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Comportement et rendement scolaire au début du primaire : les attributions causales et d'intentions, des processus en jeu?

Charbonneau, Marie-Josée January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Étiologie des différences individuelles liées à la sécrétion cortisolaire à la petite enfance : une étude des facteurs génétiques et environnementaux

Ouellet-Morin, Isabelle 13 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2008-2009 / L'objectif de cette thèse de doctorat consiste à étudier l'étiologie génétique et environnementale de la sécrétion cortisolaire à la petite enfance, une période du développement caractérisée par une forte plasticité de certaines structures cérébrales. Une attention particulière est accordée à l'investigation des variations des contributions génétiques et environnementales en fonction de l'adversité familiale, indice d'une possible interaction entre les gènes et l'environnement. L'adversité familiale renvoie à une mesure composite de 7 facteurs périnataux et postnaux ayant été liés à la sécrétion cortisolaire (l'exposition prénatale à la cigarette, le faible poids à la naissance, le faible revenu familial, pas de diplôme d'études secondaires, mère monoparentale, le jeune âge de la mère et les comportements maternels hostiles ou réactifs envers les jumeaux). Considérant que les mesures cortisolaires ont été effectuées dans des contextes différents (prélèvements salivaires réalisés à deux temps au cours de la journée vs une réponse à un stress de nouveauté sociale) et à des âges distincts (6 vs 19 mois), la poursuite de cet objectif s'effectue séparément pour ces mesures. Dans un premier temps (article 1; mesure réactive à un contexte de nouveauté sociale à 19 mois), les résultats indiquent une variation des contributions génétiques et environnementales en fonction de l'adversité familiale, prenant la forme d'un effet organisationnel de l'adversité environnementale. Cet effet se traduit par une contribution réduite des facteurs génétiques combinée à une plus forte contribution de l'environnement partagé en contexte d'adversité familiale comparativement à une contribution génétique modérée du cortisol réactif en absence d'adversité familiale. Dans un deuxième temps (article 2; mesures diurnes à 6 mois), les résultats indiquent une variation des contributions génétiques et environnementales de la sécrétion cortisolaire matinale en fonction de l'adversité familiale. Cette variation prend cette fois la forme d'une plus forte héritabilité en présence d'adversité familiale alors que seuls les facteurs environnementaux uniques entrent en jeu en l'absence de ce contexte de vie adverse. Aucune variation des contributions génétiques et environnementales n'est notée sur la sécrétion cortisolaire mesurée au réveil en fonction de l'adversité familiale. Pour cette mesure, seuls les facteurs génétiques expliquent la ressemblance entre les jumeaux d'une même paire.
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The impact of early life adversity on cortical structure in adolescent twins followed since birth

Ismaylova, Elmira 07 1900 (has links)
Des études animales ont montré que l’exposition du foetus à l’adversité affecte le développement cérébral et la régulation d’émotions plus tard. Cette régulation serait reliée aux changements structurels cérébraux, particulièrement au circuit fronto-limbique. Cependant, ces résultats n’ont pas été entièrement répliqués chez l’humain. Le but de cette étude était de tester si l'adversité précoce conduit à des altérations structurelles des régions (orbitofrontal, préfrontal, cingulaire) fronto-limbiques, identifiées comme régions-clés dans la (de)régulation d’émotions. Les mesures principales de l’adversité étaient un poids léger à la naissance et l’hostilité maternelle puisqu’ils étaient parmi les plus prédictifs des résultats développementaux et comportementaux chez l’humain. Les mesures secondaires, incluant le tempérament difficile d’enfant et l’impulsivité en adolescence, étaient utilisées du à leur lien avec le développement cérébral et émotionnel. Les participants étaient des jumeaux identiques, membres de l’Étude des Jumeaux Nouveau-nés du Québec (ÉJNQ, N = 650 paires) suivis depuis 5 mois à 15 ans, leur âge actuel. Ceci a permis de mieux contrôler le facteur génétique et ainsi mieux isoler les effets d’environnement. Trente-sept paires ont été recrutées. La structure cérébrale de chacun, obtenue avec l’imagerie par résonance magnétique, a été analysée avec la régression linéaire. Le poids à la naissance n’a eu aucun effet. L’hostilité maternelle a prédit une réduction de l’aire du gyrus