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La fiction dans les témoignages de Jorge Semprun

Archambault, Annie January 2007 (has links) (PDF)
Les années qui ont suivi immédiatement la fin de la Seconde Guerre mondiale et la libération des camps ont été le lieu de la publication d'une multitude de témoignages. La communauté savante -historiens, anthropologues, sociologues -qui a normalement la tâche ardue et complexe d'historiser les faits ne sait pas comment interpréter cette abondante littérature. Ce sont les psychologues et les littéraires qui s'y intéressent d'abord. À partir de 1948, les survivants font face à un mur du silence: on veut passer à autre chose. Les manuscrits trouvent difficilement une maison d'édition, non pas seulement à cause d'une saturation, mais plutôt par la nature même du sujet traité. Dans ce climat difficile où la vérité historique ne concorde pas toujours avec la vérité racontée, qu'en est-il des oeuvres de fiction? C'est dans cette optique que j'étudie deux ouvrages de Jorge Semprun, survivant du camp de Buchenwald. Le grand voyage (1963) et L'écriture ou la vie (1994) racontent l'expérience marquante vécue dans l'univers concentrationnaire nazi. Contrairement à d'autres témoignages sur les camps, l'auteur transgresse le type conventionnel du compte rendu objectif par un travail de création. Dans ce mémoire, je cherche à montrer comment Semprun utilise le travail de création et l'artifice de l'art pour transmettre l'indicible, c'est-à-dire ce qui ne semblait pas pouvoir être raconté: la vérité essentielle de l'expérience vécue. Ce mémoire se déploie en trois parties. Tout d'abord, afin de bien cerner l'importance de l'acte testimonial, il est important de définir le rôle du témoin dans le contexte particulier de la Seconde Guerre mondiale. Ensuite, puisque le corps est central à l'expérience vécue, il est possible d'observer sa fonction dans la construction de la mémoire. Finalement, il faut dégager les divers mécanismes d'écriture utilisés par l'auteur. De cette manière, à la fin du travail, le rôle prépondérant de la création littéraire dans l'élaboration du témoignage peut être clairement mis en évidence. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Fiction, Témoignage, Camps, Mémoire, Corps.
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Témoignages féminins de la vie sexuelle : pornographie, féminisme, subversion

Ledoux, Lucie 11 1900 (has links) (PDF)
Il s'agit, dans cette thèse, d'observer les témoignages féminins de cinq auteures contemporaines qui rendent compte d'un événement sexuel qui a été vécu comme une interruption dans l'ordre normal de leur vie. Pour dire quelque chose de cet arrêt, qui est parfois vécu comme une suspension de la moralité et du temps, voire comme une absence à soi, l'utilisation des codes de la pornographie s'avère peut-être nécessaire. Ce faisant, les auteures que nous étudions dans cette thèse subvertissent, par leurs discours féministes, les discours dominants (masculins) sur la sexualité. La violence que la sexualité pornographique exerce sur le corps des femmes et, d'autre part, le fait que les narratrices parviennent, grâce à la pornographie, à nommer leur sexualité et à la projeter dans le littéraire nous permet certainement d'affirmer que leur témoignage est à la fois un engagement personnel et un postulat théorique. Par conséquent, les textes convoqués (Passion simple, Se perdre, L'usage de la photo d'Annie Ernaux, L'inceste de Christine Angot, La vie sexuelle de Catherine M., de Catherine Millet, Putain de Nelly Arcan, Le lien de Vanessa Duriès et Confessée de Marie L.) le sont afin d'illustrer le problème de la prise de parole des femmes en matière de sexualité : est-ce que la femme est (encore) du côté du manque, de l'atrophie, du vide? L'appareil critique nous permettra d'approcher les textes à l'étude selon trois axes : le féminisme queer, les notions de témoignage et d'aveu, et la pornographie. Nous aurons l'occasion de dresser un rapide portrait des théories les plus importantes de l'histoire du féminisme français, ainsi que d'exposer les codes pornographiques selon un point de vue philosophique. Ces discours seront observés à la lumière des théories de Michel Foucault (Histoire de la sexualité) ; nous allons, par conséquent, nous intéresser à la place qu'occupe la vérité dans le témoignage sexuel et les liens qu'entretiennent pornographie et éthique. De plus, nous observerons la place que tient l'obscène (littéralement : à l'extérieur de la scène) qui est historiquement lié au masculin et réservé à un public restreint. Or, les récits des auteures qui font partie de ce corpus sont justement ceux d'une réappropriation d'un discours sur le sexe. Dans ces témoignages, la limite entre ce qui peut être affiché publiquement et ce qu'il est préférable de garder caché est extrêmement fragile, car c'est la projection de l'intime dans le public qui crée l'obscène. Aussi, la question de la mise en scène de l'obscène comme lieu à la fois de la mémoire vivante et de la perte, est primordiale. On peut aisément affirmer de ces auteures qu'elles revendiquent l'aspect esthétique et le caractère obscène de leurs témoignages. Le pornographique est même parfois érigé en philosophie de vie. Mais rendre l'obscène esthétique équivaut à transgresser une loi généralement admise sur ce qui est représentable ou non en matière de sexualité. Le problème est de savoir comment déterminer ce qui est obscène et ce qui ne l'est pas, il est indéniable pour que ces femmes, ce qui est habituellement caché est dorénavant on/scène : exposé au-devant de la scène publique. Si les femmes ont longtemps été celles qui n'avaient qu'un vide, un manque, une lacune, et étaient entièrement tournées vers leur envie de pénis, comment peuvent-elles être représentées dans la pornographie? Quelle peut être « la vérité du sexe » d'un sexe qui n'en n'est pas un? (Luce Irigaray) Est-ce à partir de cette « lacune » que certaines auteures contemporaines ont voulu laisser des traces d'elles-mêmes dans l'écriture? ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Pornographie, témoignages, féminisme, queer, littérature contemporaine.
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Pourquoi la fiction? : la fiction dans l'écriture concentrationnaire de Jorge Semprun et d'Imre Kertész : une question éthique et esthétique

