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Étude et édition des "Regum Aragonum res geste" de Gonzalo García de Santa María (début du XVIe siècle)

Baron, Mathilde 09 November 2012 (has links) (PDF)
Les Regum Aragonum res geste sont une vaste chronique latine rédigée par le juriste aragonais Gonzalo García de Santa María au début du XVIe siècle, à Saragosse. Elles narrent les exploits des rois d'Aragon à partir du VIIIe siècle et jusqu'à la mort d'Alphonse V en 1458. L'objet de cette thèse est de mettre au jour le texte de cette œuvre non seulement inédite, mais longtemps considérée comme perdue, à partir d'un brouillon autographe conservé à la Biblioteca de Catalunya. Le présent travail offre donc le matériau nécessaire à l'examen d'hypothèses formulées in absentia sur ce texte et sa place dans le panorama de l'historiographie aragonaise autour de 1500. L'édition poursuit deux objectifs : la constitutio textus et l'exposition des processus d'élaboration textuelle dont témoigne le manuscrit. L'étude introductive définit le contexte de production de la chronique. Une analyse codicologique examine d'abord les conditions matérielles de réalisation de l'unique témoin conservé. Puis les diverses influences ayant déterminé la rédaction du propos sont envisagées sous plusieurs biais : inscription de l'auteur dans différents réseaux sociaux, politiques et culturels ; rapports de l'œuvre aux chroniques de Vagad et Marineo Sículo ; modèles littéraires et historiographiques. Ce travail prétend montrer, in fine, comment les Regum Aragonum res geste prennent part, à leur manière, aux débats stylistiques, historiques et idéologiques de leur temps. Il se veut également un nouveau coup de projecteur sur un foyer historiographique particulièrement actif dans la capitale aragonaise, au début du XVIe siècle, et dont les diverses dynamiques sont en cours d'exploration.
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Étude et édition des "Regum Aragonum res geste" de Gonzalo García de Santa María (début du XVIe siècle) / A study and edition of Gonzalo García de Santa María’s "Regum Aragonum res geste" (early 16th century) / Estudio y edición de las "Regum Aragonum res geste" de Gonzalo García de Santa María (principios del siglo XVI)

Baron, Mathilde 14 September 2012 (has links)
Les Regum Aragonum res geste sont une vaste chronique latine rédigée par le juriste aragonais Gonzalo García de Santa María au début du XVIe siècle, à Saragosse. Elles narrent les exploits des rois d’Aragon à partir du VIIIe siècle et jusqu’à la mort d’Alphonse V en 1458. L’objet de cette thèse est de mettre au jour le texte de cette œuvre non seulement inédite, mais longtemps considérée comme perdue, à partir d’un brouillon autographe conservé à la Biblioteca de Catalunya. Le présent travail offre donc le matériau nécessaire à l’examen d’hypothèses formulées in absentia sur ce texte et sa place dans le panorama de l’historiographie aragonaise autour de 1500. L’édition poursuit deux objectifs : la constitutio textus et l’exposition des processus d’élaboration textuelle dont témoigne le manuscrit. L’étude introductive définit le contexte de production de la chronique. Une analyse codicologique examine d’abord les conditions matérielles de réalisation de l’unique témoin conservé. Puis les diverses influences ayant déterminé la rédaction du propos sont envisagées sous plusieurs biais : inscription de l’auteur dans différents réseaux sociaux, politiques et culturels ; rapports de l’œuvre aux chroniques de Vagad et Marineo Sículo ; modèles littéraires et historiographiques. Ce travail prétend montrer, in fine, comment les Regum Aragonum res geste prennent part, à leur manière, aux débats stylistiques, historiques et idéologiques de leur temps. Il se veut également un nouveau coup de projecteur sur un foyer historiographique particulièrement actif dans la capitale aragonaise, au début du XVIe siècle, et dont les diverses dynamiques sont en cours d’exploration. / The Regum Aragonum res geste are a large-scale Latin chronicle, written by the Aragonese jurist Gonzalo García de Santa María at the beginning of the 16th century in Saragossa. It relates the heroic deeds of the kings of Aragon between the 8th century and the death of Alfonso V in 1458. The aim of this thesis is to bring to light the text of this work, which, until now, was not only unpublished, but has also been considered as lost for a long time. This text is based on an autograph draft kept at the Biblioteca de Catalunya. This present thesis therefore gives new material to reexamine hypotheses that were made in absentia about this text and its role and place in the context of the Aragonese historiography around 1500. The two goals of the edition are to reconstitute the text and to uncover the drafting processes that were at work in the elaboration of the manuscript. The introductory chapters study the context of production of this chronicle. They offer at first a codicological analysis that presents the material conditions in which this unique testimony of the chronicle was realized. They then examine the various aspects that influenced the redaction and study how the author is belonging to different social, political and cultural nets; how the chronicle is related to the ones of Vagad and Marineo Sículo; and what its literary and historiographical models are. In fine, this thesis