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Propast imaginace. Rozum, hranice a svoboda v Kantově a Schellingově estetice / The abyss of the imagination: reason, limit and freedom in Kant's and Schelling's aesthetics

Rodriguez, Juan José January 2021 (has links)
In this dissertation we propose to study the identification of the productive imagination with reason within Schelling's aesthetic idealism, an identification which leads us to propose, in what follows, an "inverted" philosophical reading of the power of aesthetic judgement of the Critique of the power of judgement (1790) of Kant, based on the monist- immanent metaphysics of Schelling's System of Identity (1801-1804). This approach to Kant's third Critique also demonstrates the originality of this dissertation, since the traditional reading of the Critique of the power of judgement with German idealism has underlined, from Hegel to Lukacs or Hartmann, the centrality of the teleological part of the work of 1790. The authors of German idealism and romanticism mainly saw teleological judgment as a factor of unity between the theoretical and practical domains. This point of the Kantian argument can be seen as a link between Spinoza and Hegel regarding the concepts of organism, totality and reciprocal action, which Hegel mainly brings into play in his conception of a system. In this dissertation, we will travel a more winding and heterodox path, less explored, which focuses on the objective potential of the aesthetic phenomenon, as well as on its scope and limits, in the reverse transition that we...
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L’idéalisme de Fichte et la question de la philosophie comme science / The idealism of Fichte and the question of philosophy as a science

Chédin, Maxime 26 February 2012 (has links)
Ce travail s’interroge sur le projet, commun à Fichte et à Hegel, de réaliser la philosophie comme système. Pour eux, la philosophie doit se résigner à n’être qu’une curiosité, ou devenir une science. Faut-il pour cela qu’elle imite les mathématiques, les sciences expérimentales ? Ou peut-on faire l’hypothèse qu’il existe un objet qui par nature échappe au savoir des sciences, et en conséquence, un autre savoir que celui des sciences particulières ? Pour Fichte comme pour Hegel, la philosophie a pour tâche d’explorer ce que les sciences ne peuvent pas connaître, d’être une science des « évidences » ou des « préjugés » qui demeurent présupposés dans les autres domaines du savoir. Mais une science absolue est un savoir qui ne présuppose rien, qui ne s’appuie sur aucun fait donné, qui ne tient aucun objet pour assuré. Que reste-t-il alors ? Pour Fichte, rien d’autre que ce qu’il appelle le Moi, c’est-à-dire la pensée ou la conscience en tant qu’activité libre, autonome, activité qui, dans le savoir philosophique, doit se démontrer comme étant la source créatrice du monde objectif qui nous entoure et que nous considérons spontanément comme indépendant de notre conscience. Voilà l’objet ou le savoir « absolu » dont s’occupe en particulier la Doctrine de la science. C’est pourquoi l’exigence d’absoluité de la philosophie ne peut être satisfaite que dans la figure d’un savoir circulaire, qui reprend et justifie à la fin ce qui semblait n’être à son début qu’un présupposé arbitraire. Pourtant, le système de Fichte a ceci de particulier qu’aussi impeccable que soit la chaîne de ses déductions, il débute par une fêlure qui, loin de se résorber dans la suite, est si bien assumée et travaillée, qu’elle prend finalement la forme d’une contradiction fondamentale qui est à la source de toute notre vie consciente : l’activité libre, qui doit se démontrer comme productrice d’objectivité, est en même temps ce qui par essence est le plus impossible à objectiver… / This work examines the project, common to Fichte and Hegel, to establish philosophy as a system. For them, philosophy must either resign itself to being a mere curiosity, or become a science. Should it then imitate mathematics, experimental sciences? Or can we make the assumption that there is an object that by nature remains beyond the realm of scientific knowledge, and consequently, another knowledge than that of particular sciences? For Fichte as for Hegel, philosophy has the task of exploring what science cannot know, to be a science of “truisms” or “preconceptions” that remain assumed in other areas of knowledge. But an absolute science is a knowledge that assumes nothing, that is not based on any particular fact, that does not regard any object as certain. What is left, then? For Fichte, nothing but what he calls the Ego, that is to say, thought or consciousness as a free, autonomous activity, which in philosophy must be proven as the creative source of the objective world that surrounds us and that we spontaneously consider as independent of our consciousness. That is the object or the “absolute” knowledge that the Doctrine of Science specifically deals with. Therefore the requirement of philosophical absoluteness can only be satisfied through the figure of a circular knowledge, which reproduces and in the end justifies what initially appeared to be nothing more than an arbitrary assumption. However, Fichte’s system is unique in that, as flawless as its chain of deductions can be, it starts with a crack which, far from disappearing thereafter, is so completely accepted and elaborated, that it finally takes the form of a fundamental contradiction which is at the source of our entire conscious life: free activity, which has to be proven as a producer of objectivity, is at the same time, by essence, that which is most impossible to objectify…
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L'idéalité en tant qu'objet nostalgique

Lafond, Claudette 29 October 2021 (has links)
L'objet de cette thèse est d'établir une liaison, une continuité entre l'homme transcendantal et l'homme empirique par la médiation du concept de nostalgie. La nouveauté consiste à utiliser ce dernier concept pour comprendre le fondement de l'idéalité. L'objet nostalgique nous renvoie au sujet nostalgique dont le travail de pensée tente de transcender la réalité empirique. L'étude se termine avec Cioran que nous qualifions de penseur nostalgique et Clément Rosset que nous présentons en tant que penseur anti-nostalgique ainsi que sur la philosophie politique de Hannah Arendt. Notre recherche approfondit les thèses de ces penseurs sous l'angle de l'idéalité et par rapport à ses interférences avec le concept de nostalgie. Elle prend son point de départ dans une brève rétrospective historique de la genèse de la "grille" analytique.
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L’évolution de l’argument contre l’idéalisme dans la Critique de la raison pure

Haar, Deborah L. 05 1900 (has links)
Chacune des éditions de la Critique de la raison pure contient une preuve de la réalité du monde externe : la première se trouve dans le « quatrième paralogisme » et la deuxième dans la « Réfutation de l’idéalisme ». Ce travail examine l’évolution du premier argument vers le deuxième, en rendant compte de deux critiques importantes de la première édition qui ont influencé le second travail de Kant. La deuxième partie de ce travail se concentre sur des problèmes propres à la Réfutation, où sont traités des sujets particulièrement problématiques, tel que la structure de la conscience empirique déterminée, le rôle du permanent dans l’établissement de l’objectivité, ainsi qu’un argument secondaire présenté dans les notes de bas de page du texte principal et de la préface. / Each edition of the Critique of Pure Reason contains a proof for the reality of the external world: the first is located in the “Fourth Paralogism”, the second, in the “Refutation of Idealism.” This work examines the evolution from the first argument to the second, taking into account two significant criticisms of the first edition which influenced Kant’s second attempt. The latter half of this work treats topics particular to the Refutation only, focusing again on the issues which were stumbling blocks, namely the structure of determined empirical consciousness, the role of the permanent in establishing objectivity, as well as a secondary argument found in the footnotes of the main text and preface.
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L’évolution de l’argument contre l’idéalisme dans la Critique de la raison pure

Haar, Deborah L. 05 1900 (has links)
Chacune des éditions de la Critique de la raison pure contient une preuve de la réalité du monde externe : la première se trouve dans le « quatrième paralogisme » et la deuxième dans la « Réfutation de l’idéalisme ». Ce travail examine l’évolution du premier argument vers le deuxième, en rendant compte de deux critiques importantes de la première édition qui ont influencé le second travail de Kant. La deuxième partie de ce travail se concentre sur des problèmes propres à la Réfutation, où sont traités des sujets particulièrement problématiques, tel que la structure de la conscience empirique déterminée, le rôle du permanent dans l’établissement de l’objectivité, ainsi qu’un argument secondaire présenté dans les notes de bas de page du texte principal et de la préface. / Each edition of the Critique of Pure Reason contains a proof for the reality of the external world: the first is located in the “Fourth Paralogism”, the second, in the “Refutation of Idealism.” This work examines the evolution from the first argument to the second, taking into account two significant criticisms of the first edition which influenced Kant’s second attempt. The latter half of this work treats topics particular to the Refutation only, focusing again on the issues which were stumbling blocks, namely the structure of determined empirical consciousness, the role of the permanent in establishing objectivity, as well as a secondary argument found in the footnotes of the main text and preface.
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Critique et science : étude sur la transformation du criticisme dans les premiers écrits de F. W. J. Schelling / Critique and Science : a Study on the Transformation of Criticism in the Early Writings of F. W. J. Schelling

Gomes Figueiredo Pedro, Teresa Alexandra 04 December 2009 (has links)
La présente thèse s'interroge sur le statut de la pensée du jeune Schelling en tant que philosophie postkantienne : s’agit-il d’une philosophie qui revient en-deçà des acquis de la philosophie critique kantienne, comme plusieurs lectures le laissent entendre, ou s'inscrit-elle, comme elle le prétend, dans les possibilités ouvertes par le criticisme? Et si c'est le cas, dans quelle mesure cette philosophie s'inspire-t-elle de la philosophie kantienne? A travers ces questions, ce travail se propose de faire une lecture des premiers écrits de l’auteur (1794-1800) à partir de la réélaboration et de la réappropriation du criticisme qui sous-tend le projet schellingien de philosophie en tant que « science ».Cet axe de lecture nous a permis de montrer, d'une part, que le rapport de la philosophie de Schelling avec la philosophie kantienne a un rôle opératoire dans la maturation du projet philosophique propre à Schelling et, d'autre part, que l'évolution de la pensée schellingienne dans sa première philosophie se comprend à partir d'une réflexion sur sa propre possibilité et que, en ce sens, la philosophie de Schelling est bien une philosophie postkantienne. C'est à partir de la question du rapport entre la philosophie comme « science » et le questionnement critique sur les conditions de possibilité de notre connaissance que nous tentons d’élucider le motif de la révolution philosophique chez le jeune Schelling. Puisqu’il y va de conception que l'on se fait de la tâche philosophique elle-même, le fil directeur de ce travail est la reformulation par Schelling de la question kantienne de la possibilité des jugements synthétiques a priori et la remise en chantier qu'il propose de la conception de l’unité de la raison comme raison théorico-pratique. / The thesis examines the status of the young Schelling’s thought as a post-Kantian philosophy: is it a philosophy which falls back behind the gains of Kantian critical philosophy, as some readings suggest, or is it a philosophy which, as Schelling himself claims, takes up possibilities opened by criticism? If the latter, to what extent does this philosophy inspire itself from Kantian thought? Through these questions, this work intends to give a reading of Schelling’s first writings (1794-1800) focusing on the reelaboration and the reappropriation of criticism at the base of his project of philosophy as « science » . It is shown through this line of interpretation, first, that the relation of Schelling’s philosophy to Kant's plays a vital role in the later development of his philosophical project and, second, that the evolution of Schelling's thought in his early philosophy can be understood as a reflection on its own possibility. In this sense, Schelling’s philosophy is indeed a post-Kantian philosophy. The motives for the young Schelling’s philosophical revolution are elucidated by investigating the relation between a philosophy as « science » and the critical inquiry into the conditions of possibility of our knowledge. Since this concerns the task of philosophy itself, the guiding theme of this study is Schelling’s reformulation of the Kantian question about the possibility of synthetic a priori judgments as well as his reworking of the concept of the unity of reason as theoretical and practical reason.
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Retrouve-moi à la récréation (récit de fiction), suivi de Suicide du personnage féminin dans les romans Les Particules élémentaires, La Possibilité d’une île et La Carte et le territoire de Michel Houellebecq

L'Espérance, Marianne January 2017 (has links)
Ce mémoire de maîtrise comporte trois parties. La première est constituée d’un récit de fiction intitulé Retrouve-moi à la récréation. Le lecteur suit Clara, une jeune enseignante au secondaire qui accepte de retourner dans sa ville natale pour un contrat. Clara retrouve alors la banlieue étouffante de Salaberry. Sa désillusion s’aggrave au rythme des souvenirs d’enfance qui l’assaillent. Un jour, alors que Clara est attablée à l’extérieur de l’école, elle est témoin d’une bagarre. Un élève se fait battre à coups de barre de métal à quelques mètres d’elle. Mais Clara ne réagit pas, et son inertie lui coûte son emploi. Dès lors, la narratrice tente de comprendre sa passivité. Clara part en quête de Maureen, son amie d’enfance. Elle seule pourrait lui expliquer ce qui lui arrive. La deuxième partie du mémoire est consacrée à l’analyse de trois romans de Michel Houellebecq, soit Les Particules élémentaires (1998), La Possibilité d’une île (2005) ainsi que La Carte et le territoire (2010) dans lesquels le suicide féminin est un élément symptomatique du désir de disparition à la source du projet d’écriture de l’écrivain. L’élan explicite de mort de trois personnages féminins est étudié depuis une double perspective poétique et philosophique. Le premier chapitre intitulé « Les suicidées houellebecquiennes » situe et analyse le suicide de Christiane (Les Particules élémentaires), d’Isabelle (La Possibilité d’une île) et d’Anne (La Carte et le territoire). Le second chapitre, « Mises à mort et contrecoups », présente le suicide comme stratégie narrative permettant le recommencement. La troisième partie du mémoire est un essai réflexif s’intéressant à la manière d’écrire la disparition qui innerve l’écriture houellebecquienne et la mienne. La tension entre le souvenir d’enfance et la désillusion y est montrée comme l’un des principaux enjeux communs.
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Analyse comparative entre Schelling et Kierkegaard sur la question du mal

Guillet, François January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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La dialectique du fini et de l'infini dans la pensée de Hegel à la lumière de ses sources antiques et modernes / The dialectic of the finite and the infinite in Hegel’s philisophy in the light of ancient and modern sources

Yildiz, Arif 14 December 2018 (has links)
Cette thèse porte sur la question du fini et de l’infini dans la philosophie de Hegel. L’objectif est double. En premier lieu, elle vise à retracer l’influence exercée par la philosophie antique (principalement Platon et Aristote) et par la philosophie moderne (pour l’essentiel Kant et certains postkantiens) sur l’élaboration hégélienne des catégories de la finité et de l’infinité. En second lieu, elle étudie le développement systématique de la logique de l’infinité hégélienne à la lumière de cette influence. Il s’agit d’étudier, à travers une approche historique et critique, comment Hegel résout l’opposition traditionnelle du fini et de l’infini par sa théorie des deux infinis. A l’aune des conceptions de l’infinité-finie (la mauvaise infinité) et de l’infinité véritablement infinie (la véritable infinité), Hegel montre que le processus de la détermination du fini est un processus d’idéalisation qui supprime la contradiction du fini et de l’infini. Ainsi, l’enquête sur des concepts de finité et d’infinité permet de découvrir que l’idéalité spéculative est pour Hegel une réponse non seulement au problème traditionnel de leur articulation, mais aussi, plus généralement, aux problèmes soulevés par la caractérisation des idéalismes antiques et modernes. / This dissertation aims at investigating the problem of the finite and the infinite within Hegel’s philosophy. Its objective is twofold. Firstly, it begins with an examination of the impact of the ancient Greek philosophy (especially that of Plato and Aristotle) and Modern philosophy (especially that of Kant and the post-Kantians) on Hegel’s own understanding of the categories of the finite and the infinite. Secondly, it attempts to analyze the systematic development of the logic of Hegelian infinity in relation to the ancient and modern influences. By adopting an historical and critical approach, this work therefore focuses on the question of how Hegel comes to solve the traditional opposition between the finite and the infinite with the help of his theory of two infinities. With the distinction between a finite infinity (namely a spurious infinity) and an infinity which is itself infinite (namely a true infinity), Hegel shows that the process of determination of the finite is itself a process of idealization which overcomes the very contradiction of the finite and the infinite. The inquiry into the concepts of the finite and infinite thus enables us to understand that the speculative ideality is an answer not only to the traditional opposition between the finite and infinite, but also to the problems raised by the definition of ancient and modern idealisms.
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Le surhomme dans l'oeuvre de Nietzsche

Du Temple, Pascal 09 1900 (has links)
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