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L'esthétique grotesque chez Lydie Salvayre, Tim Burton et Terry Gilliam : dénonciation et échappatoire de la société contemporaine du simulacre / The grotesque aesthetic in the works of Lydie Salvayre, Tim Burton and Terry Gilliam : denunciation of the society of simulacrum

Deroche, Sophie 24 June 2013 (has links)
Les œuvres de l'écrivain française Lydie Salvayre et des cinéastes américains Tim Burton et Terry Gilliam présentent une même dénonciation de la société du simulacre à travers une esthétique grotesque. Ils contestent dans leurs œuvres la pratique de la novlangue, celle du politiquement correct et le mélange de la réalité avec la fiction. Le fonctionnement dialectique du grotesque et sa capacité à procurer un vertige étonnant lui permet de rendre visible ces contradictions. La modification de l'imaginaire par la société de consommation et du simulacre les préoccupent particulièrement, car les auteurs observent que la transformation des signes en simples signifiants, dont le postmodernisme illustre le fonctionnement, conduisent l'individu à avoir un rapport déformé à la réalité, à la conscience historique et au symbole. Le grotesque est cette esthétique qui leur permet de former des mélanges dans leurs œuvres en préservant l'identité des signifiés et de restaurer ainsi un rapport à l'Histoire et au symbole. Le grotesque est cette esthétique qui permet le mélange sans équivalence, car elle donne à voir les contraires et leur confère du sens. Les auteurs lient leurs œuvres grotesques au mythe, cette fiction particulière qui permet d'avoir un rapport instinctif à la connaissance par le biais d'images particulièrement fortes. Le grotesque, dans sa dimension anthropologique et ontologique, réhabilite en définitive des fictions qui échappent aux problématiques du simulacre. / The works of Lydie Salvayre, American movie directors Tim Burton and Terry Gilliam present a similar criticism of a society of simulacrum, by their use of the aesthetically grotesque. In their work, they question the use of newspeak, of the politically correct, and the mixing of reality and fiction. The dialectical working of the grotesque and its ability to produce an astonishing sense of vertigo enables it to bring out these contradictions. They are particularly concerned by the extent to which a society of consumption and simulacrum has modified the imaginary. These autors have observed that the transformation of signs into mere signifiers, something the workings of which are demonstrated in postmodernism, leads the individual to have a distorted relationship with reality, historical awareness and the symbol. The grotesque is that aesthetic form which allows them to make mixes in their work whilst preserving the meaning of the signified and which thereby allows them to restore a relationship to history and the symbol. The grotesque is that esthetic form which allows them to make mixes with no equivalent, since it shows opposites whilst conferring sense on them. The autors link their grotesque works to myth, that kind of fiction which enables us to have a instinctive relationship to knowledge by the means of particularly strong images. When all is said and done, the grotesque, in its anthropological and ontological dimension, reinstates a fiction which avoids the problems of simulacrum.
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La critique de la « société du Spectacle » à l’essai sur les scènes théâtrales de Berlin, Londres et Paris dans les années 2000 : spectacle dans le spectacle, la société spectaculaire et marchande au prisme du spectacle vivant / Critics of the “Society of the Spectacle” on trial on theater stages in Berlin, London and Paris in the 2000s : spectacle within the spectacle, the spectacular and mercantile society through the prism of live art