intends to show how the Regum Aragonum res geste are taking part into the stylistical, historical and ideological debates of their time. It also means to contribute to the highlighting and exploration of the dynamics at work in Saragossa, as a major historiographical center. / Las Regum Aragonum res geste son una amplia crónica latina redactada por el jurista aragonés Gonzalo García de Santa María a principios del siglo XVI en Zaragoza. Narran las hazañas de los reyes de Aragón, a partir del siglo VIII y hasta la muerte de Alfonso V en 1458. La presente tesis da a conocer el texto de dicha obra, no sólo inédita, sino también considerada perdida durante mucho tiempo; se basa en un borrador autógrafo conservado en la Biblioteca de Catalunya. Por lo tanto, ofrece el material necesario para examinar las hipótesis formuladas in absentia acerca de este texto y de su papel en el panorama historiográfico aragonés alrededor de 1500. La edición tiene dos objetivos: la constitutio textus y la exposición de todos los procesos de elaboración textual reflejados en el borrador. El estudio introductorio describe el contexto de producción de la crónica. Primero, un análisis codicológico expone las condiciones materiales de composición del único testimonio conservado. A continuación, se lleva a cabo una reflexión pormenorizada sobre los numerosos factores que influyeron en la redacción de la obra, como son la pertenencia del autor a diversas redes sociales, políticas y culturales, las relaciones entre dicha crónica y las de Vagad y Marineo Sículo o los modelos literarios y historiográficos aprovechados. In fine, este trabajo muestra cómo las Regum Aragonum res geste participan, a su manera, de los debates estilísticos, históricos e ideológicos de su tiempo. Pretende también llamar otra vez la atención sobre un foco historiográfico muy activo en Zaragoza a principios del siglo XVI y cuyas dinámicas internas están siendo estudiadas con una atención cada vez mayor.
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L’auteur au temps du recueil : repenser l’autorité et la singularité poétiques dans les premiers manuscrits à collections auctoriales de langue d’oïl (1100-1340).

Stout, Julien 04 1900 (has links)
Cette thèse entend proposer une analyse originale du phénomène connu mais polémique que constitue l’introduction de la notion d’auteur dans la littérature de langue française au Moyen Âge. Il s’agira d’essayer de contribuer à repenser la signification poétique, culturelle et historique de ce moment particulier où l’auteur – c’est-à-dire l’attribution d’un texte ou d’une série de textes à un nom propre donné – s’est imposé pour la première fois comme un critère structurant et primordial dans la production et surtout la transmission des textes de langue française dans les manuscrits médiévaux. Usant du concept foucaldien de fonction-auteur, des théories de la réception et du paratexte, ainsi que de la « Nouvelle Codicologie », l’approche déployée ici aborde l’auteur en tant que construction textuelle et éditoriale signifiante au sein d’un corpus de recueils littéraires de langue d’oïl où la volonté de construire des figures d’auteurs par les éditeurs de ces ouvrages est à la fois claire et indiscutable. Partie à l’origine d’un examen systématique de la tradition manuscrite d’environ 320 noms de poètes de langue d’oïl actifs entre 1100 et 1340, l’analyse se concentre principalement sur 25 manuscrits contenant des collections auctoriales dédiées à 17 poètes, dont le nom est associé avec insistance à une série de textes copiés les uns à la suite des autres. Parmi ces auteurs, on trouve les célèbres Chrétien de Troyes, Rutebeuf et Adam de la Halle, mais aussi Philippe de Thaon, frère Angier, Guillaume le clerc de Normandie, Pierre de Beauvais, Philippe de Remi, Gautier le Leu, Jacques de Baisieux, Geoffroi de Paris, Jean de l’Escurel, Baudouin de Condé, Jean de Condé, Watriquet de Couvin et Nicole Bozon. La présente analyse tente de nuancer et de dépasser la lecture répandue selon laquelle ces manuscrits à collections auctoriales individuelles constitueraient, de concert avec les fameuses biographies de troubadours et les chansonniers de trouvères, souvent présentés comme leurs « ancêtres », les débuts balbutiants d’une vaste épopée de l’avènement de l’« auteur moderne », annonciateur tout à la fois d’une « subjectivité littéraire », d’une « esthétique autobiographique » et d’un contrôle accru des auteurs historiques, réels, sur la transmission manuscrite de leurs propres œuvres. Tout en offrant une mise à jour contextuelle et matérielle – données originales à l’appui – concernant la dimension collaborative de la genèse de ces recueils et le caractère modulaire de leur transmission, on montrera qu’ils sont le fruit d’un dialogue nourri avec le modèle livresque latin et pluriséculaire de l’auctor – qui est à la fois un auteur, un garant de la vérité (auctoritas) et un ambassadeur prestigieux de la grammaire –, ainsi qu’avec l’antique exemple d’œuvres dites « biobibliographiques », qui décrivent la vie et l’œuvre d’auteurs illustres et exemplaires, comme le fait le De viris illustribus de saint Jérôme. Les manuscrits étudiés usent à répétition de ce modèle ancestral de la biobibliographie (« la vie et l’œuvre ») pour mettre en scène un face-à-face entre auteurs de langue d’oïl et auctores. Or cette mise en regard s’avère