cingulaire postérieur. Tempérament difficile a prédit une réduction de l’aire du cortex orbitofrontal. L’impulsivité était associée avec l’aire et volume du cortex préfrontal réduits. Ces résultats soulignent l’importance des interventions précoces afin d’empêcher des altérations menant à la psychopathologie. / Animal studies have shown that fetal exposure to adversity affects brain development and emotion regulation later on. Emotion regulation would be related to a structural change in the brain, particularly the fronto-limbic circuitry. However, results have not been entirely confirmed in humans. The purpose of the present study was to test whether early adversity leads to structural changes in the fronto-limbic (prefrontal, orbitofrontal and cingulate) regions, previously identified as key areas in emotion (dys)regulation. Main measures of adversity were low birth weight and maternal hostility because these were among the best predictors of developmental and behavioral outcomes in humans. Secondary measures, including difficult child temperament and adolescent impulsivity, were used because of their link with brain and emotion development. Participants were identical twins part of Quebec Study of Newborn Twins (QSNT, N = 650 pairs), followed from 5 months to 15 years, their current age. Using identical twins allowed to better control the genetic factors and, thus, to better isolate the specific effects of early environment. Thirty-seven pairs have been recruited. Each twin’s brain structure was assessed with magnetic resonance imaging and analyzed using linear regression. Birth weight showed no effect on brain structure. Maternal hostility predicted a reduction in cortical area of posterior cingulate gyrus. Difficult child temperament predicted a reduction in cortical area of orbitofrontal cortex. Impulsivity was associated with smaller cortical area and volume in prefrontal cortex. These results highlight the importance of the early interventions in order to prevent the alterations leading to development of psychopathology.
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The impact of early life adversity on cortical structure in adolescent twins followed since birth

Ismaylova, Elmira 07 1900 (has links)
Des études animales ont montré que l’exposition du foetus à l’adversité affecte le développement cérébral et la régulation d’émotions plus tard. Cette régulation serait reliée aux changements structurels cérébraux, particulièrement au circuit fronto-limbique. Cependant, ces résultats n’ont pas été entièrement répliqués chez l’humain. Le but de cette étude était de tester si l'adversité précoce conduit à des altérations structurelles des régions (orbitofrontal, préfrontal, cingulaire) fronto-limbiques, identifiées comme régions-clés dans la (de)régulation d’émotions. Les mesures principales de l’adversité étaient un poids léger à la naissance et l’hostilité maternelle puisqu’ils étaient parmi les plus prédictifs des résultats développementaux et comportementaux chez l’humain. Les mesures secondaires, incluant le tempérament difficile d’enfant et l’impulsivité en adolescence, étaient utilisées du à leur lien avec le développement cérébral et émotionnel. Les participants étaient des jumeaux identiques, membres de l’Étude des Jumeaux Nouveau-nés du Québec (ÉJNQ, N = 650 paires) suivis depuis 5 mois à 15 ans, leur âge actuel. Ceci a permis de mieux contrôler le facteur génétique et ainsi mieux isoler les effets d’environnement. Trente-sept paires ont été recrutées. La structure cérébrale de chacun, obtenue avec l’imagerie par résonance magnétique, a été analysée avec la régression linéaire. Le poids à la naissance n’a eu aucun effet. L’hostilité maternelle a prédit une réduction de l’aire du gyrus cingulaire postérieur. Tempérament difficile a prédit une réduction de l’aire du cortex orbitofrontal. L’impulsivité était associée avec l’aire et volume du cortex préfrontal réduits. Ces résultats soulignent l’importance des interventions précoces afin d’empêcher des altérations menant à la psychopathologie. / Animal studies have shown that fetal exposure to adversity affects brain development and emotion regulation later on. Emotion regulation would be related to a structural change in the brain, particularly the fronto-limbic circuitry. However, results have not been entirely confirmed in humans. The purpose of the present study was to test whether early adversity leads to structural changes in the fronto-limbic (prefrontal, orbitofrontal and cingulate) regions, previously identified as key areas in emotion (dys)regulation. Main measures of adversity were low birth weight and maternal hostility because these were