• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 475
  • 39
  • 29
  • 16
  • 14
  • 11
  • 11
  • 4
  • 2
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 639
  • 376
  • 278
  • 208
  • 194
  • 143
  • 126
  • 123
  • 116
  • 96
  • 86
  • 85
  • 72
  • 68
  • 62
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
141

Paris 21ème siècle, capitale du monde des arts d'Afrique Noire : Le rôle de la scène artistique parisienne dans la construction de la valeur des Arts d’Afrique Noire / Paris 21th century, capital of the world of the african art

Fossey, Estelle 07 December 2011 (has links)
Que ce soit au niveau des musées, du marché de l’art et des collections privées, Paris se défini aujourd’hui comme une place centrale de l’activité du monde des arts d’Afrique Noire. Outre l’actualité muséographique des arts d’Afrique Noire, avec l’inauguration en avril 2000 de la salle du pavillon des Sessions au musée du Louvre, puis l’ouverture du musée du quai Branly en juin 2006 ; Paris doit aussi sa place de capitale du monde des arts d’Afrique Noire par la centralisation des activités du marché de l’art de cette spécialité en son sein.D’ailleurs, nos travaux montrent que le rôle joué par la sphère privée des marchands et des collectionneurs est primordial dans l’homologation esthétique et la définition de la hiérarchie des valeurs esthétiques aujourd’hui admises dans la spécialité des arts d’Afrique Noire.Cette thèse de doctorat est aussi l’occasion de rappeler pourquoi le monde des arts d’Afrique Noire est une invention des pays de culture occidentale et permet d’appréhender avec plus d’objectivité l’appropriation occidentale du patrimoine artistique ancien et traditionnel issu de l’Afrique Subsaharienne / Whether it’s at the level of museums, the art market, or private collections, Paris is defined today as a central place of world activity, for ‘Black African’ arts. Beyond the reality, museographically speaking of Black African arts, with the inauguration of the Pavillion Hall of Sessions at the Louvre Museum in April 2000, and then the opening of the Quai Branly Museum in June 2006 ; Paris also credits it’s positions as the world’s capital of Black African arts by the centralisation of the art market’s activities of this speciality in it’s heart.Elsewhere, our works show that the role played by the private sphere of traders and of collectors is primordial in the aesthetic homologation and the definition of the hierarchy of aesthetic values today admitted in the speciality of ‘Black African’ arts.This doctorate thesis is also the occasion to recall why the world of ‘Black African’ arts is an invention of countries of western character, and allows to apprehend with more objectivity to western adapatation of ancient artistic heritage and traditional descent from the Sub-Saharan Africa.
142

Lieux, gestes et étendue : la notion de sens en peinture, de l'idée à l'inscription

Bossé, Jessie 18 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2012-2013. / Texte d'accompagnement d'une exposition réalisée à l'été 2011 sous le titre «Gestes et étendue» divisé en trois parties : Tout d'abord, il questionne la mise en oeuvre de l'élan initial du geste jusqu'à son inscription, sa représentation. Il constitue la mise en forme d'intuitions dans une approche personnelle, vécue, phénoménologique et philosophique. Dans le deuxième chapitre, en me plaçant devant l'acte de peindre, je suggère le geste, le rythme, la présence et le temps comme notions motrices, centrales, à l'origine de l'oeuvre. Tout en m'appuyant théoriquement sur certains auteurs, ce chapitre s'articule autour de la question de créer du sens en peinture, comme phénomène créateur, concret, visible et incarné. Et troisièmement, cet essai se veut être une réflexion qui tente de cerner les relations entre les éléments qui coexistent dans la réalisation du corpus d'oeuvres réalisé au cours de cette maîtrise. C'est sur ces éléments significatifs, imposants et infrangibles, que je m'attarderai plus spécifiquement dans le dernier chapitre pour rendre compte de l'unicité intérieure de ce projet.
143