Chehilita, Émilie 16 October 2018 (has links)
Cette thèse envisage la critique de la « société du Spectacle » (concept forgé dans l’essai éponyme de Guy Debord) telle qu’elle procède dans des œuvres du théâtre expérimental et sur les scènes de la performance au cours des années 2000 à Berlin, Londres et Paris. Les pièces étudiées recyclent des références empruntées aux médias de masse, souvent assimilés à des machines à aliéner le public. Le corpus regroupe aussi bien des auteurs et des metteurs en scène que des collectifs : Martin Crimp, David Ayala, Joël Jouanneau, Falk Richter, René Pollesch, Tom Kühnel, Katie Mitchell, le Collectif MxM (Cyril Teste), Forced Entertainment (Tim Etchells), Gob Squad et Superamas. L’approche pluridisciplinaire traite à la fois des composants dramaturgiques et des considérants sociologiques de la représentation. D’une part, ce travail étudie la structuration des réseaux dans lesquels les artistes se rencontrent ou coopèrent. D’autre part, nous examinons tant l’organisation des différents éléments scéniques, parmi lesquels les caméras et les écrans tiennent une place importante, que la corporéité des interprètes ainsi que les modes de réception des spectateurs, entre autres par la mise en place d’une enquête. En trans-contextualisant leurs sources, les artistes instaurent des écarts et creusent de la distance à travers divers procédés : l’incorporation littérale, la citation, la parodie et le pastiche, mais aussi l’ironie et le ton cool fun. La dimension critique de ces œuvres ne s’exerce pas de manière frontale et n’est souvent pas même revendiquée. Loin de la rejeter en bloc, les auteurs et interprètes affectionnent certains objets de la culture des médias de masse. Pour mettre en branle leur fonction critique, ils se situent au cœur même de la « société du Spectacle » et de l’esprit du temps. Ainsi cette critique s’est déplacée de l’extérieur à l’intérieur du champ. Leur démarche mêlant le sérieux au ludique dénote une volonté de ne pas se désolidariser des spectateurs face auxquels ils veulent s’inscrire sur un pied d’égalité pour rendre le dialogue et parfois l’interaction possibles. / This thesis tackles the critic of the “Society of the Spectacle” (concept brought by the Guy Debord’s eponymous essay) performed in experimental theater works and the performance scenes during the 2000s in Berlin, London and Paris. The studied theater pieces borrow cultural references to the mass media, often considered as machines to alienate the public. The corpus includes authors as well as stage directors and collectives: Martin Crimp, David Alaya, Joël Jouanneau, Falk Richter, René Pollesch, Tom Khünel, Katie Mitchell, the Collective MxM (Cyril Teste), Forced Entertainment (Tim Etchells), Gob Squad and Superamas.The multidisciplinary approach deals with both the dramaturgy aspects and the sociological patterns of representation. One the one hand, this work studies the network structure in which the artists meet each others and collaborate. On the other hand, we investigate the various stage elements, among which cameras and screens take an major part, as well as the actors’ corporeality as well as the spectators’ ways of perception, among others, by the mean of a survey. By trans-contextualizing their sources, the artists create a gap and increase the distance with them using several techniques: literal incorporation, quotation, parody and pastiche, but also irony and cool fun tone.The critical dimension of these works is not straight forward, and often not even claimed. Far from rejecting it as a whole, the authors and actors are fond of the mass media culture’s objects. In order to set in motion their critical function, they place themselves at the heart of the “Society of the Spectacle” and the Zeitgeist. Thus, such a critic has moved from an external point of view to an internal one. Their approach, mixing seriousness and fun, indicates a will not to separate themselves from the spectators to whom they want to set on equal footing in order to make the dialogue and sometimes the interaction possible.
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VERS UNE « SOCIÉTÉ HARMONIEUSE » DE CONSOMMATION ? Discours et spectacle de l'harmonie sociale dans la construction d'une Chine “civilisée” (1978-2008)

Boutonnet, Thomas 25 November 2009 (has links) (PDF)
Bouleversée par plus de vingt années de réformes initiées par Deng Xiaoping en 1978, par le basculement d'une économie planifiée vers une économie de marché et le développement d'une société de consommation de masse, la société chinoise du début des années 2000 est minée par des disparités socio-économiques et territoriales grandissantes. C'est dans un tel contexte que se constitue le discours de la « société harmonieuse » (hexie shehui 和谐社会), un programme officiel présenté par le président Hu Jintao dans l'intention de pacifier les tensions sociales. Notre travail sera de démonter les stratégies discursives mises en place par la « société harmonieuse » par une analyse de ses énoncés, pour démontrer que ce discours prône la construction de l'harmonie sociale par l'acceptation des inégalités et des injustices sociales, et qu'il s'inscrit dans un processus, global et plus ancien, de civilisation de la population chinoise défavorisée. La hexie shehui s'affirme comme un instrument de contrôle et de discipline des populations pauvres, et propose un traitement moral de la question sociale. Nous verrons enfin que la « société harmonieuse » met également en scène une Chine “civilisée” et que ce spectacle est au cœur de son programme.
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La société connectée : contribution aux analyses sociologiques des liens entre technique et société à travers l'exemple des outils médiatiques numériques / The connected society : contribution to the sociological analyses between technology and society throught the example of the digital media tools