among the best predictors of developmental and behavioral outcomes in humans. Secondary measures, including difficult child temperament and adolescent impulsivity, were used because of their link with brain and emotion development. Participants were identical twins part of Quebec Study of Newborn Twins (QSNT, N = 650 pairs), followed from 5 months to 15 years, their current age. Using identical twins allowed to better control the genetic factors and, thus, to better isolate the specific effects of early environment. Thirty-seven pairs have been recruited. Each twin’s brain structure was assessed with magnetic resonance imaging and analyzed using linear regression. Birth weight showed no effect on brain structure. Maternal hostility predicted a reduction in cortical area of posterior cingulate gyrus. Difficult child temperament predicted a reduction in cortical area of orbitofrontal cortex. Impulsivity was associated with smaller cortical area and volume in prefrontal cortex. These results highlight the importance of the early interventions in order to prevent the alterations leading to development of psychopathology.
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Perinatal risk factors for young adults to be Not Engaged in Employment, Education or Training (NEET)

Falutz, Rebecca 06 1900 (has links)
En 2019, 31 % et 14 % des jeunes femmes et hommes mondialement ont déclaré de n’être pas engagé en emploi, en études ou en formation (NEET). Cette étude a examiné les voies de développement menant au statut NEET chez les jeunes adultes en étudiant l'association entre les adversités périnatales et le statut NEET et le rôle médiateur de comportements extériorisés. Les données proviennent de l'Étude Longitudinale du Développement des Enfant du Québec (ÉLDEQ, n = 974). L'analyse des classes latentes a identifié quatre profils d'exposition: faible adversité; adversité de la croissance fœtale, qui incluent les participants rencontrant des problèmes de croissance in utero et après la naissance ; les complications d’accouchement, qui incluent les participantes qui connaissent des complications pendant l'accouchement; l’adversité familiale, qui se compose de participants qui ont vécu l'adversité dans leur vie familiale. Les associations entre les profils périnatals, le statut NEET et le rôle médiateur présumé de comportements extériorisés ont été étudiées à l'aide de la modélisation par équation structurelle. Le risque de devenir NEET était plus élevé pour les enfants ayant subi une adversité familiale (OR = 3,19 [IC 95 % : 2,31-4,40], p < 0,001) et de croissance fœtale (2,03 [1,11-3,71], p = 0,022). Les problèmes d’extériorisation ont médié l'association entre l'adversité familiale et le statut de NEET (1,03 [1,01-1,06], p=0,003). La prévention du statut NEET devrait englober les facteurs de risque lié à la croissance fœtale et l’adversité familiale, qui peuvent aider les efforts de prévention pendant la période périnatale. / In 2019, 31% and 14% of young women and men worldwide – respectively – reported being Not engaged in Employment, Education, or Training (NEET), an important indicator of long-term socioeconomic vulnerability. This study examined the developmental pathways leading to NEET status in young adulthood by investigating the association between perinatal adversities and NEET status and the mediating role of externalizing behaviours. Data were from the Québec Longitudinal Study of Child Development (QLSCD, n = 974). Latent Class Analysis identified four profiles of exposures to 32 perinatal adversities: Low adversity, the reference profile; Fetal growth adversity, which includes participants experiencing adversity related to growth problems in utero and after birth; Delivery complications, which includes participants – or their mothers – who experience complications during birth; Familial adversity, consists of participants who experienced adversity related to their family life. The associations between the perinatal profiles, NEET status which was self-reported at age 21 years old and the putative mediating role of externalizing symptoms that were self-reported at age 15 and 17 were investigated using structural equation modeling. The risk of becoming NEET was higher for children who experienced perinatal familial (OR = 3.19 [95% CI: 2.31-4.40], p < 0.001) and fetal growth (2.03 [1.11-3.71], p = 0.022) adversity. Externalizing problems mediated the association between familial adversity and NEET status (1.03 [1.01-1.06], p=0.003). Prevention of NEET status in young adulthood should encompass familial and fetal growth- related risk factors, which can help inform early prevention efforts in the perinatal period.