d’autant plus intéressante que, contrairement à ce qu’on observe pour les troubadours, considérés très tôt comme de nouveaux auctores illustres en langue vulgaire, dignes de cautionner l’excellence de la poésie et de la grammaire d’oc, elle ne prend pas uniquement, en français, la forme d’une imitation ou d’une adaptation de modèles anciens. En fait, l’analogie avec les auctores donne lieu à des exercices savants, autoréflexifs et parfois ironiques sur la fabrique éditoriale, poétique et épistémologique du type d’auteur et d’auctoritas qui peuvent (ou non) être bâtis dans des recueils en langue d’oïl, idiome qui était encore dépourvu à l’époque (1100-1340) de véritable grammaire, et où fleurissaient en revanche les genres littéraires de divertissement comme le roman, où l’on explorait la porosité des frontières entre le vrai et le faux, entre le bien et le mal. Plus qu’un pas pris dans la direction d’un sacre inéluctable, l’« invention de l’auteur français » à laquelle procèdent les recueils étudiés est un geste pétri des incertitudes et des interrogations de ceux qui le posaient, et qui en mesuraient la profonde vanité au regard de Dieu et de la mort. / This thesis aims to provide an original analysis on an often studied yet controversial issue: the introduction of the notion of authorship in French language medieval literature. The objective here is to reconsider the poetic, cultural, and historical signification of the particular moment when the author – understood here as the attribution of a text or of a series of texts to a proper noun – first became an essential structuring criteria in the production, and more importantly, in the transmission of French-language texts through medieval manuscripts. Using Michel Foucault’s concept of fonction-auteur, theories of reception and of the paratext, as well as New Codicology, this thesis will consider the author as a signifying textual and editorial construction within several literary collections written in langue d’oïl, in which the editors clearly and undeniably sought to construct figures of the author. Based on the systematic examination of the manuscript tradition of approximately 320 names of langue d’oïl poets, who were active between 1100 and 1340, this analysis will focus primarily on 25 manuscripts containing authorial collections dedicated to 17 poets, whose names are strongly associated with a series of texts that are copied one after the other. Among these authors are the famous Chrétien de Troyes, Rutebeuf and Adam de la Halle, as well as Philippe de Thaon, frère Angier, Guillaume le clerc de Normandie, Pierre de Beauvais, Philippe de Remi, Gautier le Leu, Jacques de Baisieux, Geoffroi de Paris, Jean de l’Escurel, Baudouin de Condé, Jean de Condé, Watriquet de Couvin and Nicole Bozon. This thesis attempts to question and ultimately discard the common conception according to which the manuscripts containing individual authorial collections constituted – along with the famous biographies of the troubadours and the chansonniers of the trouvères, often considered as their « ancestors » – the timid beginnings of the rise of the « modern author », himself a prequel to « literary subjectivity », « autobiographical aesthetics » and an ever stronger control exerted by actual empirical authors over the manuscript transmission of their own works. While offering contextual and material updates – supported by original data – regarding the collaborative process that went into the creation of these collections, as well as the modular aspect of their reception, this thesis will show that these collections were formed through a rich dialogue with the centuries-old latin model of the auctor – who is at once an author, a guardian of truth (auctoritas) and a prestigious ambassador of grammar –, as well as with the antique tradition of « biobibliographical » texts, dealing with the life and works of famous and exemplary authors, such as De viris illustribus, by saint Jerome. The manuscripts studied here repeatedly used this ancient model of biobibliography (« the life and works ») in order to stage a competition between authors writing in langue d’oïl and auctores. This confrontation is particularly interesting when one considers that – contrary to what may be observed in the case of the troubadours, who were quickly seen as the new illustrious vernacular auctores, worthy of vouching for the excellency of langue d’oc poetry and grammar – , we are not simply dealing here with a form of imitation or adaptation in French of ancient models. In fact, the analogy with auctores allows for autoreflexive and sometimes ironic learned exercises, dealing with the editorial, poetic and epistemological creation of the type of author and auctoritas in manuscript collections in langue d’oïl, an idiom which at the time (1100-1340) lacked a true grammar, yet was used in various literary genres meant for entertainment, such as romance, which explored the evanescent barriers between truth and lies, good and evil. Rather than a small step in the long path towards an inevitable coronation, the « invention of the French author » undertaken by these collections constitutes an action that reflects all the uncertainty and interrogations of those who undertook it, while being fully convinced of its utter vanity in the eyes of God and death.

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