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Les États-Unis face à l'intervention de la Chine communiste en Corée de novembre 1950 : l'attitude du Congrès

Lejeune, Vanessa 12 April 2018 (has links)
Si l'accueil réservé à la conduite initialement déployée par le gouvernement Truman en Corée à la suite de l'invasion de la Corée du Sud par les forces nord-coréennes en juin 1950 se veut largement favorable, il en va tout autrement lorsque le leader communiste chinois Mao Tse-tung dépêche, à la fin novembre, ses troupes au-delà du fleuve Yalou. Les États-Unis subissent dès lors l'une des pires défaites militaires de leur histoire. Face à une telle situation, les membres du Congrès américain ne tardent pas à réagir. Le présent mémoire cherche principalement à comprendre l'attitude adoptée, consécutivement à cette attaque, par les législateurs, républicains et démocrates, siégeant entre la fin novembre 1950 et le 1er mars 1951. Une consultation attentive du Congressional Record nous a permis de constater que parmi les membres du Congrès qui s'expriment au lendemain de la riposte communiste, la plupart se révèlent insatisfaits et mécontents de l'implication du président Truman, du Département d'État et du secrétaire Acheson. Plusieurs parlementaires, en outre, ne manquent alors pas de critiquer l'Organisation des Nations unies.
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The DPRK in China's post-cold war foreign policy - a neoclassical realist analysis

Huard, Christine 04 1900 (has links)
Avec l’échec des négociations entre les États-Unis et la Corée du Nord, menées depuis le début des années 1990, sur la question du nucléaire, le problème est devenu graduellement l’affaire des pays voisins, tous soucieux de l’avenir de la région du sud-est asiatique. Présentée comme le seul allié de la Corée du Nord, la China a été invitée à participer à des négociations à trois, à quatre (1997-1998), et à six (2003-2007), dans l’espoir de faire entendre raison au régime isolé, mais jusqu’à maintenant, aucune des tentatives n’est parvenue à satisfaire chacun des membres à la table. Alors que la tension monte et que la politique américaine se fait de moins en moins flexible, la Chine quant à elle, continue d’encourager le retour des négociations à six (Six-Party Talks) dans l’optique de dénucléariser la péninsule coréenne, tout en travaillant à maintenir ses liens avec la Corée du Nord. Le fil conducteur de cette présente recherche est d’abord d’essayer de comprendre pourquoi la Chine continue de soutenir la Corée du Nord, fournissant dons alimentaires et financiers. L’idée est donc d’analyser, selon les principes du réalisme néoclassique, la politique étrangère de la Chine. L’hypothèse principale de cette théorie renvoie à l’idée que la distribution du pouvoir dans le système international influence la politique étrangère des États, mais que des variables au niveau de l’état et/ou de l’individu interviennent dans la formulation et l’application de celle-ci. Il est proposé ici que le lien entre l’unipolarité du système international et la politique nord-coréenne de la Chine, est façonné par des variables intermédiaires telles que : a) la perception des leaders de la distribution du pouvoir et de leur place dans le système international; b) l’idéologie du régime politique, et; c) le type d’unité responsable de la prise de décision en politique étrangère. L’analyse de chacune des variables permettra de faire la lumière sur les intérêts politiques et économiques de la Chine dans l’entretien de cette relation avec la Corée du Nord. / Since the bilateral negotiations between the United States and the Democratic People’s Republic of Korea (DPRK) on the denuclearization of the Korean peninsula failed to produce any effective outcome in the 1990s, China was brought to the table and agreed to play its part as a mediator in the Four Party Talks (1997-1998) between both Koreas and the United States, as well as in the Six-Party Talks (2003-2007), with the addition of Russia and Japan as negotiators. While the American policies toward the DPRK have taken a tough and inflexible turn with former President George W. Bush declaring, at the end of January 2002, that North Korea, Iran, and Iraq “constitute an axis of evil arming to threaten the peace of the world”, China’s DPRK policy, however, reflects long-lasting terms of friendship and collaboration between the two countries. With concerns mounting over the aggressive policies of the North Korean regime and its determination to keep its nuclear arsenal, the question is: why does China insist on preserving its good ties with its neighbour, even when those policies are said to hinder its political and economical interests? To address this question, the theoretical framework of neoclassical realism will be tested within a three-level – systemic, state, and individual level – analysis, with consideration of the propositions that the relative distribution of power shapes China’s North Korea policy, and intervening variables at the state and individual levels are filtering the systemic pressures and thus, shaping decisions related to North Korea. These variables include: a) leadership’s perception of power; b) regime type and ideology, and; c) type of foreign policy decision-making unit. This in-depth analysis will then provide grounds in defining China’s core interests in backing up the secluded regime.
