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The acquisition of Swedish prepositions : A longitudinal study of child comprehension and production of spatial prepositions / Barns tillägnande av svenska prepositioner : En longitudinell studie om barns förståelse och produktion av spatiala prepositionerTahbaz, Sofia January 2018 (has links)
Prepositions are acquired at earliest during the second year of life. This thesis investigates 16 children acquiring Swedish spatial prepositions, i.e. på ‘on/at’, i ‘in/at’, under ‘under’, bredvid ‘beside/next to’, bakom ‘behind/back’ and framför ‘in front’. This thesis aimed toinvestigate how preposition acquisition relates to language acquisition. The thesis used three different methods: eight sessions of free parent-child interaction, one structured experiment at 2;9 years and parental reports on child passive/active vocabulary from when the children were 0;9 years until they were 3;0 years old. The data gathered was correlated to scores in the parental reports at 4;0 years, which was used as a measure of communicative level, and used as a base when dividing the children into three groups: lower, average and higher score. The results showed that both parental and child preposition production, comprehension at 2;9 years, and comprehension and production predicted communicative level at 4;0 years. The results of the thesis varied depending on the method used. This highlights the importance if using several methods when investigating child language acquisition. / Prepositioner tillägnas som tidigast under barnets andra levnadsår. I denna masteruppsats undersöks utvecklingen av spatiala prepositioner hos 16 barn under deras 4 första levnadsår. På, i, under, bredvid, bakom och framför var prepositionerna som undersöktes. Ett av uppsatsens mål var att undersöka om och/eller hur prepositionsutveckling är kopplat till språkutveckling. För att nå målet användes tre olika metoder: åtta sessioner av förälder-barn interaktion, ett semi-strukturerat test då barnen var 2;9 år gamla och aktivt/passivt ordförråd från när barnen var 0;9 år till att de var 3;0 år gamla. Detta korrelerades sedan till barnens poäng från en föräldraenkät om barnets språkförmåga vid 4;0 års ålder. Poängen vid 4-års ålder låg till grund för uppdelning av barnen i tre grupper: lägre, medel och högre språklig nivå. Resultaten från uppsatsen var bland annat att såväl föräldrars som barns produktion av prepositioner, barnens förståelse av prepositionerna vid 2;9 år, och förståelse såväl som produktion av prepositioner förutsäger barnens kommunikationsnivå vid 4;0-års ålder. Resultaten skiljer sig beroende på vilken metod som använts, vilket understryker vikten av att använda flera metoder när barns språkutveckling undersöks. / MINT - moduling infant language acquisition from parent-child interaction
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A língua é minha pátria : Análise dos sintomas de atrição lingüística primária referente ao uso do português por brasileiros residentes em EstocolmoEliasson, Mary-Anne January 2003 (has links)
Esta monografia tem por objetivo registrar e analisar os primeiros sintomas da atrição linguistica do português como L1. As informantes são brasileiras cultas, habitantes da cidade de Estocolmo há pelo menos oito anos e vivem um dia-a-dia bilíngüe, com a língua sueca como L2. É feita uma análise ligada ao desempenho lingüístico destas, referentes ao uso dos pronomes, dos marcadores conversacionais e uma análise do vocbulário usado pelas informantes. O corpus analisado consta de três entrevistas diversas com cada informante. Cinco itens são analisados de formas diferentes: os sujeitos pronominais são comparados ao uso dos mesmos por brasileiros nativos em uma análise quantitativa; os marcadores conversacionais são estudados com o intuito de verificar se há atrição na fluência do discurso das informantes; é verificado se há uma influência direta da L2 quanto ao uso do verbo no subjuntivo; são analisados os equívocos relacionados ao uso de preposições, se estes estão ligados à influência de L2; por fim, uma análise das diferentes formas da atrito lexical que surgem no material resgistrado. É registrada atrição lingüística nos itens referentes aos marcadores conversacionais, nos erros ligados à preposição em o nos exemplos da atrito lexical.
