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Traitement cognitivo-comportemental des troubles anxieux chez des enfants âgés entre 4 et 7 ans qui présentent des symptômes associés au trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité en comorbidité : une étude pilote

Hébert, Sandra 14 January 2022 (has links)
Les études montrent que jusqu'à 28% des enfants d'âge préscolaire avec un trouble anxieux répondent également aux critères diagnostiques du trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité (TDAH) lorsqu'ils consultent dans des milieux cliniques (Leblanc, 2009; Wilens et al., 2002). Malgré cette forte prévalence, aucune étude à notre connaissance ne s'est intéressée au traitement psychologique de cette problématique chez ces enfants. Il est pourtant important d'intervenir rapidement auprès de cette population afin de prévenir la cristallisation des peurs et les conséquences associées à cette comorbidité (Carter, Briggs-Gowan, & Davis, 2004). La présente étude vise à évaluer, de façon préliminaire, l'efficacité d'une thérapie cognitivo-comportementale (TCC) familiale pour les troubles anxieux chez des enfants âgés de 4 à 7 ans qui présentent également des comportements associés au TDAH. Spécifiquement, cette étude vise à documenter l'effet de l'intervention au post-traitement et au suivi 3 mois sur les troubles anxieux, les symptômes anxieux et ceux associés au TDAH, ainsi que sur le stress parental vécu dans la relation parent-enfant. Elle vise également à documenter l'évolution des symptômes anxieux et de TDAH tout au long de la thérapie. L'intervention devrait mener à une rémission des troubles anxieux, une diminution des symptômes anxieux et des comportements associés au TDAH, ainsi qu'à une diminution du stress parental au post-traitement. Le maintien des gains ou une amélioration encore plus marquée est attendue au suivi 3 mois. Un devis de séries de réplication de cas à niveaux de bases multiples non concurrents de type A-B est utilisé dans la présente étude puisqu'il est appuyé par la pratique de la psychologie basée sur les données probantes (Jarrett & Ollendick, 2012; Kazdin, 2011). Cinq enfants âgés entre 4 et 7 ans sont recrutés via la liste de diffusion de courriels de l'Université Laval (n=4), ainsi que du Service de consultation de l'École de psychologie de l'Université Laval (n=1). Le Schedule for Affective Disorders and Schizophrenia, Epidemiologic Version (K-SADS-E; Kaufman et al., 1997) est administré aux parents afin d'évaluer la présence de troubles anxieux et de comportements associés au TDAH chez ces enfants. Des questionnaires sont également remplis par les parents afin d'évaluer les symptômes anxieux et associés au TDAH, ainsi que le stress parental. Notons que ces mêmes mesures sont utilisées au post-traitement et lors du suivi 3 moins. Par ailleurs, le Journal quotidien d'auto-observation des symptômes anxieux et des comportements associés au TDAH est rempli par les parents pendant la période d'attente (2, 3 ou 4 semaines), pendant l'intervention et deux semaines avant le suivi 3 mois. Les résultats révèlent la rémission de tous les troubles anxieux chez 90% (4/5) des participants à l'évaluation post-traitement, ainsi qu'un maintien de ces gains au suivi 3 mois. Une diminution significative des symptômes anxieux est également observée après l'intervention chez 50% des participants et 40% d'entre eux maintiennent les gains au suivi 3 mois. De plus, une amélioration des comportements associés au TDAH est observée chez 80% des participants à l'évaluation post-traitement. Au suivi 3 mois, les gains sont maintenus chez 20% des participants. Par ailleurs, les parents rapportent se sentir moins isolés socialement et plus compétents dans leur rôle parental après l'intervention. Une analyse graphique visuelle a également été réalisée, mais l'importante variabilité présente entre les interventions n'a pas permis d'attribuer les changements sur le plan des symptômes anxieux et de ceux associés aux comportement TDAH à l'introduction de l'intervention. Les résultats de cette étude préliminaire sont encourageants et soutiennent l'efficacité du de ce nouveau traitement familial pour les troubles anxieux chez des enfants âgés de 4 à 7 ans qui ont également des comportements associés au TDAH. Les résultats obtenus soulignent l'importance d'inclure les parents dans le traitement des enfants d'âge préscolaire afin de favoriser la généralisation et le maintien des gains. La participation parentale est d'autant plus importante chez cette tranche d'âge étant donné que ces enfants ont davantage besoin d'être soutenu, accompagné et renforcé dans l'application des stratégies cognitive et comportementale.
