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La comorbidité schizophrénie - toxicomanie : modèles cliniques et neurobiologiques et traitement pharmacologiquePotvin, Stéphane January 2006 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Étude de la comorbidité entre les troubles anxieux et la dépression évalués par le Dominique Interactif chez les enfants de 6 à 11 ansCournoyer-Goineau, Marilou January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Symptômes reliés au diagnostic du trouble de personnalité limite à l'adolescence : une recension systématique de la littératureLe Boeuf, Élodie 04 1900 (has links)
Le diagnostic du trouble de personnalité limite (TPL) à l’adolescence est sujet de controverse chez certains chercheurs et cliniciens. Pour plusieurs, les symptômes présentés chez les jeunes ayant un TPL ressemblent au fonctionnement normal à l’adolescence. Le diagnostic est alors retardé à l’âge adulte, décalant la mise en place d’un traitement. L’objectif de cette recension systématique de la littérature est d’examiner les symptômes permettant la différenciation d’une population adolescente avec un TPL de celles ayant un autre diagnostic ou non psychiatrisée. En tout, 17 études sur les 4 789 titres initialement identifiés rencontrent les critères d’inclusion et sont analysées. Cette recension systématique considère plusieurs symptômes diversifiés : troubles internalisés et externalisés, suicide, erreurs de mentalisation, schémas mésadaptés et diagnostics comorbides. Plusieurs symptômes distinguant de façon statistiquement significative les adolescents avec un TPL ont pu être observés en les comparant à trois groupes contrôles : les adolescents non psychiatrisés, ceux avec un autre trouble de personnalité et ceux ayant un autre diagnostic. Finalement, un patron de symptômes a pu également être observé entre les adolescents suicidaires ayant un TPL et ceux sans ce diagnostic. / The diagnosis of borderline personality disorder (BPD) in adolescence is controversial among some researchers and clinicians. For many, the symptoms presented in young people with BPD resemble normal functioning in adolescence. The diagnosis is then delayed in adulthood, postponing the treatment. The aim of this systematic review of the literature is to investigate the symptoms that can differentiate an adolescent population with BPD from one with another diagnosis and/or without any psychiatric issues. In all, 17 studies out of the 4,789 titles initially identified met the inclusion criteria and were analyzed. This systematic review considers diverse symptoms: internalized and externalized disorders, suicide, mentalization errors, maladaptive schemas and comorbid diagnoses. Several symptoms significantly differentiated adolescents with BPD from three control groups teenagers: non-psychiatric, with another personality disorder and with another diagnosis. Finally, a pattern of symptoms could also be observed between suicidal adolescents with BPD and suicidal youth without it.
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La comorbidité schizophrénie - toxicomanie : modèles cliniques et neurobiologiques et traitement pharmacologiquePotvin, Stéphane January 2006 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Taux de comorbidité du traumatisme cranio-cérébral et du trouble de stress post-traumatique chez les civils et les militaires : une méta-analyseLoignon, Alexandra 03 December 2019 (has links)
La fréquence et les facteurs de risque entourant le développement d’un trouble de stress post-traumatique (TSPT) après un traumatisme cranio-cérébral (TCC) sont méconnus. Étant davantage disposés à subir des blessures physiques et à vivre des expériences potentiellement traumatiques, les militaires pourraient être plus à risque de présenter la comorbidité TCC-TSPT. Le présent mémoire vise à documenter la fréquence du TSPT après un TCC, les mécanismes expliquant le développement de cette double condition, ses particularités symptomatologiques ainsi que les conditions la favorisant. Une recension systématique et une méta-analyse ont été réalisées pour déterminer si les adultes ayant subi un TCC présentent plus de risque de développer un TSPT que ceux sans TCC ayant vécu une expérience similaire, et si ce risque est plus élevé chez les militaires comparativement aux civils. Un objectif secondaire vise à déterminer les facteurs augmentant les risques de présenter ce double diagnostic. Les résultats de la méta-analyse de 33 études suggèrent que le risque de TSPT est 2,68 fois plus élevé (27%) après un TCC qu’en l’absence d’une telle blessure (11%). De plus, les militaires avec un TCC présentent 4,18 fois plus de TSPT (37%) que ceux sans TCC, comparativement à 1,26 pour les civils (16%). Le risque de présenter le double diagnostic varie selon la méthodologie des études (objectifs liés au TSPT, groupe de comparaison) et les caractéristiques spécifiques des participants (pays d’origine, sexe, type d’événement traumatique). La présence d’un TCC représente un facteur de risque pour le développement d’un TSPT, et ce, spécialement chez les militaires et les vétérans. La cooccurrence de ces deux troubles complique le portrait des patients, la charge des proches et le travail des cliniciens. Ce double diagnostic requière une collaboration interdisciplinaire étant donné la complexité du portrait des personnes ayant été soumises à un trauma autant physique que psychologique. / The risk of developing a posttraumatic stress disorder (PTSD) after a traumatic brain injury (TBI) and the factors that may affect the manifestation of both disorders in a same individual remain to be clarified. Military personnel (including veterans who have been active members) are at higher risk of physical injuries and exposure to potentially traumatic events and could be particularly susceptible to display the TBI-PTSD comorbidity. This dissertation aims to depict the frequency of PTSD after TBI, the mechanisms behind the development of this dual diagnosis, its symptomatic particularities and risk factors. A systematic review and meta-analysis were conducted to determine if adults with TBI are at greater risk of developing PTSD than other trauma-exposed populations, and if this risk is even greater in military than in civilian populations. A secondary aim was to determine the factors that increase the probability to experience PTSD after TBI. Results from the 33 studies that were included in this meta-analysis suggest that the risk of developing PTSD is 2.68 times greater (27%) after TBI than when there is no such head injury (11%). Moreover, individuals with TBI are 4.18 times more likely to have a diagnosis of PTSD than those without TBI when they are in the military (37%), compared with 1.26 for civilians (16%). The risk of PTSD after TBI is concurrently attributable to the methods of the included studies (objectives focused on PTSD diagnosis, type of comparison group) and to participants’ characteristics (country, sex, type of traumatic event). TBI diagnosis represents greater risk for PTSD, especially in military and veteran settings. The dual diagnosis of TBI and PTSD complicates the patients’ portrait, the burden of the caregivers and the clinicians’ work. The combination of these disorders requires an interdisciplinary collaboration, as physical and psychological traumas are closely intertwined.
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Traitement du trouble d'anxiété généralisée chez des individus présentant un trouble bipolaire : une étude piloteThienot, Emmanuelle 16 April 2018 (has links)
Le taux de comorbidité est élevé chez les patients bipolaires, particulièrement avec les troubles anxieux. Les troubles anxieux comorbides ont un impact sur le traitement du trouble bipolaire et sont associés à un pronostic plus sombre, un moins bon fonctionnement et un risque suicidaire plus élevé. Parmi les troubles anxieux, la comorbidité entre le trouble bipolaire et le trouble d'anxiété généralisée est fréquente. Le présent mémoire doctoral visait à explorer l'efficacité de la thérapie cognitive comportementale (TCC) pour le traitement du trouble d'anxiété généralisée chez des patients présentant un trouble bipolaire stabilisé. Quatre participants ont été recrutés dans un protocole à cas unique expérimental ABA à niveaux de base multiples. Ils ont suivi une TCC individuelle de 12 semaines et ont été évalués au niveau des symptômes anxieux, des symptômes de l'humeur et de leur niveau de fonctionnement. Pour trois participants sur quatre, la TCC a produit des changements au niveau des symptômes du trouble d'anxiété généralisée. L'amélioration observée indique que le traitement semble avoir un impact positif à court terme sur les inquiétudes et les symptômes d'anxiété chez les personnes ayant un trouble bipolaire. De plus, une baisse des symptômes dépressifs a été observée chez tous les participants au posttraitement. Ces résultats préliminaires encourageants permettent certaines réflexions et recommandations au niveau de la conception de l'anxiété et de son traitement dans le trouble bipolaire.
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Le trouble stress post-traumatique en contexte de traumatisme crânio-cérébral : caractéristiques pré- et péri-traumatiques associées et effet à long terme sur la qualité de vie liée à la santé et la participation socialeWoods, Jamie 27 January 2024 (has links)
Le présent projet vise à documenter les caractéristiques distinctives des individus ayant subi un traumatisme crânio-cérébral (TCC) et qui considèrent l’accident ayant mené au TCC comme une expérience traumatique. Le projet a également comme objectif de documenter les effets à plus long terme du trouble stress post-traumatique (TSPT) sur la qualité de vie liée à la santé et la participation sociale, 24 mois post-TCC. Un total de 292 adultes âgés entre 18 et 65 ans ont été évalués au moyen d’une entrevue diagnostique et de questionnaires validés deux ans suivant leur TCC. Les résultats indiquent que parmi les participants qui estiment avoir fait face à un événement traumatique au moment de l’accident, les proportions de femmes, d’histoire de trouble de l’humeur, de développement d’un trouble de l’humeur ou anxieux ainsi que de comorbidités psychiatriques post-TCC sont plus importantes que parmi ceux qui ne considèrent pas que l’accident ayant mené au TCC était un événement traumatique. Une gradation décroissante est observée dans les niveaux de qualité de vie liée à la santé et de participation sociale : les participants ne répondant à aucun diagnostic présentant une meilleure qualité de vie liée à la santé et un degré plus important de participation sociale, suivi des participants souffrant d’un trouble psychiatrique autre que le TSPT et finalement des participants répondant au critère du TSPT qui montrent les niveaux de qualité de vie liée à la santé et de participation sociale les plus bas. Ces résultats mettent en évidence le fardeau psychologique et fonctionnel supplémentaire du TSPT post-TCC qui va au-delà de celui causé par d’autres conditions psychiatriques, signalant l’importance de s’intéresser davantage au portrait clinique des individus ayant développé un TSPT à la suite d’un TCC afin d’améliorer les interventions en milieux cliniques. L’important besoin de recherches additionnelles portant sur la combinaison de ces deux conditions est toutefois significatif considérant qu’il s’agit à notre connaissance de la seule étude s’intéressant aux conséquences à plus long terme du TSPT post-TCC sur des construits tels que la participation sociale et la qualité de vie liée à la santé.
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Évolution et regroupements des symptômes psychologiques liés à la maladie coronarienne athérosclérotiqueDallaire-Habel, Samuele 14 November 2024 (has links)
Les symptômes dépressifs et anxieux, l'anxiété cardiaque, les perturbations du sommeil et les plaintes cognitives en contexte de maladie coronarienne athérosclérotique suscitent de plus en plus d'intérêt en raison de leurs répercussions sur le fonctionnement, la qualité de vie et le pronostic cardiovasculaire. Or, bien que leur prévalence élevée dans les jours suivant un événement cardiovasculaire soit bien documentée, l'évolution clinique et la concomitance de ces symptômes psychologiques demeurent peu étudiées. Ainsi, cette thèse doctorale avait pour premier objectif de décrire les trajectoires longitudinales des principaux symptômes psychologiques associés à la maladie coronarienne athérosclérotique. Le deuxième objectif était d'identifier des profils de patients en fonction de la sévérité de leurs symptômes psychologiques. Pour ce faire, des patients ayant subi une procédure de revascularisation en lien avec un diagnostic de maladie coronarienne athérosclérotique ont été recrutés à l'Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de Québec. Ils ont été évalués à l'aide de plusieurs questionnaires auto-rapportés à trois temps de mesure, soit pendant les 4 semaines suivant une procédure de revascularisation ainsi que 3 et 6 mois plus tard. Les résultats ont révélé un pronostic psychologique favorable chez la plupart des patients. En effet, plusieurs rapportaient des symptômes dépressifs et anxieux, de l'anxiété cardiaque et des plaintes cognitives initialement faibles qui diminuaient sur une période de 6 mois (34,9-83,6%). D'autres patients présentaient de l'anxiété cardiaque et des perturbations du sommeil initialement élevées qui se résorbaient à travers le temps (51,4% et 68,4%, respectivement). Cependant, une proportion importante de patients signalaient des symptômes dépressifs et anxieux, de l'anxiété cardiaque, des perturbations du sommeil et des plaintes cognitives sévères et persistants (13,7-36,9%). Par ailleurs, les résultats ont révélé deux profils de patients présentant des niveaux de sévérité similaires de symptômes psychologiques au temps de mesure initial. Le profil « Symptômes faibles » regroupait la majorité des patients (59,2%) et il était caractérisé par des niveaux faibles de symptômes dépressifs et anxieux, d'anxiété cardiaque et de plaintes cognitives, mais des perturbations du sommeil élevées. Le profil « Symptômes élevés » (40,8%) se distinguait par des niveaux élevés de symptômes psychologiques. Dans l'ensemble, les résultats obtenus ont permis de mieux comprendre l'évolution clinique et la concomitance des symptômes psychologiques associés à la maladie coronarienne athérosclérotique, en plus de dégager plusieurs implications cliniques et pistes de réflexion pour la recherche future. / In patients with coronary artery disease, depressive and anxiety symptoms, cardiac anxiety, sleep disturbances and cognitive complaints have received increasing interest due to their association with diminished quality of life, impaired functioning, and poor cardiovascular prognosis. While the significance of these psychological symptoms is well documented for the period following a cardiovascular event, knowledge on their course and co-occurrence remain limited. Thus, the present thesis first aimed at describing the longitudinal trajectories of common psychological symptoms in patients with coronary artery disease. Second, this thesis aimed at identifying clusters of patients based on the severity of their psychological symptoms. For those purposes, patients who had undergone a revascularization procedure for coronary artery disease at Québec Heart and Lung Institute were recruited. Patients completed questionnaires within four weeks post revascularization procedure with follow-ups 3 and 6 months later. The results revealed a favorable psychological prognosis for most patients. Indeed, many patients reported limited depressive symptoms and anxiety symptoms, cardiac anxiety and cognitive complaints at baseline that decreased over time (34.9-83.6%). Other patients presented initially elevated cardiac anxiety and sleep disturbances that were resolved naturally over time (51.4% and 68.4%, respectively). However, a significant proportion of patients experienced persistently elevated depressive and anxiety symptoms, cardiac anxiety, sleep disturbances and cognitive complaints (13.7-36.9%). The results also revealed two clusters of patients at baseline. The "Low symptoms" cluster accounted for most of the sample (59.2%) and was characterized by limited depressive and anxiety symptoms, cardiac anxiety, and cognitive complaints, but elevated sleep disturbances. The "High symptoms" cluster (40.8%) included patients with high levels of psychological symptoms. Overall, this thesis provided insight into the clinical evolution and the co-occurrence of psychological symptoms in patients with coronary artery disease and suggested several clinical implications and future research avenues.
