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Association between timing of asthma diagnosis and medication use during pregnancy

Issa, Simone 03 1900 (has links)
L’utilisation de médicaments contre l’asthme pendant la grossesse est recommandée par les lignes directrices internationales pour maintenir le contrôle des symptômes puisqu’il a été démontré qu’un mauvais contrôle de l’asthme augmente le risque d’effets périnataux indésirables. À ce jour, aucune étude n’a évalué l’association entre le moment du diagnostic d’asthme et l’utilisation des médicaments antiasthmatiques pendant la grossesse. L’objectif de cette étude est d’évaluer si l’utilisation des médicaments antiasthmatiques pendant la grossesse diffère chez les femmes souffrant d’asthme diagnostiqué au cours des 19 premières semaines de grossesse par rapport à celles diagnostiquées deux ans avant la grossesse. Nous avons mené une étude de cohorte rétrospective en utilisant la base de données québécoise sur l’asthme et la grossesse. L’issue principale était l’utilisation de corticostéroïdes inhalés (CSI), CSI/ß2-agonistes à longue durée d’action (BALA) et ß2-agonistes à courte durée d’action (BACA) pendant la grossesse définie comme le nombre d’ordonnances remplies dès 20 semaines de grossesse (entrée à la cohorte – EC –) jusqu’à l’accouchement. L’utilisation de corticostéroïdes oraux (CSO) pendant la grossesse a été définie comme le nombre de jours d’ordonnances remplies d’EC jusqu’à l’accouchement. Des modèles de régression de Poisson ont été utilisés pour comparer les taux d’utilisation des médicaments contre l’asthme entre les femmes diagnostiquées avant et au début de la grossesse, tout en ajustant pour les facteurs de confusion potentiels. Les issues secondaires étaient le traitement rempli au moment du diagnostic, défini comme les médicaments antiasthmatiques dispensés à la pharmacie au cours du mois précédent et du mois suivant la date du diagnostic d’asthme et l’adhésion aux CSI pendant la période de suivi, estimée avec la proportion de jours couverts (PDC). La cohorte comprenait 1 731 femmes souffrant d’asthme diagnostiqué avant la grossesse et 359 au début de la grossesse. Les femmes diagnostiquées en début de grossesse étaient plus susceptibles d’utiliser les CSI [aRR 1.9, IC à 95 % 1.6–2.3] et les SABA [aRR 2.0, IC à 95 % 1.7–2.4] que les femmes diagnostiquées avant la grossesse. Pas de différence au niveau de l’utilisation des CSI/BALA [aRR 0.9, IC à 95 % 0.7–1.3] et des CSO [aRR 0.8, IC à 95 % 0.6–1.2]. Les médicaments de contrôle et de secours les plus couramment dispensés étaient les CSI et BACA au cours du mois précédant le diagnostic et le mois suivant le diagnostic, respectivement, pour les deux sous-cohortes. Le PDC moyen pendant la période de suivi chez les utilisatrices de contrôleurs basés sur les CSI parmi les femmes diagnostiquées avant la grossesse était assez similaire à celui des femmes diagnostiquées en début de grossesse (27,7%; IC 95% 25,3–30,1 vs 24,5%; IC 95% 21,3–27,8). En ce qui concerne l’adhésion, le modèle de régression linéaire a révélé que la différence ajustée de l’adhésion aux CSI n’était pas statistiquement significative (-3,6; IC à 95 % - 7,9 à 0,6). L’asthme diagnostiqué en début de grossesse pourrait suggérer un asthme plus persistant de nature en raison des changements hormonaux nécessitant une plus grande utilisation des CSI et des BACA. Compte tenu de la faible adhésion et utilisation des médicaments antiasthmatiques pendant la grossesse, ces résultats supportent un suivi médical étroit des femmes asthmatiques nouvellement diagnostiquées avant ou au début de le grossesse en fournissant aux patientes des ressources éducatives sur la gestion de l’asthme pour maintenir l’asthme sous contrôle et prévenir des conséquences périnatales graves. / Asthma medication use during pregnancy is recommended by international guidelines to maintain control of symptoms since poor control has been shown to increase the risk of adverse perinatal outcomes. To date, no studies have evaluated the association between the timing of new-onset asthma and the use of asthma medications during pregnancy. The objective of this study is to assess whether asthma medication use during pregnancy differs in women with asthma diagnosed during the first 19 weeks of pregnancy compared to those diagnosed 2 years before pregnancy. We conducted a retrospective cohort study using the Quebec asthma and pregnancy database. The primary outcome was the use of inhaled corticosteroids (ICS), ICS/long-acting ß2-agonists (LABA) and short-acting ß2-agonists (SABA) during pregnancy defined as the number of filled prescriptions from 20 weeks of pregnancy (Cohort entry – CE –) until delivery. Oral corticosteroids (OCS) use during pregnancy was defined as the number of days of filled prescriptions from CE until delivery. Poisson regression models were used to compare the rates of asthma medication use between women diagnosed before and early in pregnancy, while adjusting for potential confounders. The secondary outcomes were the treatment dispensed at