in their memory for emotional events compared to healthy subjects. To date, the limited research on emotional episodic memory in schizophrenia has focused on the effect of valence of affective stimuli (e.g., pleasant vs. unpleasant), while overall ignoring the effect of arousal (e.g., low vs. high) despite evidence of distinct emotional memory processes for high versus low arousing stimuli in the general population, as well as reports of abnormal processing of arousing stimuli in schizophrenia. What’s more, there has yet to be examination of sex differences in the behavioral and neural correlates of emotional memory in this complex psychiatric disorder, which is astonishing considering the substantial evidence of sex differences in almost all features of schizophrenia from prevalence, mean age at onset, clinical presentation, course of illness, response to treatment and brain structure. Accordingly, this thesis examined: (1) the effect of both affective valence and arousal intensity on the brain activations associated with emotional memory in patients with schizophrenia and in healthy control participants and (2) potential sex differences in brain function during emotional memory. The first study aimed to compare cerebral activations in patients with schizophrenia and healthy controls during memory retrieval of emotional images that varied in both valence and arousal. Using fMRI, 37 patients with schizophrenia (% male = 51; mean age =32.46) were compared to 37 healthy participants (% male = 51; mean age =31.81) while performing an emotional memory task. patients with schizophrenia performed worse than healthy controls in all experimental conditions. They showed less cerebral activations in limbic and prefrontal regions than controls during retrieval of negatively valenced stimuli, but had a similar pattern of brain activations to controls during retrieval of positively valenced stimuli (particularly in the high arousal condition) in the cerebellum, temporal and prefrontal cortex. Both groups demonstrated increased brain activations in the high relative to low arousing conditions. The second study explored potential sex differences in the brain activations associated with the recognition of emotional images in schizophrenia and healthy controls. 41 patients with schizophrenia (20 women) were compared to 41 healthy participants (19 women) while performing a yes/no recognition paradigm with positive, negative and neutral images in an fMRI scan. We did not observe sex differences in performance. Compared to healthy women, women with schizophrenia showed a decrease in brain activations in cortical (e.g. middle cingulate) and subcortical limbic structures (e.g. amygdala) during recognition of negative images and decreased activations during the positive condition in the cerebellar vermis, middle and inferior frontal gyrus. Men with schizophrenia had increased activations compared to healthy men in the medial prefrontal gyrus during recognition of negative stimuli and a substantial increase in brain activity during the recognition of positive pictures in parietal, temporal and limbic structures. Correlation analysis revealed significant relationships between brain function and symptoms during positive emotional memory in women and during negative emotional memory primarily in men. Taken as a whole, our results suggest atypical brain function during retrieval of negative pictures, but intact functional circuitry of positive affect during episodic memory retrieval in patients with schizophrenia compared to healthy subjects. Moreover, our findings revealed sex differences in the brain activations associated with emotional recognition memory in patients with schizophrenia; which further highlights the importance of investigating men and women with schizophrenia separately in the context of emotional and cognitive tasks.
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L'évolution contemporaine des rapports sociaux de sexe en Iran : la représentation chez les femmes iraniennes de leurs rôles familiaux et sociaux / The evolution of contemporary gender relations in Iran : the representation among Iranian women in their family and social roles

Shariat, Niloofar 28 May 2014 (has links)
Notre ambition est de rendre compte de l’évolution contemporaine des rapports sociaux de sexe en Iran en nous appuyant sur l’étude de la représentation que les femmes iraniennes ont de leurs familiaux et sociaux pour préciser les différents types de conceptions du rôle de la femme et les différents aspirations que nous pouvons trouver aujourd’hui chez les femmes en Iran. Notre idée a été de croiser des entretiens qui rendent compte de la diversité des visions de la femme par les femmes iraniennes. Elles ne sont pas toutes d’accord entre elles, et leur discours et parfois décalé avec les données statistiques, les études historiques et économiques disponibles. Mais grâce à eux, nous pourrons dresser un portrait de la vision de la femme par les femmes iraniennes / Our ambition is to study : The evolution of contemporary gender relations in Iran based on the study of representation that Iranian women have of their family and social roles. It is a question of women belonging to different generations and different social backgrounds to specify different types of conceptions of the role of women and the different aspirations that we can find today among women in Iran. Our idea was to analyse the ideas of women that reflect the diversity of visions of women by Iranian women. They do not all agree with each other, and their speech is sometimes shifted with statistics, historical and economic studies available. But thanks to them , we can represent a picture of the point of view of women by Iranian women
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SyndicalismeS et travailleurs du " bas de l'échelle ". CGT et CGIL à l'épreuve des salariés de la propreté à Marseille (France) et Bologne (Italie)

Nizzoli, Cristina 06 December 2013 (has links) (PDF)
Dans les sociétés occidentales, le processus de désindustrialisation et l'essor des secteurs du tertiaire ont représenté un important banc d'essai pour les organisations syndicales. Cela a conduit nombre de chercheurs à voir dans cette période historique les éléments d'une crise irréparable du syndicalisme, supposé incapable de survivre à l'époque du capitalisme industriel. Toutefois, le syndicalisme continue d'exister et cela aussi dans des contextes de précarité. Le choix a été fait d'étudier le syndicalisme dans un secteur emblématique du point de vue de la complexité des rapports sociaux et des différentes formes de précarité, à savoir le secteur de la propreté. Du fait de la composition de sa main-d'œuvre (majoritairement féminine, immigrée et/ou ethnicisée) et de son mode d'organisation (externalisation et temps partiel imposé), cette branche d'activité représente un terrain fécond pour l'étude du syndicalisme dans un milieu caractérisé par un " cumul de précarités ". Par ce travail de recherche, nous avons voulu positionner la focale d'analyse du côté des " pratiques syndicales en train de se faire ". Par une telle démarche, nous avons tout particulièrement montré l'importance de la prise en compte, au-delà du rapport de domination mobilisé traditionnellement pour l'étude du syndicalisme - la relation capital/travail - d'autres formes de domination. En effet, on ne peut plus se dispenser de la prise en compte des dominations liées au statut d'immigré, à l'ethnie - et plus largement à l'ethnicisation des identités sociales - et aux rapports sociaux de sexe. La combinaison entre approche ethnographique et la comparaison internationale a permis de soumettre un objet de recherche construit sur les pratiques à l'épreuve de deux contextes sociétaux différents, démarche qui s'est révélée féconde pour le processus de monté en généralité.
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Étude longitudinale des liens prédictifs entre les traits de personnalité et les symptômes intériorisés à l'adolescence.

Gosselin, Marie-Joëlle 09 1900 (has links)
Cette étude longitudinale visait à vérifier si les traits de personnalité (selon le modèle en cinq facteurs, « Big Five ») au début de l’adolescence (12-13 ans) permettent de prédire les symptômes intériorisés deux ans plus tard (14-15 ans), en contrôlant pour le niveau initial de symptômes intériorisés ainsi que l’influence de plusieurs facteurs de risque connus. Les données employées proviennent d’une étude longitudinale prospective. L’échantillon compte 1036 adolescents provenant de huit écoles secondaires québécoises. Les adolescents ont répondu à un questionnaire autorévélé. Des modèles d’équations structurales ont d’abord démontré la pertinence de conceptualiser les symptômes intériorisés comme une variable latente. D’autres modèles ont démontré que certains traits de personnalité prédisent effectivement les symptômes intériorisés ultérieurs. Cependant, contrairement aux études effectuées auprès d’adultes, le rôle de la Stabilité émotionnelle et de l’Extraversion n’est pas significatif après que l’influence de facteurs de risque connus et du sexe ait été contrôlée. Ce sont plutôt le Contrôle et l’Amabilité qui sont significativement reliés aux symptômes intériorisés ultérieurs dans la présente étude. Les résultats soulignent également le rôle important des facteurs de risque liés aux relations avec les pairs. Finalement, des modèles d’équations structurales multi-groupes ont mis en évidence des différences sexuelles significatives dans les relations prédictives. Cette étude confirme que les traits de personnalité des adolescents peuvent jouer un rôle dans le développement des symptômes intériorisés, ce qui leur confère une pertinence théorique et clinique. / The goal of this longitudinal study was to determine if personality traits (according to the Big Five model) in early adolescence (12-13 years old) can predict internalizing symptoms two years later (14-15 years old), after controlling for the initial level of internalizing symptoms and the influence of various known risk factors. Data came from a prospective longitudinal study. The sample includes 1036 adolescents from eight high schools in the province of Quebec. Adolescents filled a self-reported questionnaire. Structural equation models first confirmed that internalizing symptoms can be conceptualized as a latent variable. Other models showed that some personality traits do predict subsequent internalizing symptoms. However, unlike adult studies, the role of Emotional stability and Extraversion is not significant after controlling for known risk factors and gender. In this study, it is rather Conscientiousness and Agreeableness which are significantly related to subsequent internalizing symptoms. Indeed, a low level of Conscientiousness and a high level of Agreeableness are significantly related to subsequent internalizing symptoms among adolescents. The results also confirmed the important role of peer relationships factors. Finally, multiple-group structural equation models showed significant gender-specific predictive relations. This study confirms that adolescents’ personality traits can play a role in the development of internalizing symptoms, which supports their relevance for both theory and clinical practice.
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Children's housework in single-mother and single-father families /

Hall, Leslie Duke. January 1900 (has links)
Thesis (Ph. D.)--Oregon State University, 1996. / Typescript (photocopy). Includes bibliographical references (leaves 105-111). Also available on the World Wide Web.
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Femmes et aire domestique, un mode de vie, modèles, valeurs et comportements

Laflamme, Josée January 1998 (has links) (PDF)
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