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Insomnie et trouble d'anxiété généralisée : similarités, distinctions et relations temporelles

Gauvin, Marie-Eve 13 April 2018 (has links)
Dans la population générale, une forte proportion d'individus présente de F insomnie, un trouble d'anxiété généralisée ou ces deux troubles en comorbidité. Cette étude vise à explorer les différences et les relations entre ces troubles. Dans le cadre du volet transversal de l'étude, les caractéristiques psychologiques de participants qui rencontrent les symptômes typiques d'un trouble d'insomnie (groupe INS, n = 58), d'un trouble d'anxiété généralisée (groupe TAG. n = 30) ou de ces deux troubles en comorbidité (groupe COM, n = 30) sont comparées par le biais de questionnaires mesurant les inquiétudes, les croyances et attitudes concernant le sommeil, la personnalité, l'hyperactivation et la perception du stress. Dans le cadre du volet longitudinal de l'étude, le risque associé au fait de présenter l'une de ces conditions sur l'apparition subséquente de l'autre condition est calculé sur des périodes de 6 et 12 mois à partir d'un bassin de 354 personnes. Les résultats du volet transversal indiquent que les individus du groupe TAG et ceux du groupe COM présentent des niveaux plus élevés de névrotisme, d'hyperactivation, et perçoivent plus négativement le stress que les individus du groupe INS. De plus, il ressort que les individus du groupe COM entretiennent un niveau plus élevé de croyances erronées à l'égard du sommeil que les individus des groupes INS et TAG. Les résultats du volet longitudinal suggèrent que l'insomnie peut représenter un facteur de risque du TAG à court terme. Cette étude peut être envisagée comme une étape vers une meilleure compréhension des différences et de la relation entre l'insomnie et le TAG.
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Disinhibition in the anterior cingulate cortex as a mechanism underlying neuropathic pain-induced depression

Alonso, Johanna 13 February 2024 (has links)
Thèse ou mémoire avec insertion d'articles / La douleur neuropathique et le trouble dépressif majeur (MDD) sont fréquemment comorbides et impliquent tous deux le cortex cingulaire antérieur (ACC). Cette structure corticale joue en effet un rôle dans le traitement de la douleur et des émotions. Les deux types de cellules de l'ACC, les neurones GABAergiques et les neurones glutamatergiques (GLU), sont les principaux types de cellules responsables de l'inhibition et de l'excitation, respectivement. Le maintien de niveaux physiologiques d'excitation et d'inhibition est essentiel au fonctionnement du système nerveux, car il est à la base de l'activité neuronale. Cependant, une hyperactivité neuronale a été observée dans l'ACC en cas de douleur neuropathique, de MDD et de dépression induite par la douleur neuropathique (NPID). Bien que les mécanismes sous-jacents à l'hyperactivité de l'ACC dans la NPID restent inconnus, il a été démontré que l'inhibition des neurones GLU de l'ACC chez les animaux NPID induit une diminution des comportements de type dépressif. C'est pourquoi l'hypothèse émise est que, dans la NPID, le système GABAergique est affecté, ce qui induit une diminution de l'efficacité de l'inhibition conduisant à l'hyperactivité observée dans cette pathologie. La désinhibition peut provenir des neurones GABAergiques eux-mêmes ou de la réponse postsynaptique des cellules GLU à l'inhibition. Cette thèse présente l'approche technique utilisée pour vérifier cette hypothèse ainsi que les résultats obtenus. Afin de tester l'efficacité du système GABAergique aux niveaux présynaptique et postsynaptique *in vivo*, l'utilisation d'une double approche optogénétique et électrophysiologique, une micro-optrode, était nécessaire. Contrairement à l'électrophysiologie *in vivo* ou à la photométrie, cette technique permet de réaliser simultanément une stimulation optogénétique et un enregistrement extracellulaire de cellule unique *in vivo* chez des animaux anesthésiés. Ceci offre l'avantage