diagnosis defined as asthma medications filled at the pharmacy in the month prior and the month following the date of asthma diagnosis and adherence to ICS during follow-up estimated with the proportion of days covered (PDC). The cohort included 1 731 women with asthma diagnosed before and 359 early in pregnancy. Women diagnosed early in pregnancy were more likely to use ICS [aRR 1.9, 95% CI 1.6–2.3] and SABA [aRR 2.0, 95% CI 1.7–2.4] than women diagnosed pre-pregnancy. No difference in the use ICS/LABA [aRR 0.9, 95% CI 0.7–1.3] and OCS [aRR 0.8, 95% CI 0.6–1.2]. The most common asthma controller and reliever dispensed in the month prior to diagnosis and the month after diagnosis were ICS and SABA, respectively, for both sub-cohorts. The mean PDC over the study follow-up among users of ICS-based controllers in women diagnosed pre-pregnancy was quite similar to those diagnosed early in pregnancy (27.7%; 95% CI 25.3–30.1 vs 24.5%; 95% CI 21.3–27.8). With respect to adherence, the linear regression model revealed that the adjusted difference in ICS adherence was not statistically significant (-3.6; 95% CI -7.9 to 0.6). Asthma diagnosed early in pregnancy might suggest a more persistent asthma in nature due to hormonal changes requiring more use of ICS and SABA. Taking into consideration low asthma medication use and adherence during pregnancy, these results support a closer medical follow-up of asthmatic women newly diagnosed before or early in pregnancy by providing patients with educational resources about asthma management to maintain asthma under control and prevent serious perinatal outcomes.
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Virus du papillome humain : association avec l'accouchement prématuré et déterminants de l’infection placentaire

Niyibizi, Joseph 08 1900 (has links)
L’infection génitale par le Virus du Papillome Humain (VPH) est l’infection transmissible sexuellement la plus fréquente. Sa prévalence la plus élevée est retrouvée chez les femmes en âge de procréer. Bien que la littérature expérimentale s’accorde sur la plausibilité biologique de l’effet du VPH sur les issues négatives de grossesse, les résultats des études observationnelles sont équivoques. Parmi ces issues négatives figure l’accouchement prématuré qui reste une cause majeure de mortalité périnatale et de morbidité à vie dans le monde. La présente thèse avait alors pour but de faire la lumière sur la qualité de la littérature actuelle sur les issues négatives de grossesse en lien avec le VPH en général et d’approfondir l’association entre le VPH et l’accouchement prématuré en particulier. À cette fin, trois objectifs de recherche étaient visés, à savoir: 1) évaluer systématiquement l’ampleur de l’association entre l’infection VPH et les issues négatives de grossesse dans la littérature et la qualité des évidences sur ces relations, 2) estimer l’association entre l’infection VPH pendant la grossesse et l’accouchement prématuré et 3) identifier les déterminants de la transmission du VPH dans le placenta chez les femmes infectées par le VPH au niveau vaginal. Trois analyses ont été menées pour répondre à chacun des objectifs. D’abord, nous avons effectué une revue systématique et des méta-analyses pour chacune des issues négatives de grossesse suivantes: avortement spontané, rupture prématurée et/ou préterme et des membranes, accouchement prématuré, faible poids de naissance, retard de croissance intra-utérine, troubles hypertensifs gestationnels et mortinaissance. Ensuite, en utilisant les données des femmes éligibles de la cohorte prospective HERITAGE (n=899), nous avons estimé l’association entre l’infection VPH (pendant la grossesse et dans le placenta) et l’accouchement prématuré. Dans un modèle de régression logistique, un ajustement pour la confusion a été assuré par pondération par l’inverse de probabilité de l’infection VPH au premier trimestre en fonction des caractéristiques maternelles. Enfin, l’analyse des déterminants du VPH dans le placenta a été réalisée sur l’échantillon de la cohorte de femmes positives au VPH au premier trimestre de grossesse (n=354) en utilisant un modèle d’équations d’estimation généralisée. La revue systématique et les méta-analyses ont montré que l’infection VPH est associée à plusieurs issues négatives de grossesse dont l’accouchement prématuré. Cependant, ces résultats doivent être interprétés avec prudence, compte tenu des limites dans certaines études en raison d’erreur de mesure de l’exposition au VPH, d’une détection du VPH en dehors de la période de grossesse, et d’un contrôle insuffisant pour la confusion. Les résultats de notre étude de cohorte prospective ont montré que la persistance des VPH16/18 pendant la grossesse et la présence du VPH dans le placenta sont associées à l’accouchement prématuré avec un odds ratio ajusté (aOR) de 3,72 (IC 95% 1,47-9,39) et 2,53 (IC 95% 1,06- 6,03) respectivement. Cet effet est indépendant des antécédents de traitement de dysplasies cervicales. Par ailleurs, la présence du VPH dans le placenta est associée à l’origine ethnique autre que blanc (aOR 1,78; IC 95% 1,08-2,96), aux anomalies cervicales (aOR 1,92; IC 95% 1,14-3,24), à l’infection génitale ou urinaire (aOR 2,32; IC 95% 1,15-4,68), à la coinfection VPH au 1er trimestre (aOR 2,56; IC 95% 1,72-3,83), à la persistance d’un VPH à haut risque autre que les génotypes 16/18 (2,31; IC 95% 1,20-4,45) et à la persistance des VPH-16/18 pendant la grossesse (aOR 4,55; IC 95% 2,40-8,66). Dans l’ensemble, les résultats de cette thèse apportent de nouvelles connaissances sur l’infection VPH vaginale pendant la grossesse et dans le placenta. L’association entre l’accouchement prématuré et la persistance du VPH-16/18 en cours de grossesse ou l’infection VPH dans le placenta indique qu’un certain nombre d’accouchements prématurés, jusque-là inexpliqués, pourraient être en lien avec le VPH. Cet effet direct de l’infection VPH sur l’accouchement prématuré vient s’ajouter à celui, déjà montré, du traitement cervical des lésions dysplasiques. Le VPH placentaire est associé aux marqueurs d’une réponse immunitaire inadéquate contre le VPH vaginal. Nos résultats plaident en faveur de la couverture vaccinale optimale contre le VPH dans le but d’alléger le fardeau des naissances prématurées. / Human Papillomavirus (HPV) genital infection is the most common sexually transmitted infection. Its highest prevalence is found in women of childbearing age. Although experimental studies agree on the biological plausibility of detrimental effect of HPV on pregnancy outcomes, observational studies yielded contradictory findings. Among these negative outcomes there is preterm delivery, which remains a major cause of perinatal mortality and lifelong morbidity worldwide. Therefore, this thesis aimed to shed light on the quality of the current literature on negative outcomes related to HPV in general and specifically to further investigate the association between HPV and preterm birth. We targeted three research objectives: 1) systematic assessment of the association between HPV infection and negative pregnancy outcomes in the literature and the quality of the evidence on these relationships, 2) estimate the association between HPV infection during pregnancy and preterm delivery; and 3) to identify the determinants of HPV transmission in the placenta in women infected with in the first trimester. Three analyzes were carried out to meet each of the objectives. We performed a systematic review and meta-analyzes for each of the following negative pregnancy outcomes: spontaneous abortion, premature and / or preterm rupture and membranes, preterm birth, low birth weight, intra-uterine growth retardation, pregnancy induced hypertensive disorders and stillbirth. Using data from eligible women in the HERITAGE prospective cohort (n = 899), we assessed the association between HPV infection (during pregnancy and in the placenta) and preterm birth. In a logistic regression model, we adjusted for confounding by inverse propensity treatment weighting of HPV infection in the first trimester based on maternal characteristics. Finally, the analysis of the determinants of HPV in the placenta was performed on the sample of the cohort of HPV positive women in the first trimester of pregnancy (n = 354) using a generalized estimation equations model. The systematic review and meta-analyzes showed that HPV infection is associated with several negative pregnancy outcomes including preterm birth. However, these results should be interpreted with caution, given the limitations in some studies regarding misclassification of HPV exposure, inappropriate HPV time-point detection, and insufficient control for confusion. Our prospective cohort study showed that the persistence of HPV16/18 during pregnancy and the presence of any HPV in the placenta are associated with preterm birth with an adjusted odds ratio (aOR) of 3.72 (CI 95 % 1.47-9.39) and 2.53 (95% CI 1.06-6.03) respectively. These findings are independent of the history of cervical dysplasia treatment. In addition, the presence of any HPV in the placenta is associated with ethnic origin other than white (aOR 1.78; 95% CI 1.08-2.96), cervical abnormalities (aOR 1.92; 95% CI 1.14-3.24), genital or urinary infection (aOR 2.32; 95% CI 1.15-4.68), HPV coinfection in the 1st trimester (aOR 2.56; 95% CI 1.72-3.83), persistence of high-risk HPV other than genotypes 16/18 (2.31; 95% CI 1.20-4.45) and persistence of HPV-16/18 during pregnancy (aOR 4.55; 95% CI 2.40-8.66). Overall, our findings provide new evidence on vaginal HPV infection during pregnancy and in the placenta. The association between preterm birth and persistence of HPV-16/18 during pregnancy or any HPV infection in the placenta indicates that a number of unexplained preterm deliveries may be related to HPV. This direct effect of HPV infection on preterm birth is in addition to that already shown of cervical treatment of dysplastic lesions. Placental HPV is associated with markers of an inadequate immune response against vaginal HPV. Our results argue in favor of an increase in vaccine coverage against HPV in order to reduce the burden of preterm births.
