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Inciter au travail : la convergence des instruments, cadres cognitifs et objectifs des réformes sociales "actives" dans le contexte de la Stratégie Européenne pour l'Emploi (Espagne, France, Pays-Bas) / Make work pay : when instruments, cognitive frames and objectives of social 'active' policies converge in the European Context : a comparative approach (Spain, France, the Netherlands)

Arrignon, Mehdi 12 December 2012 (has links)
Bien que n'ayant ni les mêmes résultats ni les mêmes traditions en matière de protection sociale, la France, l'Espagne et les Pays-Bas ont tous mis en œuvre des réformes d'« activation » de leurs politiques sociales dans les années 2000. Ces réformes ont-elles été guidées par des objectifs et des attendus comparables ? « L'activation » a-t-elle eu des effets similaires sur les systèmes de protection sociale ? S'ils sont similaires, les changements communs peuvent-ils être imputés à des facteurs communs ? La thèse traite ces trois questions principales en adoptant une approche théorique et méthodologique attentive aux facteurs sociaux et cognitifs du changement en matière de politiques sociales. En croisant l'étude des dispositifs publics et des textes officiels avec des entretiens semi-directifs réalisés dans quatre pays et à plusieurs niveaux de gouvernement (n=71), l'analyse comparée des réformes sociales « actives » permet de tirer deux conclusions principales : les cadres cognitifs, les instruments et les objectifs des politiques sociales tendent à se rapprocher sous l'effet des réformes d'« activation » menées dans les années 2000 en France en Espagne et aux Pays-Bas, et cette convergence a été favorisée par des mécanismes communautaires mis en œuvre dans le cadre de la Stratégie Européenne pour l'Emploi. / L'auteur n'a pas fourni de résumé en anglais.
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Les justes bornes de la richesse : fondements normatifs et mise en oeuvre d'une richesse maximale / Just limits of wealth : normative foundations and implementation of the idea of maximal wealth

Jobin, Christian 02 February 2018 (has links)
Dans cette thèse, je tente d’établir les fondements normatifs d’une richesse maximale qui comprend deux mesures complémentaires : un revenu maximal qui peut être mis en œuvre au moyen d’un impôt sur le revenu et un capital maximal, au moyen d’un impôt sur les successions, dont le taux marginal est de 100 % dans les deux cas. Je soutiens en effet qu’une telle mesure est juste, puisqu’elle respecte les principes développés au sein de trois théories principales : le libertarisme, le suffisantisme et le prioritarisme. Puis, je soutiens aussi qu’une telle mesure est efficace d’un point de vue économique, puisqu’elle permet de mieux diffuser les incitations financières, ce qui peut avoir des effets positifs sur la production et la répartition de la richesse. D’abord, je soutiens qu’une richesse maximale respecte le principe fondamental défendu par les libertariens, c’est-à-dire la propriété de soi. Pour ce faire, je m’appuie surtout sur deux arguments : le proviso et la théorie des marchés où le gagnant rafle la mise. D’abord, je montre que si l’on associe les ressources naturelles au capital, l’application d’un proviso au principe d’acquisition interdit l’appropriation illimitée des ressources naturelles, ce qui permet de justifier un capital maximal. Ensuite, je montre que si l’on associe les fruits du travail au revenu, les marchés où le gagnant rafle la mise permettent à certains individus de recevoir des revenus qui sont supérieurs aux fruits de leur travail, ce qui viole par excès le principe de la propriété de soi et permet de justifier un revenu maximal. Ensuite, je soutiens qu’une richesse maximale respecte les principes développés au sein de deux théories faisant partie de la tradition égalitariste : le suffisantisme et le prioritarisme. Pour ce faire, je montre que ces deux théories ne sont acceptables que si elles intègrent une autre théorie que l’on appelle le limitarianisme. Selon