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La dépression suite à un traumatisme cranio-cérébral : la contribution de la douleur, des comorbidités et des blessures aux autres parties du corps

Tessier, Danielle 12 December 2024 (has links)
La dépression est le trouble psychiatrique le plus fréquent dans la population ayant subi un traumatisme cranio-cérébral (TCC). Les blessures aux autres parties du corps, les problèmes de santé, la douleur et les migraines semblent liés à la dépression post-TCC. L’objectif de ce mémoire est de mieux comprendre ces liens. Les taux de dépression chez les individus ayant des blessures aux autres parties du corps au moment du TCC ou de la douleur significative, des migraines, la prise d’analgésiques ou des problèmes de santé comorbides à 4, 8 et 12 mois post-blessure ont été comparés à ceux des gens qui ne présentent pas ces facteurs. Ensuite, l’influence de ces variables à 4 mois post-TCC sur le risque de développer la dépression au cours de la première année post-TCC a été analysé. Le risque de présenter une dépression au cours de la première année post-TCC est plus élevé pour les individus qui rapportent des blessures aux membres inférieurs au moment du TCC et de la douleur significative, des migraines, la prise d’analgésiques et des problèmes de santé comorbides à 4 mois post-blessure. Une histoire de dépression pré-morbide demeure la variable avec la plus grande force prédictive d’une dépression post-TCC. Ces résultats démontrent l’importance de suivis ciblés pour la population TCC présentant ces facteurs. / Depression is the most common psychiatric disorder after traumatic brain injury (TBI). Injuries to other parts of the body, physical illnesses, pain and migraine headaches seem to be related to post-TBI depression. The goal of this memoire is to better understand these relationships. Rates of depression in individuals having injuries to other parts of the body at the time of the accident and significant pain, migraines, use of analgesics and physical health concerns at 4, 8 and 12 months post-TBI were compared to those who did not. The influence of these variables at 4 months post-injury on the development of depression over the first year post-TBI was then analysed. The risk of presenting with depression over the first year post-TBI is increased for individuals reporting injuries to lower limbs at the time of the accident and significant pain, migraines, use of analgesics and health problems at 4 months post-injury. A history of pre-injury depression remains the strongest predictor of post-TBI depression. These results demonstrate the importance of targeted follow-up for TBI populations presenting with these factors.
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Schizophrénie et dépression : Recours aux services avant et après une hospitalisation pour tentative de suicide

Routhier, Danielle 09 1900 (has links)
Contexte : Une tentative de suicide antérieure et les troubles mentaux constituent d’importants facteurs de risque de suicide. Les services de santé ont un rôle important à jouer en matière de prévention. Objectif : Analyser les patrons de recours aux services à des fins de santé mentale avant et après une hospitalisation pour tentative de suicide chez les résidents montréalais qui ont reçu un diagnostic de schizophrénie ou de dépression. Méthode : Les données proviennent de la banque médico administrative jumelée de l’Agence de Montréal. Les caractéristiques des patients et les taux de contacts avec les services trois mois avant et après l’hospitalisation index furent comparées. L’échantillon représentatif compte 525 Montréalais hospitalisés à la suite d’une tentative de suicide (avr. 2003-déc. 2004) qui ont reçu un diagnostic de schizophrénie ou de dépression. Résultats : Le recours aux services a augmenté de manière significative suivant l’hospitalisation index. Les patients déjà en contact avec les services et les hommes avec comorbidité en termes d’abus de substances semblent en contact avec les services au cours des trois mois suivant leur hospitalisation contrairement aux femmes avec comorbidité. Le profil « urgence » de recours aux services semble prédire une absence de recours aux services. Conclusions : Les services de santé répondent aux tentatives de suicide, particulièrement chez les hommes avec troubles d’abus de substances. Cependant, des interventions sont requises en vue d’améliorer la coordination des services, principalement pour les personnes qui se présentent l’urgence, les femmes avec troubles d’abus de substances et les patients en marge du système avant leur hospitalisation. / Background: Mental health disorders and suicide attempts are important risk factors for suicide. Health care services have an important role to play in preventing these deaths. Objective: To analyze patterns of service use for a mental health purpose before and after a hospitalisation following a suicide attempt among Montreal’s residents diagnosed with schizophrenia or depression. Method: Data was taken from the linked administrative database of the Montreal’s Agency. Patient’ characteristics and contacts rates with services three months before and after the index hospitalisation were compared. The representative sample includes all 525 patients living in Montreal, who were hospitalised following a suicide attempt (Apr. 2003-Dec. 2004) and who were diagnosed with schizophrenia or depression. Results: Intensity of care increased significantly after the index hospitalisation. Patients in contact with services before and comorbidity of substance abuse disorder among men predicted a contact with services for a mental health purpose three months after the index hospitalisation contrary to women with comorbidity. Besides, the emergency room profile of service use predicted a lack of service utilisation. Conclusions: Health services respond to suicide attempts, including in men with substance abuse. However, there is an opportunity for increased aftercare coordination for suicidal individuals, in particular for those presenting at the emergency room, those with no previous contact with services and for women with substance abuse.
