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La chronique universelle de la création jusqu'à Constantin : un corpus occitan et catalan au XIVe siècle / The Chronique universelle de la création jusqu'à Constantin : an Occitan and Catalan corpus of the fourteenth century

Biu, Felip 10 December 2011 (has links)
La Chronique universelle de la Création jusqu'à Constantin, demeurée à ce jour inédite dans sa version occitane complète, voit probablement le jour en terre catalane au tout début du quatorzième siècle, avant d'être traduite en occitan et en italien. Copié aux confins du Languedoc et de la Provence, le manuscrit D présente une langue influencée par le catalan et teintée de français. Quant au manuscrit G, copié en Béarn et bien connu sous le nom de Récits d'Histoire Sainte en Béarnais depuis son édition par Lespy et Raymond, en plus de conserver le seul texte littéraire béarnais de cette époque, il a connu une longévité exceptionnelle puisqu'il fut en usage jusqu'au dix-huitième siècle. / The Chronique universelle de la Création jusqu’à Constantin, which has remained unpublished to this day in its complete Occitan version, probably appeared in Catalonia at the beginning of the fourteenth century, before being translated into Occitan and Italian. Copied on the borders of Languedoc and Provence, Manuscript D contains language that has been influenced by Catalan tinged with French. As for Manuscript G, which was copied in Bearn and has been well knownunder the name of Récits d’Histoire Sainte en Béarnais since it was published by Lespy and Raymond, in addition to preserving the only Bearnese literary text from this period, it is exceptional for the length of time that it was used, that is, up until the eighteenth century.
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Transcription et étude du Roman d'Eledus et Serene : la question du roman idyllique médiéval

P. Héroux, Gaël 03 October 2019 (has links)
Ce mémoire s’articule en deux parties. En ce qui concerne la première, il s’agit de fournir une nouvelle transcription ponctuée du manuscrit BnF NAF 1943, unique témoin, datant de la fin du XIVe siècle, du Roman d’Eledus et Serene. Ce manuscrit n’a été édité qu’une seule fois, en 1923, dans une thèse de John Revell Reinhard comportant plusieurs lacunes et présentant un apparat critique restreint. La seconde partie consiste en une étude générique du Roman d’Eledus et Serene. Bien que ce texte figure traditionnellement dans les listes de romans idylliques médiévaux, aucune étude ne s’est encore employée à statuer sur la légitimité de ce classement. Le genre même du roman idyllique est peu connu, même au sein de la communauté médiéviste, et est encore mal défini. Une première définition, que les critiques s’accordent à qualifier de « dépassée », a été établie en 1913 par Myrrha Lot-Borodine dans son ouvrage Le roman idyllique au Moyen Âge. Depuis lors, bien que plusieurs altérations ponctuelles aient été apportées à cette définition d’origine, aucun travail critique ne s’est encore penché sur l’élaboration d’une nouvelle définition du genre. Ce mémoire s’emploie donc à compiler les caractéristiques génériques qui ont été associées au roman idyllique médiéval par la critique, en diachronie, pour en établir une nouvelle définition, aussi complète et opératoire que possible. Finalement, une analyse du Roman d’Eledus et Serene à la lumière de cette définition et en fonction d’autres témoins du corpus idyllique vise à légitimer son appartenance au genre.
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La création d'un monde secondaire : une étude d'un jeu de rôle québécois

Bonsaint, Marie-France January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le Christ en Procès dans les images italiennes à la fin du Moyen Âge : comparutions, dérisions, flagellation / The Trial of Jesus-Christ in late-medieval Italian images : trial, mocking, flagellation.

Duclos-Grenet, Pauline 08 February 2019 (has links)
Cette thèse étudie, à partir d’un corpus d’environ 950 images, l’iconographie du Procès du Christ dans la culture italienne de la fin du Moyen Âge. Elle est le fruit d’une double ambition : celle de retracer l’évolution iconographique des scènes (Comparutions devant les juges, Outrages, Couronnement d’épines, Flagellation) et du cycle dans son ensemble, et ce, dès les premiers siècles de l’art chrétien, mais au-delà, celle de replacer ces images d’injustice dans le champ spirituel, culturel, judiciaire et politique d’une société profondément imprégné d’une pluralité de discours sur la justice. La première partie remonte aux sources, textuelles et visuelles, afin de mieux comprendre l’élaboration progressive du cycle visuel et de mieux cerner l’inventivité des solutions italiennes à partir de la seconde moitié du XIIIe siècle. La deuxième partie est une exploration d’un corpus de 950 images. L’analyse des évolutions iconographiques scène après scène est enrichie par une analyse sémantique. Il s’agit en effet de montrer comment sont figurés à la fois une justice dysfonctionnelle et le paradoxe du Christus iudicatus, en regard notamment des images contemporaines de la justice. La dernière partie est une réflexion sur les diverses modalités de mise en acte de ces images, selon les supports et les contextes, dévotionnels, judiciaires, mais également politique. Cet éclairage multiple confère à ce thème iconographique une profondeur et une résonance particulière. Dans une société pénétrée par le thème de la justice, à la fois institution en quête d’elle-même, vertu chrétienne et puissance divine, il fait office d’un repoussoir rhétorique efficace, tout en étant chargé d’une forte ambivalence propre à la culture médiévale.Mots clés : apparatus visuel, Arena, Aula épiscopales de Bergame, Ben Comune, Caïphe, Pietro Cavallini, Christ, Comune rubato, conforto, Couronnement d’épines, croix peinte, dévotion, Diligite iustitiam, discipline Duccio, fama, Flagellation, Florence, fresque, Giotto, Giustizia bendata, Hérode, imitatio Christi, infamia, injustice, Jugement dernier, juifs, justice, Lavement des mains, Pietro Lorenzetti, Maestà, Meditationes Vitae Christi, memento falliri, memoria, métalepse visuelle, Passion, Pilate, Présentation au peuple, procès, retable, Rhetorica ad Herennium, rituels, rituels judiciaires, Sienne, spiritualité mendiante, tavoletta, vertu, vice / This dissertation examines, from a corpus of about 950 images, the various scenes of the Trial of Christ in the late medieval Italian culture. It claims two aims. Firstly, it draws the iconographic evolution of each scene (Christ before his judges, Mocking, Crowning of Thorns, Flagellation) and of the entire sequence, from the first centuries of Christian art ; secondly, it inserts theses images of injustice in the spiritual, cultural, judicial and political context of a society which is profoundly pervaded by the theme of justice. The first section deals with the textual and visual sources in order to examine the elaboration of the sequence and the inventiveness of the Italian solutions since the second half of the XIIIth century. The second section is a survey of the corpus, lead by a geographico-historical analysis of the production of these images. This aspect is extended by a semantic approach of these scenes picturing the injustice and the infamia endured by the Son of God, notably through the light of the increasing corpus of images of institutional justice. The last section examines the question of the efficacity of these images in various contexts (devotion, judicial rituals, civic rhetoric, politics). Thanks to that diversity of approaches, the theme of the Trial of Jesus reveals profound resonances in the web of Italian societies, where justice is an institution in search of its own identity, a Christian virtue and the privilege of God at End Time. Its acts notably as a powerful but ambivalent rhetorical counterexample.Key words : agency of image, altarpiece, visual apparatus, Arena, episcopal aula of Bergamo, Ben Comune, Blind Justice, Caiaphas, Pietro Cavallini, Christ, Comune rubato, conforto, Crowning of Thorns, devotion, Diligite iustisiam, discipline, Duccio, Ecce Homo, efficace des images, fama, Flagellation, Florence, frescoes, Giotto, Herode, imitatio Christi, infamia, injustice, Jews, Last Judgment, justice, Pietro Lorenzetti, Maestà, Meditationes Vitae Christi, memento falliri, memoria, visual metalepsis, painted cross, Passion, Pilate, Pilate washing his hands, Rhetorica ad Herennium, rituals, judicial rituals, Siena, mendicant spirituality, tavoletta, trial, vice, virtue.