cette théorie, toute richesse supérieure à celle dont un individu a besoin pour s’épanouir pleinement dans la vie peut être qualifiée d’immorale. Par conséquent, une telle théorie permet de justifier une richesse maximale, puisqu’elle ajoute un seuil de richesse au seuil de pauvreté que défendent déjà les suffisantistes et les prioritaristes.Enfin, je réponds à l’une des principales objections qui peuvent être soulevées contre une richesse maximale et qui porte sur l’efficacité économique du plafonnement des incitations financières. Je montre en effet qu’une richesse maximale, contrairement à ce que l’on pourrait croire, pourrait avoir des effets positifs sur la production et la distribution de la richesse. Pour ce faire, je m’appuie surtout sur trois arguments. D’abord, les incitations ont une importance surestimée en sciences économiques. Ensuite, il existe plusieurs formes d’incitations qui ne se réduisent nullement aux seules incitations financières. Enfin, il est préférable de diffuser largement les incitations financières plutôt que de les concentrer exagérément auprès d’une minorité d’individus. / In this thesis, I try to establish the normative foundations for a maximum limit on wealth that includes two complementary measures: a maximum on income that can be implemented by means of an income tax, and a maximum on capital, which can be attained through a tax on inheritance; the marginal rate being 100% in both cases. Indeed, I argue that such a measure is fair, since it respects the principles developed in three main theories : libertarianism, sufficientarianism, and prioritarianism. Next, I argue that such a measure is economically efficient, since it allows to better spread financial incentives, which can have positive effects on the production and distribution of wealth. First, I maintain that a maximum limit on wealth respects the fundamental principle defended by libertarians, that is, self-ownership. To do this, I rely mainly on two arguments: the proviso and the theory of winner-takes-all markets. First, I show that if we associate natural resources with capital, the application of a proviso to the principle of acquisition prohibits the unlimited appropriation of natural resources, which justifies a maximum on capital. Then, I show that if the fruits of labor are associated with income, winner-takes-all markets allow certain individuals to receive incomes that are superior to the fruits of their labor, which violates the principle of self-ownership, and thus justifies a maximum on income. Secondly, I maintain that a maximum wealth respects the principles developed within two theories within the egalitarian tradition: those of sufficientarianism and prioritarianism. To do this, I show that these two theories are acceptable only if they integrate another theory named limitarianism. According to this theory, any wealth superior to that which an individual needs to live a flourishing life can be qualified as immoral. Consequently, such a theory makes it possible to justify a maximum wealth, since it adds a wealth threshold to the poverty threshold already defended by sufficientarians, and prioritarians. Finally, I respond to one of the main objections that can be raised against maximum wealth and which deals with the economic efficiency of the capping of financial incentives. In fact, I show that maximum wealth, contrary to what one might believe, could have positive effects on the production and distribution of wealth. To do this, I rely mainly on three arguments. First, incentives are overestimated in economics. Second, there are several forms of incentives that are not limited to financial incentives alone. Finally, it is preferable to disseminate financial incentives widely rather than to exaggeratedly concentrate them on a minority of individuals.
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Les incitations à l’investissment ont-elles un impact sur l’attractivité de l’investissement direct étranger en Égypte?

Allam, Pacinte 04 1900 (has links)
No description available.