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Organiser le maintien à domicile des personnes âgées dépendantes : une comparaison du travail des professionnels en France et en Corée / Organizing home welfare services for the dependent elderly : a comparative study on the work of "second line" professionals in gerontology in France and Korea

Park, Haemi 03 December 2013 (has links)
Avec l'instauration, en 2002 en France, de l'Allocation Personnalisée à l'Autonomie (APA), et en 2008 en Corée, du dispositif Long Term Care (LTC), la prise en charge de la dépendance de la population âgée s'affirme comme un enjeu majeur de la politique sociale contemporaine de ces deux pays confrontés au phénomène du vieillissement démographique. En dépit de contextes démographiques, historiques, culturels, politiques, économiques et sociaux contrastés, ces deux pays ont en commun de mettre en place, pour faire face aux besoins des personnes âgées, des dispositifs dont les logiques d'action paraissent proches ou sensiblement similaires. En adoptant une optique comparative entre la France et la Corée, cette thèse cherche à mettre en regard le travail des professionnels socio-gérontologiques chargés de la mise en œuvre de ces dispositifs en faveur de la population âgée dite dépendante à domicile. Pour cela les procédures mises en place dans le cadre de l'APA en France et du LTC en Corée et la manière dont l'accompagnement socio-médical des personnes âgées dépendantes à domicile s'y organise ont été étudiées. Tant en France qu'en Corée, les professionnels qui interviennent pour assurer le maintien à domicile des personnes âgées dépendantes sont multiples ; les uns travaillent en "première ligne" (aides à domicile, auxiliaires de vie, aides soignants, infirmiers) et les autres, chargés de la coordination et de l'encadrement des précédents, en "seconde ligne". Elle traite également de la nécessaire - et difficile - coordination entre ces professionnels et des logiques, parfois divergentes et conflictuelles, qui sous-tendent leurs actions dans des réalités organisationnelles complexes. L'observation a été effectuée sur un territoire circonscrit dans chacun des deux pays : Lille-Hellemmes pour la France et Cheongju-Cheongwon pour la Corée. / With the establishment of the Individual Public Allowance for Autonomy (APA) in France in 2002 and the Long Term Care (LTC) insurance in Korea in 2008, the management and the support for the dependence of the elderly population became a major issue of contemporary social policy in these two nations faced with the phenomenon of aging. Despite demographic, historical, cultural, political, economical and social contrasting contexts, they have installed devices in common with modes that appear close or substantially similar to cope with the increasing needs of the elderly. By adopting a comparative approach between France and Korea, this thesis sought to analyze the work of social gerontological professionals in charge of these devices for the elderly dependent who stay at home. For this, the application procedure of the APA in France and the LTC in Korea and the organization of the socio-medical asistance for the dependent elderly at home were studied. In both France and Korea, the professionals who are involved with the home care services are multiple. Some are working in the "front line" (home helpers, care assistance, home nurses) and others are occupied with the coordination, the supervision/organization of the foregoing (front line workers) in the "second line". This research focuses on the impact of devices which are placed on the work of professionals, especially those who are concerned with various tasks in the second line and their necessary - and difficul t- coordination. How the different policies and the strategic relationship between these various participating professionals sometimes diverge and how the conflicts intrinsic to their actions and practice within complex organizational realities are settled were investigated and explored. The observation was carried out in one area within each country : Hellemmes-Lille in France and Cheongju-Cheongwon in Korea.
