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Edgar Degas et le traitement moderne de la figure féminine : un terrain propice à l'éclosion des approches critiques féministes en art du XXe siècle

Daigneault, Sylvie 02 1900 (has links)
Edgar Degas, observateur réputé de la vie parisienne du XIXe siècle, réserve tout au long de sa carrière un traitement particulier à la figure féminine. Dès les premières tentatives de tableaux d’histoire et les portraits des débuts, dont un grand nombre concerne des couples et des membres de sa famille, Degas introduit une forme de tension dans les rapports entre les hommes et les femmes. Cette tension se manifeste à la fois dans la structure des œuvres et dans le registre expressif des figures représentées. Elle perdure dans les tableaux de genre qui marquent un intérêt accru de Degas pour les scènes de la vie contemporaine. Ces dernières suggèrent une trame narrative encore aujourd’hui difficile à déchiffrer mais où continue de se manifester une forme d’opposition entre les pôles masculin et féminin de l’image. Ce sont surtout les œuvres représentant des femmes au travail ou à leur toilette, réalisées dans la période de la maturité de l’artiste, qui manifestent cette tension à son maximum et lui confèrent un supplément de résonnance personnelle et sociale. Un pivotement du dispositif figuratif maintient le pôle féminin dans l’espace de représentation alors que le pôle masculin se situe désormais du côté du spectateur. Ces figures de femmes dont la gestuelle, le positionnement dans l’espace et le mode d’adresse suggèrent qu’elles font l’objet d’une effraction du regard qui s’énonce au masculin, résistent par plusieurs aspects au scénario érotique voyeuriste qui se développe à l’époque dans beaucoup de tableaux académiques et dans les illustrations populaires. / Edgar Degas, famous observer of nineteenth century Parisian life, made a special subject of the female figure throughout his whole career. As early as his first attempts at historical paintings and his first portraits - many of which depicted couples and family members - Degas introduces some kind of tension between men and women. This tension can not only be seen in the structure of his works but also through the postures and facial expressions of his characters. It remains in the genre paintings which show Degas’ increased interest in scenes of contemporary life after he turned away from historical topics. Those scenes point to a narrative that until today is difficult to decipher but where an opposition of a sort can still be seen between the male and female poles of the picture. But it is especially in the works depicting women at work or tending to their personal hygiene in the artist’s mature period that this tension is shown at its peak. It vibrates with an increasingly more personal and social tone. A shift in the figurative structure maintains the female pole in the depicted space whereas the male pole is now located in the beholder’s space. Female wearily label even by the postures, demeanors, and expressions lead us to believe that they are subjected to some visual intrusion of male origin, one akin to the existing voyeurism developing in the same period in many academic paintings and popular illustrations.
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Le Temple de la Gloire. Visages et usages de Jean-Philippe Rameau en France entre 1764 et 1895 / « Le Temple de la Gloire ». Practice Jean-Philippe Rameau in France, 1764-1895

Vançon, Jean-Claire 04 December 2009 (has links)
Cette thèse veut s’attacher aux usages dont Jean-Philippe Rameau fut l’objet en France entre 1764 (la date de sa mort) et 1895 (la date usuellement identifiée comme étant celle de sa résurrection, alors que commencent à paraître ses Œuvres complètes aux éditions Durand). Le temps intermédiaire n’est en effet pas celui d’un oubli : célébré comme un « grand homme » au lendemain de son décès, et ne disparaissant jamais des consciences et des cultures musiciennes, Rameau est d’abord critiqué (1764-1831), avant d’être réécouté (1832-1895). Sa musique souffre d’être ancienne en des temps progressistes consacrant l’esthétique gluckiste. Le concert saura pourtant après 1830 mettre parfois son historicité en valeur (un « désir d’authenticité » s’appuyant d’abord sur un goût pour la « couleur locale »); il saura aussi la gommer, fabriquant des standards ramistes ; ou bien la transcender dans l’image d’un « musicien charmant ». Le paradigme historiciste était, au XVIIIe siècle, en concurrence avec un classement « national » du musical (par ailleurs mis à mal par le cosmopolitisme gluckiste) ; il s’y associera pourtant à la fin du XIXe siècle pour une définition patrimoniale de la « musique française » où Rameau jouera son rôle. Le monde qui se développe sans Rameau après les années 1780 est un monde qui s’est spécifiquement constitué contre lui ; c’est pourtant dans ce monde-là que se redéploiera une écoute de Rameau qui, d’abord constituée à l’école d’autres répertoires, finira par devenir une écoute ramiste. / This thesis strives to present the different ways Rameau was considered by critics in France between 1764 (date of death) and 1895 (the year usually associated to Rameau’s revival and the time at which his Œuvres complètes were published by Durand). Meanwhile, Rameau was not forgotten. Acclaimed as a genius after his death, he remained present in musical mind and culture. His work was first criticized (1764-1831) before coming back into favor (1832-1895). In a progressive era that glorified the aesthetics of Christoph Willibald Gluck, Rameau’s music was stigmatized for being ancient. After 1830, public performance would simultaneously enhance its historicity (born from a taste for the authentic stimulated by the desire for a bit of local color) and erase it, thus creating a new variety of favorite Ramist tunes, and beyond them clichés of a gracious musician. In the XVIIIth century, the historicist paradigm competed against a classification of all things musical on the basis of nationality (in itself affected by gluckian cosmopolitism) only to reappear in association with it at the end of the XIXth century, thus contributing to the gradual definition of French music in relationship to past references in which Rameau will have a leading part. The musical world that developed without Rameau after 1780 was pointedly hostile to his work. It is none the less in that same world that a new focus on the composer gradually emerged, wrought in the light of other repertoires, that gave way to what became known as the « écoute ramiste ».
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Les gravures du journal illustré montréalais L’Opinion publique(1870-1883) : une représentation populaire de l’ailleurs