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Le matériel prépositionnel, préverbal et préfixal en latin littéraire et non littéraire : étude de la documentation autographe / Prepositional, preverbal and prefixal material in non literary latin : a study of autographical documentsRedoutey-Grosjean, Nicolas 16 March 2019 (has links)
La présente thèse a pour sujet la question du système des prépositions en latin vulgaire, ainsi que des morphèmes liés à ces dernières dans les langues indo-européennes (préverbes et préfixes). Notre objectif a été d’évaluer quelles ont pu être les spécificités relatives à l’emploi des prépositions (et des morphèmes connexes) dans la langue ordinaire, sur le plan sémasiologique comme onomasiologique. Est bâti pour ce faire le corpus le plus large possible de documents « autographes », c’est-à-dire de pièces portant une inscription directement réalisée par un latinophone (graffites, ostraca, tablettes de cire, defixiones, papyri documentaires), rédigés entre 1 et 395 p.C. La construction même de ce corpus et l’établissement d’une référenciation stable ont constitué un objectif secondaire de ce travail. La première partie établit les outils terminologiques nécessaires. Sont donc passées en revue toutes les théories relatives aux prépositions et à leur sémantisme depuis l’Antiquité, dans le but de souligner les manques et les imprécisions de la tradition terminologique. L’attention est ensuite portée sur le problème récurrent du « latin vulgaire », appellation nécessairement tolérée, même si elle demeure insatisfaisante et embarrassante. La question est spécifiquement posée au regard de la particularité du corpus, sur le plan matériel comme théorique. La notion « d’autographie » est en effet très floue, du fait de l’immixtion d’intermédiaires humains (comme les scribes, professionnels ou non), de la question de la « formularité » et des text types, et des problèmes complexes liés aux différentes formes de littératies à travers les provinces romaines. Cette partie se clôt sur les choix terminologiques et méthodologiques opérés, relativement au processus sous-jacent de collecte des données. La seconde partie présente les données. Celles-ci sont d’abord traitées sous l’angle quantitatif, avec prudence ; il s’agit d’abord d’établir quels sont les morphèmes encore en usage, quels sont ceux qui déclinent et quels sont ceux qui ont déjà disparu. Il s’agit également de comprendre quels écarts peuvent se manifester entre les données et nos attentes. On souligne ce faisant les différents processus de développement, en synchronie ou en diachronie, de certains morphèmes ou usages ; la notion de « préfixation pré-nominale », jusqu’ici peu envisagée dans les études latines, et ainsi étudiée. Le second chapitre de cette partie étudie ce matériel, sur un plan phonétique, morphosyntaxique et lexical. Il s’agit alors non seulement de découvrir les signes d’un possible renouvellement dans certaines zones de la langue (il est fait ici usage du concept de sermo castrensis, mais aussi de celui – encore peu envisagé – de sermo mercatorius) ; il s’agit en outre de comprendre pourquoi ce corpus manifeste une véritable résistance à l’égard des vulgarismes, et pourquoi l’on ne constate aucun véritable fossé entre la langue normée et celle du corpus.Le dernier chapitre se concentre sur le problème déjà ancien, mais complexe, de la chute des <-m> (et accessoirement, des <-s>) en latin vulgaire, et sur la conséquence de celle-ci au sein des groupes prépositionnels. Ce problème a une histoire (depuis Diehl), qui est rappelée afin d’expliquer comment se mélangent ici les niveaux graphiques, phonologiques et grammaticaux. Il s’agit de comprendre dans quels cas la disparition de <-m> peut être attribuée à une pure convention graphique, dans quels cas elle est relative à l’analphabétisme ou à la faible littératie des scripteurs, et dans quels cas elle constitue effectivement le premier signe (mesuré) d’un effondrement des systèmes flexionnels, dans