This paper presents the results of a study about peer intimidation and victimization with 1167 school students from 6th, 7th, and 8th grade from the Valparaiso Region of Valparaíso, Chile. The instrument used was the Insebull Battery (Avilés & Elices, 2007). Results show that approximately 9% of students have been victim of peer victimization many times or almost every day during the school year. Psychological victimization was more frequent thanphysical aggression, particularly through virtual communication such as cell-phone messages and e-mails. Participants tend to be groups of male students. Although male students participate more in physical aggression, they also receive more physical and psychological aggression. The most frequent places were inside the classroom and the school yard, when the teacher is not present. Most students inform not knowing, or vaguely knowing, thereasons underlying these aggressions, and do not do anything to deal with them. These results coincide with international studies and allow a better understanding of the characteristics of peer victimization in specific educational contexts within the Chilean school system. / Se presenta un estudio de conductas de intimidación y victmización en 1167 escolares de 6º, 7º y 8º año Básico de la Región de Valparaíso, Chile. Se utilizó la batería Insebull (Avilés &Elices, 2007). Los resultados indican que 9% ha sido víctima del maltrato de sus compañeros bastantes veces o casi todos los días durante el año escolar. El maltrato psicológico es más frecuente que la agresión física, destacándose el uso de medios virtuales. Los participantes suelen ser varones que actúan en grupo. Los lugares más frecuentes son la sala de clases y el patio de recreo, en ausencia del profesor. La mayoría señala no saber, o solo difusamente, las razones que subyacen a estos actos, y no hacer nada frente a actos observados. Estos resultados coinciden con los estudios a nivel internacional, y permiten comprender el maltrato entre pares en contextos específicos de la realidad educativa chilena.

Although the Nordic countries have consistently ranked at the top of the Press Freedom Index for the last decade they aren’t a monolith, untouched by the rise of populism, authoritarianism and its frequent attacks on the press; a scourge of democratic nations during the last vestiges of the 2010s. Nor have their media managed to escape the rocky seas of finding viable market solutions in an increasingly accelerating and expanding digital reality.  Intimidation and harassment, heavy workloads and job insecurity are tangible threats for journalists. The aim of this study was to examine to which extent these factors are sources of stress, vulnerability and feelings of insecurity for some Swedish journalists working in the field and within editorial environs today. A qualitative approach of in-depth interviews with a few active journalists, editorial department safety representatives as well as union representatives comprise the main, albeit small, chunk of this paper’s empirical data. The results were then analysed and compared to prior research including but not limited to; Threats towards journalists, public trust and views of Swedish media, the labour market, economic prospects of Swedish media and the technical requirements and workloads of today’s journalists in Sweden.  The results showed that although threats and intimidation tactics towards journalists were commonplace – and risks stifling media discourse – it was not the main cause of the interviewed journalists’ perception of insecurity; mainly due to its intermittency and subject-related predictability. Heavy workloads were instead put forth as a major component of everyday stress, this was in part explained by personnel downsizing without corresponding reductions in production as well as a trend towards less niche multi-role journalists. Job insecurity and employer sided exploitation of employment laws were also cited as main sources of discontent and stress, leading to a high degree of job vulnerability and diminishing work satisfaction.  Although the scope of this paper did not allow for a large sample size the findings still gives an interesting insight into the real working environment of some Swedish journalists.

Ce mémoire présente une recherche menée auprès de dix enseignants des niveaux de la 7e, 8e et 9e année au Nouveau-Brunswick, ayant pour objectifs de décrire les choix d'intervention des enseignants auprès des jeunes qui pratiquent la cyberintimidation. Plus précisément, il vise à identifier les interventions efficaces et à analyser les fondements théoriques sur lesquels se basent les enseignants lorsqu'ils interviennent auprès des élèves qui pratiquent la cyberintimidation. Les résultats de cette recherche permettent de souligner que les enseignants préfèrent assurer un rôle éducatif dans l'intervention et reconnaissent à la direction et aux policiers le rôle d'appliquer des sanctions si nécessaire. Leurs choix d'intervention reposent sur la coopération de l'élève et sur ses antécédants comportementaux plutôt que sur la gravité du comportement de cyberintimidation. Les enseignants expriment aussi que leur efficacité dans l'action serait accrue par une meilleure formation à l'intervention face à la cyberintimidation et que la collaboration des parents augmente les chances de réussite des interventions. À la lumière de cette recherche, un modèle d'intervention destiné aux enseignants est proposé.