Bernier, Stéphanie January 2013 (has links)
L'expérience des camps de concentration et d'extermination nazis a fait l'objet d'une multitude de publications dès les lendemains de la libération. Si plusieurs récits de déportation appartiennent à des formes "extrafictionnelles" (journal intime, autobiographie, récit de vie), certains déportés privilégient néanmoins la fiction pour rendre compte de leur expérience. Ce choix apparaît paradoxal puisque pour plusieurs la transformation de cet événement extrême de l'histoire occidentale soulève de nombreux enjeux moraux. Dans ce débat littéraire et éthique, dont l'une des figures les plus connues est Claude Lanzmann, représenter le génocide juif par la fiction représente une transgression, la fiction menaçant de banaliser les événements. À la lumière de ces critiques et face à la suspicion à l'égard du récit fictionnel, pourquoi ces écrivains-déportés choisissent-ils la fiction? Le présent mémoire vise à répondre à cette question par l'analyse d'une partie de l'oeuvre de deux auteurs déportés à Buchenwald, Imre Kertész et Jorge Semprun. L'étude de quatre textes s'impose puisque ces auteurs ont non seulement publié des romans sur leur expérience des camps (de Jorge Semprun Le grand voyage, 1963 et d'Imre Kertész, Être sans destin, 1998 pour l'édition française), mais ils ont, sous diverses formes, notamment par la fiction (dans L'écriture ou la vie, 1994 et Le refus, 2001) ou dans des entretiens accordés et discours prononcés, mené une réflexion à propos de leur écriture, proposant leurs réponses à plusieurs interrogations que nous soulèveront : comment écrire les camps? Quel langage employer? Quelle forme? Ces auteurs, nous le verrons, problématisent de manière particulière leur rapport à la fiction. En ce sens, la question "pourquoi la fiction?" requiert une segmentation des lieux de réponse. Il s'agira de procéder en trois temps. Dans le premier chapitre, comme les auteurs, par leur statut de "revenant", occupent une place centrale dans notre analyse, nous reconstituerons leurs conditions de déportation et étudierons l'épitexte auctorial public. Le deuxième chapitre, consacré à L'écriture ou la vie (Semprun) et Le refus (Kertész), met au premier plan la rencontre entre l'expérience concentrationnaire et l'expérience d'écriture. Par divers procédés, la fiction livre un discours sur elle-même, ce qui nous permettra de préciser notr question de départ. De cette manière, nous progresserons vers le troisième chapitre portant sur les oeuvres initiales : Le grand voyage et Être sans destin, points de départ et d'arrivée de notre problématique. Certains axes de réponse parcourront l'ensemble du mémoire. Que ce soit dans les oeuvres de fiction ou dans leur discours, les auteurs dévaluent le régime testimonial, inapte, selon eux, à dire la vérité des camps. Par le roman, ils répondent au mensonge historique du Troisième Reich. Entre l'exigence littéraire et de vérité, les auteurs cherchent à transmettre leur expérience, à saisir l'essentiel de celle-ci, et à rétablir une part de vérité historique par la fiction.
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La collection "terre humaine" de Jean Malaurie (1955-2015) : littérature, anthropologie et photographie / Jean Malaurie’s « Terre Humaine » publishers’ series (1955-2015) : literature, anthropology and photography

