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L'articulation entre le rapport de Socrate aux dieux et son rapport à la raison : le cas du signe divin

Boustany, Badih 08 1900 (has links)
À très peu de philosophes l’histoire de la pensée occidentale a accordé une place aussi significative qu’à Socrate : nous apprenons tout naturellement à l’édifier comme héros de la rationalité et à reconnaître en lui la figure même du philosophe critique. À plusieurs égards, cette représentation élogieuse nous paraît justifiée, bien que, d’un autre point de vue, elle puisse nous faire sombrer dans la confusion, dès lors que notre regard porte simultanément, et comme pour produire un contraste, sur l’image d’un Socrate se soumettant au daimonion, son étrange signe divin. Comment pouvons-nous justifier, à partir du corpus platonicien, à la fois l’engagement de Socrate vis-à-vis de la rationalité et sa soumission à un phénomène en apparence irrationnel ? De cette question troublante est née la présente étude qui se consacre donc au problème de l’articulation entre le rapport de Socrate aux dieux et son rapport à la raison critique. Plus précisément, nous avons cherché à déterminer s’il existait, sur le plan épistémologique, une hiérarchie entre le daimonion et la méthode d’investigation rationnelle propre à Socrate, l’elenchos. Une telle étude exégétique nécessitait, dans un premier temps, une analyse systématique et approfondie des quelques passages sur le signe divin. Nous avons ensuite exposé deux solutions paradigmatiques au problème du double engagement contradictoire de Socrate, celle de G. Vlastos ainsi que celle de T.C. Brickhouse et N.D. Smith. Enfin, nous avons augmenté cette seconde partie d’un examen spécifique du Phèdre et du Timée, de même que d’un survol des modes de divination pour satisfaire un triple objectif : situer le signe divin en regard de la mantique traditionnelle, déterminer le rôle attribué par Platon à la raison dans le processus divinatoire, et être ainsi en mesure de trancher notre question principale. / To very few philosophers the history of the Western thought granted a place as significant as to Socrates: we quite naturally learn how to identify him as a hero of rationality and to recognize in him the very figure of the critical philosopher. In several respects, this representation of praise appears justified to us, although, from another point of view, it can make us sink in confusion, since our glance carries simultaneously, and like producing a contrast, on the image of Socrates obeying to the daimonion, his uncanny divine sign. How can we justify, starting from the Platonic corpus, both the engagement of Socrates with respect to rationality and his subordination to a seemingly irrational phenomenon? From this disconcerting question was born the present study which is thus devoted to the problem of the articulation between the relation of Socrates to the gods and his relation to the critical reason. More precisely, we sought to determine if there existed, on the epistemological level, a hierarchy between the daimonion and the method of rational investigation peculiar to Socrates, the elenchos. Such an exegetic study required, initially, a systematic and thorough analysis of the few passages related to the divine sign. We then adduced two paradigmatic solutions, that of G. Vlastos as well as that of T.C. Brickhouse and N.D. Smith. Lastly, we added to this second part besides a specific examination of Phaedrus and Timaeus, also a broad survey of the modes of divination, satisfying a triple aim: to make sense of the divine sign in comparison with the traditional art of mantic, to determine the role allotted by Plato to the reason in the divinatory process, and thus to be able to solve our principal question.
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Xénophon et la divination

Labadie, Mathieu 08 1900 (has links)
Cette thèse a pour but de dresser un panorama complet des croyances de Xénophon en la divination. À l’aide d’une analyse rigoureuse de la totalité des œuvres de cet auteur antique pendant longtemps déprécié, il ressort que le problème de la consultation des dieux, loin d’être abordé de manière anecdotique et spontanée à la façon d’un legs de la tradition que la pensée critique n’a pas touchée, est au contraire un élément essentiel de la formation d’une réflexion profonde sur la piété et plus généralement les rapports qu’entretiennent les hommes avec les dieux. D’autre part, en raison du zèle de Xénophon à avoir rapporté des récits ou des réflexions à propos de la divination, cette analyse offre l’occasion de mieux comprendre les subtilités de cette pratique rituelle logée au cœur de la religion grecque et qui ne saurait être réduite à une forme de superstition. / This thesis aims to provide a complete overview of the beliefs of Xenophon about divination. Using a rigorous analysis of all the works of this ancient author who has long been depreciated, it seems clear that the problem of the consultation of the gods, far from being addressed incidentally and spontaneously like a traditional legacy that critical thinking has not reached, is on the contrary an essential element in the formation of a deep thinking on piety, and more generally of the relationships between men and gods. On the other hand, due to Xenophon’s zeal to have reported stories or thoughts about divination, this analysis provides an opportunity to a better understanding of the intricacies of this ritual lying at the core of Greek religion and that can not be reduced to a form of superstition.
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L'articulation entre le rapport de Socrate aux dieux et son rapport à la raison : le cas du signe divin