Parmi les situations qui peuvent miner le climat scolaire et nuire à l’apprentissage, l’intimidation et la victimisation s’avèrent des plus préoccupantes. Mais quelle est l’ampleur de celles-ci et comment se fait-il que certains jeunes s’en sortent mieux que d’autres et se montrent résilients? Dans ce contexte, les objectifs de cette étude sont: 1) de dresser un portrait de l’intimidation et de la victimisation; 2) d’examiner les qualités métriques du Resilience Scale for Adolescentes (READ); et 3) d’analyser la relation entre victimisation, résilience et adaptation. Au total, 165 élèves de 4ème et 5ème secondaire ont participé à l’étude en remplissant un sondage sur l’intimidation, la victimisation, la résilience et divers sujets apparentés. Parallèlement, leurs parents ont rempli une mesure de résilience. Les résultats montrent que 23 % des jeunes ont adopté des conduites intimidantes dans les deux derniers mois, alors que 31 % se déclarent victimes d’intimidation. Qui plus est, 44 % des jeunes rapportent des conduites intimidantes à un moment de leur parcours scolaire et 61 % s’en disent victimes. Pour ce qui est du READ, les résultats indiquent une structure factorielle stable, des indices de cohérence interne variant de ,64 à ,91 et des corrélations positives avec des mesures d’estime de soi, de soutien social, d’attitudes envers l’école et de résilience parentale. Finalement, une analyse de régression hiérarchique montre que la victimisation vécue et les facteurs de résilience expliquent 44 % de la variance de l’adaptation scolaire, les facteurs de résilience contribuant davantage au modèle prédictif (26 %) que la victimisation vécue (18 %). Cette étude met en lumière l’ampleur de la violence dans le contexte scolaire et comment les facteurs de résilience peuvent agir en tant que facteur de protection et pour maintenir une adaptation positive. Prôner le développement des facteurs de résilience s’avère une avenue intéressante pour outiller les jeunes face à l’adversité.

Plus de 39.7% des infirmières se déclarent victimes de bullying dans leur milieu de travail. Dans 60% des cas, il est question de violence verticale impliquant une personne en supériorité hiérarchique. Peu d’études portent sur ce phénomène sans le confondre avec d’autres types de violence. Outre les répercussions recensées chez les victimes, on estime que le phénomène de bullying occasionne 44 000$ en pertes économiques par cas rapportés, en plus de compromettre la santé et la sécurité des patients. Par le biais de la phénoménologie descriptive, cette étude vise à décrire la violence verticale vécue par des infirmières soignantes exerçant en milieux hospitaliers et l’effet de cette violence sur leur travail. Une collecte des données par entrevues semi-dirigées a été réalisée auprès de six infirmières de milieux hospitaliers, dont l’analyse a été effectuée avec le cadre de référence sur la pratique centrée sur la personne de McCormack et McCance (2010). Au vue de nos résultats, la représentation globale des effets de la violence verticale vécue par des infirmières soignant en milieux hospitaliers se traduit par un détournement des initiatives infirmières qui renvoient à des soins diligents et personnalisés à la lumière de cinq thèmes : une perte des aptitudes de l’infirmière, un déploiement d’efforts pour modifier l’expérience de violence verticale, un changement des priorités dans la pratique infirmière, une détérioration de la collaboration entre les professionnels et des répercussions négatives sur les soins et les traitements aux patients. Les résultats de ce mémoire indiquent la nécessité pour les dirigeants de centres hospitaliers de mettre en place des politiques organisationnelles contre la violence verticale et de les appliquer de façon rigoureuse et transparente. D’autres études devraient préciser les facteurs organisationnels favorisant la violence verticale en milieux hospitaliers. Mieux former le personnel infirmier et la relève à l’égard de ce phénomène donnerait également des outils pour mieux le gérer et gérer ses répercussions. / More than 39.7% of nurses report being victims of bullying in their work environment. 60% of those cases correspond to the vertical violence since it involves a person in a superior position. Few studies have examined this phenomenon without confusing it with other types of violence. In addition to the impacts identified among victims, it is estimated that the bullying phenomenon causes an average of $44,000 of economic losses per reported case, in addition to compromising patients’ health and safety. This study aims to describe the experience of vertical violence among hospital-based nurse practitioners and its impact on their work, this through descriptive phenomenology. A semi-directed interviews data gathering has been conducted with six staff nurses, whose analysis was made by referring to McCormack and McCance's (2010) person-centered practice framework. The overall representation of vertical violence’s effects experienced by hospital nurses practitioners translates into a diversion of nursing initiatives that refer to diligent and personalized care in light of five themes: a loss of a nurse's skills, efforts to change the experience of vertical violence, a change in nursing practice priorities, a deterioration in collaboration between professionals and negative impacts on patients’ care and treatment. The results of this study indicate the need for hospital center managers to set up organizational policies against vertical violence and to apply them in a rigorous and transparent manner. Other studies should specify the organizational factors favoring vertical violence. Better training of nursing staff and of the next generation of nurses regarding this phenomenon would also provide tools to better manage it and its repercussions.