Couvidat, David 29 June 2017 (has links)
La collection « Terre Humaine » (1955-2015) dirigée par un géographe et explorateur français, Jean Malaurie, se présente comme un espace de diffusion d’idées, d'objets, et de pratiques permettant d’explorer, dans la seconde moitié du XXe siècle, la perméabilité des frontières du champ littéraire au contact de l’anthropologie et de la photographie. La diversité des profils des auteurs, des modes d’écriture, des espaces et des périodes, dissimule l’unité souterraine d’une aventure éditoriale à vocation universelle qui cherche à comprendre les populations les plus variées, à la fois dans le temps et dans l’espace, afin de percer les mystères de l’existence humaine. La mise en réseau de témoignages portant sur des sociétés dispersées à la surface de la planète engendre une vision parallèle de l’espace mondial. En écho avec l’aventure des Annales mais aussi avec le réalisme et le naturalisme du XIXe siècle, une réflexion initiale sur les modalités d’écriture en sciences sociales finit par donner naissance à une littérature ethnographique fondée sur l’exploration de modes de vie et de pensée de populations marginales à l’échelle du globe. L’ethnographie est envisagée non plus seulement comme méthode scientifique de collecte de données mais plus généralement comme un mode d’écriture textuel, visuel et audiovisuel narrant la métamorphose tragique de sociétés au contact d’une civilisation. / “Terre Humaine” Publishers’ Series (1955-2015), which is supervised by a French explorer and geographer, Jean Malaurie, may be examined as a heuristic space of diffusion of ideas, objects and practices to explore, in the 2nd half of the twentieth century, the tightness of the literary field in contact with anthropology and photography. The diversity of the authors’ backgrounds, writing genres, spaces and periods of time, masks the underground unity of an editorial and self-claimed universal enterprise which aims at understanding the most diverse populations, both in time and space, to uncover the mysteries of the human existence. Networking testimonials on societies scattered around the globe discloses a parallel worldview. In connection with the Annales review and the 19th century realism and naturalism, early reflections on writing in social sciences end up spawning an ethnographic literature grounded in exploring ways of living and thinking among marginalized groups worldwide. Ethnography is not anymore only considered as a scientific method to collect data but more broadly as a textual, visual and audiovisual writing genre relating the tragic metamorphosis of a society in contact with a civilization.
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Mémoires et identités blessées en contexte postcolonial : la commission de vérité et réconciliation du Canada

Rousseau, Audrey 10 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire porte sur les potentialités et les limites épistémologiques, historiques et politiques des témoignages autochtones lors des travaux publics de la Commission de vérité et réconciliation du Canada (TRC du Canada). En réponse au mandat de la TRC du Canada, qui vise à faire la lumière sur le régime des pensionnats autochtones, cette démarche de recherche propose des pistes de réflexions théoriques sur le travail de représentation des sujets de justice dans l'espace public. La première partie du mémoire contextualise les luttes pour la reconnaissance des Peuples autochtones en regard des injustices coloniales. Quelques aspects sociopolitiques y sont présentés, dont les principaux fondements des commissions de vérité, le concept de la réconciliation politique, ainsi que les actions restitutives ayant mené l'État canadien à la création de la TRC. Cet ancrage sociohistorique permet d'approfondir l'analyse des processus discursifs à l'œuvre au sein de la TRC du Canada. En effet, la deuxième partie du mémoire fait l'examen de la puissance du récit comme levier de transformation de l'histoire nationale, entre autres, en explorant le rôle et la place du témoignage dans les débats historiographiques, ainsi qu'au sein des commissions de vérité. Enfin, la troisième partie dégage une réflexion critique face aux récits autochtones dans l'espace public et souligne les limites du discours officiel de la TRC du Canada. Ce mémoire tend à faire la démonstration qu'il existe une « aporie de la réconciliation », c'est-à-dire une impasse dans la démarche de réconciliation en contexte canadien entre l'approche thérapeutique et l'approche politique. En réponse à ce constat, je soutiens un nécessaire décentrement des voies de la réconciliation afin de sortir d'un schème de représentation binaire (victimes vs coupables) qui enferme les récits autochtones dans le script officiel de la réconciliation et néglige le jaillissement d'imaginaires postcoloniaux. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Autochtone, Colonialisme, Postcolonialisme, Canada, Réconciliation, Reconnaissance, Traumatisme, Histoire, Récit, Témoignage.
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La représentation de l'écrivain face à l'Histoire dans les récits d'Antonio Tabucchi et d'Imre Kertész : une littérature responsable

