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Le cheminement d'une soeur Adoratrice du Précieux-Sang de Saint-Hyacinthe, 1861-1929

Lemonde, Véronique, January 2001 (has links)
Thèses (M.A.)--Université de Sherbrooke (Canada), 2001. / Titre de l'écran-titre (visionné le 20 juin 2006). Publié aussi en version papier.
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« Communion » ou « confusion » des états? : l'expérience des communautés nouvelles plurivocationnelles relue à la lumière de la notion d'« état » au concile Vatican II

Lier, Rick van 18 December 2019 (has links)
Durant la période qui a suivi la tenue du concile Vatican II (1962-1965), l’Église catholique a vu naître plus de 750 nouvelles communautés religieuses dans pas moins d’une quarantaine de pays à travers le monde. Parmi elles, nous retrouvons lesdites communautés nouvelles plurivocationnelles, représentant environ 24 % de l’ensemble. Composées d’hommes et de femmes, elles réunissent en une même appartenance communautaire et juridique des fidèles représentant l’ensemble des états constitués dans l’Église : des ministres ordonnés, en l’occurrence diacres et prêtres, des personnes laïques, célibataires ou mariées – dans certains cas avec leur famille –, ainsi que des personnes célibataires consacrées à Dieu au moyen des conseils évangéliques (chasteté, pauvreté, obéissance). Leur idéal : la communion des états. En cela, elles disent trouver dans l’enseignement de Vatican II leur source d’inspiration et de légitimation. Tandis que pour nombre de fondations plurivocationnelles l’expérience pluriétatique est marquée par des réussites, d’autres communautés, en revanche, ont connu des difficultés notables. L’idéal de la communion des états fut marqué par diverses formes et divers degrés de confusions et de tensions entre les états représentés. Quelle est la source, l’origine ou la cause des difficultés rencontrées et, le cas échéant, y en aurait-il plusieurs ? Quelles seraient, dès lors, les voies de résolution à envisager ? Prenant en compte les aspects psychosociologiques et canoniques liés à la problématique, l’étude se concentre prioritairement sur les aspects théologiques, nommément ecclésiologiques, impliqués. Sur ce plan, la notion d’« état » se révèle centrale et constitue la porte par laquelle les questions sont abordées. Partant des hypothèses attribuant les confusions et les tensions expérimentées à des méconnaissances identitaires de la part des membres concernés, à des lacunes définitoires relatives aux diverses notions étatiques employées, puis à la présence implicite mais agissante de principes, théoriques et pratiques, présidant à la détermination des états, l’étude présente une analyse de la notion d’« état » au concile Vatican II dans le but ultime d’éclairer, à la lumière du Concile, la problématique initiale. Passant en revue, à l’aide d’une grille d’analyse en dix catégories thématiques, l’ensemble des textes conciliaires se reportant à l’état des clercs, à l’état des laïques, à l’état des religieux, puis à l’état du célibat sanctionné par l’Église et à l’état du mariage sacramentel, le parcours proposé permet d’étayer une série de trois thèses relatives à l’enseignement de Vatican II au regard des états des fidèles, d’où ressortent un nombre équivalent de recommandations conclusives adressées aux communautés nouvelles plurivocationnelles. Premièrement, le Concile, grâce aux traits caractéristiques, communs et particuliers, qu’il attribue aux différents états concernés, permet d’éclairer positivement les méconnaissances identitaires pointées au départ. À cet égard, la contribution de l’étude consiste à mettre en relief ces traits caractéristiques disséminés à même les textes conciliaires. Il en ressort une première recommandation, consistant à connaître les traits de chacun des états, à partir des textes conciliaires, lus et interprétés au moyen des présentations descriptives offertes dans cette étude. Deuxièmement, le Concile, en ce que ses textes comportent un certain nombre d’imprécisions langagières et de lacunes définitoires, peut potentiellement ou possiblement contribuer aux confusions et aux tensions expérimentées. À cet égard, l’étude contribue à la résolution des difficultés visées en proposant des distinctions et des définitions palliatives. Il en ressort une seconde recommandation, consistant à faire un usage éclairé des notions se reportant aux états des fidèles, usage qui commande, au préalable, d’avoir distingué clairement et défini de manière univoque les termes employés. Troisièmement, le Concile, sans offrir de solutions immédiates, témoigne de la présence souvent implicite de déterminants principiels de nature diverse et de questions irrésolues requérant d’être traitées. À cet égard, l’étude contribue à la résolution des difficultés visées en pointant une série de huit principes en cause, en en nommant leurs multiples natures, en les rattachant aux divers états impliqués, puis en exposant les questions litigieuses qui s’y rapportent. Il en ressort une dernière recommandation, consistant à reprendre l’exercice mené et à tenter de trouver, sur cette base, des solutions appropriées. Enfin, de manière prospective et critique, l’étude s’intéresse aux notions de « communauté nouvelle plurivocationnelle », de « communion des états [de vie] » et de « laïques consacrées », en plus de proposer des axes théologiques et des avenues canoniques au profit des couples mariés engagés au sein des fondations plurivocationnelles. / During the period following the Second Vatican Council (1962-1965), the Catholic Church saw the birth of more than 750 new religious communities in no fewer than forty countries around the world. Among them, we find the so called new plurivocational communities, representing about 24 % of all new communities. Composed of men and women, they bring together in the same community and legal membership faithful representing all the states constituted in the Church: ordained ministers, in this case deacons and priests; lay people, single or married, some with their families; and singles consecrated to God by means of evangelical counsels (chastity, poverty, obedience). The ideal of the plurivocational communities is the communion of states. In this, they say they find in the teaching of Vatican II their source of inspiration and legitimation. While for many plurivocational foundations the multi-state experience is marked by successes, other communities have experienced significant difficulties. The ideal of the communion of states was marked by various forms and degrees of confusion and tension between the states represented. What is the source, origin or cause of the difficulties encountered ? Would there be more than one ? What are the avenues of resolution to consider ? Taking into account the psychosociological and canonical aspects related to the problematic, the study focuses primarily on the theological aspects, namely ecclesiological, involved. In this regard, the notion of “state” is central and is the frame through which issues are addressed. The study presents an analysis of the notion of “state” at the Second Vatican Council with the ultimate goal of illuminating, in the light of the Council, the initial problematic. Its hypotheses attribute the confusion and tensions experienced by the members concerned to misunderstandings of their respective identities, to deficiencies relating to the various concepts of state, and to implicit but active theoretical and practical principles defining the different states. Using a grid of analysis in ten thematic categories, the study reviews all the conciliar texts referring to the state of the clergy, to the state of the laity, to the state of the religious, to the state of celibacy sanctioned by the Church and to the state of sacramental marriage. The proposed method supports a series of three theses relating to the teaching of Vatican II with regard to the states of the faithful, from which stand out an equivalent number of concluding recommendations addressed to new plurivocational communities. Firstly, thanks to the common and particular characteristic features which it attributes to the various states concerned, the Council makes it possible to shed positive light on the misunderstanding of identities pointed out at the outset. In this respect, the contribution of the study is to highlight these characteristic features disseminated in the conciliar texts. The first recommendation is to know the features of each state, based on the conciliar texts, read and interpreted through the descriptive presentations offered in this study. Secondly, the Council, in that its texts contain a certain number of linguistic imprecisions and definitional gaps, can potentially or possibly contribute to the confusion and tensions experienced. In this respect, the study contributes to the resolution of the difficulties concerned by proposing distinctions and palliative definitions. A second recommendation emerges, which consists in making an informed use of the notions referring to the states of the faithful, a practice which requires, beforehand, to have clearly distinguished and unequivocally defined the terms used. Thirdly, the Council, without offering immediate solutions, testifies to the often implicit presence of principled determinants of various kinds and unresolved issues needing to be looked at. In this regard, the study contributes to the resolution of the difficulties by pointing out a series of eight principles and naming their multiple natures, connecting them to the various states involved, and then exposing the contentious issues related to them. A final recommendation is to resume the exercise and to find appropriate solutions on that new basis. Finally, in a prospective way, the study critically engages the notions of “new plurivocational community”, “communion of states [of life]” and “consecrated lay people”, in addition to proposing theological axes and canonical avenues for the benefit of married couples committed to the plurivocational foundations.