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Comportement des ménages en matière de consommation d'électricité : une meta-analyse et des approches expérimentales / Household electricity consumption behaviour : a meta-analysis and experimental approaches

Buckley, Penelope 03 May 2019 (has links)
Cette thèse examine comment répondent des consommateurs aux mécanismes visant à réduire leur consommation d'énergie. Ce besoin de réduction découle de la nécessité d'atteindre les objectifs de réduction d'émissions de gaz à effet de serre, d'augmenter la production d'énergie à partir d'énergie renouvelables et de réaliser des économies d'énergie. Ces objectifs exigent que la demande résidentielle soit plus flexible face à l'évolution de l'offre et que des économies d'énergie soient réalisées par les ménages. Le premier chapitre explore les barrières à l'acceptation et à l'adoption des compteurs intelligents et des incitations qu'ils peuvent fournir. D'importantes barrières existent et les réductions de consommation sont loin d'être réalisées. Le manque de motivation, l'incompréhension de l'information sur la consommation et la rigidité de la vie quotidienne sont les principales barrières qui limitent la réponse des ménages aux incitations fournies par les compteurs intelligents. Le deuxième chapitre analyse les résultats d'expériences de terrain et d'études pilotes portant sur les impacts des différentes incitations sur la consommation résidentielle. Les résultats montrent qu'il existe de grandes variations et qu'en moyenne, une incitation entraînera une réduction de 2% de la consommation d'énergie. Les incitations de feedback en temps réel ainsi que l'information monétaire ont le plus grand effet. Enfin, les études plus robustes font état d'effets de réduction plus faibles. Dans le troisième chapitre, un jeu expérimental de ressources communes est utilisé pour explorer les réponses individuelles aux incitations basées sur le prix et les nudges. Les individus sont encouragés à réduire leur consommation, soit par une augmentation de prix, soit par des smiley évocant leur surconsommation. Le prix est le plus efficace pour encourager le niveau cible de consommation, mais il faut plus de temps pour qu'il fasse effet. Le nudge est compris rapidement mais tend à renforcer les comportements de surconsommation. Le quatrième chapitre examine l'effet du framing sur la disposition à l'effort. Les individus doivent accomplir une tâche simple et répétitive pour laquelle ils reçoivent un paiement à la pièce sous forme d'un gain ou d'une perte. Le framing sous forme de gains et de pertes est combiné à trois structures de paiement différentes : gain fixe, gain faible ou élevé avec une probabilité égale révélée avant ou après la réalisation de l'effort. Les résultats montrent que le framing n'a aucun effet sur la réalisation de l'effort, excepté pour un contexte de gain élevé annoncé avant de fournir l'effort. / This thesis examines how consumers respond to incentives used to encourage a reduction in their energy consumption. This necessary reduction stems from the need to reduce greenhouse gas emissions, increase energy production from renewable energy sources and achieve energy savings. These objectives require that residential demand be more flexible in response to changes in supply and that energy savings be achieved by households. The first chapter explores the barriers to consumer acceptance and adoption of smart meters and the incentives that they provide. Significant barriers exist and consumption reductions are far from being achieved. Limited motivation, lack of understanding of information on consumption and the rigidity of daily life are the main barriers preventing households from acting upon the incentives delivered via smart meters. The second chapter analyses the results of field experiments and pilot studies on the impacts of different incentives on residential consumption. The results show that there are large variations and that, on average, an incentive will result in a 2% reduction in energy consumption. Real-time feedback and monetary information have the greatest effect. Finally, more robust studies report lower reduction effects. In the third chapter, a common pool resource game is used to explore individual responses to price and nudge-based incentives. Individuals are encouraged to reduce their consumption either by price increases or by smilies that reflect their overconsumption. The price is most effective at encouraging the target level of consumption but takes longer to have an effect. The nudge is quickly understood but tends to reinforce overconsumption behaviours. The fourth chapter examines the effect of framing on effort provision. Individuals are asked to complete a simple and repetitive task for which they receive a piece-rate payoff in the form of a gain or loss. Framing in the form of gains and losses is combined with three different payment structures: fixed gain, low gain or high gain with an equal probability revealed before or after the effort is made. The results show that framing has no effect on effort provision, except for a high gain context announced before making the effort.
