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«Je dois mettre dans ma tête que c’est pour rendre service» : engagements et contraintes de l’emploi des préposées au soutien à domicile embauchées par le Chèque emploi-service

Hamel-Roy, Laurence 03 1900 (has links)
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L’utilisation des services de centre de jour par les personnes âgées qui présentent des incapacités

Savard, Jacinthe 10 1900 (has links)
Contexte: Les centres de jour offrent des interventions de groupe à des personnes âgées qui présentent des incapacités, dans le but de favoriser leur maintien à domicile. Des études récentes tendent à démontrer qu’une utilisation régulière du service serait nécessaire pour induire des effets bénéfiques. Objectifs: Cette recherche visait à documenter l’utilisation des centres de jour par des personnes âgées qui présentent des incapacités. Elle comportait trois principaux objectifs: 1) Caractériser les utilisateurs de centre de jour et ce qui les distingue des non-utilisateurs et analyser les déterminants de l’utilisation du centre de jour. 2) Explorer l’adéquation entre les activités offertes par les centres de jour et les caractéristiques d’autonomie et de santé des utilisateurs. 3) Définir les facteurs associés à la régularité de la participation. Méthodes: Cette recherche s’appuie sur une analyse secondaire de données recueillies auprès de 723 personnes âgées qui ont participé au projet de démonstration SIPA (Services intégrés pour personnes âgées) implanté dans deux CLSC de la région de Montréal. L’utilisation du centre de jour a été documentée pendant une période de six mois, auprès des cinq centres de jour existant sur ce même territoire. Des informations sur le fonctionnement des centres de jour ont été obtenues par des entrevues et des rencontres de groupe auprès de coordonnateurs de ces centres. Les données ont été analysées à l’aide de statistiques descriptives, d’analyses en regroupement et d’analyses de régression logistique et multiple. Résultats: Les résultats sont présentés dans trois articles, soit un pour chacun des objectifs. Article 1: La proportion d’utilisateurs de centre de jour est de 18,8% (IC-0,95: 16,0 à 21,7%). Les facteurs suivants augmentent la probabilité d’utiliser le centre de jour: être plus jeune (RC: 1,12; IC-0,95: 1,06 à 1,19); ne pas avoir une éducation universitaire (RC: 1,92; IC-0,95: 1,04 à 3,57); recevoir l’aide du CLSC pour les activités de vie quotidienne plus d’une fois par semaine (RC: 1,73 et 2,48 pour aide de deux à cinq fois par semaine et aide de six à sept fois par semaine respectivement; IC-0,95: 1,06 à 2,80 et 1,22 à 5,06); faire partie du bassin de desserte d’un centre de jour dont les coûts sont moins élevés (RC: 1,054 ; IC-0,95: 1,001 à 1,108 pour chaque augmentation de 1$); et pour les hommes seulement, avoir déjà subi un accident vasculaire cérébral et présenter davantage d’incapacités fonctionnelles (interaction entre le sexe et la présence d’un AVC: RC: 0,298; IC-0,95: 0,108 à 0,825; interaction entre le sexe et les capacités fonctionnelles mesurées à l’OARS: RC: 1,096; IC-0,95: 1,019 à 1,178). De plus, on observe une plus grande probabilité d’utiliser le centre de jour chez les personnes qui cohabitent avec une personne de soutien. Toutefois, cette relation ne s’observe que chez les personnes nées au Canada (interaction entre la cohabitation avec la personne de soutien et le pays de naissance: RC: 0,417; IC-0,95: 0,185 à 0,938). Article 2: Des analyses en regroupement ont permis de distinguer quatre profils de participants ayant des caractéristiques similaires: 1) les personnes fragilisées par un âge avancé et un grand nombre de problèmes de santé; 2) les participants plus jeunes et plus autonomes que la moyenne, qui semblent des utilisateurs précoces; 3) les personnes qui présentent des incapacités d’origine cognitive; et 4) celles qui présentent des incapacités d’origine motrice. Les activités de groupe des centres de jour ont été regroupées en huit catégories: exercices physiques; groupe spécifique pour un diagnostic ou un problème fonctionnel commun; activités fonctionnelles; stimulation cognitive; activités musicales ou de réminiscence; sports et jeux physiques; intégration sociale; prévention et promotion de la santé. Les activités les plus fréquentes sont les exercices physiques et les activités d’intégration sociale auxquelles ont participé plus de 90% des utilisateurs de centre de jour, et ce en moyenne à respectivement 78% (±23%) et 72% (±24%) de leurs présences au centre de jour. Les autres catégories d’activités rejoignent de 45% à 77% des participants, et ce en moyenne à 35% (±15%) à 46% (±33%) de leurs présences. La participation aux diverses catégories d’activités a été étudiée pour chaque profil d’utilisateurs et comparée aux activités recommandées pour divers types de clientèle. On observe une concordance partielle entre les activités offertes et les besoins des utilisateurs. Cette concordance apparaît plus grande pour les participants qui présentent des problèmes de santé physique ou des incapacités d’origine motrice et plus faible pour ceux qui présentent des symptômes dépressifs ou des atteintes cognitives. Article 3: Les participants au centre de jour y sont inscrits en moyenne à raison de 1,56 (±0,74) jours par semaine mais sont réellement présents à 68,1% des jours attendus. Les facteurs suivants sont associés à une participation plus régulière au centre