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Etude de langages interprétables par une machine langage de haut niveau

Park, Seung Kyu 26 March 1982 (has links) (PDF)
Cette étude présente : 1) une définition "isomorphique des langages" afin d'établir un langage machine (LM) de la machine langage de haut niveau (LHN); 2) un traducteur isomorphe de cette machine LHN. Le langage I-Pascal est analysé dans le cadre de ce formalisme et le traducteur isomorphe de Pascal est construit sur la syntaxe modifiée en cherchant une possibilité de réalisation par des modules matériels, éventuellement par des systèmes VLSI
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La syntaxe comparée du breton

Jouitteau, Mélanie 12 February 2005 (has links) (PDF)
Cette thèse fournit une analyse détaillée d'une langue généralement peu étudiée, le breton (celtique continental contemporain). Son but est double: (i) - proposer une référence solide pour l'étude de la langue bretonne, ainsi que des langues celtiques et sémitiques. Je résume et évalue les différentes propositions qui ont été faites, et propose de nouvelles solutions, originales, efficaces et argumentées. (ii) - rendre accessible pour la communauté linguistique les réponses et nouvelles questions que le breton offre a certains enjeux théoriques cruciaux pour la grammaire générative et la typologie des langues. Je montre, en particulier, que la langue bretonne est un cas précieux pour enquêter sur le Principe de Projection Etendue (EPP), ou pour le débat sur la caractérisation des propriétés verbo-nominales. En accord avec mes résultats, je propose une nouvelle classification typologique des langues qui transcende l'ancienne opposition langue a verbe second vs. langue a verbe premier (V2/V1). Le Chapitre 1 présente les caractéristiques majeures des langues X(P)-VSO, illustrées par les langues celtiques et sémitiques anciennes et modernes, ainsi que par le Chacaltongo Mixtec. Le Chapitre 2 examine avec minutie l'architecture de la phrase bretonne, de la structure vP a la périphérie gauche étendue, résumant et discutant les principaux enjeux de la dérivation des phrases bretonnes. Je propose que la négation préverbale est une tête C, et que les particules préverbales (rannigs) sont des têtes FinP réalisant un accord catégoriel avec l'élément préverbal. Je montre que le sujet préverbal peut montrer des propriétés A. Dans le chapitre 3, je fournis une analyse compréhensible et détaillée de l'EPP, et montre comment les faits du breton écartent différentes versions de ce Principe. Ma formulation de l'EPP étend l'inventaire des explétifs a tout élément préverbal, qu'il soit une tête ou un XP. L'inventaire des explétifs peut donc crucialement comprendre des têtes C. Cette hypothèse prédit qu'il n'existe pas de langue strictement VSO. Les langues dites a verbe initial sont dérivées soit par mouvement du VP évacué, soit par mouvement de la tête verbale accompagné d'une stratégie explétive, qui obtient le type X(P)-VSO. Cette proposition est consistente avec la généralisation que les langues a verbe initial ont des particules préverbales. Je reconnais les explétifs nuls lorsqu'ils sont apprenables et interprétables. Je montre par example comment des particules explétives C en irlandais et en arabe sont apprenables car interprétables pour l'accord verbal. Le marquage [3.sg] qui apparait sur le verbe fléchi quand les sujets ne cliticisent pas est la réalisation d'une relation d'accord avec la tête C préverballe, un cas d'accord gelé provoqué par la localité. Dans le chaptre 4, je me concentre sur les Paramètres spécifiques au breton. Contrairement a l'irlandais ou l'arabe, le breton n'a pas d'explétifs nuls (ni pro, ni Tête C de matrice). La caractéristique V2 du breton découle donc de l'EPP. Cependant, le breton est caractérisé, comme l'irlandais ou l'arabe, par des effets de complémentarité dans le système d'accord. Je montre comment l'accord gelé est déclenché par un autre type d'internenant pour l'accord: la structure verbale vP elle-même (Jouitteau & Rezac 2006, Jouitteau 2005). Les traits du sujet sont la cible la plus proche pour l'accord uniquement dans les cas ou le sujet dépasse l'intervenant vP [3.sg] vP intervener (cliticisation). Je montre ensuite comment ce simple Pramètre, l'interprétabilité des traits phi de la structure vP, dérive des propriétés majeures caractéristiques de la langue. Comme des DPs, les structures verbales du breton montrent des effets de filtre sur le Cas et déclenchent la réalisation 'a' du rannig. Comme des DPs, les structures verbales peuvent déclencher l'état construit. Il en résulte que la langue n'a pas de Cas accusatif et marque les arguments internes du Cas génitif. L'interprétabilité des traits phi du vP prédisent correctement des faits autrement inexpliqués. En particulier, une analyse prépositionnelle de 'avoir' prédit sa singularité en termes d'accord car la préposition qui acceuille le sujet est toujours plus haute que le vP. Le sujet devient donc la cible la plus proche pour l'accord, indépendemment de ses propriétés clitiques. Le Chapitre 5 démontre avec minutie comment l'EPP prédit exactement quels ordres de mots sont possibles en breton, et quels ordres de mots sont impossibles. Les élément préverbaux motivés sémantiquement satisfont automatiquement l'EPP et les stratégies explétique de dernier ressort apparaissent dans les phrases a focus large. Je développe la proposition de Holmberg (2000) que les explétifs peuvent être créés par séparation des traits et mouvement subséquent. Comme stratégie de dernier ressort pour satisfaire l'EPP, le plus proche élément postverbal dans la dérivation monte en position préverbale en laissant in situ ses traits sémantiques. Ceci dérive élégamment trois propriétés majeures du breton: les propriétés A disponibles pour un sujet préverbal, l'existence de phrases SVO a focus large, et les paradigmes dits du 'long mouvement de tête' (Long Head Movement) qui antéposent une tête evrbale non-fléchie par dessus un auxiliaire, en dépit de la contrainte sur le mouvement des têtes. Le Chapitre 6 continue l'extension de l'inventaire des explétifs et présente un paradigme entièrement nouveau du français dialectal. Dans le français Atlantique (SVO), l'effacement du sujet est autorisé si et seulement si une tête C préverballe est insérée. La morphologie de cette tête C préverballe n'est pas réalisée par le canal segmental, mais par un son ou geste ostencible quelconque. J'analyse ce paradigme comme le résultat d'une stratégie explétive multicanale et j'ouvre sur les implications que cela a, de la typologie des explétifs a la méthodologie de récolte des données.
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Phénomènes d'interface, stades d'acquisition et variabilité : explications en termes de degrés de complexité computationnelle