d'identifier les cellules GABAergiques exprimant la Channelrhodopsine-2 et de quantifier la réponse de ces neurones à des stimulations optiques répétitives. C'est ainsi qu'il a été possible de caractériser l'activité des cellules GABAergiques ainsi que l'effet de l'inhibition sur les cellules GLU dans un modèle murin de NPID. Les résultats ont montré que, dans des conditions de NPID, les cellules GLU sont moins inhibées. En effet, il y a eu un effondrement de l'inhibition à des fréquences élevées. De plus, des stimulations répétitives à haute fréquence ont induit une défaillance dela capacité d'induction de potentiel d'action des cellules GABAergiques. Cette diminution de l'excitabilité est associée à une altération de la cinétique du potentiel d'action qui pourrait être due à la diminution de l'expression du canal sodique NaV1.1 dans les neurones GABAergiques. Enfin, les résultats ont montré une corrélation significative entre les changements fonctionnels des deux types de cellules et le comportement de type dépressif observé dans la douleur neuropathique. En conclusion, mes résultats suggèrent l'implication des neurones GABAergiques dans la NPID et une nouvelle perspective de cible thérapeutique, pour cette comorbidité, impliquant le canal NaV1.1 est en train d'émerger. / Neuropathic pain and major depressive disorder (MDD) are frequently comorbid and both involve the anterior cingulate cortex (ACC). Indeed, this cortical structure plays a role in processing pain and emotions. The two cell types in the ACC, GABAergic and glutamatergic (GLU) neurons, are the main cell types responsible for inhibition and excitation, respectively. Maintaining physiological levels of excitation and inhibition are essential to the nervous system functions as they are the basis of neuronal activity. However, neuronal hyperactivity has been observed in the ACC in neuropathic pain, MDD and neuropathic pain induced depression (NPID). And while mechanisms underlying the ACC hyperactivity in NPID remain unknown, it was shown that inhibiting ACC GLU neurons in NPID animals induces a decrease of depressive-like behaviors. This is why we hypothesized that the GABAergic system is affected in NPID via a decrease of inhibition efficacy leading to the hyperactivity observed in this pathology. Disinhibition can arise from the GABAergic neurons themselves or from the postsynaptic response of GLU cells to inhibition. This thesis presents the technical approach used to verify this hypothesis as well as the results obtained. In order to test the efficacy of the GABAergic system at both presynaptic and postsynaptic levels *in vivo*, the use of a dual optogenetic and electrophysiologic approach, a micro-optrode, was needed. Contrarily to *in vivo* electrophysiology or fiber photometry, this technique enables simultaneous optogenetic stimulation and single cell extracellular recording *in vivo* in anesthetized animals. This offers the advantage of identifying GABAergic cells expressing Channelrhodopsine-2 and quantifying the response of these neurons to repetitive optic stimulations. This is how the characterization of the activity of GABAergic cells as well as the effect of the inhibition on GLU cells in a mouse model of NPID had been possible. Our results showed that, in NPID conditions, GLU cells are less inhibited. Indeed, there was a collapse of inhibition at high frequencies. In addition, repetitive stimulations at high frequency induced a failure in GABAergic cell firing capacity. This decreased excitability is associated with an alteration of action potential kinetics which might be due to the decreased expression of the voltage-gated sodium channel NaV1.1 in the GABAergic neurons. Finally, we observed a significant correlation between these functional changes from both cell types and depressive-like behavior observed in neuropathic pain. In conclusion, my results suggest the implication of GABAergic neurons in NPID and a new perspective of therapeutic target, for this comorbidity, involving the NaV1.1 channel is emerging.
