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Pouvoir municipal et marché de rue dans l'agglomération urbaine de Port-au-Prince : une analyse des rapports sociaux entre les autorités locales et les marchandes de rue

Paul, Stéphanie 20 December 2023 (has links)
Cette thèse examine les rapports complexes entre les marchandes de rue et les autorités municipales à Pétion-Ville, Haïti. À travers une approche ethnographique combinant observation participante prolongée et entretiens approfondis, l'étude analyse la configuration spatiale d'un marché informel emblématique qui prend place à la rue Panaméricaine. Elle révèle les tensions entre les interventions parfois musclées des agents municipaux pour déloger les marchandes, et la résilience de ces dernières qui déploient des tactiques de contournement pour préserver leurs activités vitales. Les résultats mettent en lumière le sentiment d'oppression ressenti par les marchandes face à des expulsions arbitraires, qui contrastent avec leurs attentes de protection de la part des autorités. Cette perception négative a généré une profonde méfiance, en dépit d'un désir persistant d'être reconnues et d'obtenir des emplacements formels. L'étude montre également comment, par-delà la victimisation, les marchandes font preuve d'une remarquable agentivité collective à travers des stratégies de résistance discret comme le camouflage de leurs activités. En réponse à la problématique de départ, l'analyse révèle que la configuration spatiale du marché informel émerge de ces interactions complexes entre logiques officielles de contrôle top-down et tactiques officieuses de débrouillardise bottom-up de la part des marchandes. Cette thèse ouvre des perspectives inédites sur le rôle et l'expérience de ces actrices économiques dans la production concrète de l'espace public urbain.
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L'EVENEMENT URBAIN FESTIF : VERS UNE « GESTION DE SITE EXPLORATOIRE » SUR L‟ESPACE PUBLIC ? Les cas de Nantes et de Bordeaux

Miranda, Monica 22 November 2010 (has links) (PDF)
Les événements urbains festifs (EUF) s'imposent non seulement comme de nouvelles pratiques sociales, mais aussi en tant qu'action urbaine et objet d'analyse. Ils agissent sur l'espace public suivant des logiques distinctes – éphémères, cycliques, immatérielles – des actions urbaines « traditionnelles » et des modalités actuelles de gestion de tels espaces. Aussi, cette recherche vise à appréhender si les logiques de gestion des EUF ouvrent de nouvelles perspectives pour la gestion des espaces publics. Pour répondre à ce questionnement, le cadre théorique de la « Gestion de site » a été mobilisé. Ce dernier décrit les modalités de gestion de quatre sites urbains (gares multimodales, centres-villes, centres commerciaux, résidences privées avec services) complexes (du point de vue de la coexistence de fonctions, de services urbains, d'usages et d'intérêts sectoriels, spécifiques), permanents, de natures distinctes et proposant des ambiances particulières. Il est apparu que ce cadre théorique permettait bien d'appréhender les modalités de gestion d'autres sites urbains aussi complexes que ceux analysés par la « Gestion de site », et pourtant de nature éphémères : les sites de déroulement des EUF. Ce cadre théorique a donc été confronté à deux EUF se déroulant sur des sites éphémères : « Bordeaux-fête-le-vin » et les « Rendez-vous de l'Erdre » à Nantes. Ce choix est motivé principalement par le fait que ces EUF sont mis en place précisément sur des sites composés par une série d'espaces publics dont la gestion – quotidienne et événementielle – est complexe : les « espaces publics fluviaux ». L'analyse de la gestion de ces deux EUF par le prisme de la « Gestion de site » met en évidence des enseignements sur la gestion de l'événementiel qui, d‟une part, nourrissent la réflexion autour de la gestion des espaces publics complexes et, d'autre part, enrichissent la « Gestion de site » en apportant des éléments inédits à ce cadre théorique nouveau.
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Les choses de la rue et leurs publics. Pour une connaissance ambulatoire de l'espace public objectal à Bruxelles.