Mercier, Steeve 17 April 2018 (has links)
Cette étude suggère que ce n'est pas les interfaces en général qui causent des difficultés en acquisition d'une L2, mais la complexité computationnelle qui leur est inhérente et qui provoque un important fardeau sur la mémoire de travail. Lorsque les apprenants ne peuvent gérer cette complexité, les comportements non cibles (ex. omission, transfert, surgénéralisation, variabilité) découlent de considérations computationnelles forçant naturellement des options structurelles plus économiques (O'Grady et al., 2009). L'acquisition des clitiques accusatifs du français le et me par des apprenants japonophones adultes a été examinée. Ces clitiques impliquent deux interfaces qui peuvent être étudiées en parallèle - syntaxe/phonologie, syntaxe/pragmatique - et leurs propriétés multimodulaires sont absentes en japonais : la catégorie SCAcc (en syntaxe); le segment IV, plus deux propriétés phonotactiques (en phonologie); le statut [+ argumentai] de la catégorie Temps, qui ne permet pas l'omission de l'objet même si le contexte identifie les referents (en pragmatique). Notre hypothèse principale est que les apprenants vont acquérir la syntaxe des clitiques avant qu'ils ne puissent en maîtriser les propriétés aux interfaces. La raison est que le traitement des interfaces, avec leurs propriétés multimodulaires, implique un travail computationnel accru par rapport au traitement de la syntaxe seule (Sorace, 2006). Les résultats, provenant de cinq tâches administrées à 15 apprenants débutants, 15 intermédiaires, 15 avancés et à 15 locuteurs natifs, confirment notre hypothèse : les intermédiaires, qui ont acquis la syntaxe des clitiques en raison de leurs jugements grammaticaux cibles (comme ceux des natifs), ne peuvent toujours pas intégrer en parallèle les propriétés des clitiques lors de tâches de production induite écrite (ciblant l'interface syntaxe/pragmatique) et orale (ciblant en particulier l'interface syntaxe/phonologie). Leurs résultats moyens à ces tâches, soit 46,8% et 45,6%, sont significativement inférieurs à ceux des locuteurs natifs, lesquels atteignent 87,4% et 88,9%. En fait, ce n'est qu'à partir du niveau avancé que les apprenants sont en mesure de gérer les coûts de traitement des interfaces syntaxe/phonologie et syntaxe/pragmatique. Une analyse plus fine à partir de tâches de perception et de répétition révèle cependant que, contrairement aux natifs, les avancés (tout comme pour les débutants et les intermédiaires) ont d'importantes difficultés avec la phonologie cible, particulièrement avec le phonème /1/ du clitique le.
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Les Res gestae Alexandri Macedonis de Julius Valerius. Études lexicales, syntaxiques et stylistiques

