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Legitimation of Security Regionalism: A Study of the Legitimacy Claims of the African Union and the European Union

Gayger Muller, Gustavo 29 January 2016 (has links)
Cette thèse identifie et analyse les revendications de légitimité des organisations régionales de sécurité par rapport à leurs actions et leur existence en tant que sites d’autorité relativement nouveaux. En effet, la recherche explore le contexte normatif qui sert de base au régionalisme sécuritaire entre le niveau global et le niveau national. A cet égard, la thèse propose un cadre conceptuel et théorique pour l’étude de l’autolégitimation qui est ici conçue comme un processus social dynamique et intersubjectif de justification du droit de gouverner. Ce cadre théorique combine les littératures sur la sécurité, le régionalisme, et la légitimité politique. Son objectif principal est l'identification des arguments de légitimation qui peuvent justifier des relations de pouvoir inégales entre gouvernants et gouvernés. Les études de cas de cette thèse sont les missions de sécurité et les politiques de gestion de crise de l'Union Africaine et de l'Union Européenne en réponse à la crise au Darfour (2003-) et les zones adjacentes, telles que le Tchad et la République Centrafricaine. A partir du concept d’autolégitimation et de l'analyse des documents produits par les deux organisations régionales, la partie empirique identifie quatre modes principaux de légitimation qui sont appelés « images du régionalisme sécuritaire ». Ces images sont le régionalisme bénéfique, le régionalisme nécessaire, le régionalisme inévitable, et le régionalisme multilatéral. Les images du régionalisme sécuritaire montrent que la légitimation des politiques et des actions, d'une part, et la légitimation des organisations régionales et de leur position au sein de la gouvernance de la sécurité, d’autre part, sont indissociables. En outre, elles révèlent également que, plus que la légitimation des actions, c’est souvent la légitimation de l'inaction qui est cruciale pour le rôle de ces organisations en tant qu’acteurs de sécurité. Enfin, les arguments de légitimation faisant référence au caractère multilatéral et collectif des actions entreprises par ces organisations régionales démontrent une tendance vers leur reconnaissance mutuelle et, par conséquent, contribuent à leur légitimation. / This thesis identifies and analyses the legitimacy claims of regional security organizations in relation to their policies and their existence as relatively new sites of authority. Hence, it explores the normative context underpinning security regionalism between global and national levels. In this regard, it proposes a conceptual and theoretical framework for the study of self- legitimation, which is understood as a dynamic and intersubjective social process of justification of the right to rule. This framework is based on the intersection between the literatures on security, regionalism, and political legitimacy. Its main focus is the identification of the arguments of legitimation that can justify the unequal power relations between rulers and ruled. This thesis’ case studies are the security missions and policies of crisis management of the African Union and the European Union in response to the crisis in Darfur (2003-) and adjacent areas such as Chad and Central African Republic. Building on the framework of self-legitimation and on the analysis of documents produced by both regional organizations, the empirical part identifies fours large patterns of arguments, which are called ‘images of security regionalism’. These images are the beneficial regionalism, the necessary regionalism, the inevitable regionalism, and the multilateral regionalism. The images of security regionalism show that the legitimation of policies and actions, on the one hand, and the legitimation of regional organizations and their positions within security governance, on the other, are indissociable. Moreover, they also reveal that, more than the legitimation of actions, it is often the legitimation of the perceived inaction that is crucial to the organizations’ role as a security actors. Finally, the patterns of arguments referring to the inter-organizational relations and to the multilateral and collective character of the organizations’ policies point to a trend of mutual recognition and, by consequence, mutual legitimation among regional organizations. / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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« Breaking news » dans la relation de l'UE aux médias? Correspondants permanents des nouveaux Etats membres à Bruxelles (2004-2014)

Sobotova, Alena 27 October 2017 (has links)