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Dépistage précoce du diabète gestationnel / Early screening of gestational diabetes mellitus

Mahdavian, Masoud January 2015 (has links)
Résumé : L’aggravation de certaines caractéristiques cliniques des femmes enceintes (âge, poids) et l’augmentation de la prévalence du diabète gestationnel (DG) poussent à dépister le DG le plus tôt possible pour éviter chez la mère et le fœtus les complications à court et à long terme. Le dépistage du DG est recommandé à 24-28 semaines de grossesse, et le plus souvent un test de tolérance à 50g de glucose (TTG) est réalisé. Pour les femmes qui ont des facteurs de risque, ce test doit être effectué plus précocement, habituellement pendant le premier trimestre de la grossesse. Cette dernière recommandation est peu suivie, d’autant qu’il n’y a pas de consensus international sur le dépistage du DG pendant le premier trimestre de la grossesse. Objectifs. 1) Définir au premier trimestre de la grossesse la valeur de la glycémie du TTG qui prédit le diagnostic de DG à 24-28 semaines avec une sensibilité et une spécificité optimales à l’aide d’une courbe ROC. 2) Déterminer si la glycémie du TTG au premier trimestre est un facteur prédictif indépendant du DG. Méthodes. Étude prospective de cohorte. Les facteurs d'inclusion étaient : âge ≥ 18 ans et âge gestationnel entre 6 et 13 semaines après la dernière menstruation. Les TTG ont été effectués à la première visite prénatale. Une deuxième visite était programmée à 24-28 semaines pour faire une hyperglycémie provoquée par voie orale (HGPO) et donc un éventuel diagnostic de DG. Les critères utilisés pour ce diagnostic étaient ceux de l’Association américaine du diabète. Résultats. Les TTG ont été faits à 9,1±2,0 semaines et les HGPO à 26.5±1.1semaines chez 1180 femmes (28,2±4,4 ans, IMC : 25,2±5,5 kg/m[indice supérieur 2]). Un DG a été diagnostiqué chez 100 (8,4%) participantes. La valeur de glycémie du TTG à 5,6 mmol/L a prédit le DG avec une sensibilité de 84,1% et une spécificité de 62,3%, tandis que la valeur prédictive positive était de 0,121 et la valeur prédictive négative de 0,985. Cette valeur de 5,6 était indépendamment associée au DG (OR=2,806, IC 95%: 1,98 à 3,97, p <0,001). Comparé à d'autres facteurs de risque, le TTG était le plus puissant prédicteur indépendant du DG (OR=1,767, IC 95%: 1,52 à 2,05, p <0,001). Conclusions. Au premier trimestre, la valeur glycémie de 5.6 mmol/L du TTG prédit avec une bonne sensibilité et spécificité l’apparition d’un DG à 24-28 semaines. La glycémie du TTG au premier trimestre est le plus puissant prédicteur indépendant de DG. / Abstract : The changes in clinical characteristics of pregnant women and an increase in the prevalence of gestational diabetes mellitus (GDM) warrant the importance of screening as early as possible in order to possibly prevent short and long-term complications in both the mother and fetus. GDM screening is recommended at 24-28 weeks of pregnancy, using a 50g glucose challenge test (GCT) although women with multiple risk factors are expected to be assessed “early” in pregnancy, a recommendation poorly followed. Most importantly, there is no universal agreement currently in place for GDM screening, particularly during the first trimester of pregnancy. Objectives. 1) To define the cut-off value of GCT during the first trimester in order to predict GDM diagnosed at 24-28 weeks of gestation with optimal sensitivity and specificity using ROC curve. 2) To determine if GCT during the first trimester of pregnancy is an independent predictor of GDM diagnosed at 24-28 weeks gestation. Methods. This is a prospective cohort study. Women were recruited at their first prenatal visit. Inclusion factors were: age ≥ 18 years and gestational age between 6 and 13 weeks from their last menstrual period. GCT were performed at the first prenatal visit. The second visit was scheduled at 24-28 weeks for the diagnostic 75g oral glucose tolerance test (OGTT). GDM diagnosis was made in accordance with the American Diabetes Association guidelines. A variety of statistical analysis including multivariate logistic regression models and ROC curve were used to address the aims of the study. Results. Participants (n=1180, age: 28.2±4.4 years, BMI: 25.2±5.5 kg/m[superscript 2]) underwent GCT at 9.1±2.0 weeks and OGTT at 26.5±1.1 weeks of gestation. GDM was diagnosed in 100 (8.4%) women. The cut-off value of 5.6 mmol/L predicted GDM with 84.1% (75.4-92.7) sensitivity, 62.3% (59.5-65.1) specificity, while the positive predictive value was 0.121 (0.091-0.150) and the negative predictive value was 0.985 (0.975-0.994). This 5.6 value was independently associated with GDM (OR=2.806, 95% CI: 1.98-3.97, p<0.001). Compared to other risk factors, GCT was the strongest independent predictor of GDM (OR=1.767, 95% CI: 1.52-2.05, p<0.001). Conclusions. The cut-off value of 5.6 mmol/L has the optimal sensitivity and specificity for the GCT during the first trimester to predict GDM at 24-28 weeks of gestation according to ADA guidelines. GCT during the first trimester is the strongest independent predictor of GDM at 24-28 weeks of gestation.
