• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 26
  • 4
  • 2
  • 2
  • 1
  • Tagged with
  • 34
  • 17
  • 16
  • 14
  • 9
  • 5
  • 5
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
21

Lectures contemporaines de Machiavel: la question de l'interprétation chez Leo Strauss, Quentin Skinner et Claude Lefort

Marcotte Chénard, Sophie 29 September 2011 (has links)
Dans cette thèse, nous cherchons à penser les enjeux philosophiques de l’application de méthodes herméneutiques en histoire de la philosophie politique. À partir d’une étude comparative des interprétations de l’œuvre de Nicolas Machiavel offertes par Leo Strauss, Quentin Skinner et Claude Lefort, nous interrogeons le rapport que l’interprète institue avec le texte qu’il étudie. Nous montrons qu’il y a dans les trois cas un écart entre l’exposition théorique des principes herméneutiques et l’application effective de ces derniers. Nous soutenons que les divergences fondamentales entre les trois lectures des écrits machiavéliens ne trouvent pas leur fondement dans la différence des méthodes employées, mais proviennent en dernier lieu de la compréhension particulière qu’ils ont du rôle et du statut de la pensée de Machiavel. Autrement dit, nous cherchons à montrer que l’intérêt pour la signification de l’œuvre machiavélienne dépasse la simple analyse des écrits d’un auteur du passé; les trois interprètes entretiennent un rapport singulier à la pensée du secrétaire florentin. En ce sens, l’étude des herméneutiques de Strauss, Skinner et Lefort appliquées à Machiavel est indissociable d’une interrogation sur l’articulation entre interprétation et politique.
22

La philosophie comme manière de vivre ou les impasses de la domination. Sur une lecture des Caractères de la Bruyère / Philosophy as a Way of Life or the Impasses of Domination. On a Reading of The Characters of La Bruyère

Picardi, Emmanuel 01 February 2017 (has links)
À l’appui des Caractères de la Bruyère, nous ouvrons à nouveau une question laissée en suspens par les études qui ont été menées autour de « la philosophie comme manière de vivre ». Cette question concerne la nouvelle relation entre la parole et l’action qui se serait établie à partir des XVIe et le XVIIe siècles en Occident. Au travers des différentes hypothèses proposées, nous avons choisi d’étudier le rôle qu’y a joué la parole de type machiavélien ou la logique de la domination. À la fois mode d’accès à la connaissance, mode de constitution de soi et rapport à la politeia, cette logique en laquelle s’est inscrit progressivement le savoir moderne nous détourne d’un accès au texte de la Bruyère pouvant libérer tout son potentiel de réformation éthique – sa psychagogie. Pour accéder à ce potentiel, il nous faut tour à tour prendre distance avec la logique de la domination et renouer avec cet autre rapport au langage qu’elle n’a cessé par ailleurs de discréditer, à savoir ce rapport d’origine socratique que relaient les différentes productions philosophiques de l’Antiquité auxquelles se réfèrent les Caractères. Aussi, devrons-nous réévaluer objectivement les postulats anthropologiques qui sont autant de motifs éthiques qui innervent la pensée politique et sociologique moderne et qui configurent le foyer de notre expérience politique actuelle. / By having recourse to La Bruyère’s Characters, this work aims at reassessing a question that has been let aside by scholarly studies dedicated to « the philosophy as a way of life ». This question deals with the new relation between speech and action which is believed to have occurred in the 16th-17th centuries in the West. Through different hypotheses, we have chosen to examine the role played by the Machiavellian type of speech, or the logic of the domination. Being at the same time a way to access knowledge, a mode of self-constitution and a relationship to politeia, this logic is the place where the Modern knowledge gradually falls within and also turns us away from an access to La Bruyère’s text that can release its potential of ethical reformation – its psychagogy. In order to gain access to this potential, we have in turns to distance ourselves from the discursive logic of domination and to renew with this other relation to language, to oneself and to politeia that this logic constantly brings into disrepute, in other words to this Socrastic relation to be found in the philosophical production of the Antiquity to which the Characters refer to.
23