La thèse étudie les interactions entre les correspondants bruxellois et leur milieu de travail.Elle adopte une perspective centrée sur les acteurs. Comment l’arène bruxelloise structure et est structurée par les pratiques et représentations des correspondants issus des Etats ayant adhéré à l’Union depuis 2004 ?L’étude de cette partie du corps de presse permet de comprendre les dynamiques à l’oeuvre dans la relation entre l’Union européenne et les médias.Les correspondants des nouveaux Etats membres proviennent des contextes socio-politiques et médiatiques marqués par le passé (post)communiste. Ils trouvent à Bruxelles un univers professionnel qui peut constituer à la fois un modèle de référence, mais aussi une source de déstabilisation. En même temps, ils peuvent contribuer à certains remaniements enclenchés par les élargissements. Deux larges hypothèses sont proposées. L’une conçoit les correspondants des nouveaux Etats membres comme des révélateurs des dynamiques propres au milieu bruxellois. L’autre les perçoit plutôt comme des sources de changement. Le corpus principal est constitué des entretiens semi-directifs avec les correspondants et d’autres acteurs de la sphère de communication bruxelloise. Des périodes d’observation complètent les entretiens. Ces données sont interprétées grâce à une analyse qualitative de contenu conjuguée à certaines techniques discursives. En ressort un constat d’une triple normalisation. La socialisation aux réalités de l’UE contribue à la banalisation de l’ordre politique européen. Le statut de membre de ces Etats est pris pour acquis. Enfin, on observe une routinisation du travail des correspondants issus des pays nouvellement entrés. Leurs spécificités réelles et imaginées perdent d’acuité. / ENGLISH ABSTRACT :The thesis analyses the ways Brussels press corps interacts with its work environment. Our goal is to understand how Brussels ‘milieu’ structures and is structured by practices and representations of media correspondents from New Member States (from 2004 onwards). The political, social and media contexts of these countries are potentially marked by their (post)communist past. Coming to Brussels may provide an opportunity for these journalists to reassess their behavioral and cognitive schemes. Thus, looking at this specific part of the press corps enables us to grasp the dynamics of European socialization and the relationship between the European Union and the media. Along with correspondents’ adaptation, we are also interested in discovering any transformations caused or facilitated by the arrival of these new players to Brussels. Two large hypotheses are formulated. In the first one, New Member States’ correspondents adapt to the specificities of Brussels arena. The second one is depicting them as a source of change. Our main empirical corpus is composed of interviews with correspondents and other actors of the Brussels communication sphere. Interviews are complemented by periods of observation. The resulting data is interpreted using qualitative content analysis together with some discourse analysis techniques. Our results point to a triple normalization. Exposition to Brussels reality leads to a banalization of European political order, general acceptation of membership status of newly joined countries and a routinization of their correspondents’ practices. Both imagined and tangible specificities of New Member States’ correspondents have diminished. Those players are not perceived as significantly distinct from the rest of the press corps. / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le comportement électoral dans les communautés mixtes / Voting behaviour in mixed communities

Zamfira, Andreea-Roxana 16 April 2010 (has links)
Le comportement électoral dans les communautés mixtes (Résumé)<p><p>Andreea ZAMFIRA<p><p><p>\ / Doctorat en sciences politiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La question de l'Etat dans la sociologie historique de Norbert Elias: enjeux épistémologiques et politiques

Delmotte, Florence January 2006 (has links)
Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Les récits contrastés de la « migration environnementale » : élaboration, usages et effets sur l'action publique / Contrasting “environmental migration” narratives : a transnational comparison of their development, uses and effects in public action

Floremont, Fanny 19 December 2013 (has links)
Ce travail de thèse cherche à interroger l’importance, fluctuante, prise par la question des « migrations environnementales », et sa constante re-problématisation. Il s’inscrit dans une perspective de sociologie de l’action publique et entreprend une comparaison transcalaire, entre le plan international et l’échelon national malien. Cette recherche montre que, dans un contexte d’incertitudes politiques et scientifiques multiples, l’élaboration de récits d’action publique relatifs aux « migrations environnementales » permet de dramatiser des enjeux qui dépassent le strict cadre des effets des changements environnementaux sur les déplacements de population, et de les construire en problèmes relevant de l'action publique.Trois récits discordants ont été élaborés dans les arènes internationales : le récit des « réfugiés », le récit des « personnes déplacées par les catastrophes naturelles » et le récit de « la migration comme adaptation ». Leur multiplication s’explique, d’une part par leur visée instrumentale, et d’autre part par les constants efforts de reformulation mis en œuvre par des entrepreneurs politiques afin de les inscrire dans les référentiels dominants. En résultent des récits en décalage