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Les relations de la Corée du Sud et les pays d'Asie du Sud-Est. Quelle stratégie pour une puissance moyenne ? / The Relationships Between South Korea and Southeast Asian Countries. Which Strategy for a Middle Size Power ?

Leveau, Arnaud 22 June 2012 (has links)
Au cours de cette étude, nous avons cherché  à déterminer le niveau et les moyens de la puissance sud-coréenne. Nous nous sommes demandés si la Corée du Sud ne pourrait pas se présenter comme un État pivot capable de faire le lien entre des états ou des partenaires antagonistes, aussi bien en Asie du Nord-Est qu’en Asie du Sud-Est. Aussi après avoir examiné les moyens de la puissance sud-coréenne nous avons conclu que le pays était une puissance moyenne traditionnelle n’ayant pas encore acquis le statut de puissance régionale et qu’en ce sens elle constituait une puissance atypique. Confrontée aux trois grandes puissances que sont la Chine, les Etats-Unis et le Japon, la Corée du Sud ne dispose que d’une marge de manœuvre très étroite pour affirmer sa présence internationale. Le développement de sa présence en Asie du Sud-Est est donc devenu en l’espace de quelques années un impératif de sa politique étrangère du pays. A l’instar du Japon d’après-guerre, le Sud-Est asiatique constitue une aire d’apprentissage privilégiée pour la diplomatie sud-coréenne et pour son action extérieure. / In this study, we tried to determine the exact level and means of the South Korean power. We wondered if South Korea could present itself as a pivotal state that is able to bridge antagonistic partners, both in Northeast and Southeast Asia. After considering the aspects of the South Korean power we concluded that the country is a traditional middle size power that has not yet acquired the status of regional power. In that sense the country is an untypical power. Facing three major powers such as China, the United States and Japan, South Korea has only a very narrow latitude to establish its international presence. Therefore developing its presence in Southeast Asia has become in just a few years an priority of its foreign Policy. For South Korea Southeast Asia is a privileged place where to learn and to develop its own external action, like it was for the post war Japan. Eventually, a unified Korea with the North Korean nuclear arsenal could weigh as much as demographically declining Japan. However as long as the anachronism of the separation will remain, South Korea will continue to grow alone regionally and in the international stage and will seek for external alliances.
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L'impact de l'efficacité du transport urbain sur la productivité de la ville

Lee, Chang-Woon 01 June 1997 (has links) (PDF)
Cette thèse veut faire connaître le lien entre la productivité des villes et 2 éléments : la taille de l'agglomération et ses infrastructures. Pour expliquer la productivité, la taille du marché de l'emploi et l'efficacité des transports urbains sont intégrés. L'objectif de cette recherche est donc double. Il consiste non seulement à contribuer à une meilleure connaissance de ce que représente la taille du marché de l'emploi pour la productivité de la ville et à évaluer les facteurs explicatifs de la taille du marché de l'emploi de la ville, mais aussi à mettre en lumière la contribution de l'efficacité des transports urbains à la productivité de la ville. Les cas de Paris, Londres et de trois villes coréennes dont Séoul sont étudiés. Les 3 éléments que constituent la taille de la ville, la localisation relative des emplois aux résidences des travailleurs et l'efficacité des transports urbains sont considérés comme les facteurs principaux déterminant la taille effective de leur marché de l'emploi. Ces 3 éléments sont vérifiés par des indicateurs appliqués aux cas des villes étudiées. L'approche est résolument quantitative (étude statistique et analyses économétriques), les indicateurs proposés concernent la vitesse moyenne des déplacements urbains - indicateur de l'efficacité des transports urbains, la distance potentielle moyenne domicile-travail - indicateur de la localisation relative des emplois au lieu de résidence des travailleurs. Ces indicateurs servent à tester le rôle de l'efficacité des transports urbains et celui de la taille du marché de l'emploi sur la productivité de la ville, ils sont ensuite comparés sur les 2 agglomérations internationales citées. Les villes de Paris et Séoul sont ensuite comparées entre elles : elles ont une densité démographique comparable, mais les niveaux de qualité de leurs systèmes de transports et de leur productivité s'avèrent très différents.