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Hétérogénéité spatiale d'un service de réseau, équité et efficacité collective : la distribution rurale d'électricité et la maîtrise de la demande

Nadaud, Franck 18 November 2005 (has links) (PDF)
Cette thèse a pour objet l'évolution de l'optimum économique sous contrainte d'équité territoriale de l'industrie électrique, industrie de réseau fixe présentant une hétérogénéité spatiale forte de ses conditions d'offre. Cette problématique porte sur l'analyse de l'évolution du régime de l'électrification rurale en France en termes d'efficacité économique et sociale. Il s'agit de prolonger une longue tradition de recherche du CIRED initiée au début des années 1980 par Louis Puiseux, dont les principaux développements ont été la thèse de Colombier (1992) puis l'évaluation des écarts entre coûts de développement des réseaux ruraux et tarifs par De Gouvello (1996). Ce programme de recherche met en lumière les contradictions entre équité redistributive et équité territoriale, c'est-à-dire entre les visions aspatiales de l'économie théorique (Ponsard, 1988) et les dynamiques territoriales de développement, notamment en mettant l'accent sur les médiations institutionnelles.<br>Notre question de départ porte donc sur la rationalité de l'élargissement de la démarche de l'optimisation sectorielle sous contrainte d'équité à la rationalisation des usages de l'électricité dans l'espace hétérogène de la fourniture d'électricité en zones rurales. La dérive des besoins de renforcement de réseaux ruraux a conduit ainsi à partir de 1995 le régulateur à encourager les collectivités qui sont les propriétaires et investisseurs en réseaux ruraux à rechercher des alternatives moins coûteuses du côté de la demande pour deux raisons économiques. D'abord les réseaux basse tension ruraux sont généralement très longs et comptent peu de clients desservis, par conséquent, l'optimisation des usages chez les clients peut s'avérer beaucoup moins coûteuse que le simple renforcement du réseau. Ensuite cette optimisation permet de rétablir l'équité de la qualité de fourniture entre les clients par le biais de la baisse des besoins d'investissement mais aussi par la réduction du temps d'attente pour les plus défavorisés, autrement dit, les clients situés sur les réseaux les plus coûteux à renforcer.<br>Cette question conduit à analyser d'abord historiquement les institutions de l'électrification rurale dans le contexte évolutif de consolidation de l'industrie électrique en régime de monopole public pour repérer les structures d'intérêts inhérentes à cette organisation qui conduisent à une inefficience sociale à la fois en termes d'efficacité économique et en termes d'équité. Ce qui mène à un double questionnement : <br>- comment compléter les institutions de l'électrification rurale pour modifier les incitations des propriétaires de réseaux ruraux à investir au-delà du compteur chez l'usager ?<br>- comment, dans une situation de forte hétérogénéité spatiale des fonctions locales d'offre et de demande d'électricité dans l'espace rural, repérer les points de réseaux en sous-optimalité économique ?<br>Dans un chapitre liminaire nous définirons précisément l'objet de la thèse à partir du repérage des difficultés d'application de l'innovation réglementaire que constitue la MDE dans la distribution d'électricité en zones rurales. Ce repérage s'effectue par l'analyse de l'organisation de la distribution rurale et de la place du régime d'électrification dont on peut déduire les intérêts des agents économique et des acteurs politiques qui constituent les barrières à cette innovation réglementaire.<br>Dans la première partie on caractérise dans le premier chapitre la trajectoire institutionnelle de l'électrification rurale à partir du projet initial de solidarité nationale sous l'effet de la dynamique des consommations rurales puis de la diffusion des usages thermiques de l'électricité sur les réseaux ruraux induit par des stratégies de développement commercial totalement extérieures au dispositif de solidarité nationale. L'introduction de la MDE s'inscrit dans une mouvement de correction et d'adaptation de ce régime.