Gustave Caillebotte : vues sur le Paris moderne : 1876 et 1880

Gingras, Roxanne 24 April 2018 (has links)
Ce mémoire prend pour objet l'étude des vues du Paris moderne par Gustave Caillebotte. Son engagement profond dans la réalité vécue le conduit vers une fascination particulière pour la reproduction de l'image urbaine. Entre 1876 et 1880, l'artiste déambule dans les rues et les boulevards en vue d'exécuter des traitements picturaux originaux et peindre des visions singulières, par rapport à sa propre production artistique de même qu'à celle de ses confrères impressionnistes. En raison des différents points de vue traités dans l'espace urbain, sa perception de la ville semble, à notre avis, évolutive. Que ce soit depuis la rue ou en hauteur, Caillebotte reproduit Paris telle qu'elle se présente devant lui ; c'est ce qui paraît le guider dans sa recherche. Si bien que notre travail consiste à démontrer qu'il est un peintre de la ville moderne. Par l'analyse de trois points de vue privilégiés (dans la rue, à la fenêtre et au balcon), remarqués à la fois dans son corpus et dans sa démarche, cette recherche veut montrer comment l'artiste perçoit l'urbanité moderne et comment il la rend. Nous observons qu'une adéquation entre les moyens plastiques modernes utilisés et l'intérêt de représenter la réalité elle-même moderne, traduit son processus créatif. Apporter des arguments au sujet de son étude des vues de ville, permet aujourd'hui de mieux cerner le travail unique de Gustave Caillebotte dans le paysage urbain.
144

De la fragilité et de l'intime

Morrissette, Valérie 23 April 2018 (has links)
Je crée des images, des espaces qui parlent du temps, qui parlent de mémoire personnelle, mais aussi d’une mémoire collective, de maisons, d’arbres, de racines. Le présent mémoire est une réflexion à partir de questions qui m’habitent et se répercutent à travers la création de mes installations. Mes investigations sont principalement fondées sur ces questionnements : Pourquoi parler de cet espace qui nous entoure, pourquoi parler de ce temps qui définit, encadre ou éclate ces images qui peuplent ma pensée? Le processus créatif est selon moi en perpétuel mouvement, tout comme la mémoire. Tout bouge, rien n’est fixe et c’est ce qui me motive à créer.
145

Objets portables, prothèses et mise en scène : l'expérience du corps

Lanzani, Rossana 24 April 2018 (has links)
Mon travail s'appuie sur l'expérience duale du corps humain, particulièrement le corps de la femme. Pour exprimer cette expérience corporelle, je me sers de la photographie et de la vidéo où je fais interagir les corps avec des objets sculpturaux que je nomme objets portables, du fait de leur rapport étroit avec le corps. Ces objets sont dérivés de bijoux, de prothèses médicales ou d'ornements et ont une fonction de médiation. Mon travail se nourrit des souvenirs du passé, pour lesquels j'ai recours à la mémoire et au rêve. Dans les images créées pour l'ensemble de mes projets s'établit une ambigüité temporelle, située entre une réactualisation du passé et une résurgence de souvenirs d'enfance.
146

Migrations et transparences

Basanes, Alejandra 18 April 2018 (has links)
La recherche création que j'ai effectuée s'intitule « Migrations et transparences », elle s'est articulée autour de mon expérience de la migration. La migration m'a permis de vivre un autre temps spatial : une autre vie. Ce changement de pays est lié à un rôle déstabilisateur dans ma vie. Au début de mes cours de maîtrise, je ne pensais pas investiguer des phénomènes dans lesquels j'étais moi-même immergée. Les recherches m'ont conduite à parcourir le sentier de la migration comme sujet de recherche où je me trouve totalement immergée. Pour moi, non seulement l'exil est-il une blessure qui marque le déroulement subséquent de mon existence — une fracture structurante en quelque sorte — mais l'exil est aussi un arrachement (déracinement) du lieu des origines, suivi d'une intégration (enracinement) dans une nouvelle société qui vient nourrir mon discours des appartenances multiples. Ma recherche m'a fait, par la suite, remettre en question mes moyens de production et certaines notions et concepts par rapport à mon travail précédent. Différents concepts y sont abordés, tels que la migration, le territoire et sa représentation (la carte). Je me suis intéressée à développer une réflexion sur les possibles combinaisons de différents moyens, plus concrètement: la fusion entre le dessin, la photographie numérique, la manipulation de l'image et l'estampe sur verre en transition vers des installations. J'ai approfondi le concept de migration d'une façon telle qu'il m'a permis d'ajuster mon discours et aussi de l'approcher de ma pratique artistique. Ma recherche se conclut avec une installation que je nomme « Migrations et transparences ». Ce travail de création m'a amené à m'interroger finalement sur des concepts qui concernent l'organisation spatiale: l'espace, le territoire, le mouvement dans cet espace, la carte, la grille, la distance et le vide.
147

La praxis éthique et esthétique de la frivolité dans une production sérieuse

Belzil Normand, Carol-Ann 24 April 2018 (has links)
Par une pratique ouverte et éclectique, j'ai décidé d'orienter mon travail de recherche de maîtrise vers une étude libre du cinéma d'animation. Mon approche de la création est frivole bien qu'elle s'inscrive dans un cadre méthodique et rigoureux. La réalisation de trois films d'animation m'a permis d'analyser le concept de ligne, de construction et de corps afin de tisser des liens avec les autres arts comme la céramique et l'impression numérique. La synthèse de mon travail est présentée dans le cadre d'une exposition à La Bande Vidéo du 13 janvier au 5 février 2017 sous le titre À peu près prêt(e).
148