Laki, Giulietta 24 September 2018 (has links) (PDF)
Que se passe-t-il si l’on considère que les objets sont partie prenante de la vie publique ?Cette hypothèse est explorée ici au départ d’une entrée spécifique, celle des objets qui peuplent les rues d’une ville, Bruxelles. Comment les objets participent-ils à l’espace public urbain ?La notion d’« espace public » a pour principal atout le fait de thématiser un lien entre le spatial et le sociétal, entre matérialité de la ville et vie publique, entre le quotidien et le politique ;mais rares sont les études qui analysent la nature de ce lien. C’est ce que nous allons faire ici, par le biais d’une ethnographie des choses déposées ou abandonnées dans les rues de Bruxelles et des interactions qu’elles génèrent et auxquelles elles prennent part. Autrement dit, il s’agit de jauger la portée politique d’une dimension de la production de l’espace public qui n’est usuellement pas considérée sous cet angle :le façonnement de la ville par les objets de petite taille et traces d’usage qui marquent l’espace urbain au quotidien. Une telle perspective intègre au titre de « producteurs » des espaces publics d’autres acteurs que les seuls concepteurs professionnels et acteurs politiques :elle met sur un pied d’égalité des acteurs aussi différents que pouvoirs publics, riverains, sans-abris, multinationales, etc. elle rassemble autant des objets explicitement politiques que des choses abandonnées dans la rue par mégarde.Cette thèse s’attache à ces choses de la rue en adoptant une approche « radicalement empirique » (William James), faisant l’hypothèse que leur prise en compte ouvre une dimension inexplorée de l’espace public – que je nomme « espace public objectal ». Comment ces objets naissent-ils ?Comment les interactions qui les impliquent fonctionnent-elles ?Qui prend place dans cet espace public formé par les objets ?Qui en tient compte ?L’hypothèse de l’« espace public objectal » est à la fois descriptive et spéculative. Pour faire ses preuves elle nécessite un cheminement non seulement empirique mais aussi théorique. La thèse se déploie ainsi en quatre opérations distinctes et liées :1. éclairer la dimension plus-que-discursive de la communication dans la rue, qui inclut les objets et espaces au même titre que les textes écrits ou parlés ;2. étendre la théorie des publics de John Dewey aux objets pour se donner les moyens d’évaluer la portée publique et politique des choses et traces qui prennent place dans la rue ;3. par le biais d’une « connaissance ambulatoire » (William James) suivre les réseaux de sens et de relations qui se nouent par et autour les choses de la rue pour explorer la portée des objets et la dimension spécifiquement « objectal » de l’espace public urbain ;4. rapporter les contributions objectales au façonnement de l’espace urbain pour évaluer ce que leur prise en compte fait aux théories de l’espace public, et plus spécifiquement à la notion de « participation urbaine ». Si les objets et traces qui constituent le corpus de cette thèse peuvent initialement sembler anecdotiques et anodins, l’enjeu est en réalité considérable :le décentrement du regard (prendre en compte ce qui passe généralement inaperçu) fait monter sur la scène publique et politique des acteurs et enjeux qui ne sont pas représentés dans les sphères publiques et médiatiques généralement considérées comme relevant de l’« espace public ». L’attention à la dimension objectale de l’espace public permet ainsi d’obtenir une vision plus globale des façons de participer à la sphère publique d’une société :les contributions n’y sont plus (que) des arguments rationnels et discursifs, mais également des actes et objets qui fonctionnent sur un registre émotionnel et esthétique ;elles n’y sont plus (que) des actes accomplis de façon délibérée, mais également les effets indésirés de ces mêmes actes, et les effets d’actions sans aucune visée politique. Je propose ainsi de reconnaitre ces objets et traces comme une forme spatiale et matérielle de participation urbaine, que je nomme « participation objectale ». / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L'Aufklärung kantienne : une quête d'autonomie