Tanniou, Émilie 08 1900 (has links)
Ce mémoire de maitrise porte sur la représentation de l’ailleurs véhiculée aux lecteurs d’images, au Québec, par les gravures du journal illustré L’Opinion publique. Effectivement, si l’Histoire commence avec les premières traces écrites, elle pose le problème de l’étude historique de ceux qui n’ont pas laissé de tels témoignages, les personnes qui ne sont pas ou peu alphabétisées. Nous proposons d’étudier ces personnes par le biais de l’image, médium auquel elles ont pu avoir accès. Nous avons ainsi cherché à savoir quelle connaissance de l’ailleurs a pu être véhiculée aux lecteurs d’images à travers les gravures du journal. Nous considérons que les gravures sont comprises par tous. Celles-ci représentent la moitié des pages du périodique, nous pensons que ce journal a pu être accessible à chacun, à ceux que nous appelons les lecteurs d’images. Nos conclusions montrent que ces illustrations ont pu étendre la connaissance de l’espace des Québécois, à travers la représentation de l’actualité. Il est à noter que ces gravures proviennent en partie de journaux français et montrent la France et ses colonies. La population montréalaise se trouve donc au contact d’une certaine influence française, dont les élites se font les vecteurs. Une comparaison avec le Canadian Illustrated News révèle de profondes différences. Ainsi, ce journal du même propriétaire indique un intérêt marqué pour l’Empire britannique. Ce journal qui vise un public plus cultivé que celui de son homologue francophone donne à voir un espace plus large à ses lecteurs. Ainsi, chaque ligne éditoriale se fait l’écho de représentations différentes, transmises à ses lecteurs, populaires ou moins, francophones ou anglophones. / This master’s thesis focuses on the representation of the idea of “elsewhere” as conveyed by the illustrated newspaper L’Opinion publique’s engravings to the pictures’readers in Quebec. Indeed, if history did commence with the written word alone, challenges would arise with regards to the historical study of those who did not leave behind such accounts, namely the illiterate or barely literate. We propose to study this audience by means of the printed picture. Thus, we explored how “elsewhere” was portrayed to the newspaper’s readers through the medium of the picture. We believe that the pictures were understood by everyone. Considering half of the newspaper consisted of illustrations, we assume L’Opinion publique would have been accessible to everyone. Our conclusions show that these illustrations could have expanded knowledge of space of the Quebecers, through the representation of the news. We notice a part of these engravings come from French newspapers and depict France and her colonies. Through the elite, Montreal population is in contact with a degree of French influence. A comparison with the Canadian Illustrated News reveals significant differences. This newspaper, owned by the same person, indicates a marked interest in the British Empire. The Canadian Illustrated News aims at a public more cultured than the French-speaking counterpart, indicated by the broader array of topics covered. Thus both papers explored different points-of-views, which were transmitted to its readers, working class or not, French or English speaking.
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La notion de détail et ses enjeux (1830-1890)