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The DPRK in China's post-cold war foreign policy - a neoclassical realist analysis

Huard, Christine 04 1900 (has links)
Avec l’échec des négociations entre les États-Unis et la Corée du Nord, menées depuis le début des années 1990, sur la question du nucléaire, le problème est devenu graduellement l’affaire des pays voisins, tous soucieux de l’avenir de la région du sud-est asiatique. Présentée comme le seul allié de la Corée du Nord, la China a été invitée à participer à des négociations à trois, à quatre (1997-1998), et à six (2003-2007), dans l’espoir de faire entendre raison au régime isolé, mais jusqu’à maintenant, aucune des tentatives n’est parvenue à satisfaire chacun des membres à la table. Alors que la tension monte et que la politique américaine se fait de moins en moins flexible, la Chine quant à elle, continue d’encourager le retour des négociations à six (Six-Party Talks) dans l’optique de dénucléariser la péninsule coréenne, tout en travaillant à maintenir ses liens avec la Corée du Nord. Le fil conducteur de cette présente recherche est d’abord d’essayer de comprendre pourquoi la Chine continue de soutenir la Corée du Nord, fournissant dons alimentaires et financiers. L’idée est donc d’analyser, selon les principes du réalisme néoclassique, la politique étrangère de la Chine. L’hypothèse principale de cette théorie renvoie à l’idée que la distribution du pouvoir dans le système international influence la politique étrangère des États, mais que des variables au niveau de l’état et/ou de l’individu interviennent dans la formulation et l’application de celle-ci. Il est proposé ici que le lien entre l’unipolarité du système international et la politique nord-coréenne de la Chine, est façonné par des variables intermédiaires telles que : a) la perception des leaders de la distribution du pouvoir et de leur place dans le système international; b) l’idéologie du régime politique, et; c) le type d’unité responsable de la prise de décision en politique étrangère. L’analyse de chacune des variables permettra de faire la lumière sur les intérêts politiques et économiques de la Chine dans l’entretien de cette relation avec la Corée du Nord. / Since the bilateral negotiations between the United States and the Democratic People’s Republic of Korea (DPRK) on the denuclearization of the Korean peninsula failed to produce any effective outcome in the 1990s, China was brought to the table and agreed to play its part as a mediator in the Four Party Talks (1997-1998) between both Koreas and the United States, as well as in the Six-Party Talks (2003-2007), with the addition of Russia and Japan as negotiators. While the American policies toward the DPRK have taken a tough and inflexible turn with former President George W. Bush declaring, at the end of January 2002, that North Korea, Iran, and Iraq “constitute an axis of evil arming to threaten the peace of the world”, China’s DPRK policy, however, reflects long-lasting terms of friendship and collaboration between the two countries. With concerns mounting over the aggressive policies of the North Korean regime and its determination to keep its nuclear arsenal, the question is: why does China insist on preserving its good ties with its neighbour, even when those policies are said to hinder its political and economical interests? To address this question, the theoretical framework of neoclassical realism will be tested within a three-level – systemic, state, and individual level – analysis, with consideration of the propositions that the relative distribution of power shapes China’s North Korea policy, and intervening variables at the state and individual levels are filtering the systemic pressures and thus, shaping decisions related to North Korea. These variables include: a) leadership’s perception of power; b) regime type and ideology, and; c) type of foreign policy decision-making unit. This in-depth analysis will then provide grounds in defining China’s core interests in backing up the secluded regime.