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La détresse psychologique et les problèmes cardiovasculaires chez les travailleurs: une étude transversale de la comorbidité

Lapointe, Sandra 08 1900 (has links)
L’objectif principal de ce mémoire consiste à déterminer s’il existe une association entre la détresse psychologique et les problèmes cardiovasculaires chez les travailleurs, suite à l’influence de certains facteurs professionnels. Les données proviennent de l’Enquête sur la santé dans les communautés canadiennes (cycle 3.1 de l’ESCC), menée par Statistique Canada en 2005. Notre échantillon est composé de 15 394 canadiens et canadiennes en emploi de 15 ans et plus, représentatif sur le plan de l’âge, du genre et de la distribution géographique du lieu de résidence. Les analyses de régressions logistiques montrent que quatre facteurs professionnels présentent une association significative avec la détresse psychologique : les demandes psychologiques, la menace de perdre son emploi, le soutien social au travail, la satisfaction au travail. Puis, trois facteurs s’avèrent être reliés au développement de problèmes cardiovasculaires, soit l’utilisation des compétences, la satisfaction au travail ainsi que le nombre d’heures travaillées. Les analyses de variances multiples (MANOVA) révèlent que la détresse psychologique est associée aux problèmes cardiovasculaires et que ces deux problèmes de santé peuvent se retrouver en situation de comorbidité. Selon les résultats, on observe que cinq facteurs sont significativement corrélés à la présence de détresse psychologique en même qu’un problème cardiovasculaire : les demandes psychologiques, la menace de perdre son emploi, le soutien social au travail, la satisfaction au travail ainsi que le nombre d’heures travaillées. Par ailleurs, l’utilisation des compétences, l’autonomie décisionnelle et les exigences physiques de travail ne sont pas significativement associés à la détresse psychologique et à la présence de problèmes cardiovasculaires. / The main objective of this thesis is to determine whether there is an association between psychological distress and cardiovascular problems among workers, due to the influence of certain professional factors. The data came from the Canadian Community Health Survey (cycle 3.1 of CCHS), conducted by Statistics Canada in 2005. Our sample consists of 15 394 employed Canadians aged 15 and over, representative of age, gender and geographic distribution of place of residence. The logistic regression analysis showed that four professional factors have a significant association with psychological distress: psychological demands, job insecurity, social support at work, and job satisfaction. In addition, three factors appear to be related to the development of cardiovascular problems; the use of skills, job satisfaction, and the number of hours worked. The multiple analysis of variance (MANOVA) showed that psychological distress is associated with cardiovascular problems and that these two health problems may be apparent in situations of comorbidity. According to the results, we find that five factors present a significant correlation between the presence of psychological distress and a cardiovascular problem: psychological demands, job insecurity, social support at work, job satisfaction and the number of hours worked. However, the use of skills, decisional authority at work and physical demands of work are not significantly associated with psychological distress and the presence of cardiovascular problems.