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Les facteurs de risque maternels et l'agressivité physique chez les jeunes enfants : le rôle des pratiques parentales

Salvas, Marie-Claude January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Projeté dans le monde : vers une éthique de la sage-femme / Born and thrown into the world : towards the ethics of midwives

De Gunzbourg, Hélène 14 December 2011 (has links)
L'enfant de la natalité (Arendt) est libre, le monde s'ouvre à lui dès sa naissance : il peut commencer une nouvelle histoire, et donner sa chance à l'humanité.Mais le petit humain, prématuré dans sa forme même, est séparé brutalement de ses enveloppes, de son double placentaire, de l'utérus maternel. Il est jeté au mon-de (Heidegger) dans l'angoisse de sa finitude et s'il ne rencontrait dans l'instant même de sa naissance ses médiateurs humains, en premier lieu sa mère, il ne pourrait affronter le négatif, l'Autre, et ne survivrait pas.Pour que s'ouvre l'espace de la naissance, pour que la mère puisse accueillir son enfant à travers les épreuves de séparation, pour qu'elle puisse laisser venir la langue maternelle, et que puisse s'incarner l'esprit dans ce nouveau-venu, elle doit pouvoir rencontrer elle aussi les médiateurs de la naissance. Certains s'évanouissent après avoir permis ce passage d'un état à un autre, d'autres persistent sous la forme d'un double —protecteur ou menaçant—. Ils accompagnent chaque naissance et le commencement de toute vie humaine. Les mythes et les rites les reconnaissent dans toutes les cultures.Cependant la médecine technicienne contemporaine qui s'est emparée de la naissance redoute la séparation, le travail du négatif, et pratique le déni, celui de la grossesse, de l'autre femme, des médiateurs de la naissance. Elle s'appuie sur l'expertise technique et mathématique, sur l'imagerie et la statistique pour créer un double imaginaire de l'enfant, celui du projet de la science, immortel et par-fait, masqué par le projet parental.La sage-femme traverse ces espaces, elle connaît les médiateurs. Fille de la médecine mais aussi guérisseuse ou sorcière elle pratique la maïeutique, l'art d'accoucher les corps et leurs âmes. Son art est difficile, sa sagesse est indicible, elle passe d'un monde à l'autre au risque de disparaître, broyée par l'arraisonnement de la Technique triomphante, aspirée par la démesure du désir de l'homme qui voudrait se créer lui-même ou par la tentation des arrière-mondes qui la condamne à rester en marge dans l'ombre archaïque des mystères. / The child of natality (Arendt) is free; the world opens up for him from his birth. He is the beginning of a new story, and he can give humankind a chance.But this little human being, whose very existence is premature, is brutally separated from his ‘placenta double' and from his mother's womb. He is thrown into the world (Heidegger), into the angst of his finiteness. If he does not meet his human mediators upon his birth, and his mother in the first place, he will not survive and will not be prepared to face negativity and the Other.The mother needs to meet the birth mediators to make room for the birth space, and to welcome her child through their separation. She needs to meet the mediators to let the mother tongue come to the child, and to let a soul enter this newcomer. Some mediators will vanish after having played a part in crossing one world to the next; others will remain as – protecting or threatening – doubles. They are present for each birth, and are there to see the beginning of new human lives. Myths and rites identify them in all cultures.But contemporary medicine, based on new technologies and techniques, has taken control of the birth process. It fears the separation and is in denial – of the pre-gnancy and of the other woman as well as of the birth mediators. Contemporary medicine is based on technical and mathematical expertise. It uses medical imaging and statistics to create an imaginary double of the child-to-be-born: this child becomes a scientific project, immortal and perfect, hidden behind the parenting project.Midwives cross these worlds, and they are in contact with the mediators. A mid-wife is not only the daughter of medicine but also a healer or a witch, practising maieutic and the art of delivering bodies and souls. Her art is a complex one, her wisdom is unspeakable and when she crosses those worlds, she is always threate-ned of disappearing, choked by the enframing (Gestell) of the forever-winning Technique. Midwives are carried away by the excessive desire of men to create themselves or by the temptation of the ‘backworlds' to leave them behind, in the obscurity of archaic mysteries.