Boustany, Badih 08 1900 (has links)
À très peu de philosophes l’histoire de la pensée occidentale a accordé une place aussi significative qu’à Socrate : nous apprenons tout naturellement à l’édifier comme héros de la rationalité et à reconnaître en lui la figure même du philosophe critique. À plusieurs égards, cette représentation élogieuse nous paraît justifiée, bien que, d’un autre point de vue, elle puisse nous faire sombrer dans la confusion, dès lors que notre regard porte simultanément, et comme pour produire un contraste, sur l’image d’un Socrate se soumettant au daimonion, son étrange signe divin. Comment pouvons-nous justifier, à partir du corpus platonicien, à la fois l’engagement de Socrate vis-à-vis de la rationalité et sa soumission à un phénomène en apparence irrationnel ? De cette question troublante est née la présente étude qui se consacre donc au problème de l’articulation entre le rapport de Socrate aux dieux et son rapport à la raison critique. Plus précisément, nous avons cherché à déterminer s’il existait, sur le plan épistémologique, une hiérarchie entre le daimonion et la méthode d’investigation rationnelle propre à Socrate, l’elenchos. Une telle étude exégétique nécessitait, dans un premier temps, une analyse systématique et approfondie des quelques passages sur le signe divin. Nous avons ensuite exposé deux solutions paradigmatiques au problème du double engagement contradictoire de Socrate, celle de G. Vlastos ainsi que celle de T.C. Brickhouse et N.D. Smith. Enfin, nous avons augmenté cette seconde partie d’un examen spécifique du Phèdre et du Timée, de même que d’un survol des modes de divination pour satisfaire un triple objectif : situer le signe divin en regard de la mantique traditionnelle, déterminer le rôle attribué par Platon à la raison dans le processus divinatoire, et être ainsi en mesure de trancher notre question principale. / To very few philosophers the history of the Western thought granted a place as significant as to Socrates: we quite naturally learn how to identify him as a hero of rationality and to recognize in him the very figure of the critical philosopher. In several respects, this representation of praise appears justified to us, although, from another point of view, it can make us sink in confusion, since our glance carries simultaneously, and like producing a contrast, on the image of Socrates obeying to the daimonion, his uncanny divine sign. How can we justify, starting from the Platonic corpus, both the engagement of Socrates with respect to rationality and his subordination to a seemingly irrational phenomenon? From this disconcerting question was born the present study which is thus devoted to the problem of the articulation between the relation of Socrates to the gods and his relation to the critical reason. More precisely, we sought to determine if there existed, on the epistemological level, a hierarchy between the daimonion and the method of rational investigation peculiar to Socrates, the elenchos. Such an exegetic study required, initially, a systematic and thorough analysis of the few passages related to the divine sign. We then adduced two paradigmatic solutions, that of G. Vlastos as well as that of T.C. Brickhouse and N.D. Smith. Lastly, we added to this second part besides a specific examination of Phaedrus and Timaeus, also a broad survey of the modes of divination, satisfying a triple aim: to make sense of the divine sign in comparison with the traditional art of mantic, to determine the role allotted by Plato to the reason in the divinatory process, and thus to be able to solve our principal question.
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Genèse et destin : pour une conception dynamogénique des mythes / Genesis and destiny : for a dynamogenic’s conception of the myths