Machiavel entre ordre et conflit / Machiavelli between order and conflict

Balestrieri, Giovanni Giuseppe 28 June 2017 (has links)
Dans les dernières décennies, les Discours sur la première décade de Tite-Live ont été lus comme le traité dans lequel Machiavel livre sa théorie de la liberté politique en tant que résultat du conflit social. Un nombre toujours grandissant de chercheurs estime en effet que c'est en cela que consiste la contribution la plus importante du Florentin à la pensée politique. Notre thèse essaie de démontrer que cette position exégétique ne dispose pas de réels fondements dans l’œuvre machiavélienne. Une lecture ponctuelle des Discours atteste bien que la pensée machiavélienne est tout sauf univoque à ce sujet et le nombre de contradictions dans lesquelles l’auteur s’engouffre finit par rendre impossible la constitution d’une quelconque théorie. / In the last decades or so, Discourses on Livy has become the book where Machiavelli theorizes that political freedom is a result of social conflict. An increasing number of scholars have argued, and argue, that this issue has to be taken as one of Machiavelli’s major contributions to political thought. What our thesis tries to demonstrate is that this statement has no real textual basis. And the reason is – we argue - that when you have a very close and deep look on the Discourses, you have to recognize that it’s not clear at all what Machiavelli thinks about social conflict, as he comes out with so many contradictory statements on the subject that make it impossible to talk of any kind of a theory.
24

Lectures contemporaines de Machiavel: la question de l'interprétation chez Leo Strauss, Quentin Skinner et Claude Lefort

Marcotte Chénard, Sophie January 2011 (has links)
Dans cette thèse, nous cherchons à penser les enjeux philosophiques de l’application de méthodes herméneutiques en histoire de la philosophie politique. À partir d’une étude comparative des interprétations de l’œuvre de Nicolas Machiavel offertes par Leo Strauss, Quentin Skinner et Claude Lefort, nous interrogeons le rapport que l’interprète institue avec le texte qu’il étudie. Nous montrons qu’il y a dans les trois cas un écart entre l’exposition théorique des principes herméneutiques et l’application effective de ces derniers. Nous soutenons que les divergences fondamentales entre les trois lectures des écrits machiavéliens ne trouvent pas leur fondement dans la différence des méthodes employées, mais proviennent en dernier lieu de la compréhension particulière qu’ils ont du rôle et du statut de la pensée de Machiavel. Autrement dit, nous cherchons à montrer que l’intérêt pour la signification de l’œuvre machiavélienne dépasse la simple analyse des écrits d’un auteur du passé; les trois interprètes entretiennent un rapport singulier à la pensée du secrétaire florentin. En ce sens, l’étude des herméneutiques de Strauss, Skinner et Lefort appliquées à Machiavel est indissociable d’une interrogation sur l’articulation entre interprétation et politique.
25

Costumi e consuetudine in Machiavelli / Moeurs et coutume chez Machiavel / Habits and custom in Machiavel

Bottini, Giorgio 13 November 2017 (has links)
Ce travail de thèse a pour ambition d’étudier le statut et la fonction des termes et concepts issus de la tradition juridique antique ainsi que médiévale dans la pensée politique de Machiavel. L’angle d’analyse adopté est celui du « ius non scriptum » et permet de mesurer l’influence des notions latines de « mores » et de « consuetudo » élaborées par le droit romain et le droit canon sur les formes vulgaires de « costumi » et de « consuetudine » que Machiavel mobilise dans l’ensemble de ses écrits. Plus largement, la recherche esquisse une généalogie du lexique politique de la Renaissance italienne à partir de ses antécédents latins pour mieux comprendre la logique de formation des langages politiques modernes. Le travail de recherche consiste à réinterroger la modernité de Machiavel en procédant à une contextualisation historique de sa pensée dans la longue tradition médiévale qui s’achève avec lui. Il s’agissait d’abord de repérer les principales occurrences du terme « costumi » dans les textes de Machiavel afin de mettre en lumière l’importance de cette catégorie non seulement conceptuelle mais aussi pratique dans le système de sa pensée. En s’éloignant momentanément du corpus machiavélien, j’ai cherché à présenter une histoire de la doctrine du « ius non scriptum » à partir des deux sources du droit médiéval que sont le Corpus Iuris Civilis (VIème siècle) et le Decretum Gratiani (XIIème siècle). Au terme de cette enquête, il a fallu revenir au corpus machiavélien pour montrer que la notion de « consuetudine » est l’une des plus importantes de son lexique politique parce qu’elle qualifie la nature des peuples dans leur rapport aux ordres et aux lois et constitue le fondement même de la vie des Républiques. / This work aims at analysing the way Machiavel used words and concepts from the legal tradition of Antiquity and Middle Age in his political thought. Preference was given to the “ius non scriptum” in order to measure the direct influence of Latin categories such as “mores” and “consuetudo” elaborated by the Roman Law and the Canon Law and reemployed by Machiavel in a (much)more common form in all his writings. More broadly, it consists in a genealogy of the political vocabulary of the Italian Renaissance which is born in the Latin language borrowed from its Latin roots to highlight the logic of formation of modern political languages. In our research, we try to reconsider the modernity of Machiavel by contextualizing his thought in the medieval tradition which ends with Machiavel himself. First of all, we had to identify the main uses of the word “costumi” in Machiavel’s writings in order to emphasise its theoretical and major practical meaning in his thinking. By taking a short step back from the Machiavellian corpus, we tried to rebuild a history of the “ius non scriptum” doctrine from two medieval sources: The Corpus Iuris Civilis (VI century) and the Decretum Gratiani (XII century). At this point, we had to go back to the Machiavellian corpus to show the importance of the notion of “consuetudine” in his political vocabulary. It qualifies the people’s identity, the relation to orders, and more than everything it is the basis for the existence of Republics.
26