de jour en termes de taux de présences réelles / présences attendues: ne pas avoir travaillé dans le domaine de la santé (b: ,209; IC-0,95: ,037 à ,382); recevoir de l’aide du CLSC les jours de fréquentation du centre de jour (b: ,124; IC-0,95: ,019 à ,230); être inscrit pour la journée plutôt que la demi-journée (b: ,209: IC-0,95: ,018 à ,399); lors de ses présences au centre de jour, avoir une moins grande proportion d’activités de prévention et promotion de la santé (b: ,223; IC-0,95: ,044 à ,402); et enfin, avoir un aidant qui présente un fardeau moins élevé pour les personnes avec une atteinte cognitive et un fardeau plus élevé pour les personnes sans atteinte cognitive (interaction entre la présence d’atteinte cognitive et le fardeau de l’aidant: b: -,008; IC-0,95: -,014 à -,044). Conclusion: Conformément à leur mission, les centres de jour rejoignent une bonne proportion des personnes âgées qui présentent des incapacités. Cette étude fait ressortir les caractéristiques des personnes les plus susceptibles d’y participer. Elle suggère la nécessité de revoir la planification des activités pour assurer une offre de services qui tienne davantage compte des besoins des participants, en particulier de ceux qui présentent des atteintes cognitives et des symptômes de dépression. Elle démontre aussi que l’intensité d’exposition au service semble faible, ce qui soulève la question des seuils d’exposition nécessaires pour induire des effets favorables sur le maintien à domicile et sur la qualité de vie de la clientèle cible. / Background: Adult Day Centers (ADC) offer group-based interventions to older, community-dwelling individuals with functional limitations, with the aim of helping them remain in the community for as long as possible. Recent studies seem to indicate that regular use is needed for positive effects on participants and their caregivers. Objectives: The purpose of this study was to document the use of ADCs by seniors with functional limitations. There were three main objectives: 1) To identify the characteristics of ADC users versus non-users and to identify the determinants of use. 2) To explore how well ADC program activities matched the different needs of participants with various health and functional characteristics profile. 3) To examine the factors related to regularity of ADC attendance. Methods: This study was based on a secondary analysis of data collected from 723 seniors participating in the Services intégrés pour personnes âgées (SIPA) demonstration project implemented in two CLSCs in Montreal. ADC use data were obtained for a six month period, from the five ADCs serving the same catchment area. To better understand the ADC program characteristics, individual interviews and focus groups were carried out with ADC coordinators. Data were analysed with descriptive statistics, cluster analysis, and logistic and multiple regression analysis. Results: The results are presented in three articles, one for each main objective. Article 1: The proportion of ADC users was 18.8% (CI-0.95: 16.0 – 21.7%). The following factors increased the probability of ADC use: being younger (OR: 1.12; CI-0.95: 1.06 – 1.19); not having a university degree (OR: 1.92; CI-0.95: 1.04 – 3.57); receiving help from the CLSC for daily living activities more than once a week (OR: 1.73 and 2.48 for help two to five times per week and six to seven times per week respectively; CI-0.95: 1.06 - 2.80 and 1.22 - 5.06); being in the catchment population of an ADC with a lower daily fee (OR: 1.054; C-I0.95: 1.001 - 1.108 for each 1$ fee increase); and for men only, having had a stroke or presenting with more functional incapacities (interaction between gender and presence of a stroke: OR: 0.298; CI-0.95: 0.108 - 0.825; interaction between gender and functional capacity as measured by OARS: OR: 1.096; CI-0.95: 1.019 - 1.178). In addition, the probability of ADC use was higher among individuals who live with the person identified as their caregiver. However, this association was found only among persons born in Canada (interaction between whether they lived with caregiver and country of birth: OR: 0.417; CI-0.95: 0.185 - 0.938). Article 2: Four different participant profile groups were identified using cluster analysis: 1) frail seniors of advanced age who had a large number of health problems; 2) individuals who were younger and more independent than the average participants who appeared early users of ADC; 3) individuals with functional impairment related to cognitive problems; and 4) those with movement disorders which affected their independence. Classification of program activities by a panel of experts distinguished eight categories of activities: physical exercise; groups for those with common diagnoses or functional problems; functional activities; cognitive stimulation; music or reminiscence activities; sports and physical games; social skills and interaction; disease prevention and health promotion activities. The most frequent activities were physical exercise, and social skills and interaction activities in which more of 90% of ADC users participated, respectively at a mean of 78% (± 23%) and 72% (± 24%) of their attendances at the ADC program. Other categories of activities were provided to 45 to 77% of participants, and at a mean of 35% (± 15%) to 46% (± 33%) of their ADC attendances. Participation in these activities categories was examined for each profile group, and compared to the recommended