• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 74
  • 52
  • 7
  • 7
  • 5
  • 3
  • 2
  • 2
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 229
  • 229
  • 55
  • 52
  • 40
  • 27
  • 24
  • 24
  • 24
  • 23
  • 19
  • 19
  • 19
  • 19
  • 16
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
191

Spatial ecology of Eastern Box Turtles (Terrapene c. carolina) in the Oak Openings Region of Northwestern Ohio

Cross, Matthew David 18 July 2016 (has links)
No description available.
192

Survival and Habitat Use of Non-breeding Northern Bobwhites on Private Lands in Ohio

Janke, Adam K. 16 December 2011 (has links)
No description available.
193

Passage, migration behavior, and autoecology of adult Pacific lamprey at Winchester Dam and within the North Umpqua River Basin, Oregon, USA

Lampman, Ralph Tatsuo 22 November 2011 (has links)
The extensive reduction in adult Pacific lamprey (Entosphenus tridentatus) counts at many hydroelectric dams in the northwestern USA signals a substantial decline in lamprey numbers across the entire region in the past 40 to 50 years. Among the many potential causes of this decline, obstruction of migration routes has likely played a substantial role. Within the North Umpqua River basin in southwest Oregon, USA, I focused on the following three research goals: 1) to describe the passage efficiency and migration routes of adult Pacific lamprey at Winchester Dam; 2) to evaluate the seasonal movement patterns of adult Pacific lamprey and their use of holding habitat at Winchester Dam in relation to temperature conditions; and 3) to portray the diversity of upstream migratory behaviors of adult Pacific lamprey and the environmental factors that influence these behaviors. This radio telemetry study was conducted between March 2009 and August 2011 with a combination of fixed stations and manual tracking. Passage efficiency was low in both years (8% and 19%, respectively), and all tagged lamprey that successfully passed the dam used routes other than the fish ladder. Lamprey that migrated early within the run and those with relatively small tags had higher passage rates and traveled further than the other groups of lamprey. Lamprey released above of the dam or those that passed the dam on their own distributed themselves widely in the upstream environment, suggesting that the dam deterred their upstream migration. Using mark-recapture data for the two years, the adult Pacific lamprey population upstream of Winchester Dam was estimated at 960 (95% C.I. [188, 4760]) in 2009 and 556 (95% C.I. [110, 2798]) in 2010, which was considerably lower than historical counts at the dam (between 14,532-46,785 in 1965-1971). Most tagged lamprey that did not pass the dam remained at the base of the dam at the end of the summer migration (63% in 2009 and 67% in 2010). Types of habitat most frequently used by lamprey downstream from the dam included the dam surface (wooden structures with crevices), interface zones between fast and slow water, and highway bridge pilings. The lamprey movement changed considerably between August and September, and the frequency of movements decreased sharply during this period. Tagged lamprey were detected using thermal refuges immediately downstream of the dam that were 0.4 to 2.8 C° colder than the mean river temperature at the dam, and this temperature differential increased as the season progressed. Lamprey may be seeking overwintering habitat associated with hyporheic exchange flows at the dam towards the end of the summer season after their display of heightened activity early in the summer. Ninety-five percent of the overall upstream migration took place during the first spring/summer period, and only small-scale upstream movements were observed during the winter and second spring/summer (4% and 1%, respectively). The rate of upstream migration (median) was the fastest during the initial migration phase and was 1.9 km/day (ranging from 0.3 to 11.0 km/day) for tagged lamprey released above Winchester Dam. During winter, 71% of the lamprey remained in the same location where they initiated holding. Multiple regression analysis indicated that the total upstream distance traveled by individual lamprey was most strongly related to presence/absence of Winchester Dam, relative tag size, and water temperature and photoperiod conditions at release. The presence of Winchester Dam, large relative tag size, and high water temperature / short photoperiod conditions at release significantly reduced upstream migration distance. / Graduation date: 2012
194

Échantillonnage et modélisation de l’habitat des communautés de poissons de rivière des basses Laurentides