une perspective romane. Ce chapitre s’interroge ine fine sur la capacité des locuteurs semi-lettrés, à un moment de la diachronie, à faire usage d’un « système polymorphique » (Banniard), et à choisir ainsi, bien qu’ils fussent relativement conscients des règles morphologiques, de marquer ou non le cas accusatif. / In this thesis, we deal with the question of prepositional systems in Vulgar Latin, and the linguistic material wih which it is usually associated, in indo-european languages, i.e. preverbs and prefixes. Our work aims to evaluate how specific usages of prepositions (and related material) in colloquial speech may have been, in both semasiological and onomasiological ways. For this purpose, we draw on the largest corpus of « Autographical » documents, i.e. directly inscribed artifacts, such as graffiti, ostraca, wax tablets, defixiones, documentary papyri, etc., from 1 to 395 a.D. Moreover, as a second objective ot the dissertation, we set up a fully-ordered and well-referenced corpus of our archaeological material.The first part of the thesis tries to lay the methodological tools of such the said design. Theories of prepositions and prepositional meanings from Antiquity to present reviewed are reviewed, in order to understand the lack and fuziness of inherited terminological displays. We then consider the customary problem of utilising and defining the terme « Vulgar latin » (which we tolerate, as embarrassing and unsatisfying as it is) and most specifically the peculiarity of our corpus, in a theorical and practical ways : « autography » is indeed a messy concept, due to the involvement of human go-betweens (like professional or casual scribes), the question of formularity and « text types », and the complex pattern of literacy, throughout the Roman provinces. This chapter ends with terminological and methodological choices, referring to the undergoing process of the data report.In second part of the thesis we lay out the data itself. We first deal with this data quantitativly by cautiously using statistical approaches, we try to establish which morphemes were still in use, recessing, or had already disappeared. Furthermore, we examine what kind of discrepancies could arrise between our expectation and the data. We stress, by doing so, the synchonical and diachronical expansions of certain morphemes or usages, and more specifically the question of « Pre-nominal prefixation », on which little has yet been written in classical tradition. The second part of this chapter studies the dynamics of our material phonetically, morphosyntaxically and lexically. Not only do we try to catch sight of linguistic renewals in some areas of language (dealing with the concept of sermo castrensis, or the yet unexplored sermo mercatorius), but also the evidence of a structural dragging into vulgarisms and linguistical changes in our corpus, questioning the lack of an expected « gap » between litterary standards and the language that our documents are using.The third part of our thesis deals with the very well known but very intricate problem of falling /-m/ (and, casually, falling /-s/) in Vulgar Latin, and their consequences in the prepositionnal phrases. The problem’s history (from Diehl’s work) shows up, explaining the entanglement of graphical, phonological and grammatical levels in such an inquiry. We then try to establish which part of the disappearing <-m>, in prepositional phrases, could be assigned to graphical convention, which part goes to real illiteracy (or « low-level literacy ») and which part shows the evidence for a real (but limited) starting point toward a future collapse of nominal flection, from a romance perspective. We conclude this chapter by questioning the ability of semi-literate latin-speakers, at some point of the diachronic evolution of latin language, to deal with « polymorphic » systems (as proposed by Banniard), who ware quite aware of morphological rules but choosing to mark or not mark or to omit the accusative case.