activities for such client group. Partial correspondence was found between program activities and participants’ needs. Concordance seemed higher for individuals with physical health problems or mobility impairments and weaker for those presenting with depressive symptoms or cognitive impairments. Article 3: ADC participants were registered with their program for a mean of 1.56 (±0.74) days per week, but were actually present 68.1% of the scheduled days. More regular attendance (higher proportion of scheduled days attended) was associated with: a previous profession of ADC participant or spouse in a sector other than health care (b: .209; CI-0.95: .037 − .382); the individual receiving formal help for activities of daily living on days of expected ADC participation (b: .124; CI-0.95: .019 − .230); enrolment for the whole day rather than half a day (b: .209 : CI-0.95: .018 − .399); lower participation rates in prevention and health promotion activities (b: .223; CI-0.95: .044 − .402); and among participants with cognitive impairment, lower caregiver burden, and among persons without cognitive impairment, higher caregiver burden (interaction between cognitive impairment and caregiver burden: b: -.008; CI-0.95: -.014 − -.044). Conclusion: In keeping with their mission, adult day centres attract a large portion of seniors with disabilities. This study has identified the characteristics of the clientele who are most likely to participate in centre activities. Results also suggest a need to review the planning of activity program components to ensure that the services offered best respond to client needs, particularly clients presenting with depressive symptoms or cognitive impairments. It has also demonstrated that the intensity of exposure to this service tends to be low overall, which raises the question of the level of exposure needed to have a positive influence on the quality of life and ability to remain in the community among this population.
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L’utilisation des services de centre de jour par les personnes âgées qui présentent des incapacités

Savard, Jacinthe 10 1900 (has links)
Contexte: Les centres de jour offrent des interventions de groupe à des personnes âgées qui présentent des incapacités, dans le but de favoriser leur maintien à domicile. Des études récentes tendent à démontrer qu’une utilisation régulière du service serait nécessaire pour induire des effets bénéfiques. Objectifs: Cette recherche visait à documenter l’utilisation des centres de jour par des personnes âgées qui présentent des incapacités. Elle comportait trois principaux objectifs: 1) Caractériser les utilisateurs de centre de jour et ce qui les distingue des non-utilisateurs et analyser les déterminants de l’utilisation du centre de jour. 2) Explorer l’adéquation entre les activités offertes par les centres de jour et les caractéristiques d’autonomie et de santé des utilisateurs. 3) Définir les facteurs associés à la régularité de la participation. Méthodes: Cette recherche s’appuie sur une analyse secondaire de données recueillies auprès de 723 personnes âgées qui ont participé au projet de démonstration SIPA (Services intégrés pour personnes âgées) implanté dans deux CLSC de la région de Montréal. L’utilisation du centre de jour a été documentée pendant une période de six mois, auprès des cinq centres de jour existant sur ce même territoire. Des informations sur le fonctionnement des centres de jour ont été obtenues par des entrevues et des rencontres de groupe auprès de coordonnateurs de ces centres. Les données ont été analysées à l’aide de statistiques descriptives, d’analyses en regroupement et d’analyses de régression logistique et multiple. Résultats: Les résultats sont présentés dans trois articles, soit un pour chacun des objectifs. Article 1: La proportion d’utilisateurs de centre de jour est de 18,8% (IC-0,95: 16,0 à 21,7%). Les facteurs suivants augmentent la probabilité d’utiliser le centre de jour: être plus jeune (RC: 1,12; IC-0,95: 1,06 à 1,19); ne pas avoir une éducation universitaire (RC: 1,92; IC-0,95: 1,04 à 3,57); recevoir l’aide du CLSC pour les activités de vie quotidienne plus d’une fois par semaine (RC: 1,73 et 2,48 pour aide de deux à cinq fois par semaine et aide de six à sept fois par semaine respectivement; IC-0,95: 1,06 à 2,80 et 1,22 à 5,06); faire partie du bassin de desserte d’un centre de jour dont les coûts sont moins élevés (RC: 1,054 ; IC-0,95: 1,001 à 1,108 pour chaque augmentation de 1$); et pour les hommes seulement, avoir déjà subi un accident vasculaire cérébral et présenter davantage d’incapacités fonctionnelles (interaction entre le sexe et la présence d’un AVC: RC: 0,298; IC-0,95: 0,108 à 0,825; interaction entre le sexe et les capacités fonctionnelles mesurées à l’OARS: RC: 1,096; IC-0,95: 1,019 à 1,178). De plus, on observe une plus grande probabilité d’utiliser le centre de jour chez les personnes qui cohabitent avec une personne de soutien. Toutefois, cette relation ne s’observe que chez les personnes nées au Canada (interaction entre la cohabitation avec la personne de soutien et le pays de naissance: RC: 0,417; IC-0,95: 0,185 à 0,938). Article 2: Des analyses en regroupement ont permis de distinguer quatre profils de participants ayant des caractéristiques similaires: 1) les personnes fragilisées par un âge avancé et un grand nombre de problèmes de santé; 2) les participants plus jeunes et plus autonomes que la