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Électrophysiologie cognitive et motrice du syndrome Gilles de la Tourette

Thibault, Geneviève January 2009 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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La schizophrénie dissociative : nouvelle entité clinique, trouble comorbide ou autres considérations nosographiques

Laferrière-Simard, Marie-Christine 03 1900 (has links)
L’existence d’un sous-type dissociatif de schizophrénie a été suggérée par plusieurs auteurs pour rendre compte des présentations symptomatologiques d’un groupe de personnes dont le diagnostic principal est dans le spectre de la schizophrénie mais qui présentent aussi des symptômes dissociatifs (Ross, 2004; Şar et al., 2010; Van der Hart, Witztum, & Friedman, 1993). D’origine traumatique, ce type de portrait clinique où symptômes psychotiques et dissociatifs s’entremêlent aurait été décrit il y a déjà plus d’un siècle (Janet & Raymond, 1898) mais serait disparu dans les années ’30, assimilé au concept de « schizophrénie » (Rosenbaum, 1980). C’est dans un nouveau contexte nosographique que le concept de schizophrénie dissociative refait surface. En effet, la nosographie psychiatrique a pris un tournant en 1980 lorsque l’approche préconisée par le DSM est devenue descriptive plutôt que basée sur des conceptualisations psychanalytiques. Du coup, les affections d’alors ont été divisées en troubles dont les symptômes ont tendance à se manifester ensemble (Cooper, 2004) et la comorbidité entre les troubles a augmenté. Étant donné la comorbidité fréquemment rapportée entre les troubles psychotiques et dissociatifs, la similarité phénoménologique de leurs symptômes, ainsi que leur possible étiologie traumatique, Ross (2004) a proposé une série de critères permettant de diagnostiquer une schizophrénie dissociative. L’objectif principal de cette thèse est donc d’établir si la schizophrénie dissociative, telle que définie par Ross (2004), existe. Le premier article porte sur la problématique et le contexte théorique ayant mené à la question de recherche. Il vise à faire un survol des enjeux entourant la question de la schizophrénie dissociative et rend compte des écrits scientifiques sur la symptomatologie similaire entre les troubles psychotiques et dissociatifs, sur leur étiologie traumatique et sur les études sur la dissociation et la schizophrénie. Le deuxième article est quant à lui un article empirique rendant compte de la méthodologie utilisée pour répondre à la question de recherche. En effet, aucune étude jusqu’ici n’a testé systématiquement les critères de la schizophrénie dissociative. Nos résultats démontrent que 24% de notre échantillon (N=50) pourrait recevoir le diagnostic de schizophrénie dissociative avec les critères proposés par Ross (2004). Toutefois, ces critères posant problème, une modification a été proposée et une prévalence de 14% a alors été trouvée. Des vignettes cliniques sont présentées afin de comparer nos participants avec ceux rapportés ailleurs. Les liens entre symptômes psychotiques et dissociatifs sont discutés en essayant de conceptualiser la schizophrénie dissociative de différentes manières, soit comme une nouvelle entité clinique, comme un trouble comorbide ou dans un contexte nosographique psychodynamique. / The existence of a dissociative subtype of schizophrenia has been suggested by several authors to account for the symptomatology of a group of people whose primary diagnosis is in the schizophrenia spectrum but have in addition dissociative symptoms (Ross, 2004; Sar et al, 2010; Van der Hart, Witztum, & Friedman, 1993). Of traumatic origin, this type of clinical picture where psychotic and dissociative symptoms are intertwined was first described more than a century ago (Janet & Raymond, 1898) but disappeared in the 30’s, having been incorporated to the concept of "schizophrenia" (Rosenbaum, 1980). It is in a new nosographic context that the concept of dissociative schizophrenia resurfaced. Indeed, psychiatric nosography took a turn in 1980 when the approach advocated by the DSM became descriptive rather than based on psychoanalytic conceptualizations. The psychiatric conditions of the time were divided into disorders whose symptoms tended to occur together (Cooper, 2004). Consequently, the presence of comorbid disorders increased. Given the frequently reported co-occurrence of psychotic and dissociative disorders, the phenomenological similarity of their symptoms and their potential traumatic etiology, Ross (2004) proposed a criteria set for the diagnosis of dissociative schizophrenia. The main objective of this thesis is to determine whether the dissociative