Spelling suggestions: "subject:"technoscientifique"" "subject:"technoscientifiques""
1 |
Le problème de la fondation ontologique de la psychiatrie dans les Zollikoner Seminare de Martin HeideggerArriola Acosta, Martin-Rafael January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
|
2 |
Le problème de la fondation ontologique de la psychiatrie dans les Zollikoner Seminare de Martin HeideggerArriola Acosta, Martin-Rafael January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
|
3 |
Les enjeux éthiques de l'offre d'écoute en milieu médicalAillaud, Jean-Daniel 12 September 2011 (has links)
À l’heure du plein exercice d’une médecine à la logique technoscientifique, fondée sur les preuves et le factuel, appelée aussi Evidence Based Medicine, reposant sur les principes scientifiques de quantification, de visualisation et d’universalité de la biomédecine ; à l’heure d’une santé désormais définie par la statistique, de la souffrance humaine étalonnée sur le modèle du simple fonctionnement cérébral, l’homme postmoderne se trouve pris dans une hyper-médicalisation de l’existence. Ce présent travail de thèse souhaite rendre compte d’une réalité clinique du soin en milieu gérontologique. La logique de rentabilité obsédante, l’évaluation chiffrée systématisée, leur alliance avec la pulsion de mort et les dérives qui en résultent, tant dans leurs discours que dans leurs mises en actes, ainsi que le défi éthique lancé à la société qu’elles représentent devront être analysées. La seule valeur marchande que le patient peut représenter dans la recherche de rendement et de bénéfice nous pousse à interroger directement le devenir de la subjectivité et à poser inévitablement les questions relatives à l’ontologie, à l’anthropologie d’un sujet vivant la postmodernité et réduit, en tant que patient, à incarner ce qu’Hannah Arendt a nommé l’« Œuvre ». Car en effet : cette postmodernité dont nous sommes contemporains, via le progrès scientifique rejette purement et simplement le manque structural fondateur de tout sujet, pour viser une certaine artificialisation de l’être. Il s’agit alors de démontrer que la psychanalyse peut encore, de par sa méthode et son herméneutique, répondre aux exigences éthiques actuelles. Dès lors, s’engager dans une écoute des signifiants que le malade adresse équivaut à garantir, dans un tel contexte, ce que Michel Foucault appelait « un processus de re-subjectivation » et occasionne la réintroduction d’une « errance éthique minimale » désormais indispensable afin d’éviter toute clôture définitive du sujet malade. In fine accepter de considérer qu’un autre discours subjectif subsiste, même paré des traits de l’erreur a priori, et qu’il ne constitue pas un « néant de savoir au vrai » mais un savoir intuitif cherchant à se constituer du côté du sujet malade selon sa propre logique, atteste que cette éthique psychanalytique est de nature pleinement anthropologique. / When medicine based on a techno-scientific logic is widely practised based upon proofs and facts, this ‘Evidence Based Medicine’ is supported by the scientific principles of quantification, presentation and the universalism of biomedicine. When health is defined by statistics, when human suffering is measured on a simple model of brain function, the postmodern citizen is taken over by a hyper-medicalisation of existence. This thesis seeks to account for a healthcare actuality in geriatric medicine. The obsessive logic of value for money, systematic statistical evaluation and their alliance with the death drive and its consequences in discourse and action, as well as the ethical challenge they pose to the society that they represent require analysis. The sole market value the patient represents in research for return and advantage requires us to examine the issue of the future of subjectivity directly and inevitably to ask questions about the ontology, and anthropology of the living postmodern subject reduced, as a patient to an incarnation of what Hannah Arendt termed ‘work’. Indeed, our contemporary postmodernity, through scientific process rejects purely and simply the fundamental structural lack of each subject, creating a certain artificiality of being. The task then, is to demonstrate that psychoanalysis through its methods and hermeneutics can still respond to contemporary ethical demands. Consequently focusing on listening to the signifiers the patient evokes works to safeguard, in this context, what Michel Foucault termed ‘a re-subjectivation proces’ and offers the opportunity to reintroduce the ‘minimal ethical errance’ currently indispensable in avoiding definitive closure of the ill subject. Finally, we accept the consideration that an alternative subjective discourse remains, even dressed up in errors, and that it does not constitute a ‘negation of truth knowledge’ but an intuitive knowledge created by the ill subject according to their own logic, attesting that these psychoanalytical ethics are clearly anthropological in nature.
|
4 |
La musique spectrale face aux apports technoscientifiques / Spectral Music & Technoscience : the emergence of a compositional modelOlivieri Catanzaro, Tatiana 07 December 2013 (has links)
La naissance de la musique spectrale et du modèle compositionnel qui la sous-tend a été conditionnée par un contexte technoscientifique spécifique, au carrefour de disciplines aussi diverses que la physique, la psychoacoustique, l’électronique, l’informatique ou la philosophie. Le présent travail de thèse en retrace certaines des étapes. Tout en remontant jusqu’à l’avènement de la science moderne au XVIIe siècle, elle aboutit à une caractérisation de ce courant esthétique comme un exemple de révolution non-cartésienne dans le sens que Bachelard donna au terme dans son Nouvel Esprit Scientifique. Parallèlement, elle reprend les acquis musicaux antérieurs et montre comment la musique spectrale s’est constituée en thématisant les tentatives de systématisation du son complexe comme élément porteur de forme apparus tout au long du XXe siècle. / The rise of spectral music and of the compositional model that lies at its base has been conditioned by a specific technoscientific context, at a crossroads between disciplines as diverse as physics, psychoacoustics, electronics, computer sciences and philosophy. The present thesis retraces some of its stages. While going back to the advent of modern science in the 17th century, it leads to a characterization of this aesthetic movement as an example of a non- Cartesian revolution in the sense that Bachelard gave the term in The New Scientific Spirit. At the same time, it considers previous musical advances and shows how spectral music has formed itself by ‘thematizing’ attempts from throughout the 20th century to systematize complex sounds as form-bearing elements.
|
5 |
Chimie, chimie quantique et concept d'émergence : étude d'une mise en relationLlored, Jean-Pierre 22 November 2013 (has links) (PDF)
Cette thèse prend pour point de départ l'exploration de quelques pratiques chimiques contemporaines en vue d'identifier certains réquisits que devrait satisfaire un concept d'émergence pour être mis en relation avec la chimie. Cette épistémologie distribuée prend appui sur l'histoire de la chimie. Dans cette perspective seront mis en évidence : la dépendance mutuelle des niveaux d'organisation ainsi que celle des relations et des relata, et le rôle constitutif des modes d'intervention dans la définition, toujours ouverte et provisoire, de ce à quoi les chimistes disent avoir affaire. Un détour par l'histoire de la philosophie est alors envisagé pour étudier comment les émergentistes britanniques ont mis en relation la chimie avec l'émergence. L'étude attentive de ces textes est l'occasion d'une mise au banc d'essai de mon étude préliminaire. Nous revenons ensuite aux définitions formelles de l'émergence, et en particulier aux analyses de Kim, en montrant que la clause ceteris paribus sur laquelle elles s'appuient prend un autre sens en métrologie chimique. Cette étude nous permet d'insister sur le rôle et l'importance de deux types de méréologie pour penser l'émergence d'un point de vue formel en tenant compte de la spécificité du travail des chimistes. La thèse envisage enfin de prolonger son enquête en explorant les travaux en chimie quantique et la façon très particulière avec laquelle ils entre-définissent un tout, ses parties et le milieu qui leur est associé. Une mise en relation est alors tentée et ouvre plusieurs pistes : une approche ontologique et pragmatique adaptant à la chimie le concept d'habitude de Peirce repris par Claudine Tiercelin ou celui d' " affordance " proposé par Rom Harré ; une approche pragmatique et transcendantale inspirée des travaux menés par Michel Bitbol en philosophie de la physique quantique ; et, enfin, une approche qui prend en charge les conséquences des transformations chimiques sur les humains et les non-humains, en réintégrant les conditions pragmatiques, socio-politiques, institutionnelles et technologiques de la chimie dans le débat à propos de l'émergence.