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L'autorégulation émotionnelle chez les enfants en contexte d'adversité : association avec le fonctionnement scolaire à la première année

Michaud Dumont, Frédérique 26 April 2019 (has links)
Les trois objectifs généraux de ce projet d’étude étaient de décrire les différences quant aux habiletés d’autorégulation émotionnelle entre un groupe d’enfants en contexte d’adversité et un groupe d’enfants à faible risque d’adversité, de documenter l’association de ces habiletés avec le fonctionnement scolaire à la première année et finalement, d’explorer les associations entre les habiletés sous-jacentes et les marqueurs neurophysiologiques de l’autorégulation émotionnelle. Une première rencontre à l’été avant la rentrée scolaire a été effectuée et les enfants (n=48) ont participé à une tâche d’identification d’expériences émotionnelles et à une tâche de Stroop en parallèle à l’utilisation de la spectroscopie par proche infrarouge. Suite au début de la première année, le fonctionnement scolaire a été mesuré en administrant le Social Skills Improvement system par entrevue téléphonique aux parents et aux enseignants. Les résultats montrent une performance comparable des deux groupes d’enfants dans les tâches psychophysiques présentées, mais une différence significative quant à l’activation hémodynamique de l’aire de Brodmann 8 droite (BA8R) durant la réalisation de la tâche de Stroop. L’activation de l’aire de Brodmann 9 droite (BA9R) durant la tâche de Stroop présente quant à elle une association avec le fonctionnement scolaire des enfants. Finalement, les résultats permettent de dégager l’implication de BA8 et BA9 durant la performance dans des tâches sollicitant le traitement de stimuli émotionnel et la capacité d’inhibition. Ce projet d’étude a ainsi contribué à une meilleure connaissance de l’impact de l’adversité sur le développement des habiletés d’autorégulation émotionnelle, du rôle de ces habiletés sur le fonctionnement scolaire et a soutenu l’apport de connaissances empiriques soutenant le construit de l’autorégulation émotionnelle. Ces connaissances visent le soutien de la mise en place de mesures préventives efficaces, favorisant une transition scolaire vers la première année réussie. / The three objectives of this study were to describe the differences in emotional self-regulation skills among children in an adversity context group versus a group of children in a low-risk context, examine association between inhibitory control, capacity of emotions identification and prefrontal hemodynamic activation with school functioning and explore potential significant association between underlying skills of emotion regulation. A meeting in the summer before the school year was held and the children (n = 48) performed a face emotion identification task and a Stroop task during the use of Near-infrared spectroscopy. Following the beginning of the first school year, school functioning was evaluated with the Social Skills Improvement System by telephone interview with parents and teachers. The results show a comparable performance of the two groups of children in the psychophysical tasks presented, but a significant difference in the hemodynamic activation of the right Brodmann's area (BA8R) during the performance of Stroop's task. The activation of the Brodmann 9 right area (BA9R) during Stroop's task presents an association with the school functioning of the children. Finally, the results reveal the implication of BA8 and BA9 during performance in tasks requiring processing of emotional stimuli and inhibitory control. This study contributed to a better understanding of the impact of adversity on the development of emotional self-regulation skills, the role of these skills on school functioning and contribute to support empirical knowledge of emotional self-regulation. This knowledge aims to support the implementation of effective preventive measures for successful transition to school in the first year.