avec les résultats des travaux académiques consacrés au lien entre environnement et déplacement. A l’échelon malien, le récit des « réfugiés » s’insère dans un discours plus général venant justifier des mesures de lutte contre les changements environnementaux et climatiques, nouvelle priorité des agences d’aide. Les récits élaborés au plan international sont ainsi sélectionnés et articulés avec des enjeux locaux afin d’être adaptés aux logiques et normes de fonctionnement de l’action publique locale. / This research work aims at questioning the variety of narratives used to describe “environmental migration” and the shifting importance given to the matter. Building on a political sociology of ‘public action’ perspective, it undertakes a transnational comparison between international arenas and Malian politics and policies. This study shows that, in a context of multiple political and scientific uncertainties, “environmental migration” narratives are used to add dramatic tension to issues that go beyond the subject of environmentally linked migration, and to construct them as public problems.Three conflicting narratives have been elaborated in the international arenas: the “refugee” narrative, the “natural disaster induced displacement” narrative and the “migration as adaption” narrative. Their multiplication can be explained by their instrumental purpose and by the constant reformulation efforts undertaken by political entrepreneurs in order to include them in the prevailing cognitive and normative frames. As a result, these narratives appear to be out of step with academic findings that insist on the complex causal relationship linking environment to displacement. In Mali, the “refugee” narrative is the one predominantly used by ‘public action’ actors but it is part of a larger discourse focused on climate change, which is used to legitimise development aid flows. The narratives elaborated at the international level are thus selected and adapted to local cognitive and normative frames and agenda setting dynamics.
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Les structures non-partisanes dans le champ politique / Non-party structures in the political arena

Laurent, Mathieu Olivier 08 September 2011 (has links)
Le champ politique est un espace dans lequel s’affrontent des acteurs variés, acteurs qui ne se résument pas aux partis : trop souvent laissés dans l’ombre par la science politique, les clubs et cercles de réflexion, les fondations politiques, les instituts, participent effectivement à la vie politique. L’enjeu de cette étude est de mettre en perspective les modalités d’action des structures non-partisanes, de 1958 à nos jours, en revenant sur leur genèse, leur morphologie, et leurs trajectoires dans le temps : apportant de nouvelles idées, proposant des nouveaux modes de fonctionnement partisans, elles contribuent à faire bouger les lignes du débat politique et pallient les défaillances des partis en matière programmatique et d’écoute des revendications de la société civile. Sans se confondre avec les mouvements sociaux, elles partagent cependant avec ces derniers un militantisme différent de l’engagement classique et utilisent des modes d’intervention bien spécifiques. Malgré des ressources faibles au regard de leurs homologues étrangers (les fondations allemandes, les think tanks anglo-saxons), les structures non-partisanes françaises connaissent une tendance à la professionnalisation et mobilisent de véritables réseaux d’experts pour faire entendre leur voix : à la faveur d’une crise prolongée des organisations partisanes, elles sont appelées à jouer un rôle de plus en plus important dans la construction du « politiquement imaginable », ainsi que dans l’élaboration des politiques publiques. / The political arena is a field where in various actors confront each other, yet cannot be defined as political parties per se. Although clubs, think tanks, political foundations and institutes all genuinely participate in the political life, political scientists have, for the most part, ignored them. The purpose of this study is to put into perspective non-party structures methods of action, from 1958 to the present day, emphasizing their genesis, morphology and trajectories. As they bring new ideas to the forefront and suggest reforms for the internal functioning of political parties, they thus contribute to the evolution of political debate and even compensate for the parties failure in designing political programs and paying attention to the demands of the civil society. Though they are not to be assimilated to social movements, they do share a form of activism which can be distinguished from classical political commitments, and also use specific methods of intervention. Compared to their foreign counterparts (German foundations, Anglo-American think tanks), and despite meager resources, French non-party structures tend to develop their professionalism and mobilize authentic networks of experts so that their message is heard. Due to an ongoing crisis of political organizations, they will certainly play an increasing role in shaping the “politically conceivable” and in building public policies.
