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La Musique et les arts dans la collaboration du Groupe des Six avec les Ballets Suédois (1920-1925) / Music and arts in the collaboration of the Groupe des Six with the Ballets suédois (1920-1925)Vergnaud, Sabine 01 October 2010 (has links)
Rolf de Maré, directeur, et Jean Biirlin, chorégraphe, fondent à Paris, en 1920 les Ballets suédois. Durant ses cinq années d'existence, cette compagnie affiche la volonté de se libérer de l'hégémonie russe en proposant des programmes audacieux. Les plus novateurs d'entre eux sont réalisés avec la collaboration de compositeurs du Groupe des Six -Milhaud, Poulenc, Honegger, Auric, Tailleferre - mais aussi celle d'écrivains et de peintres tels Jean Cocteau, Paul Claudel, Blaise Cendrars, Ricciotto Canudo, Fernand Léger, Jean Hugo et Irène Lagut. Entre 1921 et 1923, la compagnie crée au Théâtre des Champs Elysées : L'Homme et son désir de Milhaud, Les Mariés de la Tour Eiffel des Six (sauf Durey), Skating Rink de Honegger, Marchand d'oiseaux de Tailleferre et La Création du monde de Milhaud. Autant de prototypes dans lesquels le théâtre, la peinture et la musique imposent un renouvellement chorégraphique constant,mais également un renouvellement du ballet comme genre. Cette thèse s'intéresse au rapport de ces compositions avec les autres arts sollicités dans une même énergie créatrice. L'étude génétique s'appuie sur la comparaison des partitions manuscrites avec les tapuscrits et manuscrits des livrets (conservés entre autres au Dans muse et de Stockholm, au fonds B. Cendrars des Archives Littéraires Suisses à Berne). Elle consulte aussi les correspondances, les maquettes de décors, de costumes, les esquisses chorégraphiques et permet de définir la place et le rôle de tous les acteurs de ces ballets. Elle souligne l'impact de la collaboration des Suédois avec les Six non seulement sur l'évolution de la danse mais aussi sur celle des autres arts. / The Ballets suédois was formed in Paris in 1920 by Rolf de Maré, director, and Jean Biirlin,choreographer. In its five-year existence, this company asserted its wish to break away from the Russianhegemony by proposing daring performances. The most innovative of them were created in collaborationwith composers from 'les six' such as Milhaud, Poulenc, Honeger, Auric or Tailleferre, and also with thecontribution of writers and painters such as Jean Cocteau, Paul Claudel, Blaise Cendrars, RicciottoCanudo, Fernand Léger, Jean Hugo or Irène Lagut. Between 1921 and 1923, the company stagedMilhaud's L'Homme et son désir and La Création du monde, Honegger's Skating Rink, Tailleferre'sMarchand d'oiseaux and The Marriage on the Eiffel Tower by 'les six' (to which Durey did notcontribute) at the Théâtre des Champs-Elysées; so many prototypes on which drama, painting and musicnot only imposed constant choreographic renewal, but a renewal of the ballet as a genre. This thesis dealswith the connection between those compositions and the different forms of art they combine in the samecreative energy. The genetic study is based on the comparison of the handwritten scores with thetapuscripts and the manuscripts of the librettos (kept at the Dansmuseet in Stockholm or at the FundsBlaise Cendrars of the Swiss Literary Archives in Bern). It also studies correspondence, models ofscenery, costumes, choreographic sketches and aims at defining the place and role of al! the performers in_those ballets. It stresses the impact the collaboration between the Swedish and 'les six' had, not only onthe evolution of dancing, but also on thal of other forms of arts.