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Les rapports entre le temps et l'espace dans les théories linguistiques / The Relation between Time and Space in Linguistic TheoryChalozin-Dovrat, Lin 08 January 2015 (has links)
Depuis plusieurs décennies, un nombre important de travaux en linguistique et sciences cognitives avancent une thèse selon laquelle l’expression du temps dans la langue dépend de la cognition de l’espace. Cette étude cherche à établir que le discours scientifique sur les rapports temps–espace dans la langue et la cognition est un objet épistémologique qui a sa propre histoire et ses propres motivations disciplinaires. Ainsi, le programme de recherche généralement admis est le produit d’une trame complexe d’intérêts qui ne favorisent pas nécessairement la recherche de l’objet scientifique. Dans une première partie, nous confirmons que les rapports linguistiques entre temps et espace constituent un objet historique et variable, tant dans la langue que dans la pensée sur la langue. Dans une deuxième partie, nous explorons la tendance à la spatialisation du temps dans les écrits des philosophes et grammairiens des Lumières et dans le travail de Gustave Guillaume (1883–1960). Dans une troisième partie, nous examinons le paradigme de la priorité spatiale dans la linguistique cognitive à partir des années 1970 jusqu’à nos jours. Les résultats de cette étude nous amènent à proposer des lignes directrices pour la recherche future des manifestations linguistiques des rapports temps–espace. / Over the past few decades, a considerable number of studies in linguistics and the cognitive sciences have put forward the claim that the expression of time in language relies on the cognition of space. This study aims to show that the scientific discourse on time–space relations in language and cognition is an epistemological object, shaped by its history and disciplinary motivations. Thus, the predominant research framework of time–space relations is the product of an intricate network of interests which do not necessarily facilitate the research of the scientific object. In the first part of the study we show that relations between time and space changed through the history of both language and the theory of language. In the second part, we explore the theoretical trend of the spatialization of time in the writings of key philosophers and grammarians of the Enlightenment, and in the oeuvre of the French linguist Gustave Guillaume (1883-1960). In the third part we examine the paradigm of spatial priority in cognitive linguistics from the 1970s until today. The conclusions of the study lead us to put forth some proposals for the future research of time, space and the time–space interface in language.
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La concession en russe moderne / Concession in modern russianLyakhova Moulin, Mariya 06 April 2011 (has links)
Dans cette thèse sur la concession en russe moderne, nous avons cerné cette notion en élaborant un schéma prototypique servant à classer différents types de constructions concessives et à intégrer le maximum de structures marquées comme concessives. Ainsi le schéma proposé (p, Cq), basé sur la notion de contraste entre les implications des contenus de p et q, les évaluations de ces contenus ou les actes illocutoires p et q, prend pour principal repère C, conjonction ou préposition concessive. Nous avons étudié la relation concessive dans des constructions bi-Propositives et des propositions simples. Cet ensemble est classé en fonction du statut épistémique de q, puis subdivisé en non-Conditionnel, conditionnel ou contrefactuel. Le deuxième critère de classement est le statut unique ou multiple de q. Dans le premier cas nous avons des constructions non-Généralisantes, dans le second la construction appartient au type généralisant. Nous nous sommes démarquée des recherches traditionnelles en prenant en compte la concession illocutoire : xotja sert à remettre en cause l’énoncé précédent pour une auto-Correction du locuteur qui annonce ainsi le changement du cours de sa pensée. Notre travail nous amène à la conclusion que la concession est un phénomène protéiforme non réductible à une notion de causalité inversée. L’élargissement du champ d’étude permet de jeter un pont entre la notion linguistique et la notion rhétorique de la concession et de donner un tableau plus complet des différentes formes de relation concessive en russe moderne. / In this thesis dedicated to concession in modern Russian we specified the concept by means of a prototypical schema which we applied to classify different types of concessive constructions. This schema aims at embracing the majority of sentences marked as concessive. The main mark of the proposed schema (p, C q), based on the idea of contrast between the implications of p and q contents, assessments of these contents or p and q speech acts, is the connective C, a concessive conjunction or preposition. We studied concessive relations in both complex sentences and simple sentences. They are classified according to the epistemic status of q and subdivided into non-Conditional, conditional and counterfactual. The second criterion of classification is the single or multiple status of q. According to it we have, on the one hand, non-Generalized concessive constructions and, on the other, generalized concessive constructions. Outstepping the traditional research, we made a point of studying illocutionary concession as part of the whole. Indeed, xotja in discourse is used by the speaker as a self-Correction technique in order to reject the previous utterance pointing thus the deviation of their thought. As a result of our research we come to the conclusion that concession has multiple forms and cannot be reduced to inoperant causality. Due to a wider research scope we managed to bridge the linguistic and rhetoric concessions and to give a broader view of different forms of concessive relations in modern Russian.
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