Viallet-Fournier, Marie-George 10 December 2012 (has links)
Si le mythe est devenu aujourd’hui une donnée incontournable pour comprendre l’âme humaine et ses différentes formes d’expression, il reste cependant équivoque et difficilement conceptualisable. En effet, le mythe est à la fois compris comme un récit fictif qui ne repose sur aucun fond de réalité mais aussi comme un discours vrai et hautement significatif. Pour bien marquer le sens philosophique de notre travail, nous avons commencé par poser le problème du mythe tel qu’il évolue dans la pensée européenne. Le mythe souffre d’une trop longue histoire, il a été déchiré entre rationalisme et romantisme. Puis nous avons questionné d’autres civilisations – les Fon du Dahomey, au Bénin – pour qui le mythe représente tout ce que les hommes doivent savoir et comprendre pour bien s’ancrer dans l’existant. Elles nous donnent à voir un mythe authentique, vivant, inséparable d’une gestuelle magico-religieuse. Ainsi le vrai sens du mythe ne se trouve pas dans nos livres, dans un Homère ou un Hésiode, mais dans le vécu même des hommes. Il est d’abord élaboré par les sociétés primitives, par des groupes d’hommes qui ne vivent que par et pour lui, avant d’être écrit, classé, interprété et réinterprété. Il semblerait à cet égard que Gaston Bachelard, à la fois poète et épistémologue, se soit intéressé au mythe. Il nous livre ainsi une réflexion originale, libre et ouverte qui nous en donne une autre image. Il pose le problème du mythe en soi, au cœur de l’écrit et, riche de ses lectures, il jette les bases d’une nouvelle mythanalyse. La compréhension du mythe semble pour nous incontournable aujourd’hui, car notre civilisation a irrémédiablement coupé entre les informations portées par des images et celles portées par les systèmes d’écritures. Cette rupture est sans doute la cause de cette grave crise spirituelle que nous traversons. Le mythe semble à cet égard salutaire : il nous reconduit directement vers les grands principes de la création, création du monde ou bien création poétique, il ré-enchante le monde. / If the myth has become today an unavoidable fact to understand the human soul and its different forms of expression, it remains, however, ambiguous and hardly conceptualizing. Indeed, the myth is at once understood as a fictitious narrative which isn’t based on any in-depth reality, but also as a real and highly significant discourse. In order to underline the philosophical meaning of our work, we have begun by assert the myth problem such as it evolves in the European thought. The myth is badly affected by a too long history; it has been divided between rationalism and romanticism. Then, we have questioned other civilizations – Fon from Dahomey, Benin – for whose myth represents all the human being must know and understand to become established in existing. They show us an authentic myth, alive, indivisible from a magical-religious body language. Thus, the real meaning of myth is not in our books, in Homere or Hésiode, but in the real life of humans. It is, first of all, evolved by the original societies, by human groups which lived for it and by it, before being written, classified, interpreted and re-interpreted. It would seem, in this regard, that Gaston Bachelard, at once poet and epistemologist, took interest in myth. He reveals us an original reflection, free and open which gives us another image. He asserts the problem of the myth itself, at the heart of writing and, as a rich reader, he lays the basis of a new myth-analysis. The understanding of the myth seems for u unavoidable today because our civilization has cut off, irreparably, between the information brought by images and those brought by the writing systems. This fracture is, no doubt, the reason of this serious spiritual crisis we pass on. The myth seems, in this regard, salutary: it renews us directly towards the great principles of the creation, creation of the world or poetic creation, it re-enchants the world.
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Lire et écrire les signes divins : recherches sur la divination romaine à travers l'historiographie impériale / Reading and Writing divine Signs : roman Divination through imperial Historiography