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Visible et invisible dans le cinéma d'Ingmar Bergman : la matrice Fanny et Alexandre / The visible and the invisible in Ingmar Bergman’s cinema work : the Fanny and Alexander matrixBurdino, Fanny 09 December 2017 (has links)
En 1982, Ingmar Bergman avait pris la décision d’arrêter le cinéma avec une œuvre qu’il voulait ultime : Fanny et Alexandre. Il ne tint pas tout à fait parole et continua à réaliser des œuvres pour la télévision, ce qu’était déjà Fanny et Alexandre. Une fresque de 5h40, film somme et sommet cinématographique. Notre travail souhaite comprendre la complexité d’une œuvre qui renferme à elle seule tous les motifs du cinéaste. Notre désir est de l’étudier sous l’angle de deux notions : le visible et l’invisible. Ces notions viennent d’emblée interroger la présence et l’absence, le plein et le vide, le conscient et l’inconscient, le blanc, couleur de la transparence, et le rouge, celle de l’intérieur de l’âme. Il semble donc que les notions de visible et invisible sondent un univers clivé à l’image d’une œuvre qui, dans sa narration même, oppose la troupe de théâtre à la solitude de l’évêque, la foi dans l’imaginaire à la foi en Dieu, l’enfance à la vieillesse, la vie à la mort, le bien au mal, l’eau de la rivière au feu qui brûle vif le « diable ». Mais notre propos est de tenter de dépasser cette opposition formelle pour parvenir à démontrer sa réversibilité. Les dimensions de visible et d’invisible apparaissent finalement non comme duales mais complémentaires, elles sont un endroit et un envers, où l’invisible est la profondeur du visible. Nous supposons que cette réversibilité, c’est-à-dire un lien qui organise les opposés en manifestant en même temps leur interdépendance, montre comment l’esthétique baroque gouverne le cinéma bergmanien. / In 1982, Ingmar Bergman had decided to stop making movies with a piece of work he considered as final – Fanny and Alexander. He didn’t quite keep his word, and kept directing TV works – which he had already started to do with Fanny and Alexander. A 5h40-long epic, a comprehensive piece of work and a cinematic pinnacle. Our research tries to understand the complexity of a piece of work enclosing all of the filmmaker’s motifs. We wish to study it through two notions: the visible and the invisible. These notions immediately question the present and the absent, the full and the empty, the conscious and the unconscious, the white– the color of transparency –, and red as representing the inside of the soul. It thus seems that the notions of visible and invisible probe a divided universe, reflecting a piece of work which, in its very narrative, brings into opposition the theater troupe and the bishop’s solitude, belief in fantasy and faith in God, childhood and old age, life and death, right and wrong, the river stream and the fire that burns “the devil”… Yet, we wish to go beyond this formal opposition to demonstrate its reversibility. Indeed, the dimensions of the visible and the invisible eventually appear as being complementary rather than dual: they represent one side and its reverse, the invisible is the visible’s depth. From our study of the paradigmatic duo “the visible and the invisible”, we assume a reversibility, i.e. a bond that both structures opposites and brings out their interdependence – thus showing how baroque aesthetics reign over Bergman’s cinema.
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L'Etat face au social: la (re)définition des frontières de <br />l'Etat-providence en Suède.<br />Une analyse des politiques de prise en charge des personnes âgées dépendantes<br />et des jeunes enfants de 1930 à 2005.Morel, Nathalie 21 September 2007 (has links) (PDF)
Ce travail analyse le contenu et les transformations du modèle suédois d'Etat-providence à travers l'étude des politiques de prise en charge des personnes âgées dépendantes et des jeunes enfants de 1930 à 2005. Nous avons d'abord cherché à analyser et expliquer la teneur institutionnelle et idéologique de l'Etat-providence suédois à travers le domaine du care qui est central au modèle suédois et participe largement de sa spécificité. Nous avons considéré l'Etat-providence comme un contrat social spécifique entre l'Etat et ses citoyens et regardé comment se sont définies les “frontières” de l'Etat-providence, c'est-à-dire comment se sont définis les domaines légitimes et les modalités d'intervention de l'Etat en Suède. Nous avons ensuite analysé les transformations de l'Etat-providence suédois non pas seulement d'un point de vue politico-économique, mais aussi d'un point de vue plus sociologique, en retraçant les évolutions des rapports Etat-société qu'induisent ces transformations. Nous avons analysé les réformes successives dans les deux domaines, les logiques qui les ont guidées, les facteurs qui les ont déterminées, mais aussi l'impact de ces réformes. Nous avons ainsi pu tester l'hypothèse d'une éventuelle remise en cause du contrat social spécifique entre l'Etat et la société en Suède. Si on observe bien des transformations de ces deux politiques pendant les années de crise, notre analyse montre néanmoins une grande stabilité des principes et des institutions de l'Etat-providence suédois, qui a su susciter auprès de la population le soutien et les attentes qui participent de la solidité normative mais aussi des capacités d'adaptation du modèle.