schizophrenia, as defined by Ross (2004), exists. The first article focuses on the problem and the theoretical background that led to the research question. It aims at providing an overview of the issues surrounding the question of dissociative schizophrenia. It also reports on the literature pertaining to symptoms found in both psychotic and dissociative disorders, their traumatic etiology and studies on dissociation and schizophrenia. The second article is of empirical nature and reports the methodology used to answer the research question. Indeed, no study to date has systematically tested the criteria for dissociative schizophrenia. Our results show that 24 % of our sample (N = 50) could receive a diagnosis of schizophrenia with dissociative criteria proposed by Ross (2004). However, the criteria set was problematic so a modification was proposed and a prevalence of 14% was then found. Clinical vignettes are presented to compare our participants with those reported elsewhere. The links between psychotic and dissociative symptoms are discussed in trying to conceptualize dissociative schizophrenia in different ways, either as a new clinical entity, as a comorbid disorder or in a psychodynamic nosographic context.
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Schizophrénie et dépression : Recours aux services avant et après une hospitalisation pour tentative de suicide

Routhier, Danielle 09 1900 (has links)
Contexte : Une tentative de suicide antérieure et les troubles mentaux constituent d’importants facteurs de risque de suicide. Les services de santé ont un rôle important à jouer en matière de prévention. Objectif : Analyser les patrons de recours aux services à des fins de santé mentale avant et après une hospitalisation pour tentative de suicide chez les résidents montréalais qui ont reçu un diagnostic de schizophrénie ou de dépression. Méthode : Les données proviennent de la banque médico administrative jumelée de l’Agence de Montréal. Les caractéristiques des patients et les taux de contacts avec les services trois mois avant et après l’hospitalisation index furent comparées. L’échantillon représentatif compte 525 Montréalais hospitalisés à la suite d’une tentative de suicide (avr. 2003-déc. 2004) qui ont reçu un diagnostic de schizophrénie ou de dépression. Résultats : Le recours aux services a augmenté de manière significative suivant l’hospitalisation index. Les patients déjà en contact avec les services et les hommes avec comorbidité en termes d’abus de substances semblent en contact avec les services au cours des trois mois suivant leur hospitalisation contrairement aux femmes avec comorbidité. Le profil « urgence » de recours aux services semble prédire une absence de recours aux services. Conclusions : Les services de santé répondent aux tentatives de suicide, particulièrement chez les hommes avec troubles d’abus de substances. Cependant, des interventions sont requises en vue d’améliorer la coordination des services, principalement pour les personnes qui se présentent l’urgence, les femmes avec troubles d’abus de substances et les patients en marge du système avant leur hospitalisation. / Background: Mental health disorders and suicide attempts are important risk factors for suicide. Health care services have an important role to play in preventing these deaths. Objective: To analyze patterns of service use for a mental health purpose before and after a hospitalisation following a suicide attempt among Montreal’s residents diagnosed with schizophrenia or depression. Method: Data was taken from the linked administrative database of the Montreal’s Agency. Patient’ characteristics and contacts rates with services three months before and after the index hospitalisation were compared. The representative sample includes all 525 patients living in Montreal, who were hospitalised following a suicide attempt (Apr. 2003-Dec. 2004) and who were diagnosed with schizophrenia or depression. Results: Intensity of care increased significantly after the index hospitalisation. Patients in contact with services before and comorbidity of substance abuse disorder among men predicted a contact with services for a mental health purpose three months after the index hospitalisation contrary to women with comorbidity. Besides, the emergency room profile of service use predicted a lack of service utilisation. Conclusions: Health services respond to suicide attempts, including in men with substance abuse. However, there is an opportunity for increased aftercare coordination for suicidal individuals, in particular for those presenting at the emergency room, those with no previous contact with services and for women with substance abuse.
