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Recherche Interactive d'Objets à l'Aide de Modèles Visuels Interprétables

Rebai, Ahmed 18 May 2011 (has links) (PDF)
L'objectif de cette thèse est d'améliorer la recherche d'objets visuels à l'aide de l'interactivité avec l'utilisateur. Notre solution est de construire un système intéractif permettant aux utilisateurs de définir leurs propres concepts visuels à partir de certains mots-clés visuels. Ces mots-clés visuels, qui en théorie représentent les mots visuels les plus informatifs liés à une catégorie d'objets, sont appris auparavant à l'aide d'un algorithme d'apprentissage supervisé et d'une manière discriminative. Le challenge est de construire des mots-clés visuels concis et interprétables. Notre contribution repose sur deux points. D'abord, contrairement aux approches existantes qui utilisent les sacs de mots, nous proposons d'employer les descripteurs locaux sans aucune quantification préalable. Deuxièmement, nous proposons d'ajouter une contrainte de régularisation à la fonction de perte de notre classifieur pour favoriser la parcimonie des modèles produits. La parcimonie est en effet préférable pour sa concision (nombre de mots visuels réduits) ainsi pour sa diminution du temps de prédiction. Afin d'atteindre ces objectifs, nous avons développé une méthode d'apprentissage à instances multiples utilisant une version modifiée de l'algorithme BLasso. BLasso est une forme de boosting qui se comporte similairement au LASSO (Least Absolute Shrinkage and Selection Operator). Cet algorithme régularise efficacement la fonction de perte avec une contrainte additive de type $L_1$ et ceci en alternant entre des itérations en avant et en arrière. La méthode proposée est générique dans le sens où elle pourrait être utilisée avec divers descripteurs locaux voire un ensemble structuré de descripteurs locaux qui décrit une région locale de l'image.
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The structure of orders in the pushdown hierarchy

Braud, Laurent 10 December 2010 (has links) (PDF)
Cette thèse étudie les structures dont la théorie au second ordremonadique est décidable, et en particulier la hiérarchie à pile. Onpeut définir celle-ci comme la hiérarchie pour $n$ des graphesd'automates à piles imbriquées $n$ fois ; une définition externe, partransformations de graphes, est également disponible. Nous nousintéressons à l'exemple des ordinaux. Nous montrons que les ordinauxplus petits que $epsilon_0$ sont dans la hiérarchie, ainsi que des graphesporteurs de plus d'information, que l'on appelle "graphecouvrants''. Nous montrons ensuite l'inverse : tous les ordinaux de lahiérarchie sont plus petits que $epsilon_0$. Ce résultat utilise le fait queles ordres d'un niveau sont en fait isomorphes aux structures desfeuilles des arbres déterministes dans l'ordre lexicographique, aumême niveau. Plus généralement, nous obtenons une caractérisation desordres linéaires dispersés dans la hiérarchie. Dans un troisièmetemps, nous resserons l'intérêt aux ordres de type $omega$ --- les mots infinis --- pour montrer que les mots du niveau 2 sont les motsmorphiques, ce qui nous amène à une nouvelle extension au niveau 3
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Localisation de symboles dans les documents graphiques

Nguyen, Thi Oanh 16 December 2009 (has links) (PDF)
Cette thèse s'inscrit dans le domaine de la recherche d'images par le contenu et plus spécifiquement dans celui de l'analyse de documents. Nous abordons le problème complexe de la localisation de symboles dans les documents où les symboles ne sont pas isolés de leur contexte. Bien qu'il existe beaucoup de travaux visant à la définition de bons descripteurs pour la représentation d'un symbole, ces derniers ne peuvent généralement pas être utilisés directement pour localiser des symboles dans les documents car on se heurte au paradoxe suivant : pour reconnaître les symboles il faudrait au préalable segmenter le document et réciproquement pour bien segmenter il faudrait au préalable reconnaître le contenu du document. Dans ce contexte, nous présentons nos contributions pour la localisation de symboles dans les documents graphiques où le problème de la localisation est abordé d'un point de vