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Des arguments transcendantaux

Reid, Maud 31 January 2022 (has links)
Ce mémoire se veut une réflexion sur les arguments transcendantaux, leur fonction, leur structure; elle se penche aussi sur le statut particulier de ces arguments et sur la place qui leur est accordée dans l'univers philosophique. La réflexion tire la majorité de ces matériaux de Kant et des interprétations qu'ont données divers penseurs contemporains, pour la plupart philosophes de tradition analytique, de l'argumentation transcendantale, et s'articule autour de cette double interrogation: 1) Existe-t-il un type particulier d'arguments permettant de fonder l'objectivité de la connaissance? 2) Quelles structures de tels arguments doivent-ils adopter?
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Les fonctions théoriques de la notion d’acte d’être (actus essendi) chez Thomas d’Aquin

Barrette, Geneviève 08 1900 (has links)
Nous entendons, dans ce mémoire, préciser le sens d'actus essendi par l’analyse de l’emploi du terme par Thomas d’Aquin. Bien que la notion d’acte d’être soit sousjacente à nombre de développements philosophiques et théologiques de l’Aquinate, elle n’est considérée pour elle-même dans aucun texte du corpus thomasien. En exposant le cadre théorique des onze unités textuelles dans lesquelles on retrouve nommément l’expression, nous explicitons les distinctions qu’opère Thomas entre l’acte d’être et les notions ontologiques corrélatives (étant, quiddité, être du jugement prédicatif et être commun). Si « actus essendi » désigne en premier lieu un principe constitutif de l’étant, il peut encore désigner le terme abstrait correspondant à cette perfection de l’étant. L’acte d’être est ainsi ce par quoi l’étant est étant; il est cependant, au plan ontologique, propre à chaque étant singulier tandis que, au plan conceptuel, le même terme exprime ce qui est commun à tous les étants. Une traduction des extraits du Scriptum super Sententiis, des Quæstiones de quolibet, de la Summa Theologiæ, des Quæstiones disputatæ De potentia, de l’Expositio libri De hebdomadibus et de la Expositio libri Metaphysicæ a été produite pour les fins de cette étude. / In this paper, we intend to precise the meaning of actus essendi by analyzing how Thomas Aquinas uses this term. If the notion of the act of being underlies a number of Aquinas’ philosophical and theological developments, it is not treated in itself in any of his writings. By exposing the theoretical framework of the eleven textual units in which the expression namely appears, we explicate how he distinguishes between the act of being and the correlative ontological notions (the being, the essence, the predicamental judgment being and common being). If « actus essendi » first designates a constitutive principle of being, it can also designate the corresponding abstract term of this perfection of being. The act of being is that by which being is being; however, it belongs, at the ontological level, to each particular being whereas at the conceptual level, the same term expresses that which is common to all beings. Extracts of the following texts have been translated in French for this purpose: Scriptum super Sententiis, Quæstiones de quolibet, Summa Theologiæ, Quæstiones disputatæ De potentia, Expositio libri De hebdomadibus and the Sententia libri Metaphysicæ.
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Les fonctions théoriques de la notion d’acte d’être (actus essendi) chez Thomas d’Aquin

Barrette, Geneviève 08 1900 (has links)
Nous entendons, dans ce mémoire, préciser le sens d'actus essendi par l’analyse de l’emploi du terme par Thomas d’Aquin. Bien que la notion d’acte d’être soit sousjacente à nombre de développements philosophiques et théologiques de l’Aquinate, elle n’est considérée pour elle-même dans aucun texte du corpus thomasien. En exposant le cadre théorique des onze unités textuelles dans lesquelles on retrouve nommément l’expression, nous explicitons les distinctions qu’opère Thomas entre l’acte d’être et les notions ontologiques corrélatives (étant, quiddité, être du jugement prédicatif et être commun). Si « actus essendi » désigne en premier lieu un principe constitutif de l’étant, il peut encore désigner le terme abstrait correspondant à cette perfection de l’étant. L’acte d’être est ainsi ce par quoi l’étant est étant; il est cependant, au plan ontologique, propre à chaque étant singulier tandis que, au plan conceptuel, le même terme exprime ce qui est commun à tous les étants. Une traduction des extraits du Scriptum super Sententiis, des Quæstiones de quolibet, de la Summa Theologiæ, des Quæstiones disputatæ De potentia, de l’Expositio libri De hebdomadibus et de la Expositio libri Metaphysicæ a été produite pour les fins de cette étude. / In this paper, we intend to precise the meaning of actus essendi by analyzing how Thomas Aquinas uses this term. If the notion of the act of being underlies a number of Aquinas’ philosophical and theological developments, it is not treated in itself in any of his writings. By exposing the theoretical framework of the eleven textual units in which the expression namely appears, we explicate how he distinguishes between the act of being and the correlative ontological notions (the being, the essence, the predicamental judgment being and common being). If « actus essendi » first designates a constitutive principle of being, it can also designate the corresponding abstract term of this perfection of being. The act of being is that by which being is being; however, it belongs, at the ontological level, to each particular being whereas at the conceptual level, the same term expresses that which is common to all beings. Extracts of the following texts have been translated in French for this purpose: Scriptum super Sententiis, Quæstiones de quolibet, Summa Theologiæ, Quæstiones disputatæ De potentia, Expositio libri De hebdomadibus and the Sententia libri Metaphysicæ.
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Charles Taylor et les limites de la simple raison

St-Laurent, Guillaume 05 1900 (has links)
Est-il encore légitime de distinguer, d’une part, la « simple raison », apte à convaincre n’importe quel penseur honnête et lucide, et d’autre part, le domaine de la foi religieuse, où les différences de conviction seraient a priori irréductibles, parce que soumises à des conditions de validité sui generis? Dans quelle mesure ce « partage des voix » entre la raison et la foi, que commandait au siècle des Lumières l’« exigence de l’émancipation » ou de l’affranchissement des tutelles autoritaires (le Selberdenken, le « penser par soi-même »), est-il encore d’actualité pour nous? Les temps ne sont-ils pas mûrs pour une autre attitude de la raison philosophique par rapport à la foi religieuse, qui se proposerait de mettre en question la théorie qui opposait la raison et la révélation comme deux « sources » irréductibles de vérité? Le présent travail poursuivra trois objectifs principaux, dont la visée commune consistera à clarifier les tenants et aboutissants de la critique de la « simple raison » (reason alone) chez Charles Taylor, au regard de la totalité de son œuvre. Dans un premier temps, nous soulignerons que notre auteur récuse le paradigme épistémologique de la philosophie moderne au nom d’un paradigme herméneutique, plus sensible à la finitude langagière et historique de la raison humaine. Notre auteur reconnaît en effet au « débat herméneutique » (hermeneutical debate) une importance cruciale dans le contexte de la sécularité (ou de notre « âge séculier »), qui se caractérise par la coexistence d’une pluralité croissante de perspectives éthiques et spirituelles. Dans un deuxième temps, nous soutiendrons que ce paradigme herméneutique admet une distinction fondamentale entre deux modes de réflexion, l’argumentation transcendantale et la quête d’authenticité, et montrerons que l’argumentation transcendantale peut à son tour être comprise comme une modalité particulière de la « simple raison » dans le contexte du paradigme herméneutique. Ces deux premiers moments de nos analyses, de nature essentiellement exégétique, constitueront la majeure partie de notre thèse. Dans un troisième temps, nous examinerons la distinction entre l’argumentation transcendantale et la quête d’authenticité de façon à mettre en question les limites assignées par notre auteur à la première. Plus précisément, notre intention est de démontrer que la critique herméneutique de la simple raison proposée par Taylor présuppose elle-même la viabilité d’une « éthique transcendantale » et, par conséquent, la viabilité d’une conception transcendantale de la simple raison dans la sphère de la rationalité pratique. Cette éthique transcendantale affleure en plusieurs lieux dans son œuvre sous la forme d’un « humanisme » de type néo-aristotélicien, solidement ancré dans ses analyses des conditions d’arrière-plan inéluctables (ou transcendantales) de l’agir humain, sans toutefois être explicitement conçue et assumée en tant que telle. / Is it still legitimate to distinguish, on the one hand, ‘‘reason alone’’ or nonreligiously informed reason, whose conclusions are in principle able to satisfy any honest and lucid thinker, and on the second hand, the domain of religious faith, where differences of conviction would be a priori irreducible? Is this divide between reason and faith, which was prompted at the time of the Auflkärung by a great call to ‘‘emancipation’’ (to ‘‘think for yourself’’, Selberdenken), still relevant for us today? Are the times not ripe for another philosophical attitude in relation to religious faith, which would call into question the theory that opposed reason and revelation as two irreducible ‘‘sources’’ of truth? This dissertation will pursue three main objectives, whose common aim is to clarify the motives and implications of the critique of ‘‘reason alone’’ in Charles Taylor’s work. First, we will show that Taylor rejects the ‘‘epistemological’’ paradigm of modern philosophy in the name of a hermeneutic paradigm, more sensitive to the linguistic and historical finitude of human reason. Our author maintains, indeed, that ‘‘hermeneutical debates’’ are now obligatory in our secular age, characterized by the coexistence of a growing plurality of ethical and spiritual perspectives. Secondly, we will argue that this hermeneutic paradigm admits of a fundamental distinction between two modes of reflection, that of ‘‘transcendental arguments’’ and the ‘‘quest for authenticity’’, and will show that transcendental arguments can in turn be understood as a specific modality of ‘‘reason alone’’ in the context of the hermeneutic paradigm. These two first stages of our analysis, mainly of an exegetical nature, will constitute the major part of our dissertation. Thirdly, we will examine the distinction between transcendental arguments and the quest for authenticity, to challenge the limits assigned by Taylor to the first domain. Specifically, we intend to demonstrate that the hermeneutical critique of reason propounded by Taylor presupposes the viability of a ‘‘transcendental ethics’’ and, therefore, the viability of a transcendental conception of reason in the domain of practical rationality. This transcendental ethics emerges at several occasions in his work as a kind of neo-Aristotelian ‘‘humanism’’, firmly anchored in his analysis of the inescapable background conditions of human agency, without being explicitly recognized as such.
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Laisser s'imposer l'être : appartenance et métaphysique des transcendantaux dans Vérité et méthode de H.-G. Gadamer

Scraire, Mathieu 02 1900 (has links)
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Le problème du mal dans la Summa de bono de Philippe le Chancelier

Barichard, Louis-Hervé 08 1900 (has links)
Ce mémoire entend mettre en lumière la solution au problème du mal développée par Philippe le Chancelier dans la Summa de bono (1225-1228). À cet effet, notre analyse se polarise sur la notion du mal qui occupe à la fois le système des transcendantaux et la division du bien créé découlant du principe du souverain bien. La somme est bâtie d’après la primauté de la notion du bien transcendantal, et fut rédigée par opposition avec la doctrine manichéenne des Cathares, en vogue au XIIIe siècle, qui s’appuyait sur la prééminence de deux principes métaphysiques causant le bien et le mal, d’où devaient procéder toutes les choses de la Création. Ceci explique que nous ayons privilégié de seulement examiner les notions du bien et du mal en un sens général, car c’est au stade universel de l’ontologie du bien que l’auteur défait la possibilité du mal de nature, en amont des ramifications du bien créé, déployées, à l’envi, dans les questions de la somme où les réponses sont assignées à des problèmes spécifiques. Nous offrons ici, pour la première fois, une traduction en français d’une série de questions ayant permis de mener à bien ce projet. / This master’s thesis intends to clarify Philip the Chancellor’s answer to the problem of evil in the Summa de bono (1225-1228). To this end, we focus on the concept of evil as located within the transcendental system and the division of created good resulting from the supreme good. This sum, which is conceived from the primacy of the transcendental notion of good, was drafted in opposition to the Manichean doctrine of Cathars, a belief popular in the thirteenth century, which states that two metaphysical principles cause good and evil and it is from these principles that all things are created by nature. For this reason, we decided to study the concepts of good and evil only in a general sense, because the author dismantles the possibility of natural evil at the universal level of the ontology of the good and, prior to the deployment of the created good, it is through the sum’s questions that specific problems can be resolved. Here, we offer for the first time a French translation of several questions useful to this project.
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Le problème du mal dans la Summa de bono de Philippe le Chancelier

Barichard, Louis-Hervé 08 1900 (has links)
Ce mémoire entend mettre en lumière la solution au problème du mal développée par Philippe le Chancelier dans la Summa de bono (1225-1228). À cet effet, notre analyse se polarise sur la notion du mal qui occupe à la fois le système des transcendantaux et la division du bien créé découlant du principe du souverain bien. La somme est bâtie d’après la primauté de la notion du bien transcendantal, et fut rédigée par opposition avec la doctrine manichéenne des Cathares, en vogue au XIIIe siècle, qui s’appuyait sur la prééminence de deux principes métaphysiques causant le bien et le mal, d’où devaient procéder toutes les choses de la Création. Ceci explique que nous ayons privilégié de seulement examiner les notions du bien et du mal en un sens général, car c’est au stade universel de l’ontologie du bien que l’auteur défait la possibilité du mal de nature, en amont des ramifications du bien créé, déployées, à l’envi, dans les questions de la somme où les réponses sont assignées à des problèmes spécifiques. Nous offrons ici, pour la première fois, une traduction en français d’une série de questions ayant permis de mener à bien ce projet. / This master’s thesis intends to clarify Philip the Chancellor’s answer to the problem of evil in the Summa de bono (1225-1228). To this end, we focus on the concept of evil as located within the transcendental system and the division of created good resulting from the supreme good. This sum, which is conceived from the primacy of the transcendental notion of good, was drafted in opposition to the Manichean doctrine of Cathars, a belief popular in the thirteenth century, which states that two metaphysical principles cause good and evil and it is from these principles that all things are created by nature. For this reason, we decided to study the concepts of good and evil only in a general sense, because the author dismantles the possibility of natural evil at the universal level of the ontology of the good and, prior to the deployment of the created good, it is through the sum’s questions that specific problems can be resolved. Here, we offer for the first time a French translation of several questions useful to this project.
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Le mode d'être des objets intentionnels : une étude du rôle constituant de l'intellect chez Thierry de Freiberg / On the mode of being of intentional objects : the constitutive function of the intellect by Dietrich of Freiberg (1250-1310)