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L'utilisation et l'acquisition des verbes de position en suédois L1 et L2 / Swedish posture and placement verbs in first and second language acquisitionHellerstedt, Maria 29 November 2013 (has links)
Les verbes de position suédois encodent la localisation statique (stå « être debout », ligga « être couché », sitta « être assis ») et dynamique (ställa « mettre debout », lägga « coucher », sätta « asseoir ») d'un objet concret ou d'une personne. Selon nos données, élicitées à partir de stimuli présentés à 98 participants, la fréquence élevée de l'emploi de ces verbes en assure une acquisition précoce par les enfants apprenant le suédois en tant que langue maternelle et par les francophones adultes apprenant le suédois en tant que langue étrangère. Or, leur complexité sémantique rend difficile leur utilisation dans la mesure où les choix d'un verbe ne correspondent pas toujours à ceux de la langue cible. En effet, les difficultés perdurent même à un haut niveau de compétence (enfants de 10 ans, apprenants L2 avancé). Un ordre d'acquisition se discerne d'une part selon le type de verbe (les verbes statiques sont appris avant les dynamiques), d'autre part selon les paramètres sémantiques (l'HORIZONTALITÉ et la VERTICALITÉ sont appris avant la BASE et le CONTACT/INCLUSION), et enfin selon le sens prototypique (acquis avant les sens élargis). Plusieurs stratégies sont utilisées par les apprenants pour résoudre ces problèmes : l'usage d'un verbe statique pour encoder une situation dynamique ; l'usage généralisé de l'un des verbes (généralement celui encodant l'HORIZONTALITÉ) ; l'usage collocationnel d'un verbe avec une Figure ; l'usage d'une ellipse verbale ou d'un verbe positionnellement neutre (ex. la copule). L'acquisition par les apprenants L2 de l'organisation discursive de la langue cible semble se faire en dernier lieu, due à la différence typologique des deux langues. / The Swedish posture verbs encode static (stå « stand », ligga « lie », sitta « sit ») and dynamic (ställa « stand », lägga « lay », sätta « set ») location of a person or a concrete object. The elaborated stimuli elicited data from 98 participants. Our data shows that the usage frequency of these verbs guarantees an early acquisition by children learning Swedish as their first language and by adult French-speaking learners of Swedish as a second language. However, their semantic complexity constitutes an obstacle for arriving at idiomatic language use with regard to choosing the correct verb. These difficulties exist even at high levels of competence (children of 10 years and advanced L2 learners respectively). An acquisition order can be distinguished regarding the verb type (static verbs are acquired before the dynamic ones), the semantic parameters (HORIZONTALITY and VERTICALITY are acquired before BASE and CONTACT/CONTAINMENT) and the prototypical meaning (acquired before the extended meanings). Several strategies are used by the learners to solve these problems: the use of a static verb to encode a dynamic situation; the generalized use of one of the verbs (generally the one encoding HORIZONTALITY); a collocational use of a verb and a Figure; the use of a verbal ellipsis or a positionally neutral verb, like the copula. The Swedish discourse organization seems to be acquired late by the L2 learners, due to the typological differences between the two languages.
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La culture alimentaire française en suédois : Une étude sur la traduction des différences culturelles entre le français et le suédois au sein de la culture alimentaireHaraldsson, Mathilda January 2015 (has links)
This essay discusses the subject of translating a French book about the French cuisine into Swedish. The author is Gérard Depardieu, a famous French actor with a keen interest in the French culinary art and culture. The book is about simple, classic, French cooking. While translating, we had some difficulties translating some cultural expressions or words that do not have an equivalence in Swedish, and therefore we had to find another solution than literal translation that would allow us to retain the cultural sense. To our help, we used the theories of Jean-Paul Vinay and Jean Darbelnet who discuss equivalence, explication, modulation and adaptation, which are different methods of translating a foreign culture to a target language. We also used the expressions foreignization (where you break target conventions by retaining a foreign cultural element in the original way) and domestication (where you translate the foreign element to something that exists in the target culture to minimize the strangeness). Our goal was to adapt the translated text to a Swedish reader, but at the same time keep as much of the French culture and Depardieu's style as possible.