Wicky, Erika 12 1900 (has links)
Pour respecter les droits d'auteur, la version électronique de cette thèse a été dépouillée de ces documents visuels. La version intégrale de la thèse a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal. / Au cours du XIXe siècle, la notion de détail s’est imposée comme un outil théorique majeur pour l’appréhension des représentations visuelles. Menée à travers l’analyse de textes variés rendant compte de la réception des images dans le contexte de cas précis (exposition de peinture, inauguration d’un panorama, publication d’un ouvrage illustré, etc.), l’étude historique de la notion de détail révèle les différents préjugés et réseaux de signification qui lui étaient alors attachés. Le détail étant le produit d’un cadrage opéré par la perception visuelle, l’examen de cette notion nous renseigne non seulement sur le rapport que l’époque entretenait avec le visible, mais aussi sur la nature des liens qu’elle tissait entre la partie et le tout. Ainsi, il apparaît que le détail était propre à satisfaire les besoins d’une période associant voir et savoir et cherchant dans le contrôle du visible les moyens de maîtriser un réel en constante mutation. À ce titre, c’est sur l’argument du détail que reposait l’attribution d’une valeur scientifique, historique ou documentaire aux représentations. Toutefois, le détail devait confirmer le statut de l’ensemble dont il était tiré, car, s’il était discordant, il devenait un indice trahissant un mensonge. Pour cette raison et aussi parce le rendu détaillé dans les représentations témoignait d’une observation rigoureuse du réel et d’un travail patient de restitution, le détail était souvent investi de connotations morales reflétant les valeurs bourgeoises en train de s’imposer. Cependant, alors que le détail était censé servir une meilleure connaissance de l’ensemble, sa prolifération était redoutée, car elle faisait paradoxalement courir à la perception du tout le risque de la dislocation. De plus, dans la mesure où il relève toujours du particulier et d’une observation jugée objective, le détail était souvent perçu comme contrevenant à la valeur artistique des représentations. Ainsi, cette question s’est cristallisée dans les débats portant sur le caractère artistique de l’image photographique qui se distinguait par un rendu inédit et systématique des détails. Enfin, l’analyse de cet argument polymorphe que constitue la notion de détail au XIXe siècle fait apparaître les limites de l’engouement dont elle a fait l’objet. Étant toujours envisagé dans sa dimension figurative, comme instance iconique minimale, le détail tel qu’il était conçu à l’époque ne permettait pas de saisir le substrat matériel qui commençait à émerger dans la peinture moderne. Ainsi, jusque dans ses limites, la notion de détail révèle des enjeux majeurs de la modernité. / Over the course of the nineteenth century, the notion of detail became an established theoretical tool in the understanding of visual representations. Conducted through multiple text analyses taking into account the reception of images in specific contexts (a painting exhibition, the opening of a panorama show, the publication of an illustrated literary work), this historical study reveals the prejudices and networks of meaning attached to the notion of detail. Because detail is the product of visual perception, a study of this notion reveals not only the relationship with the visible that existed at the time, but also the nature of links between parts and the whole. Detail was essential in meeting the needs of a time that associated “seeing” with “knowing” and that attempted to find a means of controlling the ever-changing reality through the visible. As such, the attribution of scientific, historical, or documentary value relied on the argument provided by detail. Nonetheless, detail was supposed to confirm the status of the whole from which it was derived, since when these did not match, the detail became a sign of a lie. For this reason, and also because a detailed depiction signified a rigorous observation of the real conveyed through a careful reproduction, details were often imbued with moral connotations that reflected the bourgeois values of the time. However, while details were meant to help know the whole better, their proliferation was also feared, because it increased the risk of interfering with the perception of the whole. In addition, insofar as it is always derived from the specific and from an observation deemed objective, the detail is often perceived as being in conflict with the artistic value of the representation. This issue became crystallized in the debates on the artistic qualities of photography, an art form characterized by a hitherto unparalleled level of detail. In the end, the analysis of this polymorphic argument encapsulating the notion of detail in the nineteenth century reveals the limits of the infatuation of which it was the object. Previously envisioned in its figurative dimension, the detail as it was perceived at the time did not allow the capture of a material substratum, which started to emerge later with the advent of modern painting. Even in its limitations, the notion of detail reveals the principal issues of modernity.
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Les guerres de dentelles : la société-femme chez Zola

Vallée, Corinne January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Croyances populaires dans le théâtre québécois : entre le procédé ludique et le catéchisme dissimulé (1870-1900)

Sansregret, Rachel January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Les artistes romantiques et la commercialisation de l'art : la transformation du mécénat d'État et le début du système marchand