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Les processus cognitifs du trouble d'anxiété généralisée et la comorbidité avec le trouble de dépression majeure

Dupuy, Jean-Bernard. 11 June 2021 (has links)
Cette étude propose d’évaluer comment se manifestent les processus cognitifs du trouble d’anxiété généralisée (TAG) lorsque le trouble de dépression majeure (TDM) est comorbide au TAG. Trente-deux participants ont été divisés en deux groupes. Le premier groupe comprend des individus ayant un diagnostic principal de TAG et de TDM et le second est constitué de gens ayant un diagnostic principal de TAG sans TDM. Les deux groupes sont comparés sur quatre variables cognitives: l’intolérance à l’incertitude, l’attitude négative face aux problèmes, l’évitement cognitif et les fausses croyances face aux inquiétudes. Les résultats montrent que les gens ayant un diagnostic principal de TAG et de TDM sont plus intolérants à l’incertitude, maintiennent une attitude plus négative face aux problèmes et présentent plus d’évitement cognitif. La discussion soulève les implications de la comorbidité TAG et TDM au plan cognitif et thérapeutique. / Cette étude propose d’évaluer comment se manifestent les processus cognitifs du trouble d’anxiété généralisée (TAG) lorsque le trouble de dépression majeure (TDM) est comorbideau TAG. Bien que plus de gens sont atteints d’un TAG et d’un TDM comorbide que d’un TAG sans TDM, très peu de recherches ont été faites sur le sujet L’objectif central de l’étude vise à améliorer la compréhension de cette comorbidité en examinant la dimension cognitive. Trente-deux participants ont été divisés en deux groupes suite à deux évaluations diagnostiques indépendantes effectuées au moyen d’une entrevue structurée. Le premier groupe (N= 15; 10 femmes et 5 hommes) comprend des individus ayant un diagnostic principal de TAG et de TDM et le second groupe (N= 17; 12 femmes et 5 hommes) est constitué de gens ayant un diagnostic principal de TAG sans TDM. Au moyen d’ANCOVAs, les groupes ont été comparés sur quatre variables cognitives centrales dans le développement et le maintien du TAG: l’intolérance à l’incertitude, l’attitude négative face aux problèmes, l’évitement cognitif et les fausses croyances face aux inquiétudes. Les résultats montrent que les gens ayant un diagnostic principal de TAG et de TDM sont plus intolérants à l’incertitude, maintiennent une attitude plus négative face aux problèmes et présentent plus d’évitement cognitif que les individus ayant un diagnostic principal de TAG sans TDM. Donc, la présence d’un TDM comorbide chez les gens atteints d’un TAG est associée à un niveau de sévérité plus élevé quant à trois processus cognitifs. L’étude indique la pertinence d’utiliser les variables cognitives à l’étude, afin de mieux comprendre la comorbidité TAG et TDM. Enfin, une analyse discriminante de type pas à pas a été effectuée afin de déterminer quels critères diagnostiques du TAG permettent le mieux de différencier les gens ayant un diagnostic principal de TAG et de TDM, des individus ayant un diagnostic principal de TAG sans TDM .Cette analyse a retenu trois critères (le niveau d’interférence, la perturbation du sommeil et la tension musculaire) qui facilitent le diagnostic différentiel entre les deux groupes. / The present study looks at how cognitive variables proven to be central to the developmentand maintenance of Generalized Anxiety Disorder (GAD), manifest themselves when GADand Major Depressive Disorder (MDD) are comorbid. GAD is more often presents imultaneously with MDD than alone but few studies have investigated the phenomenon of comorbid GAD and MDD. The principal goal of the present study is to bring a deeper understanding of this comorbidity by paying closer attention to its cognitive dimension. In the present research, 32 participants were divided into 2 groups, following two independent diagnostic evaluations with the Anxiety Disorder Interview Schedule for DSM-IV. The firstgroup (N= 15; 10 women and 5 men) is made up of individuals with a principal diagnosis of comorbid GAD and MDD; and the second group (N= 17; 12 women and 5 men) is made up of people with a principal diagnosis of GAD without MDD. ANCOVAs were used to compare groups on 4 cognitive variables: intolerant of uncertainty, poor problem orientation, cognitive avoidance and beliefs about worry. Results show that the group of individuals with a principal diagnosis of comorbid GAD and MDD were more intolerant of uncertainty, presented poorer problem orientation and displayed more cognitive avoidance than the group of people with a principal diagnosis of GAD without MDD. Thus, the presence of comorbid MDD in people living with GAD is associated to a higher level ofseverity for three cognitive processes. The study demonstrates the pertinence of using the cognitive variables under study to better understand comorbid GAD and MDD. Moreover, a stepwise discriminant analysis was madeon GAD diagnostic criteria. This analysis retained three criteria (level ofinterference, sleepingproblems and muscular tension), which facilitated the differential diagnosis between bothgroups.