Vigneault-Bérubé, Alexandre 07 1900 (has links)
Michel Foucault fait remarquer qu’il y a dans la conception des Lumières européennes une tension entre la « croissance de l’autonomie » et la « croissance des capacités » par la science et la technique (Foucault, 1994, p. 83). Or, dans « Qu’est-ce que les Lumières? », Kant privilégie clairement le premier volet, l’autonomie, tel qu’en témoigne sa définition : « sortie de l’homme de l’état de minorité, où il se maintient par sa propre faute ». Force lui est toutefois d’admettre que l’autonomie qui s’exprime dans le « penser par soi-même » nécessite un accès à l’espace public, car la liberté de pensée implique la possibilité de publier ses opinions et de penser avec autrui. Le texte de Kant évoque donc les conditions politiques permettant un libre accès au « public des lecteurs ». Il importe ainsi que le despote éclairé, en l’occurrence Frédéric le Grand, gouverne à tout le moins dans un esprit républicain en maintenant un espace public exempt de censure. Il importe en outre qu’il s’abstienne d’intervenir en matière religieuse. Ce n’est pas un hasard si le thème de la liberté de conscience religieuse occupe une large place dans le texte de Kant, car la tentation est grande pour l’autorité politique de bafouer cette liberté et d’instrumentaliser la religion à des fins politiques. / Michel Foucault pointed out that there is in the design of the European Enlightenment a tension between the "growing autonomy" and "growth capacity" by science and technology (Foucault, 1994, p. 83). Now, in "What is Enlightenment?" Kant clearly favors the first part, autonomy, as evidenced by its definition: "out of man's status as such, where he maintains through his own fault." It is bound to admit, however, that autonomy as expressed in the "think for yourself" requires access to public space, because freedom of thought implies the possibility of publishing one’s opinions and to think with others. Kant's text evokes the political conditions for free access to the "reading public". It is therefore important that the enlightened despot, namely Frederick the Great, ruled at least in a republican spirit by holding a public space free of censorship. It is also important that he should refrain from interfering in religious matters. It is no coincidence that the theme of freedom of religious conscience occupies a large place in Kant's text, because the temptation is great for political authority to violate this freedom and exploit religion for political purposes.
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Le Théâtre-forum : pour une délibération sous le signe de la reconnaissance?

Hamel, Sonia 12 1900 (has links)
Cette recherche explore le Théâtre-forum comme support méthodologie d’un espace délibératif pour discuter des tensions sociales liées à la coprésence au centre-ville de Montréal entre des personnes en situation de rue et leurs voisins domiciliés. L’argument au cœur de la problématique repose sur les taches aveugles de la délibération: dans les forums de quartier, les inégalités sociales se traduisent par des inégalités délibératives au désavantage des personnes sans adresse en défaut d’autorité épistémologique en raison de leur statut; ces inégalités délibératives reproduisent le déni de reconnaissance qui traverse l’expérience relationnelle de ces personnes. Le Théâtre-forum est issu du Théâtre de l’opprimé : une pratique d’intervention théâtrale conçue par Augusto Boal durant la dictature au Brésil comme dispositif émancipateur pour les groupes opprimés. Le Joker incite les membres de l’auditoire à devenir Spect-acteurs par les remplacements du protagoniste, et ce, afin de surmonter son oppression. Ainsi, cette projection dans les chaussures du protagoniste-itinérant facilite-t-elle ce passage de l’indignité à la reconnaissance pour les personnes en situation de rue? L’échange théâtral peut-il ouvrir la voie vers la reconstruction d’un lien intersubjectif entre personnes sans adresse et domiciliés, intersubjectivité qui au cœur-même des vertus délibératives et des principes fondateurs défendus par les théoriciens de la reconnaissance comme Honneth et Renault? / Inspired by the democratic virtues of public deliberation but preoccupied with its blind spots, this research explores Forum Theatre as a deliberative medium to initiate discussion about the social tensions which underscore copresence between the homeless and other dwellers of public space in downtown Montreal. Indeed, we argue that in neighborhood forums social inequalities lead to deliberative ones for the homeless who lack epistemological authority due to their status, thereby reproducing the denial of recognition they endure as pariahs of public space. Forum Theatre stems from Theatre of the Oppressed which was initiated by Augusto Boal during the Brazil dictatorial regime as a revolutionary practice for the oppressed. It is premised on active audience engagement whose members are encouraged by the Joker to become Spect-Actors by replacing the protagonist in order to overcome his oppression. As such, can stepping inside the shoes of the homeless protagonist thru character replacement facilitate a passage from indignity to recognition for the latter? In other words, can a theatrical exchange create a space of intersubjectivity between the homeless and their domiciled neighbours? After all, the virtues of deliberation, not to mention the principles defended by recognition theorists like Honneth and Renault, both rest on intersubjectivity.
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Planning for public spaces in multiethnic contexts : a case study of Mountains sights, Montreal