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Constituer un territoire de gouvernement pour la finance : enquête sur l’expertise de supervision au sein de l’Union bancaire européenne / Constituting the territory of government for finance : an inquiry into the construction of the expertise in risk supervision within the European Banking Union

Violle, Alexandre 30 September 2019 (has links)
Cette recherche prend pour objet l’Union bancaire, à savoir la principale réforme des institutions de l’Union européenne souhaitée par les chefs d’État et de gouvernement en réponse à la crise financière de 2008. La réforme confie notamment à la Banque centrale européenne la charge de superviser les banques de la zone euro à partir de novembre 2014. À la croisée d’une sociologie de la finance en discussion avec une sociologie des sciences et des techniques, et d’une sociologie politique attentive aux instruments d’action publique, la thèse propose d’analyser les nouvelles pratiques de supervision comme un problème de gouvernement au sens de Michel Foucault. Elle décrit ainsi l’Union bancaire comme un agencement institutionnel, à savoir un assemblage d’acteurs, de pratiques de vérification et de dispositifs de contrôle, au sein duquel s’invente une forme inédite d’intervention. Cet agencement produit une expertise européenne centralisée sur un territoire de gouvernement. Sur celui-ci, la problématisation de la bonne conduite des établissements vise à garantir un devenir pérenne des actifs des investisseurs, sans agir de façon dirigiste sur les flux financiers. Les autorités de supervision des États prenant part à l’agencement sont en charge de relayer les décisions collectivement actées à Francfort sur leurs banques considérées comme nationales. La thèse contribue aux débats académiques contemporains relatifs à la finance et à la construction européenne, en rendant visibles par l’enquête les effets d’une action publique tournée vers le problème de la gestion de l’investissement en Europe. Elle permet notamment de saisir la recomposition des souverainetés étatiques en matière de politique bancaire qui, loin de s’effacer, jouent un rôle décisif dans la constitution du territoire étudié. Les développements sont élaborés à partir d’une enquête qualitative, incluant une ethnographie de l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR), une campagne d’entretiens et une analyse documentaire. / This research is focused on the Banking Union, the main reform of the European Union's institutions called for by the Heads of State and Government in response to the 2008 financial crisis. This reform entrusts the European Central Bank in particular with the task of supervising banks in the euro zone from November 2014. At the crossroads of a sociology of finance in discussion with a sociology of science and technology studies, and a political sociology, the thesis proposes to analyse new supervisory practices as a problem of government in the sense defined by Michel Foucault. The Banking Union is portrayed as an institutional arrangement, namely an assemblage of actors, auditing practices and control devices, at the heart of which a new form of intervention is invented. The purpose of this arrangement is to produce a centralized European expertise on a developing territory of government. In this territory, the problematization of good banking conduct aims at ensuring a sustainable future for investors' assets without acting on the financial flows in a constraining way. The supervisory authorities of the states involved in the arrangement are now in charge of applying the decisions made collectively in Frankfurt about banks still considered as national. Through this inquiry, the thesis contributes to contemporary debates on finance and on the European construction by enlightening the effects of public policies geared towards the issue of investment management in Europe. It especially improves our understanding of the reshaping of national sovereignties in banking policies, and shows that far from disappearing, those play a decisive role in the constitution of the territory studied. Developments are based on a qualitative inquiry, including an ethnography of the Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR), an interview campaign and a documentary analysis.