Chamberland, Jean-Martin 04 1900 (has links)
Plusieurs études à grande échelle ont identifié la modification ou la perte d’habitats comme menace principale à la conservation des communautés de poissons d’eau douce. Au Canada, « aucune perte nette dans la capacité productive des habitats » (NNL) est le principe directeur de la politique de gestion des habitats du ministère des Pêches et Océans. Le respect du NNL implique l’avancement des connaissances au niveau des relations entre les poissons et leurs habitats, de même que des outils pour quantifier l’impact de la modification des habitats sur les poissons. Les modèles d’utilisation de l’habitat des poissons (FHUM) sont des outils qui permettent d’améliorer nos connaissances des relations poissons – habitat, de prédire la distribution des espèces, mais aussi leurs densités, biomasses ou abondances, sur la base des caractéristiques de l’environnement. L’objectif général de mon mémoire est d’améliorer la performance des FHUM pour les rivières des basses Laurentides, en suggérant des perfectionnements au niveau de 2 aspects cruciaux de l’élaboration de tels modèles : la description précise de la communauté de poissons et l’utilisation de modèles statistiques efficaces. Dans un premier chapitre, j’évalue la performance relative de la pêcheuse électrique et de l’échantillonnage en visuel (plongée de surface) pour estimer les abondances des combinaisons d’espèces et de classes de taille des poissons en rivière. J’évalue aussi l’effet des conditions environnementales sur les différences potentielles entre les communautés observées par ces 2 méthodes d’échantillonnage. Pour ce faire, 10 sections de rivière de 20 m de longueur ont été échantillonnées à l’aide de ces 2 méthodes alors qu’elles étaient fermées par des filets de blocage. 3 plongeurs performèrent l’échantillonnage en visuel en se déplaçant de l’aval vers l’amont des sections, tout en dénombrant les espèces et classes de taille. Par la suite, nous avons fait 3 passages de pêcheuse électrique et les abondances furent estimées grâce à un modèle restreint de maximum de vraisemblance, basé sur la diminution des abondances observées. De plus grandes abondances de poissons furent observées en visuel qu’avec la pêcheuse électrique à tous les sites. La richesse spécifique observée en visuel était plus élevée (6/10) ou égale (4/10) à celle observée avec la pêcheuse électrique. Les différences entre les communautés de poissons observées à l’aide de ces 2 méthodes ne purent être reliées aux conditions environnementales. Les résultats de cette expérience sont contraires à ceux de toutes les études comparant ces 2 méthodes d’échantillonnage, lesquels suggèrent une supériorité de la pêcheuse électrique. Les conditions environnementales de notre expérience étaient distinctes de celles observées dans les autres études (absence d’arbres tombés dans l’eau, très peu de substrats grossiers), mais la différence la plus marquante était en terme de communauté de poissons observée (dominance des cyprinidés et des centrarchidés plutôt que des salmonidés). Je termine ce chapitre en suggérant que les caractéristiques comportementales favorisant l’évitement de la capture (formation de bancs) et facilitant l’observation en visuel (curiosité) sont responsables de la supériorité de la plongée de surface pour échantillonner les communautés dans les rivières des basses Laurentides. Dans un deuxième chapitre, je développe des FHUM pour des communautés de poissons de rivière ayant plusieurs espèces. Dans le but de simplifier la modélisation de telles communautés et d’améliorer notre compréhension des relations poissons – habitat, j’utilise les concepts de guilde écologique et de filtre environnemental pour explorer les relations entre les guildes formées sur la bases de différents types de traits (reproducteurs, taxonomiques, éco-morphologiques et alimentaires) et les conditions environnementales locales à l’échelle du méso-habitat. Les modèles d’habitats basés sur les guildes reproductrices ont clairement surpassé les autres modèles, parce que l’habitat de fraie reflète l’habitat de préférence en dehors de la période de reproduction. J’ai également utilisé l’approche inverse, c’est à dire définir des guildes d’utilisation de l’habitat et les mettre en relation avec les traits des espèces. Les traits reliés à l’alimentation des poissons ont semblés être les meilleurs pour expliquer l’appartenance aux groupes d’utilisation de l’habitat, mais le modèle utilisé ne représentait pas bien la relation entre les groupes. La validation de notre modèle basé sur les guildes reproductrices avec un jeu de données indépendant pourrait confirmer notre découverte, laquelle représente une manière prometteuse de modéliser les relations poissons – environnement dans des communautés de poissons complexes. En conclusion, mon mémoire suggère d’importantes améliorations aux FHUM pour les communautés de poissons des basses Laurentides, en suggérant de prendre en compte les caractéristiques biologiques des cours d’eau dans le choix d’une méthode d’échantillonnage, et également en utilisant une méthode prometteuse pour simplifier les FHUM de communautés de poissons complexes : les guildes reproductrices. / Many large scale studies have identified habitat modification or habitat losses as primary threats for the conservation of freshwater fish communities. In Canada, No Net Loss (NNL) of the productive capacity of habitats is the guiding principle of the Department of Fisheries and Oceans’ policy for the management of fish habitat. To respect NNL, a better understanding of fish-habitat relationships is required, as well as tools to quantify the impact of habitat modifications on fish. Fish habitat use models (FHUM) are tools that can improve our understanding of fish-habitat relationships, predict species occurrences, densities or biomass on the basis of habitat descriptors and quantify habitat requirements. They consist in relationships between biological descriptors of fish and habitat descriptors. The general objective of my thesis is to improve the performance of FHUM for the lower Laurentian streams by suggesting refinements on 2 crucial aspects in the development of these models: a precise description of the fish community and the use of efficient statistical models. In the first chapter, I evaluate the relative performance of electrofishing and visual surveys (snorkeling) for estimating the abundance of combinations of fish species and size classes in rivers. I also assessed the effect of environmental conditions on potential differences between the results obtained using these two sampling methods. Sampling sites consisted in 10 river sections of 20 m in length distributed in the Laurentian region of Québec. Both methods were used while sections were blocked. Three snorkelers that swam the river sections upstream while identifying and counting fish of each species and size-classes performed visual surveys. Three-pass electrofishing was performed and abundances were estimated with a maximum likelihood depletion model. Greater abundances of fish were observed by snorkeling than by electrofishing at all sites. Snorkeling species richness was higher (6/10) or equal (4/10) to electrofishing richness. Differences in the fish communities observed by both sampling methods were not related to environmental conditions. The results of our work are therefore contrary to that of most published studies that suggested the superiority of electrofishing on visual surveys. Compared to the conditions found in previous studies, our sampling sites had different environmental characteristics (no fallen trees, insignificant cover of large cobble and boulder) but the most striking dissimilarity was in terms of fish communities (dominance of cyprinids and centrarchids instead of salmonids). Behavioural characteristics favouring capture avoidance (schooling) and facilitating underwater observation (curiosity) may be responsible for the superiority of visual surveys in our study rivers. Survey methods should be selected based on fish community composition. In the second chapter, I develop FHUM for complex stream fish communities. In order to simplify the modelling of such communities, as well as improve our understanding of fish – habitat relationships, I used the ecological guild concept and the niche filtering hypothesis to explore the relationships between guilds based on different types of traits (eco-morphological, reproductive, alimentary and taxonomic) and local environmental descriptors, at the coarse meso-habitat scale. Reproductive guilds led to FHUM that clearly outperformed the other 3 approaches, because of the close relationship between preferred spawning grounds and non spawning habitat preferences, and also because reproductive traits are linked to habitat characteristics at the reach or coarse mesohabitat scale. We also defined guilds based on habitat-use and related them to species traits. Traits related to the feeding biology of fishes seemed to be the best at explaining the habitat-use guilds, but our model did not correctly represent the among-guild relationships. Validation of our reproductive trait model on an independent dataset would confirm our finding, which represents a promising way of modelling fish - habitat relationships in complex fish communities. In conclusion, my thesis suggests important improvements to FHUM models in the Laurentian streams by giving new insights on the choice of a sampling method that take into account the biological characteristics of the streams targeted, and by using a promising way of simplifying FHUM for species rich communities: reproductive guilds.
195

Le roseau commun (Phragmites Australis) influence-t-il la composition spécifique et le développement larvaire d'amphibiens?

Perez, Amélie 08 1900 (has links)
Les plantes envahissantes sont considérées comme l'une des plus grandes menaces sur les espèces, mais leurs impacts sur les amphibiens demeurent peu connus. L’objectif de ce projet est de déterminer l’effet de l’établissement du roseau commun (Phragmites australis) sur la répartition des amphibiens et sur leur développement larvaire. Il est présumé que cette plante s'accapare l'espace et les ressources disponibles en produisant une importante biomasse, qu’elle peut modifier l’hydrologie des marais et la structure des communautés d’amphibiens. J’ai évalué les facteurs influençant la répartition des amphibiens selon les caractéristiques des étangs et du paysage dans 50 sites envahis ou non à divers degrés. Des expériences ont également été menées afin d’étudier les répercussions de trois densités de roseau sur des têtards de la Grenouille des bois (Lithobates sylvaticus) et sur la qualité de son habitat. Mes résultats suggèrent que le roseau à forte densité ralentit le développement larvaire de la grenouille des bois et influence les assemblages phytoplanctoniques. Cependant, il n’y a aucune relation entre la densité de la plante et la survie, la morphologie des têtards et les caractéristiques biotiques et abiotiques de l’eau. Dans notre aire d’étude, le paysage autour des étangs a une plus grande influence sur la répartition des amphibiens que l'établissement du roseau. Toutefois, la probabilité d’assèchement est plus élevée lorsque la plante est établie en grande quantité, ce qui, si l’envahissement s’intensifie, aura un effet néfaste sur la survie des têtards et mettra en péril la persistance des populations. / Invasive plants are considered one of the greatest threats to species, but their impact on amphibians is still poorly understood. The objective of this project is to determine the effect of the establishment of common reed (Phragmites australis) on amphibian distribution and larval development. It is thought that this plant monopolizes space and resources by producing a large biomass, and may alter wetland hydrology and amphibian community structure. I evaluated the factors influencing amphibian distribution according to the characteristics of ponds and the surrounding landscape in 50 sites invaded or not by reeds to varying degrees. Experiments were also conducted to study the impacts of three reed densities on wood frog tadpoles (Lithobates sylvaticus) and the quality of their habitat. My results suggest that high reed density slows wood frog larval development and influences phytoplankton assemblages. However, there is no relationship between, plant density and survival, tadpole morphology and water biotic and abiotic characteristic. In our study area, the landscape surrounding ponds has a greater influence on amphibian distribution than does reed establishment. However, the desiccation probability is higher when the plant is established in high quantities, which, if the invasion intensifies, will have an adverse effect on tadpole survival and therefore population persistence.
196

Use of Gallery and Non-Gallery Forest by Ungulates Inhabiting the Loma Mountains Non-Hunting Forest Reserve, Sierra Leone, West Africa

Kortenhoven, Aaron Peter 01 January 2009 (has links)
This 11-month study examined rates of encountering dung pellet groups, dung piles and ungulates in gallery forests and non-gallery forests during diurnal surveys in the Loma Mountains Non-Hunting Forest Reserve (LMNHFR) in Sierra Leone, West Africa. These indices of relative abundance were then used to infer relative habitat use by the seven ungulate species on which data were collected. This study also examined the differences in rates of encountering duikers during nocturnal surveys with rates of encountering duikers during diurnal surveys to determine which time of day produces higher rates of encounter, and thereby a more accurate estimate of duiker abundance. The dung of four of the seven species, namely Cephalophus niger, Philantomba maxwelli, Tragelaphus scriptus, and Potamochoerus porcus is encountered at a higher rate in gallery forest than in non-gallery forest. Rates of encountering the dung of three species, C. silvicultor, C. dorsalis and Syncerus caffer nanus, do not differ between forest types. Rates of encountering four species, namely C. niger, P. maxwelli, T. scriptus, and C. silvicultor are higher in gallery forest than in non-gallery forest. Rates of encountering three species, namely C. dorsalis, S. caffer nanus, and P. porcus do not differ between forest types. Rates of encountering duikers ranged from three to six times higher during nocturnal surveys than during diurnal surveys for C. niger and P. maxwelli and 20 times higher for C. dorsalis. Survey timing did not affect the rate of encounter for C. silvicultor. Forest ungulates in the LMNHFR utilize gallery forests regularly. Possible reasons for the higher rates of encounter for six of the species in gallery forests compared with non-gallery forests are access to water, readily available browse resulting from annual fire damage on the periphery and interior of gallery forests, and easy access to cover for ungulates when foraging in adjacent grassland. Given the current rate of forest loss in West Africa, studies examining how forest mammals are able to persist in small forest fragments should be high priority for both government and conservation groups. The findings here give evidence that forest ungulates can and do use small areas of forest. Most importantly, the findings from this study show the global value of the LMNHFR for the conservation of large mammals endemic to the Upper Guinea Forests.
197

Biología de Gambusia holbrooki Girard en sistemas salinos epicontinentales (SE Península Ibérica): aspectos básicos y aplicados a su gestión

Ruiz Navarro, Ana 08 July 2011 (has links)
El Poecílido Gambusia holbrooki, mundialmente introducido en sistemas acuáticos epicontinentales, presenta una alta capacidad invasora y supone una seria amenaza para las comunidades nativas. En la Península Ibérica, destaca su impacto sobre los Ciprinodóntidos nativos, aunque también supone una amenaza para los sistemas salinos, principalmente en regiones áridas. Para contribuir al establecimiento de criterios científicos para el manejo de esta especie, la presente tesis doctoral aporta información básica sobre la estructura y parámetros de la biología de poblaciones habitantes de sistemas salinos del sureste peninsular. Se plantearon tres objetivos generales: (1) Ampliar el conocimiento sobre la biología y ecología de G. holbrooki en sistemas lóticos de carácter salino. (2) Estudiar la interacción trófica entre G. holbrooki y la especie nativa Aphanius iberus en un sistema salino. (3) Realizar y analizar una experiencia de control sostenido sobre una población de G. holbrooki aislada en la cabecera de un arroyo salino. / The Poeciliid Gambusia holbrooki, globally widespread in freshwater aquatic systems, is highly invasive and represents a serious threat to native communities. In the Iberian Peninsula, its impact on the native Cyprinodontids has been emphasized, although it also poses a threat to arid saline systems. To contribute to the establishment of scientific criteria in management plans of its invasive populations, the present PhD thesis aims to provide basic information about population structure and biological traits of G. holbrooki populations inhabiting saline systems in the southeastern Iberian Peninsula, with three general objectives: (1) To increase knowledge of the biology and ecology of G. holbrooki in saline lotic systems. (2) To analyse trophic interaction between G. holbrooki and the native Aphanius iberus in a saline system. (3) To conduct and examine the results of an experience of sustained control of a population of G. holbrooki isolated in the headwaters of a saline stream.
198

Auswirkungen anthropogener Landnutzung auf die Siedlungsstruktur, Raum- und Habitatnutzung des Europäischen Dachses (Meles meles L., 1758) auf der Insel Rügen

Walliser, Gerlinde 08 August 2004 (has links) (PDF)
Auf der Ostseeinsel Rügen wurde eine 3-jährige Untersuchung zur Siedlungsstruktur, Raum- und Habitatnutzung des Dachses (Meles meles L., 1758) unter besonderer Berücksichtigung der Landschaftszerschneidung und des Landnutzungsmusters durchgeführt. Über 70 % der Inselfläche ist landwirtschaftlich, überwiegend ackerbaulich, genutzt und nur knapp ein Fünftel wird von Wald bedeckt. Während die Zersiedelung und Zerschneidung der Landschaft durch Siedlungs- und Verkehrsfläche im bundesdeutschen Vergleich als sehr gering einzustufen war, ist nach der ?Wende? eine stete Verdichtung des Straßennetzes zu beobachten, die von einem enormen Anstieg der Verkehrsdichte begleitet wird. Die Auswirkungen dieser Rahmenbedingungen wurden anhand von Nahrungsanalysen, eines inselweiten Baukatasters, Fang und Telemetrie einiger Dachse sowie einer Erfassung verkehrstoter Dachse untersucht. Die erfassten Totfunde dienten einer Abschätzung des Gefährdungspotentials unterschiedlicher Straßentypen (Bundesstraße, Landesstraße usw.). Zusätzlich wurde auf Grundlage des Baukatasters, des Totfundkatasters und von Verkehrszählungen der Zusammenhang zwischen Verkehrslast, Siedlungsdichte (des Dachses) und Verkehrsmortalität des Dachses mit Hilfe eines einfachen Modells ermittelt. / On the baltic island of Rügen investigations had been carried for 3 years with regard to distribution, space use and habitat utilization of the European badger (Meles meles L., 1758). Special attention was focused on landscape fragmentation and patterns of land use. More than 70 % of the island is agricultural, almost arable land and just under a fifth is woodland. Before 1990, fragmentation and dessection of the landscape due to housing and roads was low compared with the german average, but after the political "turn" the road system has increased constantly combined with an enormous increase in traffic density. The effect of these conditions on badgers was investigated studying diet composition, surveying and registrating badger setts all over the island, badger-watching and trapping, radio-tracking some badgers and collecting all reported badgers fallen victim to traffic accidents. Relating the road-killed badgers to the length and traffic density of the different road categories, potential danger to be killed by car was estimated. Relating the density of traffic, the density of the badger's local population and its road-mortality was done by simply using data of the sett survey, the road-killed badgers and traffic census.
199

Behaviour, interactions and habitat use of European bison (Bison bonasus), Exmoor ponies (Equus ferus) and Dybowski deer (Cervus nippon hortulorum) in a mixed-species enclosure at Tierpark Sababurg / Verhalten, Interaktionen und Raumnutzung von Wisenten (Bison bonasus), Exmoor-Ponys (Equus ferus) und Dybowski-Hirschen (Cervus nippon hortulorum) auf einer weiträumigen Gemeinschaftsanlage im Tierpark Sababurg

Delling, Michel 08 May 2013 (has links)
Vom Frühjahr 2010 bis Frühsommer 2011 wurden Verhalten, intra- und interspezifische Interaktionen sowie Raumnutzung von Wisenten (Bison bonasus), Exmoor-Ponys (Equus ferus) und Dybowski-Hirschen (Cervus nippon hortulorum) auf einer 14 ha großen Gemeinschaftsanlage im Tierpark Sababurg untersucht. 15 Individuen wurden dazu insgesamt für 605 Stunden mittels focal-animal und scan sampling beobachtet. Die Mittelwerte der Hauptverhaltensweisen über den gesamten Beobachtungszeitraum ergaben bei den Wisenten Tagesanteile von 47,73 % für Nahrungsaufnahme, 43,05 % für Ruheverhalten, 6,79 % für Fortbewegung und 1,68 % für Komfortverhalten. Die Exmoor-Ponys fraßen 58,62 % des Tages, ruhten 34,54 %, nutzten 3,87 % für die Fortbewegung und verbrachten 1,37 % mit Komfortverhalten. 47,22 % der Zeit wurden von den Dybowski-Hirschen zur Nahrungsaufnahme verwendet, 43,64 % geruht, 4,55 % zur Fortbewegung genutzt und 2,44 % mit Komfortverhalten verbracht. All diese Verhaltensweisen waren Bestandteil eines artspezifischen Tagesrhythmus aus alternierenden Nahrungsaufnahme- und Ruhephasen. Die prozentualen Anteile und somit auch die Ausprägung dieses Tagesrhythmus variierten dabei allerdings teilweise stark zwischen den einzelnen Jahreszeiten und den damit verbundenen klimatischen und umweltbedingten Veränderungen. Die Individuen aller drei Arten verhielten sich dabei völlig normal im Rahmen der nachgewiesenen Bandbreite des natürlichen Verhaltens ihrer wildlebenden Artgenossen, unbeeinflusst von den Gehegebedingungen und Eingriffen des Zuchtmanagements. Interspezifische Interaktionen traten regelmäßig auf, positive Kontakte blieben dabei allerdings auf die Exmoor-Ponys und die Dybowski-Hirsche beschränkt. Agonistische Interaktionen waren meist lediglich als einfache Drohgebärden oder als indirekte Interaktionen ohne körperlichen Kontakt feststellbar. Eine feste Artenhierarchie ist etabliert und wird von allen Tieren akzeptiert, wobei die Wisente die dominante Rolle einnehmen, gefolgt von den Exmoor-Ponys und den Dybowski-Hirschen. Die Habitatnutzungsanalyse ergab für alle drei Arten bevorzugte Aufenthaltsbereiche und genutzte Gehegeobjekte. Dabei war wie das Verhalten auch die Habitatnutzung stark von den jahreszeitlich veränderlichen Umweltbedingungen beeinflusst. Während die offeneren Areale insbesondere im Frühjahr und Herbst genutzt wurden, bevorzugten die Tiere im Sommer und Winter eher die geschützteren Anlagenbereiche, im Sommer hauptsächlich als Schattenbereich, im Winter als Wetterschutz. Zusammenfassend betrachtet funktioniert das Zusammenleben der Wisente, Exmoor-Ponys und Dybowski-Hirsche im Tierpark Sababurg ohne Probleme und kann als Beispiel-Projekt für die zukünftige Forschung über die Möglichkeiten für Beweidungsprojekte mit heimischen Wildtieren im Naturschutz dienen.
200

Échantillonnage et modélisation de l’habitat des communautés de poissons de rivière des basses Laurentides

Chamberland, Jean-Martin 04 1900 (has links)
Plusieurs études à grande échelle ont identifié la modification ou la perte d’habitats comme menace principale à la conservation des communautés de poissons d’eau douce. Au Canada, « aucune perte nette dans la capacité productive des habitats » (NNL) est le principe directeur de la politique de gestion des habitats du ministère des Pêches et Océans. Le respect du NNL implique l’avancement des connaissances au niveau des relations entre les poissons et leurs habitats, de même que des outils pour quantifier l’impact de la modification des habitats sur les poissons. Les modèles d’utilisation de l’habitat des poissons (FHUM) sont des outils qui permettent d’améliorer nos connaissances des relations poissons – habitat, de prédire la distribution des espèces, mais aussi leurs densités, biomasses ou abondances, sur la base des caractéristiques de l’environnement. L’objectif général de mon mémoire est d’améliorer la performance des FHUM pour les rivières des basses Laurentides, en suggérant des perfectionnements au niveau de 2 aspects cruciaux de l’élaboration de tels modèles : la description précise de la communauté de poissons et l’utilisation de modèles statistiques efficaces. Dans un premier chapitre, j’évalue la performance relative de la pêcheuse électrique et de l’échantillonnage en visuel (plongée de surface) pour estimer les abondances des combinaisons d’espèces et de classes de taille des poissons en rivière. J’évalue aussi l’effet des conditions environnementales sur les différences potentielles entre les communautés observées par ces 2 méthodes d’échantillonnage. Pour ce faire, 10 sections de rivière de 20 m de longueur ont été échantillonnées à l’aide de ces 2 méthodes alors qu’elles étaient fermées par des filets de blocage. 3 plongeurs performèrent l’échantillonnage en visuel en se déplaçant de l’aval vers l’amont des sections, tout en dénombrant les espèces et classes de taille. Par la suite, nous avons fait 3 passages de pêcheuse électrique et les abondances furent estimées grâce à un modèle restreint de maximum de vraisemblance, basé sur la diminution des abondances observées. De plus grandes abondances de poissons furent observées en visuel qu’avec la pêcheuse électrique à tous les sites. La richesse spécifique observée en visuel était plus élevée (6/10) ou égale (4/10) à celle observée avec la pêcheuse électrique. Les différences entre les communautés de poissons observées à l’aide de ces 2 méthodes ne purent être reliées aux conditions environnementales. Les résultats de cette expérience sont contraires à ceux de toutes les études comparant ces 2 méthodes d’échantillonnage, lesquels suggèrent une supériorité de la pêcheuse électrique. Les conditions environnementales de notre expérience étaient distinctes de celles observées dans les autres études (absence d’arbres tombés dans l’eau, très peu de substrats grossiers), mais la différence la plus marquante était en terme de communauté de poissons observée (dominance des cyprinidés et des centrarchidés plutôt que des salmonidés). Je termine ce chapitre en suggérant que les caractéristiques comportementales favorisant l’évitement de la capture (formation de bancs) et facilitant l’observation en visuel (curiosité) sont responsables de la supériorité de la plongée de surface pour échantillonner les communautés dans les rivières des basses Laurentides. Dans un deuxième chapitre, je développe des FHUM pour des communautés de poissons de rivière ayant plusieurs espèces. Dans le but de simplifier la modélisation de telles communautés et d’améliorer notre compréhension des relations poissons – habitat, j’utilise les concepts de guilde écologique et de filtre environnemental pour explorer les relations entre les guildes formées sur la bases de différents types de traits (reproducteurs, taxonomiques, éco-morphologiques et alimentaires) et les conditions environnementales locales à l’échelle du méso-habitat. Les modèles d’habitats basés sur les guildes reproductrices ont clairement surpassé les autres modèles, parce que l’habitat de fraie reflète l’habitat de préférence en dehors de la période de reproduction. J’ai également utilisé l’approche inverse, c’est à dire définir des guildes d’utilisation de l’habitat et les mettre en relation avec les traits des espèces. Les traits reliés à l’alimentation des poissons ont semblés être les meilleurs pour expliquer l’appartenance aux groupes d’utilisation de l’habitat, mais le modèle utilisé ne représentait pas bien la relation entre les groupes. La validation de notre modèle basé sur les guildes reproductrices avec un jeu de données indépendant pourrait confirmer notre découverte, laquelle représente une manière prometteuse de modéliser les relations poissons – environnement dans des communautés de poissons complexes. En conclusion, mon mémoire suggère d’importantes améliorations aux FHUM pour les communautés de poissons des basses Laurentides, en suggérant de prendre en compte les caractéristiques biologiques des cours d’eau dans le choix d’une méthode d’échantillonnage, et également en utilisant une méthode prometteuse pour simplifier les FHUM de communautés de poissons complexes : les guildes reproductrices. / Many large scale studies have identified habitat modification or habitat losses as primary threats for the conservation of freshwater fish communities. In Canada, No Net Loss (NNL) of the productive capacity of habitats is the guiding principle of the Department of Fisheries and Oceans’ policy for the management of fish habitat. To respect NNL, a better understanding of fish-habitat relationships is required, as well as tools to quantify the impact of habitat modifications on fish. Fish habitat use models (FHUM) are tools that can improve our understanding of fish-habitat relationships, predict species occurrences, densities or biomass on the basis of habitat descriptors and quantify habitat requirements. They consist in relationships between biological descriptors of fish and habitat descriptors. The general objective of my thesis is to improve the performance of FHUM for the lower Laurentian streams by suggesting refinements on 2 crucial aspects in the development of these models: a precise description of the fish community and the use of efficient statistical models. In the first chapter, I evaluate the relative performance of electrofishing and visual surveys (snorkeling) for estimating the abundance of combinations of fish species and size classes in rivers. I also assessed the effect of environmental conditions on potential differences between the results obtained using these two sampling methods. Sampling sites consisted in 10 river sections of 20 m in length distributed in the Laurentian region of Québec. Both methods were used while sections were blocked. Three snorkelers that swam the river sections upstream while identifying and counting fish of each species and size-classes performed visual surveys. Three-pass electrofishing was performed and abundances were estimated with a maximum likelihood depletion model. Greater abundances of fish were observed by snorkeling than by electrofishing at all sites. Snorkeling species richness was higher (6/10) or equal (4/10) to electrofishing richness. Differences in the fish communities observed by both sampling methods were not related to environmental conditions. The results of our work are therefore contrary to that of most published studies that suggested the superiority of electrofishing on visual surveys. Compared to the conditions found in previous studies, our sampling sites had different environmental characteristics (no fallen trees, insignificant cover of large cobble and boulder) but the most striking dissimilarity was in terms of fish communities (dominance of cyprinids and centrarchids instead of salmonids). Behavioural characteristics favouring capture avoidance (schooling) and facilitating underwater observation (curiosity) may be responsible for the superiority of visual surveys in our study rivers. Survey methods should be selected based on fish community composition. In the second chapter, I develop FHUM for complex stream fish communities. In order to simplify the modelling of such communities, as well as improve our understanding of fish – habitat relationships, I used the ecological guild concept and the niche filtering hypothesis to explore the relationships between guilds based on different types of traits (eco-morphological, reproductive, alimentary and taxonomic) and local environmental descriptors, at the coarse meso-habitat scale. Reproductive guilds led to FHUM that clearly outperformed the other 3 approaches, because of the close relationship between preferred spawning grounds and non spawning habitat preferences, and also because reproductive traits are linked to habitat characteristics at the reach or coarse mesohabitat scale. We also defined guilds based on habitat-use and related them to species traits. Traits related to the feeding biology of fishes seemed to be the best at explaining the habitat-use guilds, but our model did not correctly represent the among-guild relationships. Validation of our reproductive trait model on an independent dataset would confirm our finding, which represents a promising way of modelling fish - habitat relationships in complex fish communities. In conclusion, my thesis suggests important improvements to FHUM models in the Laurentian streams by giving new insights on the choice of a sampling method that take into account the biological characteristics of the streams targeted, and by using a promising way of simplifying FHUM for species rich communities: reproductive guilds.

Page generated in 0.0556 seconds