Certains enfants tendent à vivre de la victimisation durant tout le primaire. L’identification des victimes de même que les caractéristiques pouvant les prédisposer à être exposés de façon répétée à la victimisation apparaît importante. Cette recherche a évalué la validité de la perspective des enseignants comme source d’information, a documenté l’évolution de la victimisation durant tout le primaire et a évalué le rôle de l’agressivité réactive comme déterminant de la victimisation. L’échantillon composé de jumeaux monozygotes et dizygotes provient de l’Étude des jumeaux nouveau-nés du Québec. Les associations entre la perspective des enseignants, des pairs, des auto-évaluations avec le rejet par les pairs entre la maternelle et la quatrième année ont d’abord été examinées. Le jugement des enseignants a présenté la plus forte association avec le rejet par les pairs en maternelle et première année. Des trajectoires de victimisation avec des modèles semi-paramétriques entre la maternelle et la sixième année ont ensuite été estimées. Trois trajectoires ont été identifiées dont une plus élevée qui s’est révélée constante à travers le temps mais qui a présenté un niveau de victimisation modéré (1 É.T. de la moyenne). Ce résultat évoque une difficulté possible des enseignants à cibler les enfants sévèrement victimisés. Les enfants appartenant à chacune des trajectoires se sont différenciés quant à leur score de victimisation et de rejet mesurés selon la perspective des pairs suggérant une cohérence entre le jugement des enseignants et celui des pairs. Des analyses génétiques basées sur des modèles d’équations structurelles ont été effectuées. La trajectoire de victimisation élevée a présenté une héritabilité de 67% laissant entendre que des caractéristiques héritables de l’enfant peuvent le prédisposer à vivre de façon répétée de la victimisation. Une étiologie génétique commune expliquant 37% de la variance génétique partagée a été observée entre l’agressivité réactive et la victimisation. Ce résultat suggère que ce type d’agressivité peut expliquer en partie l’héritabilité de la victimisation et prédisposer un enfant à être exposé de façon chronique à des difficultés interpersonnelles durant le primaire.

Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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The reported number of hate crimes in New Jersey continues to remain high despite the enforcement of laws against perpetrators. The purpose of this correlational panel study was to test Shaw & McKay's theory of social disorganization by examining the relationship between demographic diversity and hate crime rates. This study focused on analyzing the relationship between the level of diversity, residential mobility, unemployment, family disruption, proximity to urban areas, and population density in all 21 New Jersey counties and hate crime rates. The existing data of Federal Bureau of Investigations' hate crime rates and the U.S. Census Bureau's demographic diversity, operationalized as the percentage of Whites over all other races, and social disorganization from 21 between the years 2007 through 2011, for a total sample size of 105 cases of reported hate crimes. Results of the multiple linear regression analysis indicate that ethnic diversity did not significantly predict hate crimes (p = 0.81), residential mobility (p < 0.001), and population density (p < 0.001) had positive effects on hate crime rates. Concentrated disadvantage (p = 0.01), characterized by the number of reported unemployment rates, had a negative effect on hate crime rates. The results of the study supported social disorganization theory in reference to residential mobility and population density. Law enforcement agencies can use the results of this study to combat hate crimes in areas with a high level of residential mobility and population density.

This dissertation reports on two supplemental instruction implementations in courses with high failure rates. In study one, 27 ultra-short on-line tutorials were created for Principles of Accounting II students (N = 426). In study two, 21 tutorials with a similar design were created for Elementary Statistics students (N = 1,411). Accounting students were encouraged by their instructor to use the resource, but statistics students only saw a brief demonstration by the researcher. Neither course gave students credit for using the tutorials. In study one, 71.4% of the accounting students used the tutorials. Students who used the tutorials had dramatically lower drop rates and better pass rates. Tutorial use was correlated with exam scores, although the effect was moderate. Tutorial use remained at high levels two years after implementation without instructors promoting use of the resource. Course grades were higher for the two-year period after implementation compared to the two years prior to implementation. In study two, statistics sections were randomly assigned to intervention (tutorials; 695 students) or control (716 students). There were no significant differences in drop rates or average grades between intervention and control sections. On average, 46.0% of the intervention students used the tutorials. Users were less likely to drop and more likely to pass compared to non-users and control students; these differences were especially pronounced among low-achieving students. Tutorial use was correlated with slightly higher exam scores, but only for low achievers. The lack of differences between intervention and control sections may have been due to the drop off of usage after the first exam and the small learning effect only accruing to the relatively small number of low achievers. Participants reported the tutorials as “important to their course achievement” more often than other course resources. The important features of the tutorials were convenience (24/7 Internet access), efficiency of learning, and clear instruction. These studies suggest that the magnitude of the learning effect of the ultra-short tutorials depends on the tutorial topics, instructor promotion of the resource, and whether or not they are implemented in a course in which students feel the need to seek extra instruction.