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Connectivity analysis of the EHG during pregnancy and labor / Analyse de connectivité de l'EHG pendant la grossesse et le travail

Nader, Noujoud 31 January 2017 (has links)
L’accouchement prématuré est l’un des problèmes majeurs en obstétrique. Par suite, il a été un sujet d'intérêt pour de nombreux chercheurs. Parmi les nombreuses méthodes utilisées pour enregistrer la contractilité utérine, le plus utilisé est l'EHG abdominal, comme étant un outil facile à utiliser et non invasif. De nombreuses études ont indiqué que l'utilisation de ce signal pourrait être un outil très puissant pour surveiller la grossesse et pour détecter le travail. Il permet en effet d'accéder à l'utérus ainsi que la synchronisation de l'activité utérine, en utilisant des signaux multiples. Il a été démontré que l'analyse de connectivité des signaux EHG a donné des résultats prometteurs en application clinique, comme la classification des contractions de travail et de grossesse. Cependant, dans presque toutes les études antérieures, les matrices de corrélation EHG étaient souvent réduites en ne gardant que leur moyenne et les écarts-types, ce qui a peut aboutir à perdre des informations pertinentes en raison de ce moyennage, ce qui peut induire le taux de classification relativement faible jusqu'à présent. Pour caractériser précisément la matrice de corrélation et quantifier la connectivité associée, nous avons proposé dans cette thèse d'utiliser une technique de mesure de réseau basée sur la théorie des graphes. Selon cette approche, la matrice de corrélation obtenue peut être représentée sous forme de graphiques constitués d'un ensemble de nœuds (électrodes) interconnectés par des arêtes (valeurs de connectivité / corrélation entre électrodes). La nouvelle procédure de l'analyse des signaux EHG enregistrés pendant la grossesse et le travail se base sur la caractérisation de la corrélation entre les activités électriques utérines et sur sa quantification précise en utilisant l'approche de la théorie des graphes. Le pipeline de traitement inclut i) l'estimation des dépendances statistiques entre les différents signaux EHG enregistrés, ii) la quantification des matrices de connectivité obtenues à l'aide de l'analyse théorique des graphes et iii) l'utilisation clinique des mesures de réseau pour la surveillance de la grossesse ainsi que la classification entre les éclosions d'EHG de grossesse et de travail. Une comparaison avec les paramètres déjà existants utilisés pour la détection du travail et la détection d’accouchement prématuré sera également effectuée. Nous étudions également une nouvelle méthode pour étudier la connectivité source EHG, afin de surmonter le problème du calcul de la connectivité au niveau de la surface abdominale. Les résultats de cette thèse montrent que cette approche basée sur la théorie de graphe est un outil très prometteur pour quantifier la synchronisation utérine, lorsqu'elle est appliquée à l'abdomen, pour une meilleure surveillance de la grossesse. Nous espérons que cette approche soit utilisée pour le suivi de la grossesse et contribuerait ainsi à la prédiction précoce de l’accouchement prématuré. / Preterm birth remains a major problem in obstetrics. Therefore, it has been a topic of interest for many researchers. Among the many methods used to record the uterine contractility, the most used is the abdominal EHG, as being an easy to use and a non-invasive tool. Many studies have reported that the use of this signal could be a very powerful tool to monitor pregnancy and to detect labor. It indeed permits to access the uterine as well as the synchronization of the uterine activity, by using multiple signals. It has been shown that the connectivity analysis gave promising results when using EHG recordings in clinical application, such as the classification labor/pregnancy contractions. However, in almost all previous studies EHG correlation matrices were often reduced keeping only their mean and standard deviations thus relevant information may have been missed due to this averaging, which may induce the relatively low classification rate reported so far. To characterize precisely the correlation matrix and quantify the associated connectivity, we proposed in this thesis to use a network measure technique based on graph theory. According to this approach, the obtained correlation matrix can be represented as graphs consisting of a set of nodes (electrodes) interconnected by edges (connectivity/correlation values between electrodes). The new framework, to analyze the EHG signals recorded during pregnancy and labor, is based on the characterization of the correlation between the uterine electrical activities and on its precise quantification by using graph theory approach. The processing pipeline includes i) the estimation of the statistical dependencies between the different recorded EHG signals, ii) the quantification of the obtained connectivity matrices using graph theory-based analysis and iii) the clinical use of network measures for pregnancy monitoring as well as for the classification between pregnancy and labor EHG bursts. A comparison with the already existing parameters used in the state of the art for labor detection and preterm labor prediction will also be performed. We also investigate a new method to study the EHG source connectivity, to overcome the problem of computing the connectivity at the abdominal surface level. The results of this thesis showed that this network-based approach is a very promising tool to quantify uterine synchronization, when applied at the abdominal level, for a better pregnancy monitoring. We expect this approach to be further used for the monitoring of pregnancy and would thus help for the early prediction of preterm labor.