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La détresse psychologique et les problèmes cardiovasculaires chez les travailleurs: une étude transversale de la comorbidité

Lapointe, Sandra 08 1900 (has links)
L’objectif principal de ce mémoire consiste à déterminer s’il existe une association entre la détresse psychologique et les problèmes cardiovasculaires chez les travailleurs, suite à l’influence de certains facteurs professionnels. Les données proviennent de l’Enquête sur la santé dans les communautés canadiennes (cycle 3.1 de l’ESCC), menée par Statistique Canada en 2005. Notre échantillon est composé de 15 394 canadiens et canadiennes en emploi de 15 ans et plus, représentatif sur le plan de l’âge, du genre et de la distribution géographique du lieu de résidence. Les analyses de régressions logistiques montrent que quatre facteurs professionnels présentent une association significative avec la détresse psychologique : les demandes psychologiques, la menace de perdre son emploi, le soutien social au travail, la satisfaction au travail. Puis, trois facteurs s’avèrent être reliés au développement de problèmes cardiovasculaires, soit l’utilisation des compétences, la satisfaction au travail ainsi que le nombre d’heures travaillées. Les analyses de variances multiples (MANOVA) révèlent que la détresse psychologique est associée aux problèmes cardiovasculaires et que ces deux problèmes de santé peuvent se retrouver en situation de comorbidité. Selon les résultats, on observe que cinq facteurs sont significativement corrélés à la présence de détresse psychologique en même qu’un problème cardiovasculaire : les demandes psychologiques, la menace de perdre son emploi, le soutien social au travail, la satisfaction au travail ainsi que le nombre d’heures travaillées. Par ailleurs, l’utilisation des compétences, l’autonomie décisionnelle et les exigences physiques de travail ne sont pas significativement associés à la détresse psychologique et à la présence de problèmes cardiovasculaires. / The main objective of this thesis is to determine whether there is an association between psychological distress and cardiovascular problems among workers, due to the influence of certain professional factors. The data came from the Canadian Community Health Survey (cycle 3.1 of CCHS), conducted by Statistics Canada in 2005. Our sample consists of 15 394 employed Canadians aged 15 and over, representative of age, gender and geographic distribution of place of residence. The logistic regression analysis showed that four professional factors have a significant association with psychological distress: psychological demands, job insecurity, social support at work, and job satisfaction. In addition, three factors appear to be related to the development of cardiovascular problems; the use of skills, job satisfaction, and the number of hours worked. The multiple analysis of variance (MANOVA) showed that psychological distress is associated with cardiovascular problems and that these two health problems may be apparent in situations of comorbidity. According to the results, we find that five factors present a significant correlation between the presence of psychological distress and a cardiovascular problem: psychological demands, job insecurity, social support at work, job satisfaction and the number of hours worked. However, the use of skills, decisional authority at work and physical demands of work are not significantly associated with psychological distress and the presence of cardiovascular problems.