<br>Dans la seconde partie d'analyse économique normative, le constat précédent conduit à identifier les défauts d'incitation à la MDE qui sont sous-jacents aux institutions de l'électrification rurale et à la structuration de ses acteurs pour repérer comment contourner cet obstacle. Ce constat conduit aussi à imaginer une méthode de calcul économique permettant de prendre en compte les paramètres d'hétérogénéité spatiale de la demande et des coûts de réseau en développement pour répondre à l'évolution de la fonction de demande spatialisée.<br>Au premier niveau d'analyse, on procède dans le quatrième chapitre à une analyse microéconomique du comportement des différents types d'acteurs de l'électrification rurale en partant de leur fonction : régulateur, propriétaire-investisseur ou exploitant, du type de choix qui relève de leurs fonctions et de leurs contraintes pour analyser la structure d'incitations à l'investissement en réseau et à la MDE. On insiste plus particulièrement sur la nature d'acteur politique de l'agent investisseur que sont les collectivités locales, nature qui éloigne du comportement de l'agent économique rationnel. On examine en particulier la relation d'asymétrie d'information entre propriétaires-investisseurs et le régulateur qui répartit les aides à l'investissement. Cette asymétrie porte sur les coûts ex-ante et ex-post des projets. Dans la relation principal-agent, la structure informationnelle est compliquée dans le cas réel par l'imperfection même de l'information que détiennent les agents sur leurs projets. Ces défauts de la structure informationnelle expliquent la dérive du régime d'électrification rurale et les défauts d'allocation des ressources.<br>A ce même niveau d'analyse, on propose dans le cinquième chapitre des correctifs afin d'améliorer l'allocation des ressources du régime d'électrification rurale. On identifie des règles visant à inciter à la MDE les propriétaires investisseurs en recherche récurrente de subventions. Nous utilisons une méthode de calcul du surplus social des actions de MDE et d'identification de sa répartition en termes d'avantages-coûts entre les différents agents parties prenantes : les consommateurs, les propriétaires investisseurs et l'exploitant vendeur d'électricité (ici EDF). L'idée est de sortir du seul mode d'évaluation en cours qui ne regarde que l'avantage net pour les collectivités qui investissent alors que les autres agents bénéficient des actions de MDE. Ceci conduit à définir un mode de réallocation d'une partie des externalités positives des actions de MDE sur l'agent investisseur. On teste ainsi le principe de versements incitatifs à la MDE sous la forme de dotations supplémentaires sous réserve de certification des gains en investissement dégagés par les collectivités.<br>Au second niveau d'analyse normative, dans le sixième chapitre, on se confronte à l'obstacle de l'hétérogénéité des actions de MDE dans le but d'éviter le coût administratif très élevé d'une multitude d'actions dispersées spatialement pour définir une méthode d'évaluation des potentiels de MDE par repérage des configurations les plus intéressantes. Le fondement de cette approche propose de dépasser le caractère aspatial de l'analyse économique (Ponsard, 1986, 1988) par le biais d'une articulation entre deux catégories d'hétérogénéités spatiales : d'une part celle du réseau électrique (Juricic, 1975) et d'autre part celle des déterminants de la demande. Nous supposons que les lieux sont porteurs de sens sur le plan économique, au travers des caractéristiques du réseau et de la demande, ce qui nous conduit à construire un zonage géographique comme moyen de faire apparaître simultanément les attributs économiques pertinents associés aux lieux (Beguin et Thisse, 1979).<br>L'objectif de cette méthode est de permettre de concevoir des projets de MDE d'ampleur significative à l'échelle d'un département. Il s'agit donc d'une méthodologie de recherche des potentiels économiques de MDE qui repose sur une approche d'analyse statistique spatialisée dont le but est de produire un zonage de l'espace pertinent sur le plan des projets de MDE. Le zonage est ensuite mobilisé pour proposer des paniers d'actions et sélectionner des zones d'intervention de MDE dont le montant des économies d'investissement en renforcement de réseaux est calculé.