Loriol, Romain 02 April 2016 (has links)
La divination est à Rome l’instrument central du dialogue avec les dieux, et les sources témoignent de l’attention que les Romains portent aux signes divins sous la République et sous l’Empire, dans la pratique publique comme privée. Or, loin d’être une simple manifestation de crédulité, ou à l’inverse la coquille vide d’un ritualisme formel, la croyance aux signes divins a un caractère rationnel, attesté par l’existence à Rome de savoirs et de procédures divinatoires très élaborés. Cette rationalité est sensible dans un autre champ, qui n’a pas ou peu été exploré : les récits de signes. La narration d’un signe divin, telle qu’on en trouve en abondance chez les historiens impériaux, se présente sous la forme d’une description factuelle et sèche dont l’intérêt paraît limité. L’objectif de ce travail est de montrer au contraire que le récit de signes est une forme très riche qui traduit et met en œuvre la pensée divinatoire des Romains.Un signe divin ne peut être reconnu, interprété, discuté qu’à condition d’avoir été verbalisé. Puisqu’un signe est toujours mis en mots, la posture d’un sénateur devant un prodige qui lui est annoncé, celle d’un simple particulier face à un présage et celle d’un lecteur vis-à-vis du signe qu’il lit ou entend raconter sont similaires : ils reconnaissent et interprètent un signe à partir de sa traduction verbale. Ce que l’étude du récit de signes éclaire alors, ce sont les enjeux de cette mise en mots et de sa réception : sur quels critères un phénomène était-il reconnu à Rome comme un signe ? Quels obstacles rencontrait ensuite son interprétation ? À quelles conditions un signe divin pouvait-il être chargé d’une signification politique, morale, voire d’un sous-texte comique ? Quelles sont enfin les potentialités esthétiques propres au récit de signes ? Il s’agit là de montrer, en déployant ces strates de sens et en dégageant la structure fonctionnelle d’un signe, comment il pouvait être construit et compris – de montrer, autrement dit, pourquoi la divination est un art de lire et d’écrire les signes divins. / In Rome, divination is the essential instrument of the dialogue with the gods, and sources are witness to the attention that the Romans paid to divine signs under the Republic and the Empire, in the public as well as in the private practice. Yet, far from being a simple expression of credulity, or, conversely, the hollow shell of a formal ritualism, the belief in divine signs has a rational nature, as shown by the existence in Rome of extremely elaborate divinatory knowledge and procedures. This rationality is discernible in another field, which has not, or only partially, been explored: tales of signs. The narratives of divine signs, plenty of which can be found in imperial historians’ works, appear as factual and plain descriptions whose interest seems limited. The aim of this dissertation is nonetheless to show that tales of signs are a rich form of expression which translates and implements the Romans’ divinatory thought. A divine sign cannot be recognised, interpreted, discussed unless it has been verbalised. Since a sign is always put into words, the stances of a senator confronted with a heralded wonder, of an average individual faced with an omen and of a reader vis-à-vis a sign which he reads or hears about are similar: they recognise and interpret a sign from its verbal translation. Thus, the study of tales of signs sheds light on what is at stake in this verbalisation and its reception: what criteria allowed for a phenomenon to be recognised as a sign in Rome? What could impede its subsequent interpretation? Under what conditions could a divine sign be charged with political, moral meaning or even a comical subtext? Finally, what are the aesthetic potentialities specific to tales of signs? We intend to show, by unfolding these strata of meaning and by exposing the functional structure of a sign, how it could be constructed and construed – in other words, to show why divination is a craft of reading and writing divine signs.
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Musique et hermétisme après le concile de Trente: Astrologie et canons énigmes

