• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 125
  • 17
  • 10
  • 6
  • 4
  • 1
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 172
  • 122
  • 28
  • 28
  • 23
  • 20
  • 17
  • 15
  • 15
  • 14
  • 14
  • 14
  • 14
  • 13
  • 13
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
61

Structuration sémantique du lexique des verbes en polonais et français langue étrangère / Semantic structuring of verbal lexicon in Polish and French as a foreign language

Jagielska, Dominika 28 November 2011 (has links)
Notre étude porte sur deux éléments en contexte d’acquisition du polonais langue maternelle et du français langue étrangère. Le premier concerne l’acquisition des verbes. On constate un recours important à des verbes de base ou verbes génériques du type casser, couper, faire en acquisition du lexique verbal d’une langue maternelle et étrangère. Ces verbes peuvent être utilisés en emplois non conventionnels. Le second concerne les énoncés non conventionnels à pivot verbal du type Elle casse une tomate. Les énoncés non conventionnels sont classifiés comme des erreurs, des sur-extensions ou encore des métaphores. Cependant dans la lignée de certains auteurs, nous postulons que ce type d’énoncé est le reflet d’une flexibilité sémantique primordiale au cours de l’acquisition du lexique, notamment verbal, d’une langue maternelle et d’une langue étrangère. Le lexique verbal serait structuré par proximité sémantique.Notre population se compose d’enfants, en acquisition précoce et tardive du langage, et d’adultes polonais, tous sont en apprentissage du français.Nous avons fait passer un protocole expérimental consistant en deux tâches, une de dénomination d’action et une de reformulation d’action. Nos résultats comprennent des analyses statistiques et des analyses sémantiques. Ils montrent une production importante de verbes génériques et d’énoncés non conventionnels chez tout type de sujet. / Our study deals with two elements involved in the acquisition of Polish as a first language and of French as a foreign language.The first element is verbal acquisition. We observe that, when acquiring the verbal lexicon of a first and foreign language, learners use a large number of generic verbs such as to cut, to do, to break. These verbs may be used in non conventional statements.The second element is non conventional statements based on verbs, such as: “she is breaking a tomato”. These statements are considered as errors, over-extensions or metaphors. But we assert that these statements reflect a semantic flexibility which is essential to the acquisition of the lexicon when learning a first and second language. This also applies to the verbal lexicon, which we believe is organized through semantic proximity. This is in agreement with several other authors’ works.Our subjects are Polish adults and children. The children may be in the early or late stages of language acquisition. All are learning French.They were subjected to an experimental protocol which consisted in two tasks: action denomination and action reformulation. Our results include both semantic and statistical analysis. They reveal that all types of subjects produce a large number of generic verbs and non conventional statements.
62

Conceptual metaphors of time in English and in Arabic : a comparative cognitive study

Hamdi, Sondes. 13 April 2018 (has links)
En dépit de l'intérêt accordé à l'étude de la métaphore, d'un côté, et aux méthodes de corpus, d'un autre, peu d'études ont combiné les deux éléments. Aussi est-il que jusqu'à présent, aucune étude n'a fourni une analyse comparative systématique des métaphores du temps en arabe et en anglais. En fournissant une étude comparative basée sur un corpus de métaphores du temps en arabe et en anglais, cette thèse a contribué à la Théorie de la Métaphore Conceptuelle (CMT) en plaçant la théorie dans une perspective interculturelle et interlinguistique plus vaste. L'étude démontre que l'anglais et l'arabe partagent les métaphores conceptuelles suivantes: LE TEMPS EST UN ESPACE, LE TEMPS EST UNE ENTITÉ MOBILE, LE TEMPS EST UN ESPACE LIMITÉ, LE TEMPS EST UN LIEU, LE TEMPS EST UNE EXTENSION, LE TEMPS EST UN POINT DE DÉPART/UNE DESTINATION, LE TEMPS EST UN CONTENANT, LE TEMPS ET L'OBERVATEUR SE DÉPLAÇANT DANS LA MÊME DIRECTION, LE TEMPS EST UN ESPACE LIMITÉ ET UNE ENTITÉ MOBILE SIMULTANÉMENT, LE TEMPS EST UN OBJET, LE TEMPS EST UN OBJET QUI PEUT ÊTRE DONNÉ, LE TEMPS EST UN OBJET QUI PEUT ÊTRE PRIS, LE TEMPS EST UN OBJET QUI PEUT ÊTRE PARTAGÉ, LE TEMPS EST UN OBJET QUI PEUT ÊTRE PERDU, LE TEMPS EST UN OBJET QUI PEUT ÊTRE CHERCHÉ, LE TEMPS EST UN OBJET DONT ON A BESOIN, LE TEMPS EST UN OBJET QUI COEXISTE AVEC NOUS, LE TEMPS EST UN OBJET QU'ON PEUT QUALIFIER, LE TEMPS EST OBJET PRÉCIEUX, LE TEMPS EST UNE PERSONNE, LE TEMPS EST DE L'ARGENT, LE TEMPS EST UNE RESSOURCE LIMITÉE. Les résultats suggèrent que les deux langues ont des métaphores congruentes différentes. Par exemple, tandis que l'anglais conceptualise le temps comme étant une herbe, un navire, et un livre, l'arabe conceptualise le temps comme une maladie. Alors que les deux langues partagent la métaphore générale le TEMPS EST UN ESPACE, l'arabe diffère de l'anglais dans la conceptualisation du temps en termes de largeur et de profondeur. Cette divergence dans les métaphores conceptuelles du temps dans les deux langues est attribuable à des différences physiques et historiques entre les deux cultures. L'étude démontre que les métaphores du temps sont basées sur des expériences corporelles et universelles
63