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Les verbes à particule dans quatre traductions suédoises : Analyse contrastive entre langue source et langue cibleHolmé, Annika January 2010 (has links)
<p><strong>ABSTRACT</strong></p><p> </p><p><strong>Title</strong>: Les verbes à particule dans quatre traductions suédoise. Analyse contrastive entre langue source et langue cible.</p><p><strong>Language</strong>: French</p><p><strong>Author</strong>: Annika Holmé</p><p><strong>University/Department/Year: </strong>Linnæus University/School of Language and Literature/2010</p><p> </p><p> </p><p>In modern French there are no phrasal verbs and the aim of this essay is to analyse what happens to the meaning of French data, when translated into Swedish phrasal verbs. In Swedish there is very often a choice between a phrasal verb and a simple verb, for example <em>starta </em>et <em>starta upp</em>.</p><p>This is a contrastive analysis based on four different translations from French into Swedish, one of which is technical, one economic, one cultural and one political. In these four translations there were in total 128 examples of a Swedish phrasal verb, or in some cases past participles. Our analysis comprises the following particles (adverbs and prepositions): <em>av</em>, <em>i</em>, <em>ihop</em>, <em>in</em>, <em>ner</em>, <em>om</em>, <em>på</em>, <em>till</em>, <em>upp</em> and <em>ut</em>. We have analysed 43 cases where these particles have occurred.</p><p>First of all, we define the meaning of the French data (which is not always a verb) and then we define the Swedish translation with a phrasal verb. Next, we compare both meanings, in order to see if the presence of the particle has kept, changed or modified the meaning between source and target text. Finally, we explain the reason behind each translation.</p><p>Our analysis revealed that the meaning was sometimes made explicit, as in <em>spara in</em>. In other cases, the meaning was intensified, as in <em>driva på.</em> Furthermore, the analysis revealed a difference in levels of style, where in some cases the presence of a particle passed on a more informal style in the target text in comparison to the source text, as in <em>starta upp</em>.</p><p><strong>Keywords</strong>: translation, French, Swedish, phrasal verbs, comparison, meaning, Aktionsart</p><p> </p><p> </p><p> </p>
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Étude comparative de prépositions suédoises et françaises dans Lejontämjaren de Camilla Läckberg et dans sa traduction en français / Comparative study about Swedish and French prepositions in Lejontämjaren by Camilla Läckberg and its translation into frenchSwärd, Elias January 2019 (has links)
Le but de ce mémoire est d’étudier les relations entre les prépositions en suédois et en français. Les prépositions sont classifiées selon différentes catégories selon leur rôle syntaxique dans la phrase. Le livre analysé est Lejontämjaren de Camilla Läckberg et sa traduction en français Le dompteur de lions traduit par Lena Grumbach. Le résultat a montré que la catégorie la plus nombreuse était « la préposition avant le syntagme régi », c’est-à-dire que la préposition précède le nom, alors que la catégorie « la préposition en fonction absolue », c’est-à-dire qu’il n’y a pas de nom lié à la préposition, avait le plus petit nombre d’occurrences. Dans les phrases analysées, la traduction était dans l'ensemble fidèle au texte de la langue source, c’est-à-dire la langue dans laquelle le texte original a été écrit. Il y avait plusieurs cas de généralisation sémantique dans le corpus, ce qui signifie que le traducteur traduit un lexème (unité lexicale de base) suédois sémantiquement complexe par un lexème français moins complexe. / The goal of this thesis is to study the relations between prepositions in Swedish and French. The prepositions are classified into different categories according to their syntactical role in the sentence. The analyzed book is Lejontämjaren by Camilla Läckberg and its translation into French Le dompteur de lions translated by Lena Grumbach. The result showed that the largest category was ” the preposition before the governed phrase” , that is, when the preposition precedes the noun, whereas the category ” the absolute preposition” , that is, when there is no noun related to the preposition, had the smallest number of occurrences. In the analyzed sentences, the translation was on the whole faithful to the text of the source language, which is the language in which the original text was written. There were several cases of semantic generalization in the corpus, which means that the translator translates a semantically complex Swedish lexeme (basic lexical unit) into a less complex French lexeme.
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Les verbes à particule dans quatre traductions suédoises : Analyse contrastive entre langue source et langue cibleHolmé, Annika January 2010 (has links)
ABSTRACT Title: Les verbes à particule dans quatre traductions suédoise. Analyse contrastive entre langue source et langue cible. Language: French Author: Annika Holmé University/Department/Year: Linnæus University/School of Language and Literature/2010 In modern French there are no phrasal verbs and the aim of this essay is to analyse what happens to the meaning of French data, when translated into Swedish phrasal verbs. In Swedish there is very often a choice between a phrasal verb and a simple verb, for example starta et starta upp. This is a contrastive analysis based on four different translations from French into Swedish, one of which is technical, one economic, one cultural and one political. In these four translations there were in total 128 examples of a Swedish phrasal verb, or in some cases past participles. Our analysis comprises the following particles (adverbs and prepositions): av, i, ihop, in, ner, om, på, till, upp and ut. We have analysed 43 cases where these particles have occurred. First of all, we define the meaning of the French data (which is not always a verb) and then we define the Swedish translation with a phrasal verb. Next, we compare both meanings, in order to see if the presence of the particle has kept, changed or modified the meaning between source and target text. Finally, we explain the reason behind each translation. Our analysis revealed that the meaning was sometimes made explicit, as in spara in. In other cases, the meaning was intensified, as in driva på. Furthermore, the analysis revealed a difference in levels of style, where in some cases the presence of a particle passed on a more informal style in the target text in comparison to the source text, as in starta upp. Keywords: translation, French, Swedish, phrasal verbs, comparison, meaning, Aktionsart
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Les propositions subordonnées : Analyse contrastive des différences structurales en traduction du français au suédoisHEDMAN, ANITA January 2011 (has links)
When we compare the grammatical structure of texts in French and Swedish, we notice important differences. The aim of this essay is to make a contrastive analysis on a French economic text which we have translated into Swedish. We focus on what types of French constituents we can find that correspond to Swedish subordinate clauses of different types. We are also interested in examining the French subordinate clauses to see how they have been translated into Swedish.
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La traduction des termes médicaux liés au cancer du sein / Translation of medical terms related to breast cancerMilebe Malanda, Fleury Florence January 2017 (has links)
Breast cancer is a disease that affects many women in the world. That’s why many European states and even other nations in the rest of the world are spending a lot of money on early detection of disease, treatment, research and even the follow-up of patients after recovery. Today, with the development of science and globalization, the European states share the results of their research to permit to all women in Europe and in the world to benefit from this progress. But for these sharing of experiences to be possible, different documents in relation to the disease and its treatment must be translated from one language to another. In this study, we have translated a Swedish health website (Vårdguiden 2016) into French, specifically its pages devoted to breast cancer, and written by Anna Dahllöv. The aim of this work is to analyze the translation of specialized words from Swedish into French and to see what translation strategies are used for this type of text. Also, taking into account the specificity of medicine, this translation work requires a knowledge in this area not only in the source language, but also in the target language. During this study, several specialized words that are almost identical in both languages (Swedish and French) were discovered. These words have been borrowed from Greek or Latin and are now to be found in several Western languages. That is why we used the theories of Jean-Paul Vinay and Jean Darbelnet who, in their book Stylistique comparée du français et de l’anglais (1958) to explain the strategies of adaptation, explanation, borrowing, additions and deletions or suppressions. These different theories helped us to bring the message of the source text into the target text, and to keep the same technical and straightforward style used by the source text of Anna Dahllöv.
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