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Explorer la relation entre le statut socio-économique et la multimorbidité au sein d’une population clinique de première ligne

Kinumbe Elungu, Michel January 2015 (has links)
Cette recherche a pour objectif d’explorer la relation entre le statut socio-économique estimé par différents facteurs et la multimorbidité au sein d’une population clinique de première ligne. Nos analyses montrent que, malgré divers biais liés à la base des données, les résultats obtenus sont très révélateurs. Cette étude a été réalisée sur base des données collectées par le programme de recherche d’une cohorte interrégionale sur la santé en évolution (PRÉCISE) dirigée par Haggerty et Fortin. Pour notre étude, nous avons utilisé les données de la première collecte de données de PRECISE en nous concentrant sur la population clinique de première ligne c’est-à-dire celle rencontrée dans les salles d’attente de pratique médicale et qui a une affiliation avec un médecin de famille. Les variables, dépendante et indépendante, étaient respectivement la multimorbidité et le statut socio-économique. Ces variables ont été opérationnalisées de différentes façons selon les analyses. Des associations directes entre le statut socio-économique et la multimorbidité ont été trouvées. La relation était statistiquement significative pour tous les niveaux faibles des différents facteurs utilisés pour estimer le SSE. Ainsi, les patients avec un statut socio-économique faible étaient plus atteints de multimorbidité que ceux bénéficiant d’un statut socio-économique élevé. Le faible niveau de scolarité manque d’occupation, des revenus faibles et une perception négative de sa situation financière ou la combinaison de ces facteurs devraient être pris en compte dans l’élaboration et la mise en œuvre des stratégies de prévention de la multimorbidité.
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The comorbidity of psychopathy, anxiety, and depression disorder

Labow, Melissa Amber 09 1900 (has links)
La psychopathie est un désordre de la personnalité caractérisé par des traits de comportement, tels qu’un manque d’empathie, du narcissisme, une estime de soi élevée, etc. Souvent, ces traits sont considérés comme indésirables. Ces caractéristiques se manifestent chez l’homme et la femme, autant dans la population criminelle que non-criminelle. L’étude de la psychopathie et la relation entre celle-ci et d’autres désordres mentaux représente un domaine relativement novateur de la psychologie. Des études démontrent une forte corrélation négative entre la psychopathie et l'anxiété, et entre la psychopathie et la dépression. Au total, 92 étudiants actuels ou ayant récemment graduées, au niveau du baccalauréat, de la maîtrise, et du doctorat ont été recrutés pour participer à cette étude. Ces participants ont complété quatre questionnaires standardisées qui évaluent leur niveau de psychopathie, d’anxiété et de dépression. Les évaluations utilisées sont le « Levenson’s Self-Report Psychopathy scale », le « Childhood and Adolescent Taxon Self-Report », le « Beck Depression Inventory », et le « Beck Anxiety Inventory ». Les résultats suggèrent l'existence d'une forte corrélation positive entre la dépression et la psychopathie, entre l'anxiété et la psychopathie, et entre l'anxiété et la dépression. Des variables additionnelles, tels que le sexe et l’éducation antérieure, contribuent aussi de façon significatives à ce modèle. Les résultats sont analysés tout en considérant des études antérieures et l’importance de la comorbidité psychopathique dans la recherche à venir. / Psychopathy is a personality disorder characterized by behavioral traits that are often considered undesirable. These traits include callousness, lack of empathy, narcissism, and increased sense of self-worth. These characteristics of psychopathy manifest themselves in men and women alike, and within both criminal and noncriminal populations. The study of the relationship between psychopathy and other mental disorders is a relatively new area of research within the field of psychology. The present study attempted to expand this area of research, namely by examining the relationship between psychopathy, anxiety, and depression. Studies conducted on this relationship have thus far shown that both anxiety and depression disorder are significantly and negatively correlated with psychopathy. For the present study, a total of 92 currently enrolled or recently graduated undergraduate and graduate students were recruited for participation. The participants completed four standardized scales that assessed their level of psychopathy, anxiety, and depression disorder. Participants were assessed using the Levenson’s Self-Report Psychopathy scale, the Childhood and Adolescent Taxon Self-Report, the Beck Depression Inventory, and the Beck Anxiety Inventory. The results suggested that both anxiety and depression are positively and significantly correlated with psychopathy as well as with each other. Additional variables, such as gender and educational origins, were found to contribute significantly to the model. The discussion of the results of the present study includes the findings of previous, related research as well as the importance of psychopathic comorbidity analyses in future research.