Les métaphores issues du vocabulaire du hockey dans les écrits journalistiques au Québec (de 1980 à 2008)

Royer, Ariane 17 April 2018 (has links)
Les métaphores constituent un objet d'étude fondamental depuis les travaux de Lakoff et Johnson (1985), et ce, dans des disciplines variées. La présente recherche, de nature lexicologique, a pour objectif d'examiner l'utilisation métaphorique qui est faite du vocabulaire du hockey dans un vaste corpus d'écrits journalistiques québécois. Les énoncés métaphoriques ont d'abord été repérés à partir d'une liste de mots-clefs tirés du vocabulaire du hockey. Ils ont par la suite été étudiés d'un point de vue sémantique pour cerner les sèmes des mots-clés qui ont été exploités et les connotations qui se dégagent des métaphores, et classés par domaines (politique, cinéma, etc.). Les résultats sont présentés sous forme d'un lexique et mettent en lumière, entre autres, l'existence de la métaphore conceptuelle LA POLITIQUE, C'EST LE HOCKEY. Notre recherche a été réalisée dans le cadre des travaux du Trésor de la langue française au Québec dont elle a contribué à enrichir le Fichier lexical informatisé
64

De la vérité poétique : enquête sur la théorie ricoeurienne de la métaphore

Bégin, Joël 20 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2013-2014. / Le présent mémoire a pour objet la vérité dans les arts poétiques telle que la conçoit Paul Ricœur. Nous concentrant sur ce procédé de langage qu’est la métaphore, nous cherchons à montrer que même les productions langagières qui paraissent déliées des contraintes de la concordance au réel mettent en jeu une référence. Le déni de cette référence relève, selon Ricœur, d’une conception réductrice du langage et de la réalité induite par l’importation de présuppositions scientifiques dans les divers domaines de l’expérience humaine. À la faveur du déploiement d’une référence indirecte, la métaphore donne à voir et à sentir, sur le mode du « comme si », des aspects de la réalité qui ne passent pas dans les usages simplement descriptifs du langage. Il apparaîtra en conclusion que la métaphore vive peut dire l’expérience vive, qui n’est autre que l’être lui-même sous les modalités de l’acte et de la puissance. / The purpose of this dissertation is to investigate Paul Ricœur’s concept of truth in the poetic arts. Taking the linguistic process of metaphor as an object, we try to show that the linguistic utterances that seem to be freed from the constraints of correspondence to reality still involve a reference in the Fregean sense. According to Ricœur, the denial of this reference is the consequence of the importation of scientific presuppositions in various domains of the human experience. Through the unfolding of an indirect reference, metaphor allows us to see and feel, in a fictitious mode, aspects of reality that cannot be expressed in the simply descriptive uses of language. In conclusion, it will appear that lively metaphor can enunciate lively experience, which is none other than Being itself as act and potency.
65