moyenne, qui semblent des utilisateurs précoces; 3) les personnes qui présentent des incapacités d’origine cognitive; et 4) celles qui présentent des incapacités d’origine motrice. Les activités de groupe des centres de jour ont été regroupées en huit catégories: exercices physiques; groupe spécifique pour un diagnostic ou un problème fonctionnel commun; activités fonctionnelles; stimulation cognitive; activités musicales ou de réminiscence; sports et jeux physiques; intégration sociale; prévention et promotion de la santé. Les activités les plus fréquentes sont les exercices physiques et les activités d’intégration sociale auxquelles ont participé plus de 90% des utilisateurs de centre de jour, et ce en moyenne à respectivement 78% (±23%) et 72% (±24%) de leurs présences au centre de jour. Les autres catégories d’activités rejoignent de 45% à 77% des participants, et ce en moyenne à 35% (±15%) à 46% (±33%) de leurs présences. La participation aux diverses catégories d’activités a été étudiée pour chaque profil d’utilisateurs et comparée aux activités recommandées pour divers types de clientèle. On observe une concordance partielle entre les activités offertes et les besoins des utilisateurs. Cette concordance apparaît plus grande pour les participants qui présentent des problèmes de santé physique ou des incapacités d’origine motrice et plus faible pour ceux qui présentent des symptômes dépressifs ou des atteintes cognitives. Article 3: Les participants au centre de jour y sont inscrits en moyenne à raison de 1,56 (±0,74) jours par semaine mais sont réellement présents à 68,1% des jours attendus. Les facteurs suivants sont associés à une participation plus régulière au centre de jour en termes de taux de présences réelles / présences attendues: ne pas avoir travaillé dans le domaine de la santé (b: ,209; IC-0,95: ,037 à ,382); recevoir de l’aide du CLSC les jours de fréquentation du centre de jour (b: ,124; IC-0,95: ,019 à ,230); être inscrit pour la journée plutôt que la demi-journée (b: ,209: IC-0,95: ,018 à ,399); lors de ses présences au centre de jour, avoir une moins grande proportion d’activités de prévention et promotion de la santé (b: ,223; IC-0,95: ,044 à ,402); et enfin, avoir un aidant qui présente un fardeau moins élevé pour les personnes avec une atteinte cognitive et un fardeau plus élevé pour les personnes sans atteinte cognitive (interaction entre la présence d’atteinte cognitive et le fardeau de l’aidant: b: -,008; IC-0,95: -,014 à -,044). Conclusion: Conformément à leur mission, les centres de jour rejoignent une bonne proportion des personnes âgées qui présentent des incapacités. Cette étude fait ressortir les caractéristiques des personnes les plus susceptibles d’y participer. Elle suggère la nécessité de revoir la planification des activités pour assurer une offre de services qui tienne davantage compte des besoins des participants, en particulier de ceux qui présentent des atteintes cognitives et des symptômes de dépression. Elle démontre aussi que l’intensité d’exposition au service semble faible, ce qui soulève la question des seuils d’exposition nécessaires pour induire des effets favorables sur le maintien à domicile et sur la qualité de vie de la clientèle cible. / Background: Adult Day Centers (ADC) offer group-based interventions to older, community-dwelling individuals with functional limitations, with the aim of helping them remain in the community for as long as possible. Recent studies seem to indicate that regular use is needed for positive effects on participants and their caregivers. Objectives: The purpose of this study was to document the use of ADCs by seniors with functional limitations. There were three main objectives: 1) To identify the characteristics of ADC users versus non-users and to identify the determinants of use. 2) To explore how well ADC program activities matched the different needs of participants with various health and functional characteristics profile. 3) To examine the factors related to regularity of ADC attendance. Methods: This study was based on a secondary analysis of data collected from 723 seniors participating in the Services intégrés pour personnes âgées (SIPA) demonstration project implemented in two CLSCs in Montreal. ADC use data were obtained for a six month period, from the five ADCs serving the same catchment area. To better understand the ADC program characteristics, individual interviews and focus groups were carried out with ADC coordinators. Data were analysed with descriptive statistics, cluster analysis, and logistic and multiple regression analysis. Results: The results are presented in three articles, one for each main objective. Article 1: The proportion of ADC users was 18.8% (CI-0.95: 16.0 – 21.7%). The following factors increased the probability of ADC use: being younger (OR: 1.12; CI-0.95: 1.06 – 1.19); not having a university degree (OR: 1.92; CI-0.95: 1.04 – 3.57); receiving help from the CLSC for daily living activities more than once a week (OR: 1.73 and 2.48 for help two to five times per week and six to seven times per week respectively; CI-0.95: 1.06 - 2.80 and 1.22 - 5.06); being in the catchment population of an ADC with a lower daily fee (OR: 1.054; C-I0.95: 1.001 - 1.108 for each 1$ fee increase); and for men only, having had a stroke or presenting with more functional incapacities (interaction between gender and presence of a stroke: OR: 0.298; CI-0.95: 0.108 - 0.825; interaction between