Decaix, Véronique 18 March 2013 (has links)
Cette thèse traite de la doctrine catégorielle, de l’ontologie et de la théorie de la connaissance de Dietrich de Freiberg dans le De origine rerum praedicamentalium. L’enjeu principal est d’étudier la fonction constitutive que l’intellect opère sur catégories et sur l’étant en tant que tel. La première partie replace le traité dans le contexte historique des débats à l’université de Paris à la fin du XIIIe siècle touchant au statut des catégories et à la manière d’ordonner les genres réels de l’étant. Elle confronte la dérivation essentielle des prédicaments chez Dietrich aux modèles de systématisation élaborées par ses prédécesseurs, tels qu’Albert le Grand, Thomas d’Aquin, Henri de Gand. La deuxième partie s’attache aux objets constitués par l’intellect : l’Un comme principe du nombre et de la division, la relation et le temps. La dernière partie enquête la modalité sur laquelle l’intellect opère cette activité sur l’étant et montre en définitive que le sujet de la métaphysique, l’être quiditatif des étants, se situe à la croisée de la logique et du réel / This thesis deals with Dietrich of Freiberg’s doctrine of categories, ontology and theory of knowledge, as present in the treatise De origine rerum praedicamentalium. The primary aim is to examine the constitutive function the intellect exercises on the categories and being as being. The first part of this thesis replaces the treatise in the historical background of the late 13th century debates from the University of Paris regarding the nature of categories and the manner of organizing the real genera of being. It compares Dietrich’s deduction of the categories with the systematization of some of his predecessors such as Albert the Great, Thomas Aquinas and Henry of Ghent. The second part of the thesis deals with the objects caused by the intellect: the One as principle of number and division, relation and time. The last part investigates the manner in which the intellect exercises its constitutive power on being and demonstrates in the final analysis that the subject of metaphysics, the quiditative being of things, is placed at the intersection of logic and reality
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Les transcendantaux dans la trilogie de Hans Urs von Balthasar : leur intégration dans le mystère christologique et trinitaire

St-Pierre, Mario 21 February 2022 (has links)
Depuis les origines de la philosophie occidentale, les transcendantaux sont considérés de manières multiples et variées selon les différents penseurs. Chez Hans Urs von Balthasar (1905-1988, Suisse), le beau, le bien et le vrai sont profondément liés et, du point de vue théologique, ils sont tous intimement intégrés au mystère christologique et trinitaire. Cette conception originale permet d'élaborer une synthèse théologique d'une grande envergure. L'œuvre majeure de Balthasar (la Trilogie de 15 tomes) se divise ainsi : Herrlichkeit s'attache au beau pour construire une esthétique théologique ; Theodramatik, à partir de l'expérience du théâtre et de l'idée du bien, élabore une dramatique de l'histoire du Salut ; enfin, Theologik aborde le vrai pour développer une herméneutique de la révélation chrétienne. L'objectif principal de notre travail consiste à présenter cette théorie des transcendantaux dans la Trilogie de Balthasar. Pour cela, nous recourons à cinq sous-objectifs qui correspondent aux cinq "Voies" de notre travail : 1- approfondir l'origine de cette compréhension des transcendantaux dans le tout premier écrit de Balthasar sur la musique ; 2- étudier l'ensemble de son cheminement littéraire qui prépare et justifie cette Trilogie ; 3- présenter selon une perspective méthodologique une première condition pour entrer dans la Trilogie : dépasser la « systématisation » ; 4- exposer cette doctrine telle qu'elle se présente dans la Trilogie en commençant par l'ouvrage Epilog ; 5- ouvrir de nouvelles pistes de réflexion sur cette théorie à partir d'une évaluation critique. Notre méthode consiste à combiner tout au long de cette recherche deux approches différentes, mais complémentaires. En premier lieu, la méthode phénoménologique permet l'analyse littéraire des textes qui traitent explicitement des transcendantaux. En second lieu, la méthode de la « Gestalt » goethéenne permet de découvrir l'unité morphologique de la Trilogie, à la fois dans son développement historique et dans son expression esthétique. La conjonction de ces deux méthodes nous donne de découvrir le christocentrisme trinitaire de la philosophie et de la théologie balthasariennes. Le résultat de cette recherche sur les transcendantaux confirme que seule la logique esthétique peut avoir prise sur une telle œuvre, aussi vaste que géniale et que le contenu interne et la structure extérieure de la Trilogie sont parfaitement cohérents.

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