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La comorbidité chez les joueurs pathologiques en traitementGonzález-Sicilia Fernández, Daniela 07 1900 (has links)
Plusieurs études telles que le NESARC ont démontré la comorbidité chez les joueurs
pathologiques dans la population générale et dans des échantillons cliniques. Le jeu pathologique se présente souvent avec des troubles comorbides tels que les toxicomanies, les troubles de l’humeur, les troubles anxieux et les troubles de la personnalité. Cette étude a été réalisée auprès de 40 joueurs pathologiques admis en traitement au Centre Dollard-Cormier, Institut universitaire sur les dépendances à Montréal. Les objectifs étaient d’évaluer : la consommation d’alcool et de drogues, la présence d’une détresse psychologique caractérisée par des symptômes et des
syndromes cliniques ainsi que par des troubles de la personnalité et la prévalence du trouble de l’ÉSPT dans l’échantillon. L’ICJE a été utilisé pour évaluer la gravité du jeu. Les autres troubles ont été mesurés à travers l’IGT, l’AUDIT, le MCMI-III, le QÉT et l’ÉMST. Les résultats montrent
que 65 % des participants présentent une consommation problématique d’alcool (25 %
actuellement, 40 % dans le passé), 27,5 % une consommation problématique de drogues; 52,5 %, un diagnostic probable d’au moins un syndrome clinique (surtout anxiété et dépression), 55 %, un diagnostic probable d’au moins un trouble de la personnalité; 30 %, des symptômes du trouble d’ÉSPT et 17,5 %, un diagnostic probable du trouble. Alors, la comorbidité est présente chez les
joueurs pathologiques de l’échantillon. Il est essentiel de l’identifier pour mieux répondre aux besoins particuliers de l’individu et l’aider avec les symptômes qui aggravent le problème de jeu et augmentent le risque de récidive. / Several studies such as the NESARC have demonstrated the comorbidity in pathological gamblers in the general population and in clinical samples. Pathological gambling often occurs with other comorbid disorders, such as addictions, mood disorders, anxiety disorders, and personality disorders. This study was conducted among 40 pathological gamblers admitted in treatment at Centre Dollard-Cormier, Institut universitaire sur les dépendances, in Montreal. The objectives
were to assess the use of alcohol and drugs, the presence of psychological distress characterized by clinical symptoms and syndromes as well as by personality disorders, and the prevalence of PTSD
in the gamblers of the sample. The CPGI was used to assess the severity of gambling. The other disorders were measured through the ASI, the AUDIT, the MCMI-III, the QÉT and the ÉMST. The results show that 65% of participants had a problem with alcohol (25% currently, 40% in the past), 27.5% presented a problematic drug use, 52.5% had a potential diagnosis of at least one
clinical syndrome (mainly anxiety and depression), 55% had a potential diagnosis of at least one personality disorder, 30% presented symptoms of PTSD and 17.5% had a potential diagnosis of PTSD. In conclusion, comorbidity exists in the pathological gamblers of the sample. It is essential
to identify it in order to better address the needs of the individual and to help him with the symptoms that worsen the gambling problem and increase the risk of recurrence.
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Étude du fonctionnement des familles d'enfants présentant un TDA/HLemelin, Geneviève January 2007 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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