gender and functional capacity as measured by OARS: OR: 1.096; CI-0.95: 1.019 - 1.178). In addition, the probability of ADC use was higher among individuals who live with the person identified as their caregiver. However, this association was found only among persons born in Canada (interaction between whether they lived with caregiver and country of birth: OR: 0.417; CI-0.95: 0.185 - 0.938). Article 2: Four different participant profile groups were identified using cluster analysis: 1) frail seniors of advanced age who had a large number of health problems; 2) individuals who were younger and more independent than the average participants who appeared early users of ADC; 3) individuals with functional impairment related to cognitive problems; and 4) those with movement disorders which affected their independence. Classification of program activities by a panel of experts distinguished eight categories of activities: physical exercise; groups for those with common diagnoses or functional problems; functional activities; cognitive stimulation; music or reminiscence activities; sports and physical games; social skills and interaction; disease prevention and health promotion activities. The most frequent activities were physical exercise, and social skills and interaction activities in which more of 90% of ADC users participated, respectively at a mean of 78% (± 23%) and 72% (± 24%) of their attendances at the ADC program. Other categories of activities were provided to 45 to 77% of participants, and at a mean of 35% (± 15%) to 46% (± 33%) of their ADC attendances. Participation in these activities categories was examined for each profile group, and compared to the recommended activities for such client group. Partial correspondence was found between program activities and participants’ needs. Concordance seemed higher for individuals with physical health problems or mobility impairments and weaker for those presenting with depressive symptoms or cognitive impairments. Article 3: ADC participants were registered with their program for a mean of 1.56 (±0.74) days per week, but were actually present 68.1% of the scheduled days. More regular attendance (higher proportion of scheduled days attended) was associated with: a previous profession of ADC participant or spouse in a sector other than health care (b: .209; CI-0.95: .037 − .382); the individual receiving formal help for activities of daily living on days of expected ADC participation (b: .124; CI-0.95: .019 − .230); enrolment for the whole day rather than half a day (b: .209 : CI-0.95: .018 − .399); lower participation rates in prevention and health promotion activities (b: .223; CI-0.95: .044 − .402); and among participants with cognitive impairment, lower caregiver burden, and among persons without cognitive impairment, higher caregiver burden (interaction between cognitive impairment and caregiver burden: b: -.008; CI-0.95: -.014 − -.044). Conclusion: In keeping with their mission, adult day centres attract a large portion of seniors with disabilities. This study has identified the characteristics of the clientele who are most likely to participate in centre activities. Results also suggest a need to review the planning of activity program components to ensure that the services offered best respond to client needs, particularly clients presenting with depressive symptoms or cognitive impairments. It has also demonstrated that the intensity of exposure to this service tends to be low overall, which raises the question of the level of exposure needed to have a positive influence on the quality of life and ability to remain in the community among this population.
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Le soutien à domicile auprès des personnes âgées en perte d'autonomie : enjeux et dilemmes éthiques liés à la sécurité des travailleurs sociaux

Fortin, Sarah January 2018 (has links)
Le présent mémoire de recherche s’intéresse aux enjeux liés à la sécurité des travailleurs sociaux qui se rendent au domicile de clients âgés en perte d’autonomie et qui présentent bien souvent des situations très complexes. Les objectifs de cette recherche qualitative exploratoire étaient de déterminer les enjeux de sécurité perçus par les travailleurs sociaux et les questionnements et dilemmes qui surviennent lorsque ces situations se présentent, de même que les outils et mécanismes présents dans leurs milieux de travail pour les soutenir. Pour y parvenir, 12 entrevues ont été réalisées avec des travailleurs sociaux oeuvrant auprès de cette clientèle en Montérégie-Est. Une analyse de contenu a permis de faire ressortir plusieurs éléments pertinents pour la profession de travailleur social. Il existe de nombreux risques associés au contexte de l’intervention à domicile, toutefois l’évaluation qu’en font les intervenants est très différente de l’un à l’autre. Leur façon de gérer les risques est aussi propre à chacun et est modulée entre autres par leurs expériences. Ces situations génèrent plusieurs questionnements de nature éthique qui peuvent poser des problèmes à certains travailleurs sociaux qui ne disposent pas toujours des outils nécessaires pour les résoudre. Des mécanismes pour aider les travailleurs sociaux à négocier avec ces enjeux existent. Leur mise en place adéquate pourrait aider à l’amélioration de la qualité des interventions et à la réduction de la détresse vécue par les travailleurs sociaux dans l’exercice de leur profession.