Foubert, Frédéric 18 December 2007 (has links)
Les conquêtes et les hauts faits d’Alexandre le Grand ont fait l’objet d’une tradition romanesque à laquelle est donné le titre générique de Roman d’Alexandre ; elle est connue par le biais de nombreuses versions, traductions et adaptations. L’objectif de la thèse est d’évaluer les prétentions littéraires des Res gestae Alexandri Macedonis de Julius Valerius, première version latine connue de ce Roman. Le texte – envisagé comme objet littéraire autonome, en raison, notamment, de la perte de l’original grec dont il constitue la traduction – a été analysé au travers de trois séries d’études, portant sur le lexique, la syntaxe verbale et les figures de style. Effectués sur la base de la dernière édition de référence (ROSELLINI 2004²), ces dépouillements offrent la première vision approfondie des ambitions qui caractérisent la démarche de l’auteur ; ils ont permis en outre d’envisager, à titre d’hypothèse, l’objectif de ce dernier : dans un monde en voie de christianisation, donner à l’élite politique et culturelle un nouvel accès à texte consacré à l’une des figures les plus célèbres de la culture païenne.
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Description de la variation : Études transformationnelles des phrases du français de Côte d'Ivoire

Boutin, Béatrice Akissi 11 June 2002 (has links) (PDF)
Ce travail articule ensemble une étude sociolinguistique et un travail d'analyse syntaxique s'inscrivant dans la ligne du modèle des lexiques-grammaires élaboré par M. Gross. La première partie montre que le français de Côte d'Ivoire est fruit d'une situation complexe dans laquelle sont entrées en contact diverses variétés de français (tirailleur, colonial, populaire urbain, standard de France contemporain, etc.) et les langues ivoiriennes (notamment le dioula et le baoulé, à la fois vernaculaires et véhiculaires, largement répandus), supports de représentations et de comportements cognitifs que ne véhicule pas le français standard de France. Actuellement, le français de Côte d'ivoire est en cours de "nativisation" (R. Chaudenson) et les représentations des Ivoiriens confirment sa vernacularisation : le français ivoirien ne suscite pas de jugement de valeur de la part de l'interlocuteur ivoirien francophone. Il fait ainsi l'objet d'une appropriation (G. Manessy) par la communauté ivoirienne. La représentation homogène du français de Côte d'Ivoire, malgré la pluralité de ses formes, tout comme la confusion fréquente du nouchi avec le français populaire ivoirien, montrent le degré de cette appropriation identitaire du français. La première partie permet de resituer nombre de restructurations mises en évidence dans la seconde partie qui porte sur la description syntaxique de faits relevant de plusieurs variétés, orales comme écrites. L'étude, menée dans le cadre de la grammaire transformationnelle harrissienne, en contraste avec le français de France, et avec le dioula et le baoulé examine la syntaxe du verbe et de la phrase simple, puis la syntaxe du nom. La plupart des spécificités syntaxiques du français de Côte d'Ivoire s'analysent comme des omissions ou des variations de mots grammaticaux, essentiels en français de France : complémenteurs, déterminants, pronoms, complémenteurs, prépositions. D'autres faits se présentent comme une extension à d'autres éléments de propriétés existant en français de France dans certaines constructions (locatives, moyennes ou neutres, adjectivales). Certains phénomènes, enfin, atteignent