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Obésité et grossesse : étude de l'influence d'un marqueur de l'obésité sur les mécanismes cellulaires et tissulaires de l'accouchement dans un modèle d'explants myométriaux humains

Wendremaire, Maeva 07 May 2012 (has links) (PDF)
L'obésité maternelle, dont la prévalence ne cesse d'augmenter, est associée à de nombreux troubles de l'accouchement, tels que des dépassements de terme à l'origine d'une augmentation du taux de césariennes. Ces troubles pourraient, en partie, s'expliquer par une concentration plasmatique de leptine plus élevée chez les femmes enceintes obèses ainsi que par les effets inhibiteurs, démontrés in vitro, de cette adipokine sur la contractilité myométriale. Au moment de l'accouchement, la transition phénotypique du myomètre d'un état de quiescence utérine à un état contractile est une étape clé indispensable à la mise en route du travail. Elle est associée à une activation de l'apoptose des cellules myométriales ainsi qu'à un remodelage de la matrice extracellulaire utérine. Le but de notre travail était d'étudier la capacité de la leptine à moduler l'apoptose et le remodelage myométriaux induits par le lipopolysaccharide (LPS).Les échantillons de myomètre ont été prélevés lors de césariennes réalisées avant la mise en route du travail, à la maternité du CHU de Dijon. Les effets de la leptine ont été évalués après incubation des explants myométriaux pendant 48 heures avec du LPS (10 µg/ml) avec ou sans leptine (de 10-10 à 10-8 M).Nos résultats ont démontré la capacité de la leptine à inhiber, de façon concentration-dépendante, l'apoptose induite par le LPS en diminuant l'expression des protéines pro-apoptotiques (caspase-3 clivée, BAX) et en augmentant celle du médiateur anti-apoptotique BCL2. Cet effet anti-apoptotique de la leptine dans le myomètre gestant était associé à l'activation de la voie de signalisation ERK1/2. De plus, nos résultats ont montré que la leptine était également capable de s'opposer, de façon concentration-dépendante, à la dégradation du collagène de la matrice extracellulaire myométriale induite par le LPS. Cet effet était associé à l'inhibition de l'activation et de la surexpression des métalloprotéinases MMP2 et MMP9 induites par le LPS.Ce travail a permis d'approfondir les connaissances sur le rôle de la leptine dans la régulation de l'activité du myomètre. Nos résultats suggèrent que les troubles de l'accouchement observés chez les femmes obèses résulteraient de l'inhibition de l'apoptose et du remodelage myométriaux par la leptine, en plus de l'inhibition de la contractilité utérine déjà décrite.
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Efficience du mode de prélèvement vaginal dans le cadre du dépistage systématique du Streptocoque du groupe B étude de 1353 prélèvements /

Bouillevaux, Emilie January 2009 (has links) (PDF)
Mémoire de sage-femme : Médecine : Nancy 1 : 2009. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr.
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Histoire pondérale des femmes en relation avec la croissance foetale et l'issue de la grossesse

Diouf, Ibrahima 02 November 2011 (has links) (PDF)
Contexte : La corpulence de la femme est fortement associée à la croissance foetale. C'est pourquoi l'augmentation du poids des femmes en France devrait s'accompagner d'une augmentation parallèle du poids de naissance. Des modèles animaux ont récemment suggéré qu'en dehors de l'IMC avant grossesse, les variations du poids maternel dans la période périconceptionnelle peuvent être des indicateurs de son statut nutritionnel pendant cette période et influencer la croissance foetale et le déroulement de la grossesse.Objectif : 1) Evaluer les évolutions de la corpulence des femmes et du poids de naissance. 2) Analyser le rôle de la nutrition périconceptionnelle maternelle sur la croissance foetale et le déroulement de la grossesse.Populations : Les données utilisées pour cette thèse sont celles des enquêtes ObEpi, des enquêtes nationales périnatales françaises et de l'étude EDEN. 1) Pour chaque année d'enquête ObEpi (1997, 2000, 2003, 2006), des données sur le poids et la taille ont été obtenues par des questionnaires envoyés à 20000 ménages représentatifs de la population nationale. 2) Les paires mère-enfant parmi les naissances uniques vivantes des enquêtes périnatales de 1972, 1981, 1995, 1998 et 2003 ont été sélectionnées (n=8664, 4494, 11445, 12006, 12692, respectivement). Lors des enquêtes périnatales, les mères ont répondu à des questionnaires quelques jours après l'accouchement et des données sur le nouveau-né et l'accouchement ont été obtenues à partir du dossier médical. 