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Processus de sélection des technologies d'irrigation par les agriculteurs : entre interactions sociales et choix rationnels

Richefort, Lionel 01 December 2008 (has links) (PDF)
Cette thèse est consacrée à l'analyse économique du processus de changement technique des agriculteurs dans le domaine de l'irrigation sous l'effet d'incitations publiques, d'entraînement collectif et de logiques individuelles de profitabilité. Le premier chapitre analyse le déroulement et les déterminants de la diffusion des technologies d'irrigation améliorées à l'île de la Réunion. Une enquête auprès des irrigants combinée à une revue de la littérature empirique nous permet de regrouper ces facteurs-clés en trois axes : les caractéristiques des irrigants, les caractéristiques du contexte d'adoption des irrigants et les caractéristiques des technologies d'irrigation. Deux cadres théoriques complémentaires permettant de conceptualiser ces déterminants sont ensuite discutés : l'approche néoclassique et l'approche évolutionniste. Dans le second chapitre, une approche de diffusion globale est mise en œuvre pour évaluer l'impact des incitations publiques sur l'adoption d'une nouvelle technologie d'irrigation par une population d'agriculteurs. Une méthodologie d'estimation des paramètres de diffusion est développée et appliquée à la diffusion de l'aspersion en couverture intégrale à La Réunion de 1990 à 2006. Elle montre un effet positif significatif des subventions à cet équipement. Dans le troisième chapitre, un cadre conceptuel probabiliste est testé pour évaluer les déterminants du processus de sélection des nouvelles technologies d'irrigation à l'échelle de l'exploitation. Finalement, la thèse soutient l'idée d'une différenciation des processus, et donc des modèles explicatifs pertinents, selon la complexité de l'équipement innovant en diffusion.
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Le marché du travail des scientifiques : capital humain, incitations, proximité

Bonnard, Claire 29 November 2011 (has links) (PDF)
Cette thèse a comme objectif d'apporter une contribution à l'économie de l'innovation au niveau microéconomique. Elle est composée de trois chapitres portant sur le marché du travail des scientifiques et ingénieurs, les incitations à l'innovation dans le secteur privé et l'existence d'effets de proximité spatiale dans le recrutement des jeunes diplômés en sciences et ingénierie (S&I). Dans le premier chapitre de cette thèse, nous nous intéressons au marché du travail des scientifiques et ingénieurs. Tout d'abord, nous dégageons les différentes caractéristiques de ce marché du travail. Nous analysons ensuite les différents déterminants d'accès aux activités de R&D pour les jeunes diplômés en S&I. Enfin, nous nous interrogeons plus globalement sur la valorisation des activités de R&D au sein des entreprises privées. Nous déterminons s'il est rentable pour un ingénieur d'effectuer sa carrière au sein des activités de R&D. Cette analyse du marché du travail des scientifiques en entreprise montre qu'il n'existe pas de primes aux fonctions de R&D. Ce résultat nous amène à nous interroger dans le second chapitre de cette thèse sur les incitations à l'innovation dans le secteur privé. La mesure de l'innovation choisie est le fait pour un ingénieur de déposer un brevet, indicateur habituellement choisi pour mesurer l'innovation au niveau des entreprises. Nous nous intéressons aux types d'incitations monétaires reçues par les inventeurs au sein des entreprises. De la littérature, deux types d'incitations ressortent : les incitations liées à la performance de l'agent (le salaire) et celles liées à la performance des entreprises (les stock-options). Nous portons une attention particulière à la mobilité inter-entreprise des inventeurs. Dans le dernier chapitre de cette thèse, dans la lignée des travaux de l'économie de la connaissance portant sur le lien innovation-territoire, nous analysons l'existence d'effets de proximité dans le recrutement des jeunes diplômés en S&I par les entreprises pour leurs activités de R&D. Nous cherchons également à déterminer si le capital humain des scientifiques est plus fortement valorisé sur le marché du travail local, remettant dans une certaine mesure en cause la théorie de la prospection d'emploi spatiale. Enfin, nous portons une attention toute particulière à la valorisation du capital humain scientifique au sein des pôles de compétitivité mis en place par le gouvernement français en 2005 à l'image des clusters américains.