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Building the World Heritage List at UNESCO : a Socio-political Approach to International Relations within a World Organization / La fabrique des listes du patrimoine mondial de l'UNESCO : une approche socio-politique des relations internationales au sein d'une organisation mondiale

Poddubnykh, Tatiana 19 April 2017 (has links)
Cette thèse propose une analyse socio-politique des relations internationales au sein d'une Organisation Mondiale, en partant du cas concret de l’UNESCO dans le cadre de l’établissement des listes du Patrimoine Mondial. L’analyse sociologique des interactions entre les acteurs intervenant dans le choix et la publication des listes du Patrimoine Mondial forme le socle sur lequel une théorisation des processus en jeu est déployée. Bien que l'UNESCO fournisse aux états des outils leur permettant d'atteindre leurs objectifs nationaux, l'UNESCO contribue également à l’établissement de valeurs universelles et d’identités cosmopolites. Les dynamiques d’établissement des listes et leur contenu apparaissent de plus en plus marqués par les démarches des acteurs (états et individus) qui y participent. Le rôle de l'UNESCO apparaît donc ambivalent, dans la mesure où elle est en partie garante des institutions et des valeurs fondamentales qui sous-tendent sa création, et où elle favorise les jeux d’influence, l’établissement de rapports de force et les conflits. Cette tension n’affecte pas pour autant la valeur perçue par de nombreux acteurs des listes produites, et elle n’entame que partiellement les représentations de la capacité de l’institution à promouvoir la paix et la compréhension entre les peuples. / This research project is a socio-political analysis of the International Relations within an International Organization, levering the practical case of UNESCO in the context of the establishing World Heritage Lists. It suggests a theorization of the underlying process, by which numerous actors take part in the selection and subsequent publication of World Heritage Lists. In addition to providing individual states with the tools to achieve their national objectives, UNESCO seem to contribute to the establishment of universal values and cosmopolitan identities. The establishment processes of these Lists and their content appear increasingly influenced by the behavior of their actors (i.e., states and individuals). In that context, the role of UNESCO seems ambivalent. It serves both as (a) guarantor for the underlying fundamental values of the institutions and as a place of (b) political economy, in which influences are exchanged between actors that can lead to power struggles and even conflicts. However, this tension doesn’t seem to impact the perceived value of the Lists by most actors and appears to only partially impact the perception of the Organization’s capacity to promote peace-building and closer relationships between peoples.
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From the Avoidable to the Desirable: the Chinese Communist Party "Green" Authoritarian Strategy. Shanghai as Case Study

Arantes, Virginie 23 April 2020 (has links) (PDF)
The argument goes that, as living standards rise, the demand for better environmental management increases and a liberal political system is best placed to deal with such issues. In contrast to the dominant discussions of environmentalism, which concentrates on the relationship between democracy and environmentalism, this thesis suggests that environmental protection can become a playground for authoritarian regimes to pursue ulterior motives and goals. Using the concept of environmental authoritarianism, the following research assesses the resilience capacity of the Chinese Communist Party (CCP) despite the gravity of its environmental crisis and mounting citizen grievances. An ethnographic methodology composed of different methods is employed to undertake the investigation including participant observation, field notes, interviews and document analysis. The implementation of cooperation and legitimation strategies are investigated at an urban city level in the field of environmental sustainability. Broadly, the thesis argues that the environmental governance capacity of the CCP has been developed around three ideas: (1) (re)centralise environmental governance efforts; (2) create a consensus around environmental protection (e.g. ‘ecological civilisation’); and (3) institutionalise grassroots movements. Using actor-network-theory as a method of analysis, I explore how these processes occur in practice at a local level through two case studies: a registered NGO working on waste reduction and a social enterprise aimed at strengthening rural communities and promoting sustainable agriculture. The thesis findings indicate that there has been a shift from fragmentation to a consolidation resulting in less room for contentious participation. The instrumentalisation