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L'apprentissage collaboratif comme stratégie de développement professionnel chez des infirmières de soutien à domicile : une étude exploratoire

Ouellet, Jérôme 10 1900 (has links)
Le développement professionnel infirmier (DPI) constitue une condition sine qua non d’une prestation de soins de qualité dans un contexte de vieillissement de la population qui présente des problèmes de santé complexes et d’intensification des soins à domicile (SAD). Des infirmières décrient cependant une inquiétude grandissante quant aux barrières susceptibles de freiner leur DPI ainsi que l’intégration de leurs apprentissages à la pratique. Parmi ces barrières se trouvent notamment une difficulté d’accès à des activités de DPI pertinentes, des contraintes de ressources pour participer aux activités de DPI, un équilibre difficile entre la vie personnelle et professionnelle ainsi qu’un climat organisationnel rigide. Pour relever ces barrières et répondre aux défis de la complexité des soins et des environnements évoluant rapidement, la nécessité d’utiliser des stratégies intégrant l’apprentissage au travail afin de soutenir le développement professionnel des infirmières s’impose. À cet égard, des stratégies d’enseignement-apprentissage actives comme la simulation clinique, des clubs de lecture et des groupes de codéveloppement ont fait l’objet d’études dans un contexte de DPI et d’autres, comme l’apprentissage collaboratif (AC), beaucoup moins. Pourtant, l’AC permettrait de réduire certaines barrières au DPI en tenant compte des caractéristiques contextuelles et individuelles des apprenants. Cette recherche collaborative vise à explorer comment l’AC contribue au DPI d’infirmières de SAD auprès d’aînés présentant des problèmes de santé complexes en répondant à deux questions de recherche qui visent à identifier : (1) les éléments contextuels qui influencent la participation d’infirmières de SAD à des groupes d'AC ainsi que (2) les caractéristiques de l’AC qui contribuent à la réalisation d’apprentissages chez ces mêmes infirmières de SAD. Les résultats témoignent que (1) le rapport au temps, (2) le soutien du gestionnaire ainsi que (3) l’accompagnement des groupes d’AC sont des éléments contextuels qui influencent la participation d’infirmières de SAD à un groupe d’AC ainsi que le processus d’AC qui se veut évolutif, itératif et réflexif. Cette étude a aussi permis d’identifier cinq caractéristiques de l’AC qui contribuent à la réalisation d’apprentissages. L’AC : (1) exige une motivation à apprendre pour améliorer la qualité des soins; (2) conduit à une réflexion sur sa pratique professionnelle pour mieux la comprendre; (3) crée un espace de partage valorisant le développement de relations égalitaires empreintes de respect et d’écoute; (4) oriente vers une recherche collective de solutions pragmatiques aux problèmes rencontrés dans la pratique et (5) suscite un sentiment de réalisation et d’accomplissement de soi. Bien que cette recherche collaborative soit parmi les premières du genre à être réalisée en SAD au Québec, le futur du DPI devrait consister à créer des environnements d’AC en milieu clinique. Pour ce faire, un changement de culture doit s’opérer profondément pour embrasser une perspective plus holistique et scientifique du DPI qui valorise sa pertinence et sa signifiance, notamment par l’AC. / Nursing professional development (NPD) is a sine qua non condition for quality care in a context of aging population with complex health problems and increasing home care (HC). However, nurses describe a growing concern about the barriers that may impede their NPD and the integration of their learning into practice. These barriers include difficulty accessing relevant NPD activities, resource constraints to participate in NPD activities, difficult work-life balance, and inflexible organizational climate. To address these barriers and meet the challenges of complex care and rapidly changing environments, there is a need to use strategies that integrate learning at work to support nurses' professional development. In this regard, active teaching-learning strategies such as clinical simulation, journal clubs and co-development groups have been studied in a NPD context and others, such as collaborative learning (CL), much less so. However, CL could reduce some of the barriers to NPD by considering the contextual and individual characteristics of learners. This collaborative research aims to explore how CL contributes to the NPD of HC nurses working with seniors with complex health problems by answering two research questions that aim to identify: (1) the contextual elements that influence the participation of HC nurses in CL groups as well as (2) the characteristics of CL that contribute to the achievement of learning in these same HC nurses. The results show that (1) the relationship to time, (2) the manager's support and (3) the support provided for CL groups are contextual elements that influence the participation of HC nurses in a CL group as well as the evolutionary, iterative and reflective CL process. This study also identified five characteristics of CL that contribute to learning. CL: (1) requires motivation to learn in order to improve the quality of care; (2) leads to reflection on one's professional practice in order to better understand it; (3) creates a space for sharing that values the development of egalitarian relationships marked by respect and listening; (4) leads to a collective search for pragmatic solutions to the problems encountered in practice; and (5) creates a sense of accomplishment and self-fulfillment. While this collaborative research is among the first of its kind to be conducted in HC in Quebec, the future of NPD should be in creating CL environments in clinical settings. To do so, a profound cultural shift must occur to embrace a more holistic and scientific perspective of NPD that values its relevance and meaning, particularly through CL.