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Toxicomanie et inadaptation sociale sévère chez des femmes en traitement : trajectoire et services reçus

Bertrand, Karine January 2003 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Approche dimensionnelle de la comorbidité entre dyslexie et trouble de l’acquisition de la coordination par l’étude de la graphomotricité / Dimensional approach of comorbidity between dyslexia and developemental coordination disorder by graphomotricity study

Huau, Andréa 16 December 2015 (has links)
Une comorbidité entre les troubles neurodéveloppementaux est repérée de façon très fréquente chez les enfants d’âge scolaire. Plusieurs modèles se fondent sur l’existence de déficits sous-jacents communs pour tenter d’expliquer l’apparition concomitante de ces troubles. Afin de contribuer à une meilleure compréhension de la comorbidité entre la dyslexie et le trouble de l’acquisition de la coordination (TAC), trois recherches ont été réalisées au cours de cette thèse. Elles sont toutes basées sur l’analyse de la graphomotricité, en termes de processus et de produit. L’objectif principal de ce travail était de repérer les processus à l’œuvre dans les tâches graphomotrices qui pourraient être affectés dans ces deux troubles, tout en tenant compte des particularités de chacun. Nous avons fait l’hypothèse, en référence au modèle du déficit d’apprentissage procédural (Nicolson et Fawett, 2007), que les enfants avec des difficultés en lecture et en motricité se différencieraient de ceux sans difficulté lors d’un apprentissage graphomoteur. Les résultats montrent que la sévérité et la nature des atteintes influencent les performances des enfants pour un ensemble varié de tâches graphomotrices et pour l’apprentissage graphomoteur. L’ensemble des résultats traduit un certain nombre de particularités communes chez les enfants avec une dyslexie et/ou un TAC, au niveau de l’intégration visuo-motrice, ainsi que de l’apprentissage et de l’automatisation de gestes graphomoteurs. En outre, les travaux de cette thèse mettent en relief la pertinence de l’approche dimensionnelle pour étudier la complexité des profils d’enfants avec des troubles comorbides . / Comorbidity between neurodevelopmental disorders is frequently found in children of school age. Several models are based on the existence of common underlying disorders to try and explain the concomitant appearance of these disorders. Three studies, all based on graphomotoricity analyses in terms of the processes and products, were conducted during this thesis so as to contribute to a better understanding of comorbidity between dyslexia and developmental coordination disorder (DCD). The main objective was to identify the processes involved during graphomotoricity tasks that could be affected in these two disorders, taking into account the peculiarities of each. We hypothesised, referring to the procedural learning disorder model (Nicolson & Fawcett, 2007) that children with reading and motor difficulties would differentiate themselves from those without difficulty for graphomotor learning. enabling us to assess their reading and motor levels. Results showed that the severity and nature of the disorders influenced the children’s performance for a diverse set of graphomotricity tasks and graphomotor learning. The overall results reflected a number of common features in children with dyslexia and / or DCD, concerning visuo-motor integration, as well as graphomotor gestures in learning and automation. In addition, the studies carried out during this thesis emphasised the relevance of the dimensional approach so as to study the complexity of the profiles of children with comorbid disorders.
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Troubles psychiatriques, recours au soin et usage de substances psychoactives

Encrenaz, Gaelle 18 December 2006 (has links) (PDF)
Nous avons effectué trois études afin (a) d'examiner si le recours au soin modifiait l'intensité du lien entre troubles psychiatriques non liés à une substance et l'usage de substances, et (b) étudier la prévalence et les facteurs associés à l'usage de substance en réponse à un trouble psychiatrique. Nos deux premières études ont montré que le recours au soin était associé à une diminution du risque de problèmes de substances chez les sujets ayant plusieurs troubles non liés à une substance. La troisième étude a montré que l'usage de substances suite à un trouble psychiatrique était fréquent, en particulier chez les hommes, les sujets avec un bas niveau d'étude, ceux vivant seuls et les plus jeunes. Plus l'état des sujets était sévère, plus l'usage de substances était combiné à un recours au soin. L'usage de substances sans recours au soin était plus fréquent chez les sujets de moins de 30 ans. Ces études pourraient permettre de définir la nature et la cible des campagnes de prévention des troubles liés à une substance.