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Essais d'économie appliquée sur l'intervention d'une tierce partie dans la relation d'agence

Jacquemet, Nicolas 12 December 2005 (has links) (PDF)
La théorie de l'agence a offert une analyse approfondie des conditions sous lesquelles les incitations parviennent à réconcilier les intérêts divergents du principal et de l'agent. Les essais présentés dans cette thèse évaluent la pertinence empirique de ces résultats face à l'intervention d'une tierce partie dans trois situations-types : le comportement de corruption, les choix de pratique des médecins spécialistes et la demande de travail au noir
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Analyse économique de la prévention. Offre de prévention, incitations et préférences en médecine libérale

Ammi, Mehdi 06 September 2011 (has links) (PDF)
Dans le champ de la santé, l'économie traditionnelle de la prévention s'articule autour d'une logique de la demande. Si elle est riche d'enseignements sur les comportements individuels de prévention et les interventions publiques en la matière, elle est muette quant au rôle de l'offre de prévention. Cette thèse vise à enrichir l'analyse économique de la prévention d'une logique de l'offre et particulièrement celle du médecin de ville, à étudier les incitations à cette offre et les préférences de ce producteur de services médicaux. Une analyse institutionnelle de l'offre de prévention du médecin français souligne ses lacunes, liées à l'environnement institutionnel, et montre la nécessité d'inciter cet acteur, en particulier lorsque le mode dominant de rémunération est le paiement à l'acte. L'analyse des incitations à la prévention précise qu'un paiement complémentaire à la performance est opérant sous conditions, et que les incitations ne se limitent pas au seul levier monétaire, des incitations non financières et organisationnelles étant des instruments pertinents. L'efficacité des incitations dépend néanmoins des motivations des médecins et de leur perception de ces dispositifs. Ces perceptions sont approchées empiriquement en révélant les préférences des médecins libéraux face à différents dispositifs incitatifs. Une approche novatrice d'évaluation économique, la méthode des choix discrets, fonde une enquête et l'exploitation économétrique des données collectées. Les résultats d'une grande richesse soulignent la complexité et l'hétérogénéité des préférences des offreurs. Ils contribuent à la réflexion sur les modélisations des comportements des médecins et les politiques publiques d'incitation à la prévention.
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Incertitude, renégociations et incitations dans les partenariats public privé

Athias, Laure 23 November 2007 (has links) (PDF)
L'objectif de cette thèse est de contribuer à une meilleure compréhension des Partenariats Public-Privé (PPPs). Ces accords entre une autorité publique et un opérateur privé sont considérés comme une "troisième voie" entre fourniture publique et privatisation des services publics. Cependant, les résultats que les PPPs ont produits dans le monde à ce jour sont mitigés. La littérature théorique sur ce sujet a souligné que les PPPs, comme tout contrat de long terme, se caractérisent par une forte incertitude et sont donc sujets à des adaptations ex post non contractuelles. Cette caractéristique a deux conséquences préjudiciables sur l'efficacité des PPPs: premièrement, lorsque des investissements spécifiques sont impliqués, les renégociations peuvent laisser place à d'éventuels comportements opportunistes, de l'autorité publique et de l'opérateur privé. Deuxièmement, les renégociations génèrent des inefficacités dans la mesure où les hold-ups conduisent à des décisions ex ante tordues. Dans ce contexte, les contributions de ma thèse sont les suivantes: premièrement, je montre empiriquement, en analysant le comportement à enchérir des participants aux enchères de contrats de concessions routières à péage, que incertitude et renégociations opportunistes sont bien caractéristiques des PPPs, jusque-là supposées par la littérature. Deuxièmement, je montre théoriquement et empiriquement que ces problèmes peuvent être pris en compte lors de l'arbitrage entre rigidité et flexibilité contractuelle. Troisièmement, je montre théoriquement que les contrats qui ne font pas supporter le risque de demande à l'opérateur privé, afin de remédier aux problèmes d'incertitude et de renégociations, introduisent des incitations tordues pour les autorités publiques à être attentives ex post aux préférences des consommateurs.

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