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L’influence de la résurgence des questions mémorielles sur la représentation du Japon dans les blockbusters sud-coréens : analyse de la répétition de l’Histoire dans « Fantôme » (1999), « 2009 Lost Memories » (2002) et « Péninsule » (2006) / The influence of the resurgence of memorial issues on the representation of Japan in South Korean blockbusters : analysis of the repetition of History in "Ghost" (1999), "2009 Lost Memories" (2002) and "Peninsula" 2006)

Pasquier, Aurélien 18 May 2017 (has links)
Ce travail explore la figure de la répétition de l’Histoire entre la Corée (du Sud) et le Japon dans plusieurs blockbusters sud-coréens depuis 1998. Les années 1990 qui devaient voir la désintégration de l’État-nation sont celles qui marquent le retour des « nationalismes ethniques ». Ce retour des nationalismes qui suit la fin de l’affrontement des deux blocs se manifeste par une résurgence des questions mémorielles entre la Corée du Sud et le Japon. Dans notre première partie, nous analysons comment les problèmes liés à la colonisation qui ressurgissent dès le début des années 1990 transforment le Japon en nouvel « ennemi national » de la Corée du Sud, au moment où les relations entre les deux pays se développent et que la consommation des produits culturels de l’autre est sans précédent. La réaffirmation de l’État dans certains secteurs qui accompagne le nationalisme sud-coréen des années 1990 se concrétise par la mise en place de politiques en faveur du développement de l’industrie cinématographique nationale. L’alliance de l’État et de plusieurs chaebol (conglomérats sud-coréens) permet à l’industrie cinématographique sud-coréenne de redevenir populaire grâce à la production de blockbusters sud-coréens. Après avoir mis en évidence la proximité existante entre les superproductions hollywoodiennes, chinoises, argentines et les superproductions sud-coréennes, nous établissons l’existence de ce que nous nommons une « Aura nationale » au centre de la consommation de ces films et qui permet de les considérer comme des films nationaux, car malgré son caractère fictif, la nation a une réalité effective sur les populations des États-nations. Ayant mis en évidence que les blockbusters sud-coréens qui mettent en scène l’histoire nationale sont devenus le miroir du spectacle national et nous consacrons notre dernière partie à la représentation de la répétition de l’Histoire dans les trois films au centre de notre problématique. L’analyse de ces trois superproductions nous permet de comprendre que la lutte pour défendre l’histoire nationale dans la résurgence des questions mémorielles s’inscrit, à l’image de Louis Bonaparte décrit par Karl Marx, dans les luttes passées pour la défense de la souveraineté nationale. / This work explores the pattern of the repetition of the history between (South) Korea and Japan in several South Korean blockbusters since 1998. The 1990s, which was prophetised to mean the disintegration of the nation-state, marked the return of "ethnic nationalisms". The comeback of nationalisms that follows the end of the confrontation of the two blocs is manifested in the case of South Korea and Japan by a resurgence of memorial issues between the two countries. In the first part, we analyze how the issues from the colonial period that reappeared in the early 1990s transformed Japan into the new "national enemy" of South Korea at a time when relations between the two countries are developing and the consumption of cultural goods producted by the other side is unprecedented. The reaffirmation of the state in certain sectors that accompanies the South Korean nationalism of the 1990s is realized, among other things, by the establishment of policies in favor for the development of the national film industry. The alliance of the state and several chaebol (South Korean family conglomerates) allows the South Korean film industry to regain popularity through the production of South Korean blockbusters. After brought to light the proximity between Hollywood, Chinese, Argentinean blockbusters and South Korean blockbusters, we establish the existence of what we call a "national aura" at the center of the consumption of these films and which makes it possible to consider them as national films, for in spite of its fictitious character, the nation has real effects on the populations of the nation-states. The South Korean blockbusters staging the national history have become the mirror of the national spectacle and we devote our last part to the representation of the repetition of history in the three films at the center of our problematic. The analysis of the films allows us to understand that the struggle to defend national history in the resurgence of memorial issues is staged, like Louis Bonaparte described by Karl Marx, in the past struggles for the defense of sovereignty National level.