Wuidar, Laurence 21 May 2007 (has links)
Etude des relations entre musique et astrologie par (1) un panorama européen de la présence de l’astrologie dans les traités de théorie musicale de la fin du 15ème siècle au début du 18ème siècle (Burzio, Gaffurio, Finck, Zarlino, Mersenne et l’horoscope du parfait musicien, Bartolus, Werckmeister) et dans les « Accademie » italiennes (l’Academia Ortolana d’Antonfrancesco Doni et l’Academia dei Gelati de Bologne), (2) l’étude des écrits astrologiques manuscrits et édités de compositeurs Italiens du 17ème siècle (Zacconi, Osio, P. F. Valentini) et (3) le décodage de l’astrologie dans un corpus de partitions musicales (analyse de Milleville, « Madrigali », 1617 ; Strozzi, « Elementorum », 1683 ; des sonates « Zodiacus Musicus »…). Lue en parallèle avec les énigmes musicales et « canoni enigmatici » italiens du 17ème siècle étudiés sous l’angle de l’expression de l’hermétisme et de l’ésotérisme musical. Les fonctions sociales, sacrées et symboliques de cette forme musicale ainsi que des caractéristiques esthétiques et herméneutiques propres au 17ème siècle se dégagent de l’analyse des sources (analyses détaillées des œuvres de Romano Micheli, du manuscrit de canons de P. F. Valentini et du manuscrit des « Hiéroglyphes musicaux » de Zacconi ; présentation des manuscrits de canons énigmes conservés au Museo Civico Musicale de Bologne (Nanino, Agostini, Costanzo Porta, Milanta, Martini, Mattei) et analyse des énigmes dans les messes romaines, Anerio, Soriano, Agostini…). Plus de 80 sources manuscrites (Venise, Pesaro, Milan, Bologne, Rome, Vatican, Londres) et de 120 sources anciennes (Agrippa, Bruno, Cardano, Ficino, Kircher ; Banchieri, Cerreto, Liberati, Rodio, Steffani…), 44 reproductions hors texte.
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La parole de la sibylle : fable et prophétie à la fin du Moyen Age / The Sibyl’s Speech : The Use of Myths and Prophecies in the Late Middle Ages

Abed, Julien 13 March 2010 (has links)
La sibylle fut un vrai prophète. Le présent travail s’interroge sur cette idée amplement diffusée à la fin du Moyen Âge, en l’analysant sous trois rapports : un rapport à l’Antiquité, d’abord, parce que les textes présentent la prophétesse comme une voix émanant des temps les plus lointains ; à l’oracle, ensuite, car le Moyen Âge utilise la parole de la sibylle pour lui faire proférer des prophéties relatives à l’histoire du Salut ou à l’histoire des hommes ; au genre (au sens de gender), enfin, puisque l’accès de la sibylle au savoir et au sacré est configuré par les différents systèmes de représentations de la femme médiévale. En s’appuyant sur des textes manuscrits inédits et des œuvres littéraires connues, cette recherche s’attache à montrer que la sibylle, oscillant entre fable et prophétie, a été conçue de manière continue comme une prophétesse du Christ, et a pu permettre aux auteurs de mettre en jeu son autorité de manière diverse. / The Sibyl was a true prophet. This study questions that commonplace idea from the Late Middle Ages, following three axes. First, it examines how the Sibyl’s speech related to Ancient times – the texts depict the prophetess’s voice as one originating in olden times. Second, it details how her words have been linked to oracles, because the Middle Ages have used her speech to deliver prophecies foretelling the history of salvation and the history of mankind. Third, it considers the relation between her voice and gender, since the Sibyl’s ability to access knowledge and reach the sacred has been determined by the various representations of the mediaeval woman. This work is based on unpublished manuscripts as well as better-known literary works. It shows that the Sibyl, oscillating between myth and prophecy, has been consistently regarded as prophetess of Christ and has enabled writers to stage her authority in different ways.
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Věštění ve starověké Číně / Divination in Early China

Kubiš, Petr January 2011 (has links)
This thesis deals with divination in ancient China. The first part defines the theme and method, gives criticism of the primary source and presents a brief overview of the current state of research. The second part presents divination practices before the Eastern Zhou period. The third section provides a summary of divination practices in the Eastern Zhou period, categorizes the various oracles and provides related information. The fourth part introduces persons who performed divination practices and puts them into a broader framework. In the fifth section there is a quantitative and qualitative analysis of data collected from Zuozhuan's oracale texts, which are then confrontated with the knowledge of divination from archaeological excavations of oracle's texts. The work concludes that during the Eastern Zhou period there were at least two concepts of access to divination standing side by side that are mutually intertwined - religious concept and ethical-philosophy concept. Keywords: Divination, Early China, Religion, Eastern Zhou.
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Mediums et communication avec les dieux à Taïwan : étude d'une femme médium et de ses apprentis / Mediums and communications with gods in Taiwan : study of a woman medium and her disciples