of environmental issues by the government prevent environmental activists to resist co-optation by the government machinery. Still, empirical evidence demonstrates that actors continuously adapt to new pressures. Broadly, by focusing on Shanghai as a case study, the following research advances that environmental protection is being instrumentally mobilised to legitimise a variety of planning practices through the use of a complex combination of mobilising, politicising and depoliticising techniques. Wider conclusions are drawn on authoritarian resilience, China’s public participation, and authoritarian modes of environmental governance. / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Sortir du placard, entrer en Europe. La fabrique des réfugié.es LGBTI en Belgique, en France et au Royaume-Uni

Hamila, Ahmed 17 April 2020 (has links) (PDF)
Depuis l’adoption de la Directive Qualification en 2004 et de sa refonte en 2011, l’Union européenne reconnaît explicitement les persécutions du fait de l’orientation sexuelle et de l’identité de genre en tant que motif d’octroi du statut de réfugié∙e, selon le critère de l’appartenance à un certain groupe social. Cependant, il existe toujours des différences considérables dans la manière dont les États européens examinent les demandes des personnes invoquant ce type de persécutions, ce qui contrevient à la volonté marquée de l’UE d’atteindre un Régime d’asile européen commun. Dans cette thèse je propose de suivre le processus de fabrique de la nouvelle catégorie de « réfugié∙e LGBTI » en Belgique, en France et au Royaume-Uni afin d’apporter une explication au fait que malgré les pressions d’harmonisation de l’Union européenne, les contours de cette catégorie de réfugié∙es diffèrent d’un État européen à l’autre. M’inscrivant dans la suite des travaux qui proposent d’aborder le processus d’action publique à partir de l’interdépendance entre les institutions et les idées, je suggère d’appréhender la fabrique de la catégorie de « réfugié∙e LGBTI » en tant que processus de traduction multi-niveaux engendré par les logiques positionnelles (institutions) et les logiques interprétatives (idées) d’acteurs en interactions. Pour ce faire, je développe les notions de « configuration des arènes de traduction » et de « paradigme de traduction » qui me permettent de capturer et de suivre les logiques positionnelles et interprétatives des acteurs tout au long du processus de traduction (genèse, stabilisation et verrouillage). La configuration des arènes de traduction correspond à la somme des institutions formelles et informelles qui contraignent les acteurs dans les trois arènes où s’opère la traduction de la catégorie de « réfugié∙e LGBTI » :l’arène administrative, l’arène associative et l’arène judiciaire. Le paradigme de traduction correspond à l’espace de sens à travers lequel les acteurs impliqués dans le processus de traduction interprètent la catégorie de « réfugié∙e LGBTI ». Il est composé de trois éléments :la définition du problème, la solution politique et l’univers de discours. La démarche proposée permet quatre principaux apports, à la fois d’ordre empirique et analytique. D’une part, pour ce qui est des apports empiriques, mon approche permet d’articuler plusieurs niveaux de gouvernement (international, européen et national). Elle permet également d’apporter une profondeur historique à l’analyse. D’autre part, pour ce qui est des apports analytiques, ma démarche permet d’articuler plusieurs niveaux d’analyse (institutions et idées). Elle permet également d’articuler plusieurs temporalités du changement de l’action publique (moyenne et longue). La présente recherche fait deux principales contributions :à la littérature en politiques publiques sur le changement et à celle en études migratoires queer sur l’homonationalisme. D’une part, en proposant de saisir le changement en tant que processus de traduction, ma démarche permet de dépasser les dichotomies latentes entre changements lents et marginaux versus changements radicaux et rapides. Elle permet également de dépasser la dichotomie entre pressions exogènes et pressions endogènes du changement. D’autre part, en prenant au sérieux l’interdépendance entre les institutions et les idées dans la constitution d’une communauté nationale qui intègre les minorités sexuelles, elle suggère de regarder au-delà de l’homonationalisme tel que conceptualisé aujourd’hui pour comprendre la manière dont la frontière entre « nous » et « eux » s’érige. Cette frontière n’est pas la même d’un État à l’autre et se révèle être peu stable, évoluant d’une phase à l’autre du processus d’action publique. Une telle perspective propose ainsi une troisième voie analytique qui se distingue d’une part des tenants du discours de la libération sexuelle et d’autre part de ceux de l’impérialisme sexuel. / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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