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Les débuts du cinéma en Corée : entre projection et spectacle vivant

Kang, Chang Il 10 November 2018 (has links)
Cette recherche est une étude sur les débuts de l'histoire du cinéma en Corée des premières projections de films dans ce pays jusqu'en 1935, année pendant laquelle les Coréens ont commencé à produire des films parlants. Dans la première partie, nous avons étudié l’arrivée du cinéma en Corée, quand et par qui il a été introduit dans ce pays. Puis, quels films ont été vus par le public coréen et quels effets ils ont produits sur ce public.Dès les premiers temps du cinéma, chaque région du monde a essayé de surmonter les manques du film muet. Aussi, la deuxième partie s’intéresse à la particularité de la projection des premiers films muets en Corée. Le mot « spectacle cinématographique » se réfère, d’abord, à la représentation de films dans les premiers temps des débuts du cinéma. Le spectacle cinématographique sous-entend la possibilité d’un accompagnement supplémentaire, surtout sonore. En effet, les premiers films étaient « muets » et le moyen de mettre du son sur la pellicule n’avait pas encore été trouvé. De plus, souvent, il y avait aussi un concert ou un court spectacle secondaire (clown, bonimenteur, etc.) pendant, avant ou même après la projection des films. Cet ensemble autour de la projection de films représentait un véritable « spectacle cinématographique ». Nous avons étudié ce spectacle mixte présenté depuis 1919 à Séoul en Corée, et qui combine concert, projections de films, théâtre occidental moderne et boniment appelé Chosŏn Sinp'a Hwaltong Yŏnswaegŭk ou Chosŏn Kino-drama.Dans la troisième partie, nous avons présenté et analysé les données sur les films muets coréens dont nous avons pu retrouver les traces. / This research is a study of the history of cinema in Korea from the first motion pictures screenings until 1935, the year in which Koreans began making their talking films.In the first part, we study the arrival of cinema in Korea, when and by whom was the motion picture introduced in this country. Then, what films were seen by the Korean public and what effects they had on this audience. From the early times of cinema, the diverse regions of the world have tried to overcome the lack of the silent motion picture. The second part is focused on the specificity of the first silent motion pictures screenings in Korea. The Spectacle cinématographique can refer to the form of the representation of the motion pictures in the early days of cinema. The word Spectacle cinématographique implies the possibility of an additional accompaniment, especially the sound. The first films were "silent" and the way of putting sound on films had not been found yet. At that time, there was a concert or a short secondary show (clown, pitch, etc.) during, before or even after the screening of the films. We study the Spectacle cinématographique called Chosŏn Sinp'a Hwaltong Yŏnswaegŭk or Chosŏn Kino-drama which was presented since 1919 in Korea that combines the pitch, the concert, the modern western theater and the motion pictures screenings.In the third part, we report all the data concerning silent Korean films of which we still found the traces.
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“I didn’t have time to find the English words”: The Korean War’s Role in the Evolution of Bilingualism in the Canadian Armed Forces

Labrosse, Julien January 2016 (has links)
This thesis explores the impact of the Korean War on the evolution of the role of the French language in the Canadian military between 1946 and 1954. It explains how the Korean War acted as both a catalyst for a more accommodating stance towards the French language in the Canadian Armed Forces, and an immediate impediment to the implementation of such changes. Particularly, this thesis explores the conflict that emerged between various officials in the Department of National Defence concerning the place that should be made for the French language, and how best to recruit more French Canadians. It shows that there was serious disagreement between the Minister of National Defence, Brooke Claxton, who wanted more bilingualism in the Canadian military, and the Chief of General Staff, General Guy G. Simonds, who resisted further concessions to francophones. Moreover, this thesis reveals the extent to which there was goodwill within the Canadian Armed Forces on the part of both anglophones and francophones on the frontline in Korea. This constituted the basis on which the Department of National Defence was able to begin the process of implementing a more bilingual system. In this respect, this thesis shows the Canadian military to have been ahead of the federal Civil Service.

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