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Électrophysiologie cognitive et motrice du syndrome Gilles de la Tourette

Thibault, Geneviève January 2009 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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La schizophrénie dissociative : nouvelle entité clinique, trouble comorbide ou autres considérations nosographiques

Laferrière-Simard, Marie-Christine 03 1900 (has links)
L’existence d’un sous-type dissociatif de schizophrénie a été suggérée par plusieurs auteurs pour rendre compte des présentations symptomatologiques d’un groupe de personnes dont le diagnostic principal est dans le spectre de la schizophrénie mais qui présentent aussi des symptômes dissociatifs (Ross, 2004; Şar et al., 2010; Van der Hart, Witztum, & Friedman, 1993). D’origine traumatique, ce type de portrait clinique où symptômes psychotiques et dissociatifs s’entremêlent aurait été décrit il y a déjà plus d’un siècle (Janet & Raymond, 1898) mais serait disparu dans les années ’30, assimilé au concept de « schizophrénie » (Rosenbaum, 1980). C’est dans un nouveau contexte nosographique que le concept de schizophrénie dissociative refait surface. En effet, la nosographie psychiatrique a pris un tournant en 1980 lorsque l’approche préconisée par le DSM est devenue descriptive plutôt que basée sur des conceptualisations psychanalytiques. Du coup, les affections d’alors ont été divisées en troubles dont les symptômes ont tendance à se manifester ensemble (Cooper, 2004) et la comorbidité entre les troubles a augmenté. Étant donné la comorbidité fréquemment rapportée entre les troubles psychotiques et dissociatifs, la similarité phénoménologique de leurs symptômes, ainsi que leur possible étiologie traumatique, Ross (2004) a proposé une série de critères permettant de diagnostiquer une schizophrénie dissociative. L’objectif principal de cette thèse est donc d’établir si la schizophrénie dissociative, telle que définie par Ross (2004), existe. Le premier article porte sur la problématique et le contexte théorique ayant mené à la question de recherche. Il vise à faire un survol des enjeux entourant la question de la schizophrénie dissociative et rend compte des écrits scientifiques sur la symptomatologie similaire entre les troubles psychotiques et dissociatifs, sur leur étiologie traumatique et sur les études sur la dissociation et la schizophrénie. Le deuxième article est quant à lui un article empirique rendant compte de la méthodologie utilisée pour répondre à la question de recherche. En effet, aucune étude jusqu’ici n’a testé systématiquement les critères de la schizophrénie dissociative. Nos résultats démontrent que 24% de notre échantillon (N=50) pourrait recevoir le diagnostic de schizophrénie dissociative avec les critères proposés par Ross (2004). Toutefois, ces critères posant problème, une modification a été proposée et une prévalence de 14% a alors été trouvée. Des vignettes cliniques sont présentées afin de comparer nos participants avec ceux rapportés ailleurs. Les liens entre symptômes psychotiques et dissociatifs sont discutés en essayant de conceptualiser la schizophrénie dissociative de différentes manières, soit comme une nouvelle entité clinique, comme un trouble comorbide ou dans un contexte nosographique psychodynamique. / The existence of a dissociative subtype of schizophrenia has been suggested by several authors to account for the symptomatology of a group of people whose primary diagnosis is in the schizophrenia spectrum but have in addition dissociative symptoms (Ross, 2004; Sar et al, 2010; Van der Hart, Witztum, & Friedman, 1993). Of traumatic origin, this type of clinical picture where psychotic and dissociative symptoms are intertwined was first described more than a century ago (Janet & Raymond, 1898) but disappeared in the 30’s, having been incorporated to the concept of "schizophrenia" (Rosenbaum, 1980). It is in a new nosographic context that the concept of dissociative schizophrenia resurfaced. Indeed, psychiatric nosography took a turn in 1980 when the approach advocated by the DSM became descriptive rather than based on psychoanalytic conceptualizations. The psychiatric conditions of the time were divided into disorders whose symptoms tended to occur together (Cooper, 2004). Consequently, the presence of comorbid disorders increased. Given the frequently reported co-occurrence of psychotic and dissociative disorders, the phenomenological similarity of their symptoms and their potential traumatic etiology, Ross (2004) proposed a criteria set for the diagnosis of dissociative schizophrenia. The main objective of this thesis is to determine whether the dissociative schizophrenia, as defined by Ross (2004), exists. The first article focuses on the problem and the theoretical background that led to the research question. It aims at providing an overview of the issues surrounding the question of dissociative schizophrenia. It also reports on the literature pertaining to symptoms found in both psychotic and dissociative disorders, their traumatic etiology and studies on dissociation and schizophrenia. The second article is of empirical nature and reports the methodology used to answer the research question. Indeed, no study to date has systematically tested the criteria for dissociative schizophrenia. Our results show that 24 % of our sample (N = 50) could receive a diagnosis of schizophrenia with dissociative criteria proposed by Ross (2004). However, the criteria set was problematic so a modification was proposed and a prevalence of 14% was then found. Clinical vignettes are presented to compare our participants with those reported elsewhere. The links between psychotic and dissociative symptoms are discussed in trying to conceptualize dissociative schizophrenia in different ways, either as a new clinical entity, as a comorbid disorder or in a psychodynamic nosographic context.