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"Se sentir vivant" : le regard d’aînés et d’auxiliaires familiaux et sociaux sur le soutien à domicile en contexte d’inégalités sociales

Fournier, Aude 01 1900 (has links)
Cette recherche s’intéresse au soutien à domicile des personnes âgées dites « en perte d’autonomie » dans un contexte où, d’une part, les inégalités socioéconomiques parmi ce groupe sont marquées et, d’autre part, les services à domicile tendent vers une standardisation et une marchandisation. L’autonomie a été mobilisée comme concept pour mieux appréhender les conditions de vie et les rapports sociaux qui nuisent ou contribuent au bien-être des aînés à domicile, de leur propre point de vue et de celui des auxiliaires familiaux et sociaux qui interviennent auprès d’eux. Ce groupe d’acteurs est généralement évoqué dans la littérature comme ayant une vision sociale et globale des personnes qu’ils visitent, de par leur proximité et intrusion dans l’espace de vie de ces dernières. Le discours dominant par rapport au bien-être des personnes âgées (bien-vieillir ou, en anglais, successful aging) dans la littérature en gérontologie ou dans les documents institutionnels s’articule autour d’une conception fonctionnelle de l’autonomie, au détriment des dimensions plus sociales et relationnelles. Cette recherche a ainsi cherché à investir une perspective sociorelationnelle de l’autonomie, qui se retrouve en sciences sociales chez des auteurs tels que Druhle, Sen, McAll, Honneth, Guillemard et Castoriadis. Ce cadre conceptuel au cœur duquel se trouvent notamment les notions de reconnaissance et de rapports sociaux inégalitaires a servi de porte d’entrée pour analyser 10 entrevues semi-dirigées avec des auxiliaires familiaux et sociaux (qui ont évoqué, chacun, la situation des trois dernières personnes visitées, pour un total de 30 exemples de cas) et 14 entrevues semi-dirigées avec des personnes âgées recevant des services à domicile. Au croisement de ces regards, les résultats de cette recherche suggèrent que les conditions de vie matérielles et relationnelles ont un impact déterminant sur la possibilité pour les aînés de « se sentir vivants » et que pour les personnes les plus défavorisées et/ou isolées, le soutien à domicile se traduit le plus souvent en une situation de « confinement », de « maintien » à domicile. Par rapport à la relation avec les auxiliaires, il apparaît que l’amélioration du bien-être des aînés recevant de l’aide à domicile passe, entre autres, par la création d’un espace relationnel autonome dans lequel la personne existe non seulement comme « corps », mais également comme « esprit ». Par-delà des services offerts, c’est ce type d’interaction (attentif et respectueux des habitudes, intentions et projets qui ont rempli la vie des personnes aidées) qui retient le plus leur attention et mobilise l’essentiel de leur discours sur le soutien à domicile. Il semble également que ce soit parfois en se faisant marginal dans la vie des gens et en créant simplement des espaces favorables à une autonomie collective que le réseau de services peut avoir les impacts les plus positifs sur les personnes, de leur propre point de vue. / This study aims to explore the elder’s home support, more narrowly the experience of people characterized as « in loss of autonomy » in a context where, on one hand, socioeconomic inequalities in this group are important, and, on the other hand, home support services tend toward a standardization and a commoditization. The concept of autonomy has been used to better apprehend the living conditions and the social relations that positively or negatively affect the wellbeing of elders at home, from their own perspective or from those of the visiting caregivers who work with them. The latter are generally mentioned in the literature has having a social and global perspective on the people they visit, as they are closely tied to them and intrude in their own living space. In the gerontology literature and in institutional documents, the dominant discourse related to wellbeing of the elderly (« successful aging » or, in French, « bien-vieillir ») is articulated around a functional conception of autonomy, depriving it of its more social and relational dimensions. This research has developed a social perspective on autonomy grounded in social sciences and based on authors such as Druhle, Sen, McAll, Honneth, Guillemard and Castoriadis. This conceptual framework relies on notions of recognition and social inequality and was used in analyzing our 10 semistructured interviews with caregivers and 14 more with elders receiving homecare. Each of the 10 caregivers were asked to relate their last three visits, adding up to a total of 30 case studies. At the crossroads of these narratives, the results of this research suggest that material and relational living conditions do have a decisive impact on elders’ possibility to « feel alive ». For those most disadvantaged and/or isolated, home support most often translates in situations of containment, of retention at home. With regards to relationships with caregivers, it appears that improvement of elders’ wellbeing receiving home support is related, among other things, to the creation of autonomous relational space where the person exists not only as a « body » with needs, but also as a « spirit ». Beyond the provided services, it is the kind of interaction (careful, mindful, respectful of habits, intentions and projects that fulfill the life of the assisted individuals), that occupies most of their narrative on home care services. According to the elders, from time to time, it seems that the health care system can have more significant positive impact by creating spaces propitious to collective autonomy and with marginal intervention.