Huang, Chi-Hsiang 04 July 2016 (has links)
Cette thèse porte sur les médiums (tâng-ki, « l’enfant de divination »), leurs différentes pratiques et évolution au cours de l’histoire dans la société taiwanaise. L’enjeu est d’étudier ce domaine médiumnique en employant des approches de sociologie historique et anthropologie religieuse mettant en œuvre une démarche comparative de l’image du médium et de celle perçue après une enquête de terrain. Afin de saisir « le vrai visage » du médium. D’un point de vue méthodologique, cette thèse s’appuie sur une démarche qualitative et l’usage des entretiens directs avec les médiums et médiums apprentis. Le corpus se compose de cinq chapitres. Au chapitre I il y a les travaux de recherche sur les médiums à Taïwan d’où l’exemple du professeur Lin Fu-shih. Les évènements après la libération de l’île de Taiwan ont été relatés ainsi qu’une étude sur l’histoire de la religion à Taiwan basée sur les faits historiques marquants. Pour le chapitre II, la thèse s’articule autour des éléments du terrain où il a été présenté le récit de l’enquête que l’auteur lui-même a mené ; il s’agit de la structuration des temples : exemples de temples publics et privés qui se terminent par l’entrée au temple Tshú-nai. Le chapitre III se consacre principalement à l’univers du médium aux quatre terrains enquêtés marqués par des commentaires et interprétation. Au chapitre IV l’intérêt est porté sur la présentation et description du temple Tshú-nai. Au dernier chapitre, il y a les étapes d’initiation des pratiquants de tsáo-lîng-san (se rendre sur la montagne des esprits) et les histoires annexes des médiums apprentis. / This thesis deals with mediums in taiwanese community (tâng-ki, « the child of divination »), their different practices and how they evolved with time. It aims at studying the medium field using some historical social facts and religious anthropology and a comparative approach to the general image of mediums and that obtained through a field survey to let people know the “real face” of a medium. Methodologically, this thesis relies on a qualitative approach and direct questioning of mediums and mediums to be. The corps of this paper is divided into five chapters. Chapter I is about researches on mediums in Taiwan with reference to Professor Lin Fu-shih. It also presents events which happen after the liberation of the Taiwan Island and a study on relevant historical religious facts in Taiwan. Chapter II deals with the results of a survey. The story of this survey lead by the author himself is reported in this chapter. It is mainly about how temples are structured. The study of some public and private temples will lead to the presentation of Tshú-nai temple. Chapter III specifically covers the medium’s universe discovered in the four areas of the survey followed by commentaries and interpretations. In chapter IV, the thesis focuses on the presentation and description of Tshú-nai temple. The last chapter reveals the different steps of the tsáo-lîng-san believers’ initiation (which includes going to the Spirits' Mountains) and a supplementary history of mediums to be.
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Bruit et émotion dans la littérature akkadienne

Rendu Loisel, Anne-Caroline 12 March 2011 (has links) (PDF)
À la suite d'un mémoire de DEA consacré à la perception et aux cinq sens dans la littérature suméro-akkadienne, il s'agissait d'étudier du point de vue du lexique et des images littéraires, les rapports entre le bruit et les émotions en Mésopotamie ancienne. L'étude du bruit s'intègre dans une anthropologie du paysage sonore qui témoigne d'une réflexion de l'homme sur son propre environnement et la manière dont il se l'est approprié par la voix. L'étude du vocabulaire révèle les différents mécanismes de la langue akkadienne pour décrire les phénomènes sonores (réduplication, redoublement, onomatopées...). Les traités de divination décrivent toute une mosaïque sonore du quotidien en suggérant la charge affective des sons. L'imaginaire sonore de la douleur est construit autour de l'amertume des larmes, mais aussi du mugissement, du braiement, ou du grondement. Le cri de fureur, quant à lui, est un mal dont il faut se prémunir. Le monstrueux et le sauvage, associés à l'inarticulé qui les caractérise, en sont une source inépuisable d'images. Le bruit et les modulations de la voix de l'officiant se font aussi arme efficace dans le cadre de certains rituels. Les résultats de ce doctorat s'ouvrent sur un programme de recherche ambitieux, original et fondamental pour approfondir notre connaissance de la culture et des hommes du Proche-Orient ancien.

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