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La labilité émotionnelle est-elle un facteur de sévérité du Trouble Déficit de l’Attention Hyperactivité ? / Is emotional lability a severity factor in Attention Deficit Hyperactivity Disorder?

Maire, Jenna 15 December 2016 (has links)
Le Trouble Déficit de l’Attention Hyperactivité (TDAH) est un trouble du neurodéveloppement associant des symptômes d’inattention, d’hyperactivité et/ou d’impulsivité. Fréquemment, le tableau clinique est marqué par une labilité émotionnelle pouvant se manifester sous différentes formes jusqu’à parfois s’agencer en un véritable syndrome : le Trouble Disruptif avec Dysrégulation Emotionnelle, récemment inclus dans le DSM-5. La labilité émotionnelle est-elle un symptôme du TDAH ou de troubles comorbides ? Est-elle caractéristique d’un tableau clinique du TDAH ? Ce travail de thèse propose d’étudier le profil psychopathologique associé à la labilité émotionnelle sous différentes approches, catégorielle et dimensionnelle, et à deux périodes clés du développement de l’enfant atteint de TDAH, l’âge préscolaire et l’âge scolaire. Quatre études composent ce travail de thèse : les trois premières en milieu clinique et la dernière en population générale. Les résultats ont indiqué que la labilité émotionnelle d’un point de vue dimensionnel mais également catégoriel au travers du diagnostic de Trouble Disruptif avec Dysrégulation Emotionnelle, était associée à des symptômes plus sévères et un retentissement fonctionnel plus important à l’âge préscolaire et scolaire. L’approche dimensionnelle s’est montrée plus pertinente pour identifier les enfants avec labilité émotionnelle ayant des besoins spéciaux de prises en charge au-delà de celle du TDAH. De plus, la labilité émotionnelle et l’irritabilité ont semblé être associées à des tableaux cliniques différents. Ces résultats suggèrent l’intérêt de l’évaluation de la labilité émotionnelle et des manifestations associées dans le diagnostic du TDAH chez l’enfant. Une approche clinique fine, à la fois quantitative et qualitative, semble prometteuse dans la prévention des formes prodromiques de TDAH et dans le pronostic de ce trouble afin de proposer des interventions adaptées afin d’infléchir de potentielles trajectoires développementales à risques. / Attention Deficit Hyperactivity disorder is a neurodevelopmental disorder characterized by inattentive, hyperactive and/or impulsive symptoms. Emotional lability is frequently associated with the disorder. It can cover several manifestations. These manifestations are sometimes that serious that there are parts of a disorder: the Disruptive Mood Dysregulation Disorder recently added to the DSM-5. Is emotional lability a core symptom of ADHD or one of a comorbid disorder? Is it featured with different symptoms and functional impairment in children with ADHD? This PhD work tried to provide elements to respond to these questions assessing the psychopathological profile associated with emotional lability as a categorical and dimensional feature at two crucial developmental periods: the preschool and the school aged. Four studies are part of this PhD work: three in clinical population and one in general population. Results emphasized that emotional lability is associated with more severe symptoms and functional impairment in both preschool a school aged children. Results were similar when emotional lability was assessed as a dimensional feature and as a categorical feature. Nevertheless, the dimensional approach of emotional lability seemed relevant identifying children with ADHD and emotional lability that were at special need for interventions, beyond the ADHD one. Moreover, emotional lability and irritability seemed associated with different clinical outcomes. These results suggested the value of the emotional lability assessment and of its others manifestations in the ADHD diagnosis in children. A qualitative and quantitative approach seems promising in preventing prodromal ADHD and in its prognostic. This might serve targeting adapted interventions in order to inflect potential harmful developmental trajectories.

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