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Street life : a case study on the social impact of participating in a film project on youths from the streets of Durban.Willis, Robin M. January 2011 (has links)
In the spring of 2010, I worked with four street youths from Durban to create a short
fictional film based on their lives. There were two main components to this project:
first, a series of drama workshops and second, the film-making process. The filmmaking
process consisted of the participants improvising scenes based on their street
lives that I captured on film. This project engaged with Theatre for Development and
Participatory Video practices.
The young man who initiated this project did so because he wanted to change people’s
perceptions of youths who lived on the streets. Additionally, he wanted to change his
own perceptions of himself.
The film provided baseline data regarding how the participants viewed themselves and
their lives on the streets. Analysis of interviews conducted after the completion of the
project, when compared with the baseline data, demonstrated social impacts that
occurred as a result of making the film. This data was coded and interpreted using
François Matarasso’s (1997) positive criteria for the social impact of participating in
arts projects as well as corresponding negative categories that I generated.
The film, once coded, demonstrated that the participants felt negatively about their
lives on the streets, with many examples emerging from the categories Lack of Social
Cohesion and Lack of Agency. In contrast, the interviews revealed positive social
impacts across all categories, but especially in relation to Personal Development, Local
Image and Identity, and Community Empowerment and Self-Determination (Matarasso
1997). The participants reported that they felt differently about themselves as a result
of the project. They also said that there had been a change in the way some people
treated them.
Findings revealed that the film project resulted in positive social impacts on the street
youth participants. As a result of the film, they engaged in critical thinking and
reflection related to Paulo Freire’s (1970) notion of praxis. They also wished for
changes in their lives and in some cases enacted change. It was significant that social
impacts and change extended to youths in difficult circumstances.
In conclusion, this research proved that participating in the film project broadened and
enriched the lives of the participants. Problems arose in terms of sustainability.
Further projects and research are needed to establish the possible impacts from longterm
and sustainable arts projects on youths from the streets. / Thesis (M.A.)-University of KwaZulu-Natal, Durban, 2011.
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La problématique des enfants de la rue à Port-au-Prince et les stratégies d'interventions des institutions de prise en chargeEugene, Chrismene 07 1900 (has links)
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Contribution à une sociologie politique de la jeunesse : jeunes, ordre politique et contestation au Burkina Faso / Contribution to a political sociology of youth : young people, political order and protest in Burkina FasoBonneval, Émilie Catherine Marie de 03 February 2011 (has links)
Malgré leur position défavorable dans les hiérarchies du pouvoir, les jeunesjouent un rôle majeur dans les processus de changement sociopolitique qui ontcours dans la société burkinabè. Ce groupe social semble alors constituer un outilefficace d’analyse du politique et, plus précisément, des rapports de contestation etde domination qui sont à l’oeuvre au Burkina Faso. En effet, les jeunes développentde multiples stratégies d’inscription dans l’espace public qui constituent, à desdegrés et selon des modalités différentes, des formes de contestation de l’ordrepolitique. Ainsi, en nous appuyant sur trois catégories de jeunesse (les étudiantssyndiqués, les jeunes des rues et les jeunes rappeurs ou adeptes de hip-hop), nousavons cherché à interroger, dans une perspective diachronique, la nature desrapports de domination à l’oeuvre dans la société burkinabè. Nous constatons quela portée limitée de ces formes de contestation de l’ordre établi s’explique engrande partie par le contexte hégémonique dans lequel elles s’inscrivent. Ainsi, lesressorts de la domination caractéristiques de l’ordre politique actuel reposent,selon nous, sur une « politique de la médiation » et sur une stratégie de« cooptation néo-patrimoniale » qui permettent le désamorçage des tensions et lerèglement des conflits, selon des procédures bien précises, avec pour objectif lapréservation de l’image consensuelle de l’ordre politique. Ces deux dimensionsconstituent, selon nous, les piliers d’une « culture politique » qui irradie unemultitude d’espaces sociaux et qui permet un échange médiatisé et permanent entredirigeants et dirigés. / In spite of their unfavourable position in the hierarchies of power, youngpeople play a major role in the processes of social political change, which occur inthe Burkina Faso society. Hence, this social group seems to be a good instrumentto efficiently analyse policy, and moreover the processes of contestation anddomination at work in Burkina Faso. Indeed, young people develop numerousstrategies carried out in public places, which to varying degrees and termsconstitute forms of contestation against the political order. Thus by relying onthree categories of youth (unionised students, street youth, and young rappers orfollowers of the hip-hop movement), we sought to examine in a diachronicperspective, the nature of relationships of dominance at work in the Burkina Fasosociety. We find that the limited impact of these forms of contestations against theestablished order can be largely explained by the hegemonic context in which theyarise. Therefore, in our mind, the characteristic domination of the current politicalorder are based on “the strategies of mediation” and “neo-patrimonial cooptation”,which diffuse tensions and regulate conflicts, according to very precise procedures,with the aim to preserve the consensual image of the political culture. In ouropinion, these two dimensions constitute the pillars of a “political culture”, whichspreads out from a multitude of social spaces and creates a permanent, mediatisedexchange between rulers and those who are ruled.