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Le recrutement des Visitandines de Condrieu aux XVIIe et XVIIIe siècles

Mongrain, Pierre-Louis 05 February 2021 (has links)
Dans le cadre du renouveau religieux du XVIIe siècle, François de Sales et Jeanne de Chantal fondent l’Ordre de la Visitation en 1610. Rapidement populaires, les Visitandines ouvrent plusieurs monastères dans les premières années de leur existence. En 1630, elles s’implantent dans la ville de Condrieu, située à la frontière des provinces du Lyonnais et du Dauphiné et faisant partie du diocèse de Vienne. L’analyse des entrées en religion permet de montrer que, jusqu’à la fermeture du couvent en 1792, les effectifs restent élevés. Après l’extension rapide des premières années, le recrutement fluctue au gré des reculs et des reprises, des chutes et des redressements. La proximité de la ville de Lyon teinte de manière importante l’origine géographique des postulantes et désavantage l’accueil des jeunes filles condriotes. L’origine socioprofessionnelle met en lumière l’appartenance des nouvelles religieuses à l’élite sociale, malgré le glissement d’un recrutement nobiliaire à un recrutement roturier. Notre recherche vise à saisir ces changements et à les remettre dans leur contexte, afin d’en comprendre les causes.
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La vocation médicale. Un appel à guérir? / The medical vocation. A call to heal?

Le Taillandier De Gabory, Thomas 01 June 2015 (has links)
Les médecins ont-ils encore « la vocation » ? Ceux qui ont entendu « l'appel » de la médecine et qui se sentent « faits pour ça » depuis tout-petits ne sont pas très nombreux. Les médecins qui « se consacrent » corps et âme à leur métier ne le sont pas plus. Certains sont encore des « passionnés », mais l'investissement personnel et le don de soi se font de plus en plus rares, à l'heure où la profession n'est plus le tout de la vie. La vocation médicale semble donc réservée à une élite, à quelques élus.Le concept même de « vocation » renvoie à un passé religieux dont la profession ne veut plus faire mémoire. L'appel de la Bible est une voix divine, la consécration s'adresse aux prêtres et aux religieux qui se donnent à Dieu, la passion ne renvoie qu'à celle du Christ. Même si la médecine peut se vivre comme un sacerdoce, quel médecin serait celui qui soigne à la façon dont le Christ-médecin guérissait les malades de l'Évangile ?Nous voulons pourtant montrer que la vocation médicale est une métamorphose de la vocation religieuse. Il existe un changement de forme et pourtant un fond commun persiste, celui d'un appel à guérir. La vocation médicale pourrait donc concerner tous les médecins, même ceux qui ne sont ni appelés, ni consacrés, ni passionnés. Chaque médecin « est fait pour » guérir. Alors que beaucoup de médecins se sentent plutôt faits pour soigner, nous pensons que le soin est un devoir d'humanité qui concerne chaque homme. Le médecin, comme tout être humain, a le devoir de soigner. En revanche, il n'a pas le devoir de guérir, mais telle est sa mission. Il n'en a pas le devoir mais il est « fait pour ça ». Telle serait la vocation de tout médecin. / Do the doctors still have a "vocation"? Few are those who heard the medical "calling" and who feel "meant for it" since childhood. Few also are doctors who "consecrate" themselves body and soul for their job. Some are "passionate" about it, but the personal investment, the gift of self is more and more seldom in today's world where the profession does not embody the entire life anymore. The medical vocation seems reserved for an elite, for the few chosen ones.The very concept of the "calling" refers to a religious past that the medical profession does not want to recall. The biblical "calling" is a divine voice, consecration is then reserved for priests and religious who give themselves to God, passion recalls only Christ's passion. Even though someone can live medicine as a sacerdoce, which doctor would be able to heal in the same way as Christ healed in the Gospel?We would like to show that the medical vocation is a metamorphosis of the religious vocation. There is a common ground and yet a different form, it's a call to heal. It could concern all the doctors, even those who are not called, consecrated, or passionate. Each doctor "is meant to heal". Even though many doctors feel they are meant to care, we think that the care is a duty for all mankind. Like every human being, doctors have the duty of care. Even though the doctors do not have the duty to heal, they have the mission to heal. They do not have the duty to heal but they are "meant for it". That would be the vocation of any doctor.