Huguet, Thibault 20 February 2017 (has links)
Initié depuis plusieurs décennies, le développement des techniques numériques marque de son empreinte profonde les esprits et les corps de nos sociétés contemporaines. Plus qu'un simple fait de société, il semble admis que nous assistons aujourd'hui à une véritable « mutation anthropologique ». Cependant, alors que les analyses des liens entre technique et société ont longtemps été marquées par des perspectives déterministes, nous proposons d'explorer dans cette thèse les relations dynamiques étroites qui font qu'une technique est éminemment sociale, et qu'une société est intrinsèquement technique. En adoptant un regard résolument compréhensif, cette recherche entend mettre en évidence les significations et les systèmes de sens qui entourent l'utilisation des outils médiatiques numériques, à une échelle macro-sociale et micro-sociale, pour expliquer causalement la place que nous accordons à cette catégorie spécifique d'objet. Les dynamiques à l’œuvre, tant à un niveau individuel que collectif, sont examinées de manière socio-logique, tour à tour dans une perspective historique, philosophique, économique, politique, sociale, et culturelle. En tant qu'artefacts-symboles de nos sociétés actuelles – objets sociaux totaux –, les médias numériques sont les outils techniques à partir desquels nous organisons la contemporanéité de notre rapport au monde : nous les concevons donc comme un prisme sociologique à partir desquels il est possible d'appréhender la société connectée. / Initiated for several decades, the development of the digital technology mark by its deep stamp the minds and the body of our contemporary society. More than a simple social phenomenon, it seems to be generaly agreed that we assist today at a true « anthropological mutation ». Nevertheless, while the analyses of the links between technology and society have been characterized for a long time by some deterministic prospects, we propose to explore in this thesis the dynamic relations which make that a technic is eminently social, and that a society is intrinsically technic. Adhering to a comprehensive approach, this research seeks to highlight the significations and the meaning systems related to the use of digital media tools, at a macro-social and a micro-social scale, to explain causally the importance we ascribed to this specific category of objects. The dynamics at work, both at an individual or collective level, are examinated in a socio-logical way, alternately with an historical, philosophical, economical, political, or socio-cultural point of view. As artefacts-symbols of our present day societies – total social object –, the digital media are the tools upon which we organize the contemporaneity of our relationship with the world : we regard them as a sociological prism from which it possible to grasp the connected society.
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Regards sur le mouvement Femen, ses actions et ses paradoxes

Dumont, Sophie 05 1900 (has links)
Dans la sphère publique, la nudité est toujours porteuse de signes. Symbolisant la vulnérabilité dans certains contextes, elle peut représenter la folie, la liberté, le désir de choquer, un appel ardent à être écouté. C’est pourquoi les militantes Femen, mouvement féministe activiste, utilisent leur corps comme principale arme de revendication politique, se mettant en scène les seins nus dans leurs manifestations. Malgré leur visibilité qui s’étend maintenant à l’échelle internationale, leurs méthodes de revendications restent très controversées et suscitent de nombreuses critiques. Mais au-delà de ces critiques, de quoi nous « parle » le mouvement Femen? Que nous dit-il sur notre société d’aujourd’hui, sur ses paradoxes, ses tensions et ses rapports de force? Ce mémoire a pour objectif de répondre à ces questions. Il est structuré comme suit : une première partie porte sur l’historique du mouvement et ses orientations ainsi que sur les principales critiques qui lui sont adressées. Cette section présente également le cadre conceptuel du mémoire qui s’articule autour de cinq grands points : la nudité comme outil de contestation politique, la société de l’image, le corps, l’apparence et la beauté, la «résistance urbaine spectaculaire» et enfin, l’engagement et le désengagement militants. La deuxième partie présente la méthodologie, une démarche de type ethnographique comprenant des entretiens semi-dirigés avec des militantes Femen et avec la fondatrice de la branche québécoise ainsi que de l’observation participante lors d’entrainements et de réunions formelles et informelles du groupe. Finalement, la dernière section présente les résultats du terrain. Ceux-ci mettent en évidence les nombreux paradoxes et contradictions inhérents au mouvement, lesquels nous apparaissent comme un condensé de grandes contradictions de notre société. Une société de l’image et du spectacle, où le corps, celui des femmes en particulier, a acquis une centralité particulière et paradoxale. Une société d’individus « libres » mais adhérant à des standards de beauté stéréotypés. Une société où les « causes », celles de la gauche et du féminisme notamment, ont du mal à s’exprimer de façon cohérente, entre autres parce qu’elles sont traversées de tensions internes où l’individu l’emporte trop souvent sur le collectif. Une société, enfin, où le religieux est imbriqué plus que jamais au politique, venant brouiller davantage les lignes de contestation. / In the public scene, nudity always carried signs. Being a symbol of vulnerability in some contexts, it may also represent the madness, freedom, the desire to shock or even an ardent appeal to be heard in some cases. This is actually the reason why activist feminist Femen movement militants are using their bodies as the main weapon of political demands by featuring themselves breast naked in their events. Despite of the visibility of the movement that now extends internationally; their methods of claims remain highly controversial and are the source of several critical. But beyond all these criticisms, what is the Femen movement telling us? What is it telling us about today’s society, on its paradoxes, its tensions and power struggles? This thesis aims to answer these questions. It is structured as follows: A first part focuses on the history of the movement, its directions and the main criticisms addressed to it. This first part is also presenting the conceptual framework of the thesis that is built around five major points: nudity as political protest tool, the image society, the body, appearance and beauty, the “spectacular urban resistance” and finally, engagement and disengagement activist. The second part presents the methodology; an ethnographic approach including semi-structured interviews with Femen activist and founder of the Quebec branch as well as the participant observation during formal and informal trainings and meetings of the group. Finally, the last section presents the results of the field. These highlight the many paradoxes and contradictions inherent in the movement, which we appear as an overview of some of the big contradictions of our society. A society of image and show. Where body, especially women’s body has gained a particular and paradoxical centrality. A society of ‘’free’’ individuals who adhere to stereotypical standards. A society in which "causes", those on the left and feminism in particular, are struggling to speak coherently, in part because of internal tensions crossings where the individual prevails too often on the collective. A society where religion is nested more than ever, blurring once again the protest lines.
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Rock en Chine : contestation et consommation depuis les années 1980 / Rock in China : protest and Consumption since the 1980s