Sweeney, Mary January 2004 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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De la salle obscure à l'exposition et au-delà : appropriation et réinterprétation du cinéma par les artistes plasticiens 1986-2016 / From movie theatre to exhibition and beyond : appropriation and reinterpretation of cinema by visual artists 1986-2016

Pierson, Mickaël 02 December 2017 (has links)
Dans les années 1980-1990, le cinéma devient une stratégie majeure dans les pratiques artistiques autant pour des raisons de changements technologiques que des effets de génération. Des questions, dès lors, se posent, notamment celle de savoir ce que le cinéma fait à l'espace d'exposition. Le cinéma et l'exposition sont des espaces différents, régis par des règles de fonctionnement distinctes. À l'appui d'un corpus international couvrant la période 1986-2016 et en revenant sur l'historiographie de ces pratiques, la thèse se propose d'étudier les effets de ce déplacement du cinéma dans les pratiques artistiques. Des modifications portées à l'espace d'exposition par l'importation du dispositif cinématographique (écran, projecteur, salle de cinéma, séance) aux changements opérés dans le passage d'un spectateur de cinéma à celui du visiteur d'exposition, on remarque qu'il ne s'agit pas de reproduire le cinéma à l'exposition, mais au contraire de s'en servir pour reconsidérer le rapport à l'œuvre. S'observe enfin, chez ces mêmes artistes, après un déplacement du cinéma vers l'exposition, un mouvement vers l'espace public : le développement d'un travail hors de l'institution culturelle, vers un public différent, posant la question de la portée sociale de l'œuvre. L'enjeu est aussi de replacer ces travaux dans une histoire interdisciplinaire de l'art au croisement des pratiques performatives, des travaux des premiers vidéastes, mais aussi du cinéma expérimental. / Due to technological changes and the rising generation of the 80s and 90s, cinema became a main strategy in visual arts, while impacting and transforming the exhibition space. Then some questions may be asked. Particularly, what cinema does to the exhibition space? Cinema and exhibition are two different spaces with distinct ways of functioning. This thesis, focusing on an international corpus from 1986 to 2016, goes back over the historiography of this subject and analyses the effects of the gradual bursting of cinema in the visual arts, such as modifications in the exhibition space (and the moving of the cinematic device - screen, projector, movie theatre, screening, etc.), changes of the viewer's outlook (from spectator to visitor), etc. These artists do not try to reproduce cinema in the exhibition, but on the contrary, intend to question its relationship to the artwork. In the end, the shift from cinema to exhibition reveals a desire to reach the public space, and, outside the cultural institutions, to enthrall a different audience. Such practices lead to consider the social impact of the artwork. This thesis also aspires to replace the works of these artists into an interdisciplinary history of art, at the junction of performing arts, the works of the first video artists and experimental cinema.
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De Grenoble à Sofia : une sociologie des parcs etjardins publics en milieu urbain / From Grenoble to Sofia : a sociological study about public parks and garden in urban aerasCONTEXT AND ENVIRONNEMENT PROSPECTS