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Consommation problématique du cannabis et d’autres substances chez les jeunes adultes selon l’adversité vécue à l’enfance et l’impulsivité : une étude longitudinale prospective

Vanasse, Gabrielle 01 1900 (has links)
Au Canada, 13 % de la population consomme des drogues illicites et il est estimé qu’un jeune sur trois consomme régulièrement du cannabis. Cela génère un fardeau social, coûtant 46 milliards de dollars et entraînant l’hospitalisation de 275 000 personnes. La compréhension des facteurs de risque et des processus menant au développement d’une consommation problématique du cannabis et des autres substances chez les jeunes s’avère ainsi critique. Bien que plusieurs facteurs individuels et environnementaux soient impliqués dans le développement d’une consommation problématique du cannabis et des autres substances, l’adversité à l’enfance et le tempérament impulsif sont identifiés comme deux facteurs de risque importants pour le développement d’une consommation problématique. Cependant, aucune étude n’existe dans la prédiction spécifique des problèmes de consommation du cannabis. L’objectif principal de cette étude a été d’examiner le rôle de l’adversité et de l’impulsivité à l’enfance dans la prédiction d’une consommation problématique du cannabis et des autres substances à l’âge de 24 ans chez des Québécois suivis depuis de leur naissance, et ce dans le cadre d’une étude de cohorte longitudinale. Une relation a été trouvée entre l’adversité à l’enfance et la consommation problématique des substances autres que le cannabis. On retrouve également l’impact de l’impulsivité en tant que facteur de risque pour la consommation problématique des substances autres que le cannabis. Dû à l’absence de résultat significatif quant à la consommation problématique du cannabis, davantage d’études sont nécessaires afin d’explorer son lien avec l’adversité à l’enfance et l’impulsivité. / In Canada, 13% of the population uses illicit drugs and it is estimated that one individual out of three regularly between the ages of 16 to 25 consume cannabis on a regular basis. This creates a social burden, costing $46 billion and leading to the hospitalization of 275,000 individuals. Understanding the risk factors and processes leading to the development of cannabis and other substance use problems in young adult is therefore critical. While it is evident that several individual and environmental factors are involved in the development of cannabis and other substance use problems, childhood adversity and impulsivity have been identified as two important risk factors for the development of problematic cannabis and other substance use. However, there are no studies that examines the specific prediction of cannabis use problems. Thus, the main objective of this study was to examine the role of childhood adversity and impulsivity in the prediction of cannabis use problems in Quebec young adults at age 24, followed since birth in a longitudinal cohort study. A relationship was found between childhood adversity and problematic use of substances other than cannabis at age 24. We also found the impact of impulsivity as a risk factor for problematic consumption of substances other than cannabis. Due to the lack of significant results regarding problematic cannabis use, more studies are needed to explore the link between problematic cannabis use, childhood adversity and impulsivity.
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Rôle de la collaboration famille-école dans la relation entre les caractéristiques sociodémographiques des familles et les difficultés de comportement des enfants de maternelle

Savard, Aurélie January 2016 (has links)
Résumé : Les enfants de maternelle dont la préparation scolaire est limitée risquent de présenter des difficultés comportementales nuisibles à leur adaptation ultérieure. L’implication des parents à l’école, plus précisément la collaboration famille-école (CFE), peut représenter un facteur de protection favorisant l’adaptation de l’enfant tout au long de son parcours scolaire. Les écrits scientifiques suggèrent que la CFE jouerait un rôle important dans l’explication des difficultés de comportement, surtout auprès des enfants provenant de familles défavorisées. Cette étude porte sur le rôle de la CFE dans l’explication des difficultés de comportement intériorisé et extériorisé des enfants de maternelle qui présentaient des lacunes sur le plan de leur préparation scolaire. Les analyses de régression linéaire montrent que pour l’ensemble des familles de l’échantillon (n=47), plus il y a de communication entre le parent et l’enseignant, plus il y a présence de comportements extériorisés et intériorisés. Par contre, la CFE modère la relation entre un indice d’adversité constitué du cumul de cinq facteurs de risque sociodémographiques et les difficultés de comportement intériorisé. Ainsi, chez les familles défavorisées, une communication plus fréquente est associée à moins de comportements de type intériorisé. / Abstract : Children with limited school readiness are at risk for behavioral problems, which impact their school adjustment. Parents’ involvement in school, such as family-school partnership (FSP), may be a protective factor improving child's adaptation throughout their school career. Literature shows the important role of the FSP in reducing behavioral difficulties, especially for children from disadvantaged families. This study aims to explain child externalizing and internalizing behavior problems in kindergarten through FSP in children showing a limited school readiness. Linear regressions show that a frequent communication between the parent and the teacher is associate with a greater presence of externalizing and internalizing behaviors for the whole sample (n=47). However, FSP moderates the relationship between the demographics vulnerabilities and internalized child behavior problem in kindergarten. Indeed, for disadvantaged families, when there is a more frequent communication, children have less internalized behaviors.