3) Dans l'étude EDEN qui a inclu 2002 femmes recrutées dans les centres de Nancy et de Poitiers, les poids des femmes à l'âge de 20 ans et juste avant la grossesse, l'anthropométrie du foetus aux 2nd et 3'eme trimestres, le poids de naissance et les complications de la grossesse ont été recueillis. Des mesures de poids des femmes au cours de la grossesse ont été disponibles et ont permis d'estimer le poids des femmes à chaque semaine de la grossesse avec un modèle mixte.Résultats : L'analyse d'un effet cohorte de naissance avec les données des enquêtes ObEpi a montré une accélération de l'augmentation de la prévalence de l'obésité pour les générations nées après les années 1960 en particulier chez les femmes. L'augmentation de l'IMC avant grossesse en France s'est accompagnée d'une augmentation du poids de naissance de 1972 à 1995, avec une tendance à la baisse du poids de naissance par la suite. Par ailleurs, nous avons mis en évidence qu'une perte de poids depuis l'âge de 20 ans chez les femmes qui avaient un IMC <25kg/m2 était associée à un risque augmenté d'avoir un bébé petit pour son âge gestationnel après ajustement sur l'IMC avant grossesse. Une prise de poids avant la grossesse était associée à des risques augmentés de diabète et d'hypertension gestationnels après ajustement sur l'IMC avant grossesse. La variation du poids de la femme au premier trimestre de la grossesse était spécifiquement associée à la croissance fœtale et à la corpulence du nouveau-né indépendamment des variations au 2nd et au 3ème trimestres.Conclusion : Les hommes et les femmes nés après les années 1960 ont été exposés à un environnement qui a augmenté leur susceptibilité à l'obésité tout au long de la vie. Par ailleurs, des recherches supplémentaires sont nécessaires pour comprendre les facteurs associés à la non augmentation du poids de naissance depuis les années 1995 malgré une augmentation du poids des femmes. Nos résultats font penser que les variations de poids pré-conceptionnelles pourraient être prises en compte dans l'évaluation du risque obstétrical.
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Prise en charge des femmes enceintes infectées par le VIH en France à l'ère des multithérapies : des recommandations aux pratiques

Jasseron, Carine 26 November 2012 (has links) (PDF)
L'objectif de cette thèse est de décrire la prise en charge en France des femmes enceintesinfectées par le VIH à l'ère des multithérapies, de mesurer les écarts par rapport auxrecommandations, d'identifier des facteurs liés à des prises en charge non optimales du pointde vue du risque de transmission et d'améliorer les recommandations pour certaines situationsminoritaires encore mal étudiées. Ce travail est issu des données de l'Enquête PérinataleFrançaise (ANRS-EPF), la seule cohorte nationale et l'une des plus larges sur le planinternational, avec 17 491 couples mères-enfants inclus depuis 1986.Actuellement, presque toutes les femmes sont traitées par multithérapie (96,5% en 2009) et letaux de transmission est inférieur à 1% (0,6% ; IC95% : 0,2-1,4). Les prises en charge nonoptimales du point de vue de la prévention de la transmission mère-enfant du VIH (PTME)(dépistage du VIH tardif, absence ou retard à l'initiation des traitements antirétrovirauxpendant la grossesse, en perpartum ou en prophylaxie post-natale, échec virologique en fin degrossesse, accouchement par voie basse malgré une charge virale non contrôlée, allaitementmaternel) sont de plus en plus rares en France (0,2% à 5,5% en 2009). Le taux de césariennereste cependant nettement plus élevé qu'en population générale, du fait notamment d'un tauxélevé de césariennes programmées malgré une charge virale contrôlée, ce qui n'est pasconforme aux recommandations. On n'observe pas pour autant un taux de transmission plusbas pour les césariennes programmées lorsque la charge virale est contrôlée.L'immigration en provenance d'un pays d'Afrique sub-saharienne est associée à undiagnostic du VIH plus tardif pendant la grossesse, mais l'accès à la PTME et l'observancesemblent similaires à ceux des Françaises de métropole, une fois le diagnostic établi. La nondivulgation du statut VIH maternel au père de l'enfant, plus fréquente chez les africaines, estassociée à une PTME moins optimale, mais sans augmentation de la transmission mère-enfant du VIH.Nous avons également évalué les recommandations pour certaines situations minoritaires.Pour les femmes infectées par le VIH-2 (2,6% des femmes de la cohorte EPF), dont le risquede transmission mère-enfant est spontanément faible, nos résultats contribuent à justifier uneprise en charge moins intensive que celles des femmes infectées par le VIH-1. Pour lesfemmes nécessitant une amniocentèse, associée à un risque accru de transmission mère-enfantavant l'ère des multithérapies, nos résultats ne montrent pas d'augmentation de risque chez lesfemmes traitées par multithérapie.Nos résultats sont globalement encourageants pour un système offrant un accès universel etgratuit aux soins pour le VIH, facilitant ainsi l'accès aux soins aux populations en situation deprécarité, qui restent néanmoins les plus à risque de prises en charge non optimales.

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