Doutre, Julien 12 October 2017 (has links)
Les parcs et jardins, à contrario des bâtiments et des constructions pérennes des villes, sont vivants. Au fil des saisons et des années ils changent, les arbres grandissent, les feuilles tombent, les fleurs éclosent et se fanent. De la même manière que les hommes entretiennent leur corps, il faut prendre soin de ces espaces verts. Dans cette perspective, les espaces verts sont à la fois acteurs sociaux et espaces sociaux, et ils peuvent être appréhendés comme producteurs de territorialités, en élaborant des règles d’appropriation particulières, des histoires, des mythes et le sens qu’ils recèlent. Cette thèse a pour objectif d’étudier comment ces territoires peuvent être producteurs d’action publique et de sens, à la fois pour les décideurs publics, les professionnels des espaces verts et les usagers. A travers trois angles d’approche distincts, nous abordons les parcs publics de Grenoble et de Sofia par l’histoire, les représentations et les usages, et enfin par une dimension esthétique qui leur est propre, et qui permet de mettre en évidence des processus communs à tous les milieux urbains, tels que les conflits d’acteurs, la gentrification ou encore la patrimonialisation.Si de nombreuses études traitent des espaces verts, non seulement en sociologie, mais aussi en urbanisme, géographie, sciences politiques, le travail que nous proposons ici est original et se propose d’aborder cette thématique du parc sous un angle inédit. En effet, cette étude met en avant une dimension comparative forte avec un terrain qui a pris place dans des villes très différentes, éloignées géographiquement et culturellement. Par ailleurs, l’étude ne se centre pas sur un espace en particulier, mais sur une myriade de parcs et jardins urbains dispersés dans les deux villes. Ce sont donc davantage des phénomènes globaux et structurels qui sont apparus et sur lesquels nous avons mis l’accent. Enfin, cette étude est également originale dans le sens où nous proposons de mobiliser une sociologie urbaine plus qu’une sociologie de l’environnement pour traiter de ces espaces. Nous proposons ainsi une critique de la sociologie de l’environnement et nous montrons qu’elle n’est pas nécessairement la plus pertinente pour comprendre le fonctionnement des parcs urbains. / The parks and gardens, in contrast to the buildings and the perennial buildings of the cities, are alive. Through the seasons and years they change, the trees grow, the leaves fall, the flowers hatch and fade. In the same way that men maintain their bodies, care must be taken of these green spaces. In this perspective, green spaces are both social actors and social spaces, and they can be considered as producers of territorialities, elaborating rules of appropriation, stories, myths and the meaning they hold. This thesis aims to study how these territories can be producers of public action and meaning, both for public decision-makers, professionals of green spaces and users. Through three different angles of approach, we approach the public parks of Grenoble and Sofia by history, representations and uses, and finally by an aesthetic dimension that is specific to them, and which allows to highlight processes Common to all urban environments, such as stakeholder conflicts, gentrification or patrimonialization.Although many studies deal with green spaces, not only in sociology, but also in urban planning, geography, political science, the work we propose here is original and proposes to approach this theme of the park from an unprecedented angle. Indeed, this study highlights a strong comparative dimension with a terrain that has taken place in very different cities, distant geographically and culturally. In addition, the study does not center on a particular space, but on a myriad of parks and urban gardens scattered in both cities. So it is more global and structural phenomena that have emerged and emphasized. Finally, this study is also original in the sense that we propose to mobilize an urban sociology rather than a sociology of the environment to deal with these spaces. We propose a critique of the sociology of the environment and show that it is not necessarily the most relevant to understand the functioning of urban parks.
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Les médiations symboliques à l'œuvre dans les débats de société : l'exemple de l'accident nucléaire de Fukushima dans les commentaires d'actualité sur le web / Symbolic mediation in public debates : the case of the accident of Fukushima on web comment boards