Fortin, Marie-Christine January 2009 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal. / Pour respecter les droits d'auteur, la version électronique de cette thèse ou ce mémoire a été dépouillée, le cas échéant, de ses documents visuels et audio-visuels. La version intégrale de la thèse ou du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Les personnes qui résident seules au Canada en 1871, 1881 et 1901

Dion Tremblay, Maryse January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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La représentation de la catalepsie dans le récit fantastique du XIXe siècle

Bergeron, Marjorie 06 1900 (has links)
Au XIXe siècle, la science et le fantastique produisent le même effet chez les gens : en mettant ceux-ci en contact avec des phénomènes inouïs, ils les inscrivent dans un rapport dialectique – entre le connu et l’inconnu – qui doit déboucher sur le non-encore-connu, comme s’ils recelaient la promesse d’une révélation. En effet, à la fois les sciences de l’esprit et le récit fantastique permettent de franchir les frontières entre le moi et l’autre, la vie et la mort, le corps et l’esprit. Explorant autant de domaines inconnus relatifs à l’homme, ils redéfinissent les contours de celui-ci. C’est donc en tant que moyens de savoir que ce mémoire met en relation ces sciences (psychiatrie, psychophysiologie, hypnotisme…) et trois récits fantastiques, « Onuphrius » de Théophile Gautier, « La Mort d’Olivier Bécaille » d’Émile Zola et « L’Homme voilé » de Marcel Schwob, où une crise de catalepsie subie par le héros déclenche le processus dialectique. / In the 19th century, science and the fantastic generated the same effect in people’s minds: by making them encounter incredible phenomena, they place them in a dialectical relation – between what is known and the unknown – which leads to the not-yet-known, as if they were concealing a promise of revelation. Indeed, both sciences of the mind and fantastic narratives enable the crossing of frontiers between the self and the other, life and death, body and mind. Exploring all these unknown territories related to man, they redefine his contours. Therefore, it is as means of knowledge that this dissertation is establishing a link between these sciences (psychiatry, psychophysiology, hypnotism...) and three fantastic narratives, “Onuphrius” by Théophile Gautier, “La Mort d’Olivier Bécaille” by Émile Zola and “L’Homme voilé” by Marcel Schwob, where catalepsy crises trigger the dialectical process.
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De la pitance indigeste au divin pot-au-feu : la quête du bon repas comme thème dans l’œuvre de Joris-Karl Huysmans

Shine, Laura 04 1900 (has links)
La question alimentaire, chez Joris-Karl Huysmans, est une préoccupation centrale. Son œuvre témoigne d’un réel intérêt pour la nourriture et le motif de la quête du repas structure plusieurs de ses écrits. Bien au-delà de la simple question diététique, j’émets l’hypothèse que l’alimentation constitue chez Huysmans un véritable topos qui parcourt l’œuvre et la structure. Depuis la névrose de l’indigeste jusqu’à l’élévation spirituelle des nourritures célestes, elle progresse dans un cheminement toujours plus mystique alors que le mangeur tente d’accéder à la béatitude alimentaire. Afin de mieux cerner cette évolution thématique et discursive, j’examine principalement un corpus restreint comprenant À Vau-l’eau (1882), En Ménage (1881), À Rebours (1884) et Là-bas (1891). Ces quatre œuvres, prises isolément, présentent un contenu particulièrement riche en préoccupations alimentaires; côte à côte, elles dévoilent une réelle évolution textuelle et thématique, développent et amplifient la question alimentaire qui passe de la quête vitale de subsistance à celle d’une nourriture plus spirituelle. / Food is a fundamental concern in Joris-Karl Huysmans’ work. His novels reveal a genuine interest for the edible, and a number of his protagonists embark on a quest for an acceptable meal. But beyond simple dietary preoccupations, I propose that food in Huysmans’ œuvre constitutes a veritable topos that structures and determines the narrative. From the indigestion caused by toxic meals to the spiritual elevation permitted by heavenly foods, eaters engage in an increasingly mystical journey as they attempt to find alimentary bliss. To better understand this thematic and discursive evolution, I analyze a small selection of works comprising À Vau-l’eau (1882), En Ménage (1881), À Rebours (1884) and Là-bas (1891). These four texts, studied separately, present a fecund mise en scène of dietary issues; examined diachronically, they reveal a veritable textual and thematic progression, developing and amplifying the question of food that from a vital quest for subsistence evolves into a search for deeper spiritual fulfillment.

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