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"Se sentir vivant" : le regard d’aînés et d’auxiliaires familiaux et sociaux sur le soutien à domicile en contexte d’inégalités sociales

Fournier, Aude 01 1900 (has links)
Cette recherche s’intéresse au soutien à domicile des personnes âgées dites « en perte d’autonomie » dans un contexte où, d’une part, les inégalités socioéconomiques parmi ce groupe sont marquées et, d’autre part, les services à domicile tendent vers une standardisation et une marchandisation. L’autonomie a été mobilisée comme concept pour mieux appréhender les conditions de vie et les rapports sociaux qui nuisent ou contribuent au bien-être des aînés à domicile, de leur propre point de vue et de celui des auxiliaires familiaux et sociaux qui interviennent auprès d’eux. Ce groupe d’acteurs est généralement évoqué dans la littérature comme ayant une vision sociale et globale des personnes qu’ils visitent, de par leur proximité et intrusion dans l’espace de vie de ces dernières. Le discours dominant par rapport au bien-être des personnes âgées (bien-vieillir ou, en anglais, successful aging) dans la littérature en gérontologie ou dans les documents institutionnels s’articule autour d’une conception fonctionnelle de l’autonomie, au détriment des dimensions plus sociales et relationnelles. Cette recherche a ainsi cherché à investir une perspective sociorelationnelle de l’autonomie, qui se retrouve en sciences sociales chez des auteurs tels que Druhle, Sen, McAll, Honneth, Guillemard et Castoriadis. Ce cadre conceptuel au cœur duquel se trouvent notamment les notions de reconnaissance et de rapports sociaux inégalitaires a servi de porte d’entrée pour analyser 10 entrevues semi-dirigées avec des auxiliaires familiaux et sociaux (qui ont évoqué, chacun, la situation des trois dernières personnes visitées, pour un total de 30 exemples de cas) et 14 entrevues semi-dirigées avec des personnes âgées recevant des services à domicile. Au croisement de ces regards, les résultats de cette recherche suggèrent que les conditions de vie matérielles et relationnelles ont un impact déterminant sur la possibilité pour les aînés de « se sentir vivants » et que pour les personnes les plus défavorisées et/ou isolées, le soutien à domicile se traduit le plus souvent en une situation de « confinement », de « maintien » à domicile. Par rapport à la relation avec les auxiliaires, il apparaît que l’amélioration du bien-être des aînés recevant de l’aide à domicile passe, entre autres, par la création d’un espace relationnel autonome dans lequel la personne existe non seulement comme « corps », mais également comme « esprit ». Par-delà des services offerts, c’est ce type d’interaction (attentif et respectueux des habitudes, intentions et projets qui ont rempli la vie des personnes aidées) qui retient le plus leur attention et mobilise l’essentiel de leur discours sur le soutien à domicile. Il semble également que ce soit parfois en se faisant marginal dans la vie des gens et en créant simplement des espaces favorables à une autonomie collective que le réseau de services peut avoir les impacts les plus positifs sur les personnes, de leur propre point de vue. / This study aims to explore the elder’s home support, more narrowly the experience of people characterized as « in loss of autonomy » in a context where, on one hand, socioeconomic inequalities in this group are important, and, on the other hand, home support services tend toward a standardization and a commoditization. The concept of autonomy has been used to better apprehend the living conditions and the social relations that positively or negatively affect the wellbeing of elders at home, from their own perspective or from those of the visiting caregivers who work with them. The latter are generally mentioned in the literature has having a social and global perspective on the people they visit, as they are closely tied to them and intrude in their own living space. In the gerontology literature and in institutional documents, the dominant discourse related to wellbeing of the elderly (« successful aging » or, in French, « bien-vieillir ») is articulated around a functional conception of autonomy, depriving it of its more social and relational dimensions. This research has developed a social perspective on autonomy grounded in social sciences and based on authors such as Druhle, Sen, McAll, Honneth, Guillemard and Castoriadis. This conceptual framework relies on notions of recognition and social inequality and was used in analyzing our 10 semistructured interviews with caregivers and 14 more with elders receiving homecare. Each of the 10 caregivers were asked to relate their last three visits, adding up to a total of 30 case studies. At the crossroads of these narratives, the results of this research suggest that material and relational living conditions do have a decisive impact on elders’ possibility to « feel alive ». For those most disadvantaged and/or isolated, home support most often translates in situations of containment, of retention at home. With regards to relationships with caregivers, it appears that improvement of elders’ wellbeing receiving home support is related, among other things, to the creation of autonomous relational space where the person exists not only as a « body » with needs, but also as a « spirit ». Beyond the provided services, it is the kind of interaction (careful, mindful, respectful of habits, intentions and projects that fulfill the life of the assisted individuals), that occupies most of their narrative on home care services. According to the elders, from time to time, it seems that the health care system can have more significant positive impact by creating spaces propitious to collective autonomy and with marginal intervention.
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La priorisation des demandes en ergothérapie dans les programmes de soutien à domicile

Raymond, Marie-Hélène 09 1900 (has links)
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