Carbou, Guillaume 02 December 2015 (has links)
Cette thèse entend contribuer à la construction d’un dispositif théorique méthodologique pour l’analyse des médiations symboliques à l’œuvre dans l’espace public lors des débats de société. Dans un premier temps, nous proposons de discuter les conditions épistémologiques de l’analyse des discours circulant dans l’espace public pour dégager des formes idéologiques (au sens large). Nous montrons dans un second temps que les discussions entre internautes à propos du nucléaire, sur les sites de presse en ligne, après l’accident de Fukushima, sont structurées par un nombre limité de grands cadres d’intelligibilité que nous appelons « modes d’appréhension ». Ces modes d’appréhension n’apparaissent jamais vraiment sous leur forme canonique, mais se retrouvent par bribes dans la parole individuelle des internautes. Ils peuvent alors être reconstruits, dans une optique d’analyse argumentative du discours, par le regroupement de « topoï » épars en micro-univers de sens relativement consistants et cohérents. La mise au jour de ces divers modes d’appréhension, construits et perpétués dans la circulation discursive, permet à la fois de faire apparaître une partie des médiations symboliques de la communication sociale sur le nucléaire après Fukushima, de faire émerger les points critiques de la réflexion politique et philosophique sur le sujet, et d’observer quelques-unes des sédimentations idéologiques dominantes de notre modernité. / This thesis aims to contribute to the construction of a theoretical and methodological framework for the analysis of symbolic mediations which occur in the public sphere during public debates. Firstly, we discuss the epistemological conditions of a search for ideological forms shaped by the circulation of discourses. Secondly, we show that conversations about civil nuclear power among internet users on comment boards of online news websites are structured by a limited number of frames of intelligibility that we call "modes of apprehension". These modes of apprehension never occur in their canonic form: they only appear by fragments in the speech of individuals. Hence, an argumentative analysis of discourse can be used to rebuild them by reordering the multiple "topoï" in consistent and coherent universes of meaning. Bringing out these modes of apprehension, forged and perpetuated by the circulation of discourses, has three main interests : we highlight some of the symbolic mediations of the social communication about civil nuclear power after Fukushima ; we underline some of the main political and philosophical issues of the question ; and we examine some of the dominant ideological sedimentations of our modernity.
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La fabrique des espaces publics : conceptions, formes et usages des places d'Oran (Algérie) / Making public spaces : Designs, forms and uses of Oran squares (Algeria)

Kettaf, Fadila 09 December 2013 (has links)
Les places publiques d’Oran sont des espaces d’identification et de symbolique de la ville coloniale. Elles se donnent à voir par leurs caractéristiques physiques et esthétiques propres mais aussi par leur participation à la vie urbaine. Cependant, la croissance de la ville a contribué à la redistribution des pratiques de sociabilité dans l’espace urbain. La recherche sur les places publiques d’Oran se doit donc de contribuer à une réflexion plus large sur la fabrique des espaces publics urbains et de s’inscrire dans l’actualité de la recherche urbaine sur le monde arabe et méditerranéen. Dans cette perspective se posent trois questions fondamentales. Celle des héritages d’un urbanisme issu de la culture européenne « exporté » vers la rive sud de la Méditerranée. Celle de la conception et de la gestion actuelles des espaces publics par les pouvoirs locaux, les opérateurs techniques, et les divers acteurs. Et celle enfin des usages contemporains de ces espaces par les usagers-habitants. Les usages des places et des lieux urbains à Oran sont réels, parfois même surprenants. Ils sont étroitement liés à leur position dans la ville, à leur configuration formelle et visuelle, et à la qualité de leur aménagement. Ils sont aussi inhérents à la place qu’ils occupent dans l’imaginaire collectif. Ces aspects essentiels à la fabrique des espaces publics ne sont pas, cependant, pris en compte dans les pratiques urbanistiques contemporaines. Le problème de la reconnaissance de l’espace public en tant qu’espace autorisant le vivre ensemble dans la grande ville, structurant l’espace urbain et accessible à tous, reste fondamentalement posé à Oran. / Oran public squares are identification and symbolic spaces of the colonial city. They are given to see by their physical and aesthetic characteristics but also by their participation in urban life. However, the growth of the city contributes to the redistribution of sociability in urban space. Research on public squares of Oran therefore has thus to contribute to a broader thought on making urban public spaces and to be part of the current urban research on the Arab and Mediterranean World. In this issue, three fundamental questions arose. That of legacies of town planning coming from European culture "exported" to the southern bank of the Mediterranean Sea. That of the current design and management of public spaces by local authorities, technical operators and various actors. And finally that of contemporary uses of these spaces by local users. Social practices of squares and urban places in Oran are real, sometimes surprising. They are closely related to their position in the city, their urban and visual form, and the quality of their installations. They are also inherent in the position they have in the collective imaginary. These important aspects in making public spaces, however, are not regarded in contemporary urban practices. The problem of the recognition of the public space as public realm, organizing the urban space and accessible to all, is fundamentally questioned in Oran.

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