La question nationale chez Machiavel

Bouchard-Pigeon, Luc 03 1900 (has links)
Le présent mémoire a pour objectif de défendre la thèse selon laquelle Machiavel est un nationaliste italien et démontrer que le concept de nationalisme italien peut philosophiquement servir de fil conducteur entre le Prince et les Discours sur la Première Décade de Tite-Live. / The aim of this essay is to defend the thesis according to which Machiavelli is an Italian nationalist, and to demonstrate that the concept of Italian nationalism can philosophically be used as a thread between the Prince and the Discourses on Livy.
27

La question nationale chez Machiavel

Bouchard-Pigeon, Luc 03 1900 (has links)
Le présent mémoire a pour objectif de défendre la thèse selon laquelle Machiavel est un nationaliste italien et démontrer que le concept de nationalisme italien peut philosophiquement servir de fil conducteur entre le Prince et les Discours sur la Première Décade de Tite-Live. / The aim of this essay is to defend the thesis according to which Machiavelli is an Italian nationalist, and to demonstrate that the concept of Italian nationalism can philosophically be used as a thread between the Prince and the Discourses on Livy.
28

Une généalogie de la raison d'État : les racines médiévales de la pensée politique moderne / A Genealogy of Reason of State : The Medieval Foundations of Modern Political Thought

Le Mauff, Julien 16 September 2015 (has links)
La raison d’État, concept clé de la modernité politique et de la pensée étatique du XVIIe siècle, est approchée à rebours dans cette étude, afin de mieux en saisir les origines, et de comprendre les conditions qui en permettent l’émergence. Par l’adoption d’une méthode généalogique, ce travail vise aussi à concilier l’école historique française des Annales et la tradition anglo-américaine de l’histoire des idées, et à traiter les théories politiques comme un objet historique à part entière. Chaque texte et chaque auteur est donc intégré dans un enchaînement d’influences et de relations sans dénier à chacun son individualité intellectuelle. Parmi les notions principales qui structurent toutes les définitions de la raison d’État, la nécessité, l’utilité publique, l’exception à la loi connaissent des évolutions profondes dès le XIIe siècle, sous l’effet de la redécouverte des Anciens par Jean de Salisbury et plus encore Thomas d’Aquin, du travail des juristes, tant en droit canonique que romain, ainsi que dans la pratique fiscale des XIIIe et XIVe siècles. Les progrès de l’idéologie royale, l’affirmation d’une nécessité spécifique à l’action politique chez Guillaume d’Ockham, et l’essor du concept d’État souverain sous l’influence particulière de Marsile de Padoue, participent aussi de cette élaboration à l’œuvre, notamment dans l’Italie des cités-États. Le parcours s’achève par l’exposition de trois différentes définitions de la raison d’État qui, d’abord chez Machiavel et Guichardin, puis chez Botero, puis enfin chez les juristes dont Ammirato et Canonhiero, ouvrent la voie au triomphe de l’étatisme et au renouvellement des questionnements politiques, à l’aube des Lumières. / This survey attempts to draw a new understanding of reason of State, as a key concept in modern politics and in 17th century State-centered thought. It is therefore studied backwards, in order to better describe its origins, and to understand what conditions enabled its formulation. The genealogic method is chosen as a way to conciliate the French school of the Annales and the anglo-american tradition of history of ideas, and to handle political ideas as historical artefacts. Every text and author is therefore apprehended as a part of a chain of influences and relationships, while intellectual singularities are preserved. Among the main concepts that participate in defining reason of State, necessity, public utility and legal exception evolve deeply from the 12th century, as a result of the rediscovery of ancient authors by John of Salisbury and still more by Thomas Aquinas, of recent developments in canon and roman law, and of new fiscal policies during the 13th and 14th centuries. The improvements of royal ideology, the new necessity specifically applied to political action in William of Ockham’s thought, and the rise of the concept of a sovereign State under the primary influence of Marsilius of Padua, also participate in this preparation, now centered on Italian city-states. The account ends with a view on three different definitions of reason of State, that correspond first to Machiavelli and Guicciardini, then to Botero, and finally to the legal thought of Ammirato and Canonhiero. This outcome paves the way to the triumph of Statism, and to the new developments of political theory during the Enlightenment.
29