Peng, Lei 02 July 2014 (has links)
Si « Rock » dans le monde occidental est marqué par ses traits subversifs et politiques à certaines périodes historiques spécifiques pour être ensuite entièrement récupérée par la raison marchande, son histoire a été prolongée avec son appropriation environ trente ans après en République Populaire de Chine. Ainsi, le Yaogun, dénomination commune du Rock en Chine est depuis son émergence imbriqué dans la constitution d'une « nouvelle Chine socialiste » calquée sur le modèle de « l'État-nation » : « une démarche mimétique par rapport au système occidental, un système, couplé d’idéologies, qui s’est avéré avec la première guerre mondiale non seulement politico-économique mais de plus scientifique et technologique » selon les expressions du Gregory Lee. En même temps, cette construction de « l’État-nation chinois socialiste » est depuis le début véhiculée par les mécanismes de la « mondialisation » économique, culturelle et idéologique selon une logique capitaliste. Cette thèse présente le Rock comme un acteur social qui représente et traduit la société chinoise prise dans la transition radicale et structurelle, d’une société considérée comme « ex-socialiste » vers une société de consommation et spectacle depuis les années 1980. Par ses propres transformations, ses tentatives contestataires et ses récupérations par la consommation, le Yaogun se réapproprie des schèmes, des images et des notions hérités à la fois du Mythe du Rock daté d'un demi siècle, et de « l'Occident » dont il réinterprète le sens originel. Pour ce faire, il sollicite inévitablement des éléments « propres » à la Chine - gestuel ou symbolique – qui pourrait amener à la revendication (ou non) d'une spécificité culturelle propre. Avec cette analyse, nous avons tenté d’une part de démontrer la complexité et les contradictions voilées derrière l'apparence homogène de la production de cette société du spectacle et de consommation qu’est la Chine actuelle, et d’autre part de démystifier la circulation hégémonique sur le plan des connaissances scientifiques du monde actuel. Ce travail est le fruit d’une réflexion alimentée par deux parcours parallèles et complémentaires en Études sur la Chine contemporaine et « Cultural Studies », s’inspirant des différentes approches théoriques transdiciplinaire dans les domaines des sciences sociales et humaines. Il traite la question des relations entre la musique populaire, le Rock, le pouvoir politique et économique ainsi que la vie quotidienne dans le monde chinois contemporain. Enfin ce questionnement dit « local » a par la suite suscité une réflexion critique sur la réalité dominant le monde actuel : « la mondialisation marchande ». / Born at the same time as the “30 years of China’s Reform and Opening" political discourse, Rock music in China (Yaogun) at its outset is often understood as an ideological weapon with a somewhat “revolutionary” touch to it against the Communist orthodox principles. This is mainly due to some values known as part of the Rock Myth, such as individual freedom, social equality and democracy.However, since the 1980s, there has been a significant transformation in the People's Republic of China (PRC): the shift to a free-market economy and the opening of the country to outside influence have led to the resurgence of a relevant social and cultural diversity. In the meantime, the new ideologies, technologies and mode of economy unavoidably brought about the commodification of the so-called “Chinese Culture” as part of the modern Chinese “Nation-State” construction, both at the level of the authority’s cultural policy and of the collective social imaginary, including the commodification of the so-called “Chinese Rock” or Yaogun. After one decade of development in the 1990s, generally speaking, China’s Rock or “underground” turned out to stay away from politics. It became hip, professionally organized, commercial and partly moving “overground” (not about revolution, but about everyday life). Similarly to other forms of art and cultural production in contemporary China, Rock also engaged in a complex and creative relationship with the PRC’s revolutionary heritage. From the late 1980s onwards, Yaogun has developed from being a rebelling voice in opposition to the ideology of the Chinese authorities to representing a subject of commodification by different agencies in sharing the same signs of the PRC’s revolutionary heritage. This dissertation attempts to shed some light on the complexities and contradictions involved in the tremendous social and cultural transformations of post-socialist China through the rock music scene. It brings into play the sociology of Rock music, Cultural Studies, together with the production and spreading of the culture and ideology of contemporary Chinese society.

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