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Soin et société dans le Paris du XIXe siècle : les congrégations religieuses féminines et le souci des pauvres / Care and society in nineteenth-century Paris : feminine religious congregations and the care of the poor

Jusseaume, Anne 03 December 2016 (has links)
Au XIXe siècle, les sœurs hospitalières sont au cœur du système de soin parisien. L’identité et les activités sociales de ces femmes qui partagent un engagement religieux et un apostolat soignant auprès des pauvres de la capitale sont analysées dans cette thèse. La vocation, fruit d’un choix entre les jeunes femmes et l’institution, est une voie d’émancipation dans l’espace public et le monde du travail, mais qui leur permet aussi de s’affirmer comme individu en sapant l’autorité paternelle et en légitimant l’expression d’un désir. Chevilles ouvrières du système de santé publique et figures de la charité privée, les sœurs en accompagnent la croissance. Le soin aux pauvres et leur dévouement justifient la reconnaissance de leur utilité sociale devant l’urgence d’une société confrontée à une pauvreté massive et aux effets contrastés du processus de déchristianisation. Paradoxalement, la laïcisation conforterait leur présence dans le dispositif charitable et soignant de la capitale. Les sœurs se forment à certaines exigences médicales et cherchent à maintenir un « écart chrétien » dans le monde. Le soin des sœurs participe ainsi à la médicalisation de la société mais reste une stratégie de reconquête religieuse. Leur apostolat révèlerait que la demande sociale de santé et de religion reposerait sur un souci de soi et un besoin plus vaste d’attention. Mais ce « souci de soi » est aussi, pour les sœurs, une voie fonctionnelle et harmonieuse de réconcilier les volets religieux et profane de leur mission. Dès lors, les sœurs peuvent s’adapter à la modernité en articulant les préoccupations du siècle avec une exigence spirituelle. / In the nineteenth century, sisters of charity were at the core of the Parisian health system. This thesis analyses the identity and the social activities of these women who shared a religious commitment and a caring apostolate towards the poor of Paris. Vocation, which resulted from a choice by young women and the religious institution, was a way for these women to find a place in public space and in the workplace. It enabled them to assert themselves as individuals, undermining paternal authority and legitimating the expression of a desire. Cornerstones of the public health system and figures of charity, the nuns accompanied the growth of both. Their care of the poor and their devotion justified their claim to be recognised as socially useful in a context where French society was confronted by the new problem of widespread poverty and by the countervailing effects of dechristianization. Paradoxically, republican secularization would confirm their presence in the capital’s caring and charitable system. The sisters undertook training to new medical standards at the same times as they tried to maintain a ‘Christian singularity’ in the world. The care that the sisters provided played a role in the medicalization of society but nonetheless remained part of a strategy of religious reconquest. Their apostolate would reveal that society’s health and religious needs rested on a ‘care of the self’ and a need for attention. This ’care of the self’ was also a way for the nuns to reconcile the lay and religious aspects of their mission. Thus, sisters of charity could adapt themselves to modernity by articulating worldly preoccupations with a spiritual imperative.

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