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Constantinople et les provinces : le rôle de l’aristocratie aux IXe-XIe siècles / Constantinople and the provinces : the role of aristocracy in the 9th-11th centuries

Andriollo, Luisa 30 November 2013 (has links)
Cette recherche se propose d’étudier l’évolution des relations entre Constantinople et les provinces micrasiatiques de l’Empire entre le IXe et le XIe siècle, en ce qui concerne les formes concrètes de l’administration et de l’exploitation des territoires provinciaux, ainsi que la perception et la représentation culturelle de ce rapport. Nous sommes concentré en particulier sur le rôle politique et social de l’aristocratie. Les représentants de ce groupe social étaient en effet les principaux interlocuteurs politiques du pouvoir impérial ; pendant toute la période considérée, ils remplirent une importante fonction de médiation entre le gouvernement central et la société provinciale, par l’exercice des fonctions publiques et par l’action de réseaux, parfois très étendus, de relations personnelles.Après avoir situé notre travail dans le contexte de la discussion historiographique et avoir reconstruit d’abord la représentation traditionnelle des provinces dans la littérature byzantine, ensuite la structure militaire, administrative et fiscale de l’administration provinciale, nous chercherons à définir les enjeux réels liés au contrôle des territoires orientaux à travers l’étude de trois macro-régions. À chaque fois nous nous efforcerons de déceler les intérêts économiques et stratégiques des institutions centrales, leurs rapports mutuels et leur interaction avec la société locale.Enfin, nous chercherons à décrire l’évolution du profil social de l’aristocratie méso-byzantine, de son idéologie et son attitude vis-à-vis de l’idéal impérial. Une telle analyse peut aider à mieux comprendre la crise qui bouleversa l’Empire à la veille de l’avènement d’Alexis Comnène. / This research aims to study the development of relations between Constantinople and the provinces of Asia Minor belonging to the Byzantine the Empire between the ninth and eleventh centuries. This study includes non only a research on the concrete ways to administer and exploit the provincial jurisdictions, but also the perception and cultural representation of the relation between center and periphery. We focused in particular on the political and social role of the aristocracy. The members of this social group were the main political agents of the imperial power; throughout the period, they filled an important mediating role between the central government and the provincial society, by the public functions they exercised and by the extensive and active networks of their personal relationships.After situating our work in the historiography, we dwell on the traditional representation of the provinces in the Byzantine literature, we also describe the military, administrative and fiscal structures of the provincial administration, seeking to identify the real issues related to the control of these Eastern territories, through the study of three macro-regions. For each of them, we try to identify the economic and strategic interests of the central institutions, their mutual relations and their interaction with the provincial society, particularly with the aristocracy.In the last part of this thesis, we try to describe the evolution of the meso-Byzantine aristocracy social profile, its ideology and its attitude vis-à-vis the imperial ideal. Such an analysis can help to understand the political and structural crisis that shook the Empire on the eve of Alexis Comnenus reign.