Napoli, Gabrielle 30 January 2010 (has links) (PDF)
Étudier la représentation de l'écrivain dans son rapport à l'Histoire permet d'analyser les enjeux d'un retour de l'Histoire dans la fiction, accompagné d'une volonté auctoriale référentielle, sans retour d'un auteur démiurge ou d'une littérature purement référentielle. Il s'agit alors d'analyser comment Imre Kertész et Antonio Tabucchi conjuguent fictionnalisation de l'Histoire et fictionnalisation de l'écrivain en privilégiant les liens entre littérature et politique, et en s'appuyant sur la place du lecteur dans la construction du sens afin de déterminer une responsabilité des écrivains, dans l'oblicité de la représentation et du témoignage. Les désastres du XXe siècle font retour de manière spectrale dans les récits et la définition d'une poétique de l'inquiétude constitue alors le pivot entre la responsabilité du lecteur et celle des auteurs, pour l'émergence d'une littérature responsable.
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Le corps dans le roman africain francophone avant les indépendances : de 1950 a 1960

Atchade, Joseph Dossou 21 October 2010 (has links) (PDF)
Le corps humain se définit par sa matérialité envisagée du point de vue de sa forme, de son tempérament, de son fonctionnement physiologique, dans son rapport à l'âme ou à l'esprit. Dans ces conditions, la notion du corps peut servir de critère pour une nouvelle lecture de l'histoire du roman africain de la période se situant entre 1950 et 1960. Pour orienter la perspective analytique, deux démarches ont conduit à saisir la notion du corps dans sa représentation : une, thématique et une autre d'esprit plus sémiotique. La première a consisté à voir ce que l'histoire du roman dit du corps et sur le corps, sa représentation morphologique à partir d'angles thématiques : l'initiation, la féminité, la souffrance et la martyrisation ; sa représentation situationnelle dans sa relation avec son contexte, la perception de ce contexte par les organes du corps, notamment le sens. La démarche d'esprit sémiotique s'est intéressée à ce que la mise en scène du corps dans cette histoire dit, d'une part du roman à travers le réalisme et l'engagement, de l'histoire dont ce roman se fait l'écho ; d'autre part de la culture et de l'idéologie. Ainsi, la mise en évidence des représentations du corps dans les romans de l'époque obéissait en grande partie aux préoccupations idéologiques et fonctionnait sémiotiquement par rapport à elles. L'un des objectifs des romans africains de cette période était la mise en cause de ces stéréotypes coloniaux racistes. Il est vrai que cette contestation du stéréotype culturel n'est évidemment pas explicite et le stéréotype sous-jacent est en filigrane. En tout état de cause, le corps sort réhabilité et prêt à s'affirmer.
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Mémoire de la culture, mémoire de la barbarie : l’intertextualité dans le témoignage de Jorge Semprun sur le camp de Buchenwald

Desrosiers, David 08 1900 (has links)
Ce mémoire porte sur le travail de l’intertextualité dans les quatre oeuvres que Jorge Semprun (1923-) a consacrées à ses souvenirs de déportation au camp de Buchenwald : Le grand voyage (1963), Quel beau dimanche! (1980), L’écriture ou la vie (1994) et Le mort qu’il faut (2001). Chaque oeuvre poursuit la recherche d’un langage approprié à la narration d’une expérience qui résiste obstinément à sa représentation. L’intertextualité, de même que les réminiscences musicales, filmiques ou picturales, composent chez Semprun une image complexe de l’expérience du déporté, faisant coexister l’ombre et la lumière, l’angoisse et la joie, le mal radical et la fraternité, loin de tout cliché manichéen. Il s’agira ici de lire ce témoignage magnifique sur les camps nazis comme un dialogue profond entre l’art et la barbarie, la création et la destruction, la mémoire culturelle et la mémoire traumatique. / This essay covers the issue of intertextuality in the four works that Jorge Semprun (1923-) wrote about his memories from Buchenwald : Le grand voyage (1963), Quel beau dimanche! (1980), L’écriture ou la vie (1994) and Le mort qu’il faut (2001). Each work stems from the search of an apropriate language for narrating an experience that poses a radical challenge to its représentation. Intertextuality, as well as memories of works of art, yield a complex image of the experience of a survivor, where shadow and light, anguish and joy, Radical Evil and fraternity coexist, far away from the traditional cliché. The objective here is to read Semprun’s wounderfull testimonies as a profound dialogue between art and the Holocaust, creation and destruction, cultural memory and traumatic memory.
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Usages de la photographie chez Patrick Modiano

Labonté, Stéphanie January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Gender, genre and the (re)invention of life in Charlotte Salomon's Life? or Theatre?

Pendergast, Natalie January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.

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