des zones invariantes dans les variétés occidentales de français. C'est le cas de la création du complémenteur pour introducteur de verbe à l'infinitif, de la préposition locative avec, de la forme pro-nominale pour suivi d'un nom. La comparaison avec la syntaxe des langues ivoiriennes montre qu'il est souvent difficile d'expliquer l'élaboration de la variation du français de Côte d'Ivoire : des facteurs intra- inter- et extrasystémiques sont mêlés. Ces analyses linguistiques confirment l'existence de règles syntaxiques propres et rendent ainsi visible une norme endogène systémique qui ne jouit d'aucune portée prescriptive officielle, mais est largement utilisée par des journalistes, enseignants, politiciens, et est souvent la seule référence pour les autres locuteurs. Cette approche vise à objectiver la norme ivoirienne du français, préparant ainsi sa possible standardisation.
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Algorithmes pour le traitement interactif des langues naturelles

Courtin, Jacques 28 October 1977 (has links) (PDF)
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Analyse du français comme langage de commande dans un système de construction graphique

De La Fayolle, Bruno 16 November 1976 (has links) (PDF)
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Définition et implantation de la sémantique des langages de programmation

Willis, Bruce 22 March 1974 (has links) (PDF)
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Grammaire des constructions coordonnées. Coordinations simples et coordinations à redoublement en français contemporain.

Mouret, François 17 February 2007 (has links) (PDF)
DANS CETTE THESE, NOUS EXAMINONS LES PROPRIETES SYNTAXIQUES ET INTERPRETATIVES DES COORDINATIONS SIMPLES (PAUL IRA À LONDRES ET À VENISE) ET DES COORDINATIONS À REDOUBLEMENT (PAUL IRA ET À LONDRES ET À VENISE) EN FRANÇAIS ET LEUR INCIDENCE SUR UNE THÉORIE GÉNÉRALE DE LA COORDINATION. LA PROPOSITION CENTRALE QUI EST DÉVELOPPÉE, SUR LA BASE DE LA COMPARAISON SYSTÉMATIQUE DES DEUX TOURS, EST QUE LA COORDINATION DOIT ÊTRE ANALYSÉE COMME UNE HIÉRARCHIE DE CONSTRUCTIONS DISTINCTE DE CELLE QUI CARACTÉRISE LES STRUCTURES DE DÉPENDANCE ORGANISÉES AUTOUR D'UNE TÊTE. CETTE HIÉRARCHIE PERMET DE DÉCRIRE SIMULTANÉMENT LES PROPRIÉTÉS GÉNÉRALES DES CONSTRUCTIONS COORDONNÉES, QUI JUSTIFIENT QU'ON DISTINGUE CELLES-CI DES STRUCTURES ENDOCENTRIQUES, ET LES PROPRIÉTÉS FINES DE NATURE SYNTAXIQUE, SÉMANTIQUE, DISCURSIVE ET CONTEXTUELLE QUI SÉPARENT LES COORDINATIONS SIMPLES DES COORDINATIONS À REDOUBLEMENT DANS LA GRAMMAIRE DU FRANÇAIS. L'ÉTUDE COMPARÉE DES DEUX TYPES DE COORDINATIONS FOURNIT PAR AILLEURS UN SUPPORT EMPIRIQUE EN FAVEUR D'UNE ANALYSE SANS ELLIPSE DES COORDINATIONS DE SÉQUENCES DE CONSTITUANTS (PAUL OFFRIRA (ET) UN DISQUE À MARIE ET UN LIVRE À JEAN) ET PLUS GÉNÉRALEMENT EN FAVEUR D'UNE ANALYSE SANS ELLIPSE DES DIVERSES COORDINATIONS DE CATÉGORIES DISSEMBLABLES (MARIE ADORE (ET) LE CINEMA ET FAIRE LES BOUTIQUES). NOS RÉSULTATS SONT EN PRINCIPE COMPATIBLES AVEC TOUS LES CADRES THÉORIQUES QUI PLACENT AU COEUR DU DISPOSITIF GRAMMATICAL LA NOTION DE CONSTRUCTION. NOUS PRÉSENTONS UNE MODÉLISATION DANS LE CADRE HPSG, QUI PERMET D'EXPLICITER LES ANALYSES SYNTAXIQUES DÉVELOPPÉES ET D'EN ASSURER LA COHÉRENCE D'ENSEMBLE.
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L'afar : description grammaticale d'une langue couchitique (Djibouti, Erythrée et Ethiopie ) / Afar : grammatical description of a Cuchitic Language (Djibouti, Eritrea and Ethiopia )