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Archéologie du peuplement médiéval et moderne de la plaine de Taroudant et des piémonts des Atlas (Maroc) / Medieval and modern settlement in the Taroudant plain and the Atlas foothills (Morocco) : an archaeological study

Godener, Morgane 23 June 2016 (has links)
La plaine du Sous, au cœur de laquelle est implantée la ville de Taroudant, est une grande plaine alluviale du Sud-ouest marocain. Les sources historiques témoignent de la richesse agricole de cette région, dont le contrôle a représenté un enjeu stratégique pour les pouvoirs centraux successifs tout au long des périodes médiévale et moderne. Elle offre ainsi l’opportunité d’examiner l’occupation d’un territoire entre centres de pouvoir, grands programmes d’aménagement, fortifications et établissements ruraux. Encadrée par les chaînes montagneuses du Haut Atlas et de l’Anti-Atlas, elle constitue également un espace privilégié pour analyser les liens entre zones de plaine et secteurs de piémont. Cette thèse propose ainsi d’examiner l’évolution du peuplement de la plaine et des piémonts adjacents, autour de la capitale Taroudant, du début de l’époque médiévale au début de l’époque moderne (VIIIe-début du XVIIe siècle). Fondée sur une enquête de terrain, cette étude s’appuie sur un corpus de sites archéologiques en grande partie inédit. L’analyse des modes de construction, des structures, et du mobilier de surface a permis de préciser les caractéristiques de la culture matérielle de la région. L’organisation et l’implantation des sites ont également été examinées afin de comprendre les modalités d’installation des populations et leur évolution sur l’ensemble de la période concernée. La ville de Taroudant a par ailleurs fait l’objet d’une analyse spécifique pour cerner l’évolution du centre urbain et son insertion dans un territoire à forte dominante agricole. Enfin, l’ensemble de ces données a été mis en perspective afin de proposer une analyse diachronique du peuplement de la région. / The Sous plain, in the heart of which the city of Taroudant is settled, is a large alluvial plain in south-west Morocco. Historical sources attest to the agricultural wealth of this region, whose control has been a strategic issue for successive central governments throughout the medieval and modern periods. It thus offers the opportunity to consider the occupation of territory between power centers, major development programs, fortifications and rural settlements. Surrounded by the mountain ranges of the High Atlas and Anti-Atlas, it is also a privileged space to analyze the connections between lowlands and foothills areas. This thesis proposes to examine the evolution of settlement in the plain and adjacent foothills, around the capital Taroudant, from early medieval times to early modern period (VIIIth-early XVIIth century). This study is based on fieldworks, and on a corpus of archaeological sites, which are new for the most of them. The analysis of modes of construction, structures, and surface material allowed to specify the characteristics of the material culture of the region. The organization and location of these sites were examined as well in order to highlight settlement forms and their evolution throughout the period. A specific analysis has also been carried out on the capital city, Taroudant, for identifying changes in the urban center and its insertion in an area dominated by agriculture. Finally, all of these data have been put in perspective to offer a diachronic analysis of the settlement in this region.
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Ecritures secrètes, écritures magiques : imaginaire de la cryptographie dans la matière de Bretagne des XIIème et XIIIème siècles / Secret writing, magic writing : Imaginary of the cryptography in matter of Britain of the 12th and 13th century

Doucet Picano, Laurence 26 September 2017 (has links)
Le projet de recherche se propose d’explorer le rapport particulier entre « l’écrire » et la magie en se plaçant au plus près de la matérialité de l’écriture : avec quoi et sur quoi écrit-on ? Les romans antiques et les aventures du roi Arthur et des chevaliers de la Table Ronde, des XIIème et XIIIème siècles, œuvres qui constituent notre corpus*, font état de parchemins, de « lettres », de tissus ou vêtements, de peaux d’animaux ou humaine, de supports végétaux, de pierres tombales, d’armes sur lesquels on écrit, parfois avec deux ou trois couleurs, avec différents « instruments » : plumes d’oiseau (avec des encres), stylets pointus par exemple. De manière atypique, des substrats éphémères comme la farine, la cendre, la neige apparaissent ; le sang des hommes (ou des animaux), souvent, y laisse des traces, des signes. Les messages ainsi écrits ne sont pas toujours fondés sur l’alphabet (par exemple dans le Lai du Chèvrefeuille). Le support et la forme de ces écritures ont un sens particulier et confèrent une valeur magique aux messages laissés, par les personnages, hommes ou femmes, magiciens ou initiés. L’imaginaire de l’écrire est différent de celui de l’écriture: il repose sur le support, sa