Machiavelisme : compendium critique sur les pretentions de sa fiabilite / Machiavellism : a compendium critigue on the claims of its reliability

Gibango, Norbert Muzema 03 1900 (has links)
Text in French / This thesis is focused upon the political philosophy of Niccolò Machiavelli. It is a study of both the philosophical presuppositions of this philosophy and its practical implementation. The aim is to determine and evaluate the reliability of its claims in the light of the pursuit of “the common good” from the standpoint of philosophical anthropology. Machiavelli espouses a philosophical anthropology that vacillates between the good and the bad of the human being in pursuit of “the common good”. In the practical implementation of his philosophy, the bad frequently overshadows the good of the human being. It is precisely this obliviousness of the good of the human being that the thesis defended here intends to restore through anthropolitics as the “new science” of the human being. The restoration is at the same time the refutation of the bad side of the human being as the foundation of “the common good” as Machiavellism holds. The centrality of the good side of the human being as the starting point of the anthropolitics defended here assures the inscription of values in politics consistent with the practical pursuit of “the common good” truly beneficial to all human beings. There is no doubt that “anthropolitics” is the starting point of an urgent and a relevant contribution to the international politics of our time. / Compendium critique sur les prétentions de sa fiabilité Cette thèse est axée sur la philosophie politique de Nicolas Machiavel. Il s'agit d'une étude analysant à la fois les présupposés philosophiques de cette philosophie et sa mise en oeuvre sur le plan pratique. L’objectif est de déterminer et d'évaluer la fiabilité de ses prétentions, du point de vue de l'anthropologie philosophique, et ce, à la lumière de la poursuite du “Bien commun” comme idéal. Machiavel épouse une anthropologie philosophique qui vacille entre le bien et le mal de l'être humain quant à la poursuite de “l’intérêt commun”. Dans la mise en oeuvre pratique de sa philosophie, souvent le mal occulte le bien de l'être humain. C'est précisément cette inconscience ou négligence de l'être humain face à la prise en compte du bien que la thèse défendue ici a l'intention de rétablir par le biais de l’anthropolitique en tant que “nouvelle science” de l'être humain. Ici, la restauration sous-entend nécessairement, toujours et en même temps la réfutation de mauvais penchants de l'être humain, lesquels constituent le “contre-pied” au fondement du “bien commun”, dont le machiavélisme s’avère le spécimen parfait. D’où l’hypothèse de centralité humainement sensée, comme point de départ de l’anthropolitique défendue ici, garantit l'inscription des valeurs politiques compatibles à la poursuite des pratiques du «bien commun», lesquelles sont véritablement bénéfiques pour tous les êtres humains. Il ne fait aucun doute que l’anthropolitique constitue, de ce fait, le point de départ d'urgence et la pertinente contribution à la politique internationale de notre temps. / Philosophy / D. Litt. et Phil. (Philosophy)
30

Conflit civil et imaginaire social : une approche néo-machiavélienne de la démocratie par l'espace public dissensuel

Roman, Sébastien 24 November 2011 (has links) (PDF)
Le point de départ des travaux entrepris est la définition lefortienne de la démocratie par opposition au totalitarisme. Le totalitarisme est l'institution d'une société organique, une et homogène, dans laquelle aucune division sociale, aucun désaccord avec l'idéologie véhiculée par le parti ne sont possibles. La spécificité de la démocratie, a contrario, est de s'enrichir de la désintrication du pouvoir, du droit, et du savoir. Les citoyens, dotés de droits fondamentaux, sont juges de la légitimité du pouvoir établi. Leurs désaccords ainsi que l'antagonisme entre les classes sociales nourrissent l'exercice d'un commun litigieux. De là, une question fondamentale : une telle définition de la démocratie est-elle historiquement datée, ou continue-t-elle d'être pertinente aujourd'hui ? Doit-on encore concevoir la démocratie, pour la rendre authentique, par le conflit civil érigé en principe politique, ou faut-il l'envisager de manière consensualiste au lendemain de son opposition avec le totalitarisme ? Claude Lefort s'inspirait de Machiavel pour dépasser les limites du marxisme et repenser la démocratie par la valorisation du conflit civil, indissociable de la figure de l'imaginaire social. La thèse ici soutenue adopte différemment une perspective néo-machiavélienne. Elle revient à proposer un espace public dissensuel à partir du modèle machiavélien de l'entente dans le conflit, par confrontation avec l'espace public habermassien et d'autres conceptions du tort et du conflit dans les démocraties contemporaines. Comment concevoir aujourd'hui les figures du conflit civil et de l'imaginaire social, en s'inspirant paradoxalement de Machiavel pour interroger la démocratie ?

Page generated in 0.0422 seconds