L’analogie juridique dans la Critique de la raison pure

Sabourin, Charlotte 08 1900 (has links)
La Critique de la raison pure est traversée de part en part par une analogie juridique dont l’étude peut enrichir la compréhension de l’œuvre. Il est ainsi question, dès la préface, d’une raison qui se juge elle-même devant son propre tribunal, ce qui constituera le point de départ de notre analyse. Or, ce tribunal très particulier doit se fonder sur une connaissance de soi approfondie de la raison. Cette entreprise est de fait réalisée au fil des développements de la Critique. Le rôle bien particulier joué à cet égard par les trois déductions présentes dans l’œuvre sera dûment examiné. On verra par ailleurs que la déduction doit elle-même être considérée plutôt comme procédure d’inspiration juridique que comme inférence, tout en conservant pourtant un statut de preuve philosophique. Les nombreuses allusions juridiques effectuées par Kant au fil de l’œuvre seront ainsi mises à profit dans le cadre de cette interprétation. / A legal analogy runs through the Critique of Pure Reason, and studying it can shed light on the work. The metaphor of the “tribunal of reason”, first introduced in the Preface, will thus be the starting-point for our analysis. Due to its very nature, this tribunal must be based upon reason’s in-depth self-knowledge – a task to be accomplished over the course of the Critique. The special part played in this regard by the book’s three deductions will be thoroughly examined. In addition, we will see that a deduction itself has more to do with a legally inspired procedure than with an inference, while it nevertheless remains a legitimate philosophical proof. Kant’s frequent legal allusions throughout the text will therefore constitute the basis for our interpretation.
66

Proust et Carlyle / Proust and Carlyle

O’Beirne, Catherine 18 June 2010 (has links)
La question de l’influence primordiale de Carlyle sur Proust n’a jamais été abordée de manière profonde. Cette thèse a pour objet de combler cette lacune. Nous analysons en particulier le dialogue continu que tient Proust avec Les Héros et Sartor Resartus. Nous identifions à quel point ses réflexions sur ces lectures carlyliennes - dont le sujet principal est la recherche d’une nouvelle foi ou mythe créateur pour ces temps modernes et incroyants - sont présentes dans le portrait de l’artiste, et du monde, qu’il nous offre dans À la recherche du temps perdu. Le parcours du Narrateur qui se termine avec la redécouverte de « la foi dans les lettres » se construit dans un tissage dialogique où, (souvent s’inspirant de Ruskin), Proust réécrit les événements historiques, biographiques, et éthiques qui préoccupent Carlyle dans sa recherche de la « vérité », en leur donnant une plus grande valeur esthétique. S’inspirant du coté expérimental de Sartor Resartus, ainsi que des essais carlyliens sur l’histoire et la biographie, Proust refait de manière imaginaire le parcours littéraire de Carlyle même dans la construction de son Narrateur, qui ressemble par plusieurs aspects à un Carlyle transplanté dans un pays qu’il considérait, comme l’épitomé de la décadence. Ainsi, Proust peut réhabiliter l’aspect « romancier manqué » de Carlyle, qui s’est refugié dans les vies des « grands hommes » et l’histoire des « grands événements », quand le Narrateur prend conscience de la réconciliation entre la vie et l’art. Toutefois, c’est la justesse et la profondeur des observations carlyliennes sur l’art et sur la nature de l’artiste ainsi que l’incitation donnée par la description du développement d’une conscience artistique dans Sartor Resartus avec son ambigüité, son ironie, son dédoublement de la voix narrative et son affirmation que « l’idéal » se trouve « dans le méprisable actuel » qui inspire Proust le plus dans sa présentation du « portrait de l’artiste » qu’est À la recherche du temps perdu. / In this thesis we attempt to treat for the first time the hitherto largely overlooked question of the primary importance of Carlyle as an influence on Proust. Basing our research on the dialogical relationship which Proust has continually with Heroes and Sartor Resartus, we trace the presence of his reflections on Carlyle’s writings, which are essentially concerned with the search for a new faith or creation myth in modern secular times, in the portrait of the artist in the world which is the subject of À la recherche du temps perdu. The Proustian Narrator becomes reunited with his faith in literature which he has lost over the years and eventually reconciles life and art. His journey to this point has been largely constructed on rewritings (inspired very often by Ruskin) of Carlylean texts dealing with History, Biography, and Ethics, where Proust redresses the importance of the aesthetic element which Carlyle increasingly renounces. Taking his inspiration from the experimental nature of Sartor Resartus, and from Carlyle’s historical and biographical writings, Proust also rewrites Carlyle’s personal trajectory in his portrait of his Narrator who bears a strong resemblance to a virtual Carlyle transplanted into a country which he considered, rather playfully, as the epitome of decadence. Proust can therefore, by purely literary methods, show that a writer’s reservoir of impressions comes not from the constant pursuit of “Truth”, or by writing the lives of others, but from having lived life, familial, intimate, and indeed social life. Even if Carlyle can be considered as a failed novelist, it’s the impact of his profound and heartfelt writings on what art is and on the nature of the artist, along with his innovative Sartor Resartus with its constant ironic undertones, its doubling of the narrative voice, its affirmation of the ideal in the everyday, which most inspires the imitative and spiritual portrait of an artist which is À la recherche du temps perdu. .
67

Sous la cloche de verre : analyse des métaphores récurrentes de textes féminins de l’internement

Charron-Cabana, Marie-Hélène 07 1900 (has links)
Cette thèse est une réflexion concernant les particularités du langage, principalement de l’utilisation de la métaphore, dans les textes d’écrivaines ayant été internées. Mon analyse considère les œuvres de Janet Frame, Sylvia Plath, Unica Zürn, Emma Santos et Susanna Kaysen, ainsi que d’autres textes étant mentionnés dans une moindre mesure. Le fait d’avoir vécu une expérience de vie extrême, physique et psychique, a des répercussions sur l’esprit et la perception de soi, leurs représentations textuelles, ainsi que le rapport à l’écrit et à la littérature. Des figures subies ou choisies se répètent dans ces textes. Elles renseignent sur ce que ces femmes ont vécu, comment elles ont été affectées et la littérature. Cette thèse est divisée en cinq idées principales concernant les liens entre la folie, l’écriture et les femmes internées correspondant à la division des chapitres. Le premier porte sur la figure de la cloche de verre et ses variations chez diverses écrivaines. Il s’agit d’une métaphore puissante, efficace pour traduire l’état d’esprit de l’internée qui permet d’expliciter l’importance et le fonctionnement de la métaphore, son rôle dans l’écriture et la pensée. Le deuxième traite des métaphores spatiales et des lieux de pensée présents dans ces textes. Il est un examen de comment, alors que l’esprit devient de plus en plus fragile et l’image du corps incertaine en raison des traitements et des conditions de vie imposées, apparaît la nécessité d’un lieu, figuré ou réel, d’où écrire et de comment ce lieu est en relation avec le langage et la structuration de l’écrit et de la pensée. Le troisième porte sur la notion d’abjection. Ces femmes sont considérées, traitées, se perçoivent et vivent comme des animaux, des excréments ou des déchets. Il est une décortication de la représentation de l’effritement des limites de la subjectivité lors de l’internement. J’y explique à quel point l’hôpital pousse la personne vers la saleté et l’animalité plutôt que vers la guérison, ainsi que les conséquences pour la perception de soi que le fait d’être placé hors du social entraîne. Le quatrième concerne la notion d’objet et les processus qui font qu’à force d’être réifiées les narratrices des textes se perçoivent comme des objets plutôt que des personnes. Le rapport que l’esprit entretient avec les objets et l’importance qu’ils ont pour son fonctionnement y sont examinés. Le cinquième traite enfin des réflexions sur l’utilisation du langage, que ces écrivaines ont réalisées, sur les mots et procédés qu’elles emploient pour les communiquer ainsi que sur l’importance du corps féminin et de la conception de la féminité dans la production des textes et des idées qu’ils portent. J’en arrive à établir à quel point, pour ces écrivaines, la vie dépend du littéraire. Ma thèse démontre comment la littérature leur a fourni un espace d’analyse et de structure de leur personne et de leur pensée, ainsi qu’un lieu de parole émergeant de l’utilisation du langage et des interactions entre l’esprit, les mots et le monde. / This thesis reflects on the particularities of the use of language, especially in terms of recurring metaphors, in the texts of women writers who spent a part of their life in a psychiatric hospital. I question the texts of Janet Frame, Sylvia Plath, Unica Zürn, Emma Santos and Susanna Kaysen. Some other women writers are also examined, to a lesser extent. It shows that the fact of having lived an experience, which I would qualify as physically and psychologically extreme living conditions, affects these writers’ mind, the self-perception and their textual representations. It also shows how one’s relation to writing and literature is changed by this situation. Undergone, imposed, selected or created metaphors are born, are shown or repeated in those texts. They detail both how these women lived and processed the effects associated to this life, as well as how their writing of these experiences reflects general aspects of literary discourse. This thesis is divided into five main ideas concerning the singular relationship that bonds madness, writing and the experience of living in a psychiatric ward. In the first chapter, I analyze the bell jar figure and its variations according to different writers. This strong metaphor, which is incredibly efficient to translate the internee’s state of mind, helps me explain the functioning of metaphor and the crucial role it plays in the writing and human thought. The second chapter looks at spatial metaphors and spatial representations of the mind. It shows how, while the self and its corporal images are becoming more fragile because of the imposed treatments and living conditions, there appears the necessity of a real or figurative space from which to write. This space is in relation with writing, but also with the mere possibility of human thought. The third chapter builds on the notion of abjection. These women were considered and treated as animals, excrements or waste, and they came to see themselves as such. I analyze those representations and also how they figure the dissolution of the limits to one’s subjectivity that occurs during the internment. The fourth chapter draws on the object notion and the reification of human existence, through processes of subjective reification, which lead the narrators to perceive themselves as objects rather than people. I also examine the relation we can posit between the mind, the objects it chooses to consider, and how they affect the mind’s reflexive operations. The fifth chapter reflects on the use of language, according to the theories developed by these women writers. It also looks at the importance of the female body and femininity in the production of the texts and the ideas fostered by these concepts. My thesis demonstrates how literature gave them a space to analyze and structure both their self and thought. For these women, literature was also a place to speak from. This possibility emerges from the use of language and from the interactions between the mind, language and the world.
68

La lecture et la virtualité de l'oeuvre littéraire : une herméneutique de la figure de l'autoréférentialité dans Pale Fire

Bergeron, Mathieu January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
69

Friedrich Nietzsche. Metteur en scène de la forme aphoristique

Roy-Desrosiers, Stéphane 08 1900 (has links)
Les écrits aphoristiques de Friedrich Nietzsche (1844-1900) posent une évidente difficulté. Cette difficulté n’a pas échappé à l’auteur qui a recommandé à ses lecteurs, en 1887 dans sa préface à Zur Genealogie der Moral, qu’ils pratiquent en lisant ses aphorismes un « art de l’interprétation [Kunst der Auslegung] » [KSA, V, p. 255, § 8.]. Malheureusement, Nietzsche ne dit pas précisément en quoi consiste une telle lecture. Comment le lecteur doit-il alors interpréter les écrits aphoristiques de Friedrich Nietzsche? Pour répondre à cette question herméneutique nous nous servirons de la « métaphore du théâtre », présente en filigrane dans l’œuvre du philosophe. Notre mémoire se propose d’abord d’examiner ce que Nietzsche a lui-même dit au sujet des « formes brèves » (la maxime, la sentence, mais surtout l’aphorisme), et en même temps ce qu’il attend plus particulièrement d’un lecteur de ces formes d’expression. Cette analyse philologique du corpus nietzschéen se fera aussi à la lumière des commentaires que Peter Sloterdijk (1947-) et Sarah Kofman (1934-1994) ont proposés de la philosophie nietzschéenne. Après avoir nous-mêmes analysé les propos de Nietzsche portant sur ce qu’il estime être un lecteur à la hauteur de ses écrits, il sera dès lors possible de porter un jugement critique sur la pertinence et la portée des études de Sloterdijk et Kofman qui abordent eux-mêmes la mise en scène de la pensée nietzschéenne au moyen de la métaphore du théâtre. Une part importante de notre critique portera notamment sur la nature synthétique de leurs interprétations philosophiques, menées dans une perspective thématico-synthétique et trans-aphoristique, qui marginalisent à bien des égards la particularité et l’autonomie des formes d’expression au moyen desquelles Friedrich Nietzsche s’exprime. / Reading Friedrich Nietzsche’s (1844-1900) aphoristic works poses an evident difficulty for any reader. This difficulty was not lost on the author of Menschliches, Allzumenschliches (1878), Morgenröthe (1881), Die Fröhliche Wissenschaft (1882) and explains why he recommended to his readers, subsequently in 1887 in his preface to Zur Genealogie der Moral, that they read him by means of a “art of exegesis [Kunst der Auslegung]” [KSA, V, p. 255, § 8.]. Unfortunately, Nietzsche remains ambiguous with regards to what such an art of reading involves. The present dissertation will nevertheless employ the ‘theatre metaphor’ recurrent throughout Nietzsche’s works in the aim of shedding light on this fundamental (hermeneutical) question: How can we, as readers of Friedrich Nietzsche’s aphoristic writings, correctly interpret our role? The first part of the present dissertation examines what Nietzsche has himself said on the subject of “short expressions” in his work (the maxim, the adage, and especially the aphorism), along with the expectations he has of a reader of such forms of expression. This philological analysis of Nietzsche’s writings will also be followed by the commentaries of his philosophy offered by Peter Sloterdijk (1947-) and Sarah Kofman (1934-1994). I will then conduct my own analysis of Nietzsche’s expectations regarding his readership, on the basis of which I will mount a critique of Sloterdijk and Kofman’s readings, both of whom also employ the ‘theatre metaphor’ in order to show how Nietzsche stages his thought. The brunt of this critique will be directed towards the synthetic nature of their philosophical interpretations. Sloterdijk and Kofman construct their readings thematically and trans-aphoristically and in so doing neglect the distinctiveness and autonomy of the individual aphorisms through which Friedrich Nietzsche expresses himself.
70

Poésie et spirituel : les notions de symbole et de rythme dans les pensées poétiques de Claudel, Yeats et Hofmannsthal / Poetry and the Spiritual : notions of symbol and rhythm in the poetical thinking of Claudel, Yeats and Hofmannsthal.

Valère, Marie 29 September 2011 (has links)
Claudel, Yeats et Hofmannsthal définissent la création poétique comme une pratique spirituelle. Tous trois écrivent, autour de l’année 1900, des textes théoriques donnant pour procédés fondamentaux de l’écriture poétique le symbole et le rythme. L’étude des notions de vision et de symbole dans leur système de pensée spirituelle révèle le fait que cette expérience de la vision, qui se définit en grande partie comme une vision symbolique du monde terrestre, constitue à leurs yeux la source de la création poétique. L’œuvre poétique est ainsi conçue comme le fruit de la vision symbolique et comme un moyen de la faire partager au récepteur. Les pratiques poétiques du symbole et du rythme chez Yeats, de la métaphore et de l’ïambe chez Claudel, de l’image et du rythme chez Hofmannsthal, acquièrent ainsi un sens d’ordre spirituel. L’étude de la conception du langage propre à chacun des auteurs et l’examen détaillé de quelques textes – tirés de La Mort et le Fou, La Mort du Titien, Électre, de La Cantate à trois voix, Tête d’Or, et de Cathleen ni Houlihan et Le Seuil du palais du roi – permet de déterminer les modalités de l’application pratique de leurs principes théoriques d’écriture poétique. / Claudel, Yeats and Hofmannsthal define poetical creation as a spiritual practice. Around year 1900, the three of them wrote theoretical texts in which they pointed out the use of symbol and rhythm as fundamental procedures to poetical writing. The study of notions such as vision and symbol in their system of poetical thinking reveals that the very experience of vision, which largely defines itself as a symbolic vision of the earthly world, is the source of poetical creation. The poetical work is therefore thought as both the fruit of a symbolic vision and a means of sharing with the reader. The poetical practices of symbol and rhythm in Yeats, of metaphore and iambus in Claudel, of image and rhythm in Hofmannsthal thus acquire a meaning within the spiritual range. The study of each of these authors’ particular language conception, together with a detailed examination of some texts from Der Tor und der Tod, Der Tod des Tizian, Elektra, La Cantate à trois voix, Tête d’Or, Cathleen ni Houlihan and The King’s Threshold, allow us to bring out links between their theoretical principles and their poetical writing.

Page generated in 0.0323 seconds