Valeurs de l'objet d'art : variations et usages potentiels

Raymond, François 23 April 2018 (has links)
Le mémoire qui suit accompagne l’exposition Paysages Financiers, présentée à la galerie Art Mûr de Montréal, du 17 janvier au 28 février 2015. Dans cette exposition, j’aborde les thèmes de la sacralisation de l’objet d’art, de son potentiel de profanation ainsi que la notion de valeur des œuvres. J’y présente un corpus d’œuvres constitué de : « Chemin de fer de fortune, Espaces publicitaires, Monuments, Bongzaïs, Paysages financiers, Venise 2015, Guichets manuels ainsi que Joseph le mendiant ». Issu d’une réflexion sur l’utilisation d’objets usuels possédant une valeur marchande précise dans la sphère des arts, mon corpus de maitrise questionne la possibilité d’usage de l’objet d’art et les tensions qui en découlent. En utilisant différents objets, images, symboles et codes de notre société que je détourne, je crée des œuvres picturales et sculpturales dont la notion symbolique, la notion de valeur et d’échange se métamorphosent. Je pose ainsi un regard sur les objets qui nous entourent ainsi que sur notre approche face au système de l’art. Je m’intéresse aux relations de sens (parfois disjonctifs) entre ces codes, mais surtout sur la relation entre le spectateur et l’objet d’art. Mots clefs : objet d’art - jeu (ludique) – sacralisation/profanation – détournement – marché de l’art
149

Projet Iris : Inclusion, exclusion, expansion, essaimage, dissémination et absurdité

Noury, Richard 23 April 2018 (has links)
Ce court essai décrit une recherche créative, touchant la notion d’inclusion/exclusion mise en corrélation avec l’aphorisme Le monde est absurde. Une recherche que j’ai entreprise dans le cadre de ma pratique interdisciplinaire en arts visuels. Par ce fait même, je me questionne sur l’origine et le sens de la vie, sur la raison de notre existence et sur nos comportements sociaux. Le document est divisé en quatre chapitres. Le premier définit la notion d’inclusion/exclusion juxtaposée au spencérisme et à la sélection naturelle de Darwin. Le deuxième chapitre montre de quelle façon je fais agir la notion d’inclusion/exclusion à l’intérieur du projet Iris et de ses différents aspects : la métaphysique, la narrativité, le sujet et l’architecture. Le troisième chapitre illustre la manière dont le projet Iris se développe par le truchement des vecteurs d’expansion tels que l’implicite et la ligne de pensée rhizomatique suggérée par Gilles Deleuze et Félix Guattari. Finalement, le dernier chapitre décrit l’évolution et les multiples transformations physiques du projet Iris à partir d’un quelconque début jusqu’à aujourd’hui, et du possible à venir. C’est-à-dire, les directions qu’Iris pourrait emprunter dans son déploiement et sa transformation.
150

La Suicidée : quand la transdisciplinarité devient un récit tragique

Caissy, Sandra 20 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdorales, 2014-2015 / La Suicidée est un projet d'exposition transdisciplinaire en arts visuels conçu à partir d'installations multi-, pluri- et inter-disciplinaires cherchant à générer du sens et de la signification par la mise en espace d'un récit tragique mettant en scène ma propre image au cœur de la représentation de l'idée de mort volontaire. Ces installations sont disposées dans un ordre logique de séquences de façon à suggérer qu'il existe des étapes dans le processus menant à l'idée de mort volontaire. En cherchant à tendre vers une meilleure compréhension du phénomène du suicide, je choisis d'utiliser comme matière première mon propre vécu avec la mise en place d'une multiplicité de points de vue. C'est dans un contexte d'auto-observation de mes propres pensées et de mes états d'âme douloureux causés par des symptômes dus à un syndrome de stress post-traumatique polytraumatique que j'ai utilisé l'art comme lieu d'amplification de la réalité pour la transformer en une histoire tragique inventée. C'est alors par le dessin, l'écriture, la vidéo, le son, la peinture, la sculpture, la photographie et la danse que je choisis de mettre en relation le désir de mort et le désir de vie. Ces autoportraits seront jumelés à la lenteur, à l'aspect fantomatique, à la beauté de la nature, à la violence des mots et aux sonorités dramatiques pour imager la détérioration de l'âme.

Page generated in 0.4316 seconds