matérialité et sera la piste à privilégier dans notre enquête. Nous nous poserons donc la question de l’intentionnalité des signes dans ces messages, en fonction du choix du support, quel qu’il soit. Les œuvres de notre corpus ont été écrites dans une période qui connaît l’immense développement, en langue vernaculaire, de la littérature médiévale ; elle a un lien très fort avec l’oralité et le folklore. Notre enquête accordera une importance particulière aux traditions populaires, au folklore, aux croyances magiques ; les contes, les légendes, les textes hagiographiques ainsi que des textes à valeurs non littéraires seront considérés pour comprendre la part de l’imaginaire dans l’acte d’écrire, en prenant en compte, le cas échéant, des récits d’autres aires culturelles, extra-européennes et en réfléchissant sur la dimension anthropologique de l’acte d’écrire. De même, les noms (des personnes, des lieux) ainsi que les dates seront considérés avec attention. Le concept d’«écriture magique » sera défini et cerné : qu’envisageons-nous dans cette magie qui peut être liée aux supports, aux signes, à la langue utilisée pour rédiger le message, et à la personne qui écrit ? Il s’agira donc de donner un sens au mot « magie » en se fondant sur l’étymologie, sa relation au sacré, à la religion, à la sorcellerie. Nous nous appuierons dans cette recherche sur ce qui est connu des supports cités dans le corpus, en nous fondant sur le relevé des occurrences des termes décrivant l’acte d’écrire, et leur étymologie. Cette magie a une incidence sur l’imaginaire qui n’est pas un simple état de fait. Les œuvres de notre corpus gardent des traces de mythes anciens sur l’apparition de l’écriture (sans la confondre avec le dessin ou la peinture), de ses pouvoirs, de sa relation à la magie et au sacré. Ces mythes évoluent, coexistent avec la vision chrétienne mais ne meurent pas. Ils seront ainsi parties prenantes de notre recherche pour questionner les différents imaginaires de la cryptographie. * Corpus : - Les romans antiques o Le roman d’Eneas o Le roman de Thèbes o Le roman de Troie o Le roman d’Alexandre - La matière arthurienne o Chrétien de Troyes (Bibliothèque de la Pléiade) o Les poèmes tristaniens français, Le lai du Chèvrefeuille (et des références possibles à d’autres lais de Marie de France) o Continuations de Perceval o Le livre du Graal (Bibliothèque de la Pléiade) ; Le Livre du Graal I : Joseph d'Arimathie ; Merlin ; Les premiers faits du roi Arthur, ; Le Livre du Graal. II, Lancelot : de "La Marche de Gaule" à "La première partie de la quête de Lancelot", ; Le Livre du Graal. III Lancelot : la seconde partie de la quête de Lancelot. La Quête du saint Graal. La Mort du roi Arthur / The research project suggests exploring the particular relationship between " to write " and the magic by taking place as closely as possible to the materiality of the writing: with what and on what do we write? The antique novels and the adventures of king Arthur and Knights of the Round Table, XIIth and XIIIth centuries, works which constitute our corpus, state parchments, "letters", tissues or clothes, of skins of animals or human, plant supports, gravestones, weapons on which we write, sometimes with two or three colors, with various "instruments": feathers of bird (with ink), sharp stylets for example. In a atypical way, substrata short-lived as the flour, the ash, the snow appear; the blood of people (or animals), often, leaves with it signs. Messages written are not still established on the alphabet (for example in the Lay of the Honeysuckle). The support(medium) and the shape of these writings have a particular sense and confer a magic value on the left messages, by the characters, the menor the women, the magicians or the initiated people. The imagination of this kind of cryptography is different from that of the writing: it bases on the support, its materiality and will be the track to favor in our survey(investigation). We shall thus ask ourselves the question of the intentionality of the signs in these messages, according to the choice of the support(medium), whatever it is. The works of our corpus were written for a period which knows the immense development, in vernacular language, the medieval literature; it has a very strong link with the oral character and the folklore. Our survey(investigation) will grant(tune) a particular importance for the popular traditions, for the folklore, for the magic faiths; the tales, the legends, the hagiographic texts as well as the texts with not literary values will be considered to include the part of the imagination in the act to write, by taking into account, where necessary, narratives of the other cultural, extra-European areas and by thinking about the anthropological dimension of the act to write. Also, names (people, places) as well as dates will be considered with attention. The concept of " magic writing " will be defined and encircled: what do we envisage in this magic which can be bound(connected) to supports(media), to signs, to language(tongue) used to draft the message, and to the person who writes? Il will thus