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"Staying Alive" while "Living the Life" : conceptualizations of risk among homeless youthMacDonald, Sue-Ann 06 1900 (has links)
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Projet Dauphine : laisser la parole aux jeunes femmes de la rue et agir ensemble pour lutter contre la violence structurelle par le biais de la recherche-action participativeFlynn, Catherine 12 1900 (has links)
Cette recherche-action participative s’inscrit dans un paradigme féministe intersectionnelle. Elle présente la façon dont sept jeunes femmes de la rue (18-23 ans) de Québec ont fait l’expérience de la violence structurelle et ont déployé des stratégies pour y faire face. Elle s’articule autour d’une définition de la violence structurelle inspirée de celle proposée par Farmer, Bourgois, Scheper-Hugues et al. (2004) qui la présentent comme étant le processus à la racine des inégalités sociales et de l’oppression vécue par différents groupes sociaux. Ce processus s’opère dans trois dimensions complémentaires soit : 1) la domination symbolique, 2) la violence institutionnelle et 3) la violence quotidienne.
Une analyse de contenu thématique a permis de dégager l’expérience des participantes dans chacune de ces dimensions. L’analyse de la domination symbolique a montré que les participantes ont été perçues à travers le prisme de quatre visions ou préjugés : 1) l’image de la jeune délinquante (Bad girl), 2) le discours haineux envers les personnes assistées sociales, 3) la culture du viol et 4) l’hétéronormativité. Les différentes expériences de violence quotidienne et institutionnelle vécues par les participantes peuvent être mises en lien avec ces manifestations de la domination symbolique. Les participantes ont expérimenté la violence institutionnelle à travers leurs trajectoires au sein des services de protection de l’enfance, durant leurs démarches pour obtenir un emploi, un logement ou du soutien financier de la part des programmes offerts par l’État et pendant leurs demandes d’aide auprès d’organismes communautaires ou d’établissements du réseau de la santé et des services sociaux. L’analyse de l’expérience des participantes a permis de révéler deux processus imbriqués de façon cyclique de violence structurelle : l’exclusion et le contrôle social. La plupart des stratégies
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expérimentées par les participantes pour combler leurs besoins fondamentaux les ont exposées au contrôle social. Le contrôle social a exacerbé les difficultés financières des participantes et a accru leur crainte de subir de l’exclusion.
Bien que la violence structurelle expérimentée par les participantes se situe à la croisée des rapports de pouvoir liée au genre, à la classe sociale, à l’âge et à l’orientation sexuelle, il se dégage que la domination masculine s’est traduite dans le quotidien des participantes, car l’exclusion et le contrôle social ont créé des contextes où elles ont été susceptibles de subir une agression sexuelle ou de vivre de la violence de la part d’un partenaire intime. L’analyse de la dimension intersubjective de la grille d’analyse de Yuval-Davis (2006) montre la présence de certains rapports de pouvoir liés à la classe sociale au sein même de la population des jeunes de la rue. Cette analyse souligne également la difficulté des participantes à définir les contours de la violence et d’adopter des rapports égalitaires avec les hommes.
Enfin, le processus de recherche-action participative expérimenté dans le cadre de cette thèse a été analysé à partir des critères de scientificité présentés par Reason et Bradbury (2001). L’élaboration de deux projets photos, choisis par le groupe en guise de stratégie de lutte contre la violence structurelle, a contribué à ouvrir le dialogue avec différents acteurs concernés par la violence structurelle envers les jeunes femmes de la rue et s’est inscrit dans une perspective émancipatoire. / This participatory action-research shows how seven street involved young women (18-23 years) in Quebec have experienced structural violence and how they deployed strategies to overcome. It is based on a definition of structural violence inspired by Farmer, Bourgois Scheper-Hughes et al., (2004) who presents this as the root of social inequality and oppression experienced by several social groups. This process operates in three complementary dimensions: 1) the symbolic domination, 2) institutional violence, and 3) the daily violence.
A content analysis has identified the participants experience in each of these dimensions. The analysis of symbolic domination revealed that participants were seen through four prejudices: 1) the bad girl, 2) prejudices against welfare recipients, 3) rape culture and 4) heteronormativity. The violence of everyday life and institutional violence experienced by participants may be connected with symbolic domination. Participants experienced institutional violence during their paths within the child protective system, through their efforts to get a job, housing or financial support from government programs, and during their requests for help from community organizations or establishments of the health and social services. It reveals two patterns of structural violence that mutually reinforce each other in a cycle: Social exclusion and social control. Most of participant’s strategies to overcome social exclusion and to fulfill their needs make them vulnerable to social control. Social control helps increase their financial difficulties and their fear of exclusion. These two patterns of structural violence had created context for sexual victimization and intimate partner violence. While structural violence experiences by participants is at the crossroads of power relationship related to gender, social class, age and sexual orientation, it emerges that male domiiv
nance is reflected in participants daily life. The analysis of the intersubjective dimension of Yuval-Davis grid (2006) identifies power relationship within the population of street youth, participants struggle to defining violence and to adopt egalitarian relationships with men.
Finally, an analysis of the participatory action-research process experienced in this thesis was conducted from Reason and Bradbury (2001)’s criteria of validity. The development of two photo projects, selected by the group as a strategy against structural violence, helped open a dialogue with various stakeholders involved in structural violence against street-involved young women.
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