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Comorbidité trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité et troubles anxieux : profil clinique et impact du traitement des troubles anxieux sur les comportements et les déficits cognitifs associés au trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité

Denis, Isabelle 06 1900 (has links) (PDF)
Environ 25% des enfants qui ont un trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité (TDAH) présentent un trouble anxieux (TA) en comorbidité. Malgré la prévalence élevée entre ces deux troubles, très peu d'études s'y intéressent. Pourtant, le profil clinique de ces enfants est complexe et les résultats des quelques études dans le domaine sont souvent contradictoires, notamment en ce qui a trait à l'expression des comportements et des déficits cognitifs associés au TDAH en présence d'un TA. Selon le modèle théorique de Quay (1988a, 1988b, 1997), l'anxiété aurait un effet protecteur sur les déficits cognitifs d'inhibition de la réponse, et les comportements d'hyperactivité et d'impulsivité associés au TDAH. Cette hypothèse, qui est acceptée dans la communauté scientifique et clinique, n'a toutefois jamais été testée empiriquement. Le fait que l'anxiété puisse avoir un effet protecteur sur le TDAH soulève également une question importante : qu'arrive-t-il lorsqu'on traite le TA? En lien avec cette hypothèse, le fait de traiter le TA devrait exacerber les déficits d'inhibition de la réponse, et les comportements d'hyperactivité et d'impulsivité associés au TDAH. À ce jour, seulement deux études se sont intéressées à connaître l'effet du traitement des TA sur la symptomatologie du TDAH (Jarrett & Ollendick, 2012; Verreault & Berthiaume, 2010). Leurs résultats montrent que la symptomatologie du TDAH n'est pas exacerbée à la suite du traitement des TA. Par contre, ces études ne mesurent pas l'ensemble des comportements et des déficits cognitifs associés au TDAH. Une meilleure compréhension de la comorbidité TDAH et TA pourrait permettre d'améliorer les soins offerts à ces enfants. La présente thèse doctorale tente donc de mieux comprendre le profil clinique des enfants qui présentent la comorbidité TDAH et TA. Elle vise également à tester empiriquement l'hypothèse de Quay (1988a, 1988b, 1997) en évaluant l'impact du traitement des TA, à la suite d'une thérapie cognitivo-comportementale, sur les comportements et les déficits cognitifs associés au TDAH chez des enfants qui présentent la co-occurrence des deux troubles. Le premier chapitre de la thèse présente une synthèse des écrits sur le TDAH, sur les TA, ainsi qu'une introduction à la comorbidité TDAH et TA. Le deuxième chapitre de la thèse présente la revue exhaustive de la littérature qui porte sur le profil comportemental et cognitif associé au TDAH chez les enfants qui présentent la comorbidité TDAH et TA. Les résultats montrent un profil clinique mitigé et ce, autant au plan des comportements que des déficits cognitifs. Par contre, l'anxiété ne semble pas avoir d'effet protecteur sur les déficits d'inhibition de la réponse tel que véhiculé dans la littérature. La revue de la littérature soulève également des questions fondamentales, notamment en lien avec la conceptualisation du TDAH et sur le diagnostic différentiel entre le TDAH et les TA. Ces questions sont importantes car leurs réponses pourraient avoir des impacts non négligeables sur les stratégies d'évaluation et d'intervention à prioriser pour ces enfants. Le troisième chapitre de la thèse présente l'article qui teste empiriquement le modèle théorique de Quay (1988a, 1988b, 1997) en évaluant l'impact du traitement des TA sur les comportements et les déficits cognitifs associés au TDAH chez des enfants qui présentent la co-occurrence des deux troubles. Les résultats obtenus vont à l'encontre de l'hypothèse de Quay et montrent que la diminution de l'anxiété n'exacerbe pas la symptomatologie du TDAH. Donc, l'anxiété ne semble pas avoir d'effet protecteur sur les comportements et les déficits cognitifs associés au TDAH. Les résultats obtenus ont des impacts cliniques importants car ils suggèrent aux cliniciens de, traiter d'abord l'anxiété et ensuite, d'évaluer la persistance des symptômes de TDAH. Le dernier chapitre présente une discussion générale des résultats obtenus dans la thèse, les principales considérations méthodologiques, des pistes pour les recherches futures, ainsi qu'une conclusion générale. ______________________________________________________________________________

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