involve of giving a sense(direction) to the word "magic" by basing(establishing) itself on the etymology, its relation in the sacred, in the religion, in the witchcraft. We shall lean in this search(research) on what is known supports(media) quoted in the corpus, by basing(establishing) us on the statement of the cases(occurrences) of the terms describing the act to write, and their etymology. This magic has an incidence on the imagination which is not a simple established fact. The works of our corpus keep(guard) tracks of former(old) myths on the appearance of the writing (without her(it) confusing(merging) with the drawing or the paint(painting)), of its powers, his(her,its) relation for the magic and for the sacred. These myths evolve, coexist with the Christian vision but do not die. They will so be stakeholders of our search(research) to question the various imagination of cryptography
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Expression et position du sujet pronominal du 12ème au 14ème siècle : une approche quantitative(recherche inédite)

Prevost, Sophie 08 July 2011 (has links) (PDF)
La recherche inédite " Expression et position du sujet pronominal du 12ème au 14ème siècle : une approche quantitative " poursuit et exemplifie la réflexion proposée dans le mémoire de synthèse (" Français médiéval en diachronie : du corpus à la langue " http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00667107), tant en ce qui concerne la problématique du changement et de la variation que celle des corpus numérisés et enrichis et des stratégies mises en oeuvre pour les exploiter.
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La confession dans le théâtre de la fin du Moyen Âge : farce, mystère, moralité / Confession in the late medieval franche theatre : farce, mystère, moralité

Simon-Walckenaer, Marie-Emmanuelle 08 January 2015 (has links)
Le sacrement de confession, dont l’obligation annuelle est décidée par le concile de Latran IV (1215), est une pratique religieuse qui marque profondément la civilisation du Moyen Âge finissant. Le motif remporte un succès franc dans le théâtre profane des XIIIe XVIe siècles. Les farces montrent des scènes de confessions burlesques, toujours déviantes, dans lesquelles les travers des pénitents et des confesseurs apparaissent et dont la mécanique formelle est utilisée à des fins dégradées. La moralité favorise l’exploitation des métaphores de ce sacrement ou son allégorisation divisée en de multiples personnages qui gravitent autour de ses trois grands moments : contrition, confession et satisfaction ou pénitence. La figuration imagée est mise au service du sens théologique du sacrement, la confession étant un moyen de salut, une étape capitale par rapport au devenir éternel de l’âme. Enfin, les mystères de la Passion font adopter aux saints antiques le langage du sacrement, manifestant l’identité, dans la civilisation médiévale, entre conversion et confession. Malgré des élaborations esthétiques différenciées selon le genre théâtral, les fortes convergences entre les pièces du corpus montrent des dramaturges attentifs aux mêmes aspects du sacrement : les difficultés qu’il y a à accepter cette démarche d’auto-accusation, l’effort pastoral déployé par les contemporains pour en persuader le bien-fondé et en expliquer le déroulement et enfin, quand ils se font jour au XVIe siècle, les affrontements doctrinaux avec les protestants. Le théâtre est en cela le témoin de la théologie moyenne des hommes de son temps. / Confessing sins is a yearly duty for all Christians since the council of Lateran IV (1215). The broad impact of this religious practice on late medieval civilization is patent through the French theatre of the xiiith – xvith centuries. Comic short plays (farces) show realistic scenes of confession: but, due to the confessor’s or the sinner’s attitude, none is right. The comical and critical distance allows the use of the ritual form, disconnected from the preoccupation of heaven and hell and applied to terrestrial purposes. On the contrary, the use of allegory in morality plays (moralités) aims at showing the signification of the sacrament: images emphasize the meaning of this sacrament which provides ways of salvation to the soul of the sinner. The moments of the rite, contrition, confession, and penance, are, like every other notion in connection with them, impersonated by allegorical characters who explain and perform the sacrament. Eventually, in the Passion plays (mystères), saint characters tell their conversion to the ritual forms of the sacrament, showing the equivalency, in that civilization, between conversion and confession. Despite esthetic differences depending on the theater genres, all plays show a similar interest on some aspects of the sacrament: the reluctance every man must overcome to formulate his self-accusation, the pastoral care with which the institution keeps explaining and convincing people of its use and finally, as it rises in the xvie Century, the protestant contestation of the sacrament. Theatre thus appears to be a testimony of the average late medieval theology.