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Agressivité physique à l'enfance et criminalité à l'âge adulte : effet modérateur de la consommation d'alcool et de cannabis à l'adolescence

Tremblay, Emilie 12 1900 (has links)
Les enfants présentant un niveau élevé d’agressivité physique sont davantage à risque de commettre des actes criminels à l’âge adulte. Ces enfants sont également plus à risque de consommer des substances psychoactives au cours de leur adolescence. Les études portant sur le lien entre la consommation de substances psychoactives et la criminalité arrivent à des conclusions différentes, dépendamment des substances à l’étude et des comportements criminels ciblés. Un lien positif a été démontré entre la consommation chronique d’alcool et la perpétration d’actes criminels contre la personne et contre la propriété, tandis que la consommation de cannabis a été associée positivement aux actes criminels contre la propriété et négativement aux crimes contre la personne. La présente étude visait à tester l’hypothèse que l’agressivité physique manifestée à l’enfance est associée à une augmentation du nombre de charges criminelles durant l’âge adulte et que cette association est spécifique au type de criminalité et modérée différemment par la consommation d’alcool et de cannabis durant l’adolescence. À cette fin, 887 participants de sexe masculin provenant de milieu défavorisé ont été suivis de 6 à 25 ans. Les analyses de régressions logistiques multinomiales indiquent que les individus cheminant sur une trajectoire modérée ou élevée d’agressivité physique durant l’enfance sont plus à risque de commettre des actes criminels. Cette association reste significative après avoir contrôlé pour l’adversité familiale et de la consommation de substances psychoactives. Les hypothèses des effets modérateurs de la consommation d’alcool et de cannabis sont infirmées. Toutefois, des effets principaux de la consommation d’alcool sur les crimes contre la personne et de la consommation de cannabis sur les crimes contre la propriété sont observés. Les implications de ces résultats sont discutées. / Individuals exhibiting high levels of physical aggression during childhood are more at risk of criminal behaviors during adulthood regardless of the presence of several risk factors. Aggressive children are also more at risk of using psychoactive substances during adolescence. Studies of the relationship between substance use and crime have provided different conclusions, depending on the substance under consideration and depending on the category of crime. Alcohol consumption has been positively associated with crimes, both against people and against property. Cannabis consumption has been associated positively with crime against property and negatively with crime against people. This present study aimed at investigating the hypothesis that physical aggression manifested in childhood is associated with an increase in criminal charges during adulthood and that association is specific to the type of crime and moderated differentially by alcohol and cannabis use. To this end, 887 male participants from lower socioeconomic status were followed from age 6 to age 25. Multinomial logistic regressions indicate that individuals belonging to a moderate or a high trajectory of physical aggression during childhood are more likely to commit crimes later in adulthood. This association remains significant after control of family adversity and drug use. Alcohol and cannabis use during adolescence has no effect on this association. However, main effects of alcohol use on crimes against person and cannabis use on crimes against property are observed. The implications of these findings are discussed.