Kamil, Mohamed Hassan 27 May 2015 (has links)
Cette description grammaticale de l’afar s’appuie essentiellement sur des données recueillies sur le terrain auprès de très nombreux locuteurs afarophones, vivant à Djibouti, en Erythrée et en Ethiopie. La richesse des données a permis de prendre en compte les variantes dialectales tout au long de la description. Celle-ci s’organise autour de plusieurs parties : système phonologique et phonétique, système nominal, système verbal, et syntaxe de l’énoncé. Cette étude a permis de mieux évaluer l’originalité de certains traits connus mais aussi de mettre en valeur des traits peu connus voire ignorés jusqu’à présent. Citons entre autres : redéfinition du statut de la rétroflexe ; approfondissement des valeurs sémantiques et syntaxiques attachées aux différents procédés de dérivation nominale et verbale ; illustration du rôle primordial de la relative dans une langue où il n’y a pas de catégorie « adjectif » ; étude détaillée de la polarité de genre et de l’accord du verbe en genre non en nombre (accord au singulier avec un nom marqué comme pluriel) ; distinction entre noms adverbiaux et adverbes sur des critères syntaxiques; mise en valeur de la portée syntaxique et sémantique des quatre postpositions; meilleure définition de la catégorie des idéophones sur le plan morphophonologique, syntaxique et sémantique ; mise en lumière des procédés de topicalisation. En apportant un nouvel éclairage sur l’afar, à l’intérieur du couchitique et de la famille afro-asiatique, cette thèse se veut aussi une contribution à la typologie des langues. / This grammatical description of Afar is mostly based on fieldwork data collected from a great number of Afar speakers living in Djibouti, Eritrea and Ethiopia. The wealth of data has allowed us to embrace dialectal variations in the description. This description has been built around several components: the phonological and phonetic system, the nominal system, the verbal system, and the syntax.This study leads us to better assess the originality of some features that are already known, and also to bring out other features that were not well known or unknown until now: redefinition of the status of retroflex consonants ; enhanced understanding of semantic and syntactic values of different processes of nominal and verbal derivation ; illustration of the crucial role of the relative clause in a language without adjectives ; detailed study of gender polarity and verb agreement in gender – and not in number – (agreement in the singular with a name marked in the plural) ; differentiation between adverbial names and adverbs on the basis of syntactic criteria ; highlight of the syntactic and semantic significance of four postpositions ; better definition of ideophones from the morphophonological, syntactic and semantic aspects ; highlight of topicalization processes. By shedding new light on Afar within the Cushitic and Afro-Asian family, this thesis aims also to contribute to language typolog*y.

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