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L'espace, le monument et l'image du mort au Moyen Âge : une enquête anthropologique sur les tombeaux médiévaux de la Collection Gaignières / The space, monument and image of the dead in the middle ages : an anthropological study of the medieval tombs from the Gaignieres Collection

Marcoux, Robert 26 April 2013 (has links)
Comme toute civilisation, l'Occident médiéval confère au tombeau un sens particulier. Basée sur les dessins de la collection Gaignières, l'étude sérielle de plus de 1500 monuments funéraires permet d'explorer la construction et les usages de cette image-objet entre le XIIe et le XVe siècle. En combinant les méthodes quantitative et qualitative, l'analyse fait ressortir de ce corpus hétérogène des structures et des dynamiques qui opposent deux approches monumentales du tombeau : une approche verticale qui implique l'usage de structures en élévation et de la statuaire, et une approche horizontale qui concerne spécifiquement les dalles funéraires. Cette bipolarisation est socialement déterminée. Les tombeaux verticaux sont privilégiés par la haute hiérarchie ecclésiastique et laïque et les tombeaux horizontaux par le reste des clercs et des aristocrates, ainsi que par les bourgeois. En plus de refléter et de reproduire la hiérarchie sociale, une telle répartition des tombeaux renvoie à deux types de constructions mémorielles. En s'imposant physiquement dans l'espace ecclésial et en refoulant les références à la mort, les tombeaux verticaux participent surtout à une commémoration rétrospective du défunt dont les finalités sont temporelles (identité et légitimation sociale). En entretenant avec le lieu de la tombe un rapport direct et évocateur, les tombeaux horizontaux répondent davantage aux besoins d'une commémoration prospective, orientée vers le salut de l'âme. Ces tendances commémoratives ne s'excluent pas mutuellement mais constituent, en définitive, les deux pôles entre lesquels se développe la variété formelle et iconographique des tombeaux. / As with all civilizations, the Medieval West gave a specific meaning to the funeral monument. Based on drawings from the Gaignières Collection, the serial study of over 1500 tombs helps to explore the construction and uses of this particular « image-object » between the 12th and 15th century. By combining quantitative and qualitative methods which help reveal the structures and dynamics of the documents, the analysis identifies two ways of approaching the tomb as monument : a vertical approach characterized by the use of elevated structures and statues, and a horizontal approach entirely associated with funeral slabs. The bipolarization is socially determined. Vertical tombs are favored by the upper echelons of the religious and lay hierarchies, while horizontal tombs are used by the remaining clerics and aristocrats as well as by the burghers. In addition to reflecting and reproducing the social hierarchy, these tendencies express two types of memorial constructions. By physically imposing themselves in church space et by avoiding direct references to death, vertical monuments mostly answer to a retrospective commemoration by which the glorified memory of the deceased serves temporal ends (i.e. social identity and legitimacy). By maintaining a close and suggestive relation with the site and content of the tomb, horizontal monuments favor a prospective commemoration orientated towards the soul's salvation. Far from being mutually exclusive, these two types of commemoration rather constitute the poles between which the Medieval tomb expresses its formal and iconographic diversity.

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