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Facteurs de risque de développement de troubles intériorisés : études en Imagerie par Résonance Magnétique structurelle

Suffren, Sabrina 01 1900 (has links)
Plusieurs facteurs de risque de développement de troubles intériorisés, tels que les troubles d’anxiété et de l’humeur, ont été identifiés dans la littérature. Les deux plus importants facteurs de risques regroupent l’adversité vécue durant l’enfance (par exemple la maltraitance) et le risque parental (c’est-à-dire la présence d’un trouble intériorisé chez l’un ou les deux parents). Ces facteurs de risque ont été liés à des changements neuroanatomiques similaires à ceux observés en lien avec les troubles intériorisés. Ainsi, en présence de ces facteurs de risque, des anomalies anatomiques pourraient laisser présager l’apparition prochaine d’une symptomatologie de troubles intériorisés chez des individus encore asymptomatiques. Chez les quelques populations de jeunes investiguées, les participants présentaient des comorbidités et/ou étaient sous médication, ce qui rend difficile l’interprétation des atteintes cérébrales observées. Ce travail de thèse s’est intéressé aux liens entre ces deux facteurs de risque et les substrats neuroanatomiques associés à chacun d’eux, chez des adolescents asymptomatiques et n’étant sous aucune médication. Une première étude a examiné le lien entre le niveau de pratiques parentales coercitives et le niveau de symptômes d’anxiété, mesurés de manière longitudinale depuis la naissance, et les différences neuroanatomiques observées à l’adolescence (voir Chapitre 2). Une deuxième étude a examiné le lien entre le risque parental de développer des troubles d’anxiété et les différences neuroanatomiques observées à l’adolescence (voir Chapitre 3). Une troisième étude s’est intéressée au lien entre le risque parental de développer un trouble de dépression ou un trouble bipolaire et les différences neuroanatomiques observées à l’adolescence (voir Chapitre 4). Les résultats démontrent des différences de volume et/ou d’épaisseur corticale dans plusieurs structures clés impliquées dans le traitement et la régulation des émotions. C’est le cas du cortex préfrontal, de l’amygdale, de l’hippocampe et du striatum. Ces résultats suggèrent que certaines des différences neuroanatomiques observées dans les troubles intériorisés peuvent être présentes avant que le trouble ne se manifeste, et représenter des marqueurs neuronaux du risque de développer le trouble. Les implications théoriques et les limites de ces trois études sont finalement discutées dans le Chapitre 5. / Several risk factors for the development of internalized disorders such as anxiety, depression, and bipolar disorders have been identified in the literature. The two most important risk factors include adversity during childhood (i.e. abuse, neglect and harsh parenting) and parental risk (i.e. the presence of an internalized disorder in one or both parents). These risk factors have been linked to anatomical changes in several brain structures, which are similar to those observed in internalized disorders. Thus, in the presence of these risk factors, anatomical abnormalities may predict the appearance of internalized disorders in asymptomatic individuals. In the few studies that have investigated the influence of these risk factors in a youth population, participants often had comorbidities and/or were medicated, which makes the observed anatomical changes difficult to interpret. This work has focused on these two risk factors (i.e. adversity during childhood, in the form of harsh parenting, and the parental risk) and their link with the anatomical cerebral substrates, in asymptomatic and un-medicated adolescents. A first study examined the link between harsh parenting, levels of anxiety symptoms, as measured longitudinally from birth, and neuroanatomical differences in adolescents (see Chapter 2). A second study examined the link between parental risk of developing anxiety disorders, and neuroanatomical differences in adolescents (see Chapter 3). A third study looked at the link between parental risk for developing depressive disorder or bipolar disorder, and neuroanatomical differences in adolescents (see Chapter 4). Results show differences in volume and/or cortical thickness of several key cerebral structures involved in emotional processing and regulation. This is the case of the prefrontal cortex, orbitofrontal cortex, anterior cingulate cortex, the amygdala, hippocampus and striatum. These results suggest that some neuroanatomical differences in internalized disorders may be present before the disorder emerges, and represent neuronal markers denoting the risk of developing the disorder. The theoretical implications and limitations of these three studies are discussed in Chapter 5.

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