|
6 |
La contribution de la traduction à l'expansion lexicale du sesotho / The contribution of translation to the lexical expansion of SesothoSebotsa, Mosisili 22 November 2016 (has links)
Si la traduction est simplement définie comme un processus de communication bilingue dont le but général est de reproduire en langue cible un texte qui soit fonctionnellement équivalent au texte de départ (Reiss 2004 : 168-169), l’approche empruntée dans la présente thèse est celle d’une opération interculturelle et systématique qui vise à capturer le message issu d’une langue étrangère, à le décrypter en tenant en compte des nuances culturelles ou inhérentes à la discipline, et à le rendre le plus clairement possible en se servant d'éléments linguistiques et extralinguistiques compréhensibles dans la langue du locuteur cible. L'objectif est de déterminer la contribution de la traduction à l’expansion lexicale du sesotho, domaine qui demeure peu exploré par les spécialistes de cette langue. La problématique de ce travail repose sur la constatation que les néologismes en sesotho ne sont pas documentés de manière satisfaisante, si bien qu’il est difficile d'évaluer la contribution de la traduction à l’expansion lexicale. Les études antérieures sur la morphologie, la dérivation, la composition, l’emprunt et la dénomination s’appuient sur la mesure de la productivité, soulevant la question de savoir si la traduction en soi contribue à l’enrichissement terminologique du sesotho. Le point de départ de la thèse est l'hypothèse selon laquelle l’interaction avec le monde européen a nécessité de traduire de nombreux concepts qui n’existaient pas dans les systèmes traditionnels du Lesotho, ce qui a entraîné un nouveau dynamisme qui a permis de combler des lacunes terminologiques évidentes et de s’ouvrir et de s’adapter aux nouvelles réalités. Pour mettre cette hypothèse à l’épreuve et arriver à des conclusions éclairées et fiables, je cherche à répondre à trois questions : 1) Quelle est la structure des mots sesothos par rapport à celle de l’anglais en tant que langue source de traduction en sesotho, et du français en tant que langue de rédaction de la thèse ? 2) Etant donné que le sesotho est utilisé concomitamment avec l’anglais sans pour autant être la langue d'une culture inventrice en matière technologique, quel est le rôle que joue l’emprunt dans son expansion lexicale ? 3) D’un point de vue lexicologique, comment le sesotho répond-il aux besoins terminologiques dans les domaines de spécialité techno-scientifiques ? Pour y répondre, je m'appuie sur Doke (1954) et Matšela et al. (1981) pour situer le sesotho parmi les langues bantoues, préciser les fonctions du préfixe classificateur et établir la différence entre les composés sesothos d'une part et les composés anglais et français d'autre part. J’utilise ensuite la théorie avancée par Lederer (1990) pour démontrer l’influence syntaxique, sémantique et morphologique que l’anglais a sur le sesotho et pour présenter les différents procédés d’emprunt du sesotho. Diki-Kidiri (2008), Dispaldro et al. (2010) et Baboya (2008) démontrent la nécessité de faire appel aux informateurs-spécialistes pour confirmer l’hypothèse de départ. Les résultats obtenus mettent en évidence qu’en effet, la traduction a contribué à l’expansion du sesotho moderne, bien que cela n’ait pas été documenté, d’où la recommandation d'un travail collaboratif entre lexicologues au Lesotho, au Botswana, en Namibie et en Afrique du Sud, pour ouvrir de nouvelles perspectives d’études linguistiques sur le sesotho et pouvoir suivre et mesurer l’évolution de la langue. / Whilst translation is simply defined as a communication process whose main objective is to reproduce in the target language a text that is functionally equivalent to the source text (Reiss 2004: 168-169), the approach taken in this study views translation as an intercultural and systematic operation whose objective is to capture the message from the foreign language, to decrypt it taking into account cultural nuances or those inherent in the field at hand and to render it in the clearest possible manner using linguistic and extra linguistic elements which are comprehensible to the speaker of the target language. This study is aimed at determining the contribution of translation to the lexical expansion of Sesotho, an area which has been little explored by specialists of the language. The core issue is centred on the observation that Sesotho neologisms are not well documented, so that it is hard to measure the contribution of translation towards the lexical expansion of Sesotho. Analyses of morphology, derivation, compounding, borrowing and denomination are mainly focused on productivity in order to determine whether translation as a discipline contributes towards the creation of new words in the language.The study begins by positing the hypothesis that the interaction with the Western world necessitated the translation of numerous concepts which were absent from the then existing Sesotho systems. This process of interaction contributed a new dynamism that helped the language to bridge the terminological gap, to open up and adapt to new realities. In order to put this hypothesis to the test and arrive at well-researched and reliable conclusions, I attempt to probe three issues of concern: firstly, what is the structure of the Sesotho language compared to that of the English language as the source language of most translations into Sesotho and compared to that of the French language as the language in which this study is presented? Secondly, considering that Sesotho is used simultaneously with English even though it is not a techno-scientifically inventing language, what is the role played by the processes of borrowing in the lexical expansion of Sesotho? Thirdly, from the word-formation point of view, how does Sesotho respond to the terminological deficiencies in various fields of specialisation?To address these issues, Doke (1954) and Matšela et al. (1981) serve as references to situate Sesotho among the Bantu languages, to highlight the functions of the class prefix and to establish the difference between Sesotho and English and French compounding. Secondly, the theory advanced by Lederer (1990) serves as a springboard to analyse the syntactic, semantic and morphological influences that English has on Sesotho and to present the different borrowing processes. The third issue is addressed based on the theories presented by Diki-Kidiri (2008) while the theories proposed by Dispaldro et al. (2010) and Baboya (2008) led to the decision to call upon specialist informants to confirm the original hypothesis. The results obtained provide evidence that translation has, in fact, contributed to the lexical expansion of modern Sesotho, even though this has not been well documented. The study recommends collaborative work between Lesotho, Botswana, Namibian and South African linguists in order to open new avenues of linguistic studies on Sesotho with the aim to measure and monitor the evolution of the language.
|
7 |
Chimie, chimie quantique et concept d'émergence: étude d'une mise en relationLlored, Jean-Pierre 22 November 2013 (has links)
Cette thèse prend pour point de départ l’exploration de quelques pratiques chimiques contemporaines en vue d’identifier certains réquisits que devrait satisfaire un concept d’émergence pour être mis en relation avec la chimie. Cette épistémologie distribuée prend appui sur l’histoire de la chimie. Dans cette perspective seront mis en évidence :la dépendance mutuelle des niveaux d’organisation ainsi que celle des relations et des relata, et le rôle constitutif des modes d’intervention dans la définition, toujours ouverte et provisoire, de ce à quoi les chimistes disent avoir affaire. Un détour par l’histoire de la philosophie est alors envisagé pour étudier comment les émergentistes britanniques ont mis en relation la chimie avec l’émergence. L’étude attentive de ces textes est l’occasion d’une mise au banc d’essai de mon étude préliminaire. Nous revenons ensuite aux définitions formelles de l’émergence, et en particulier aux analyses de Kim, en montrant que la clause ceteris paribus sur laquelle elles s’appuient prend un autre sens en métrologie chimique. Cette étude nous permet d’insister sur le rôle et l’importance de deux types de méréologie pour penser l’émergence d’un point de vue formel en tenant compte de la spécificité du travail des chimistes. La thèse envisage enfin de prolonger son enquête en explorant les travaux en chimie quantique et la façon très particulière avec laquelle ils entre-définissent un tout, ses parties et le milieu qui leur est associé. Une mise en relation est alors tentée et ouvre plusieurs pistes :une approche ontologique et pragmatique adaptant à la chimie le concept d’habitude de Peirce repris par Claudine Tiercelin ou celui d’ « affordance » proposé par Rom Harré ;une approche pragmatique et transcendantale inspirée des travaux menés par Michel Bitbol en philosophie de la physique quantique ;et, enfin, une approche qui prend en charge les conséquences des transformations chimiques sur les humains et les non-humains, en réintégrant les conditions pragmatiques, socio-politiques, institutionnelles et technologiques de la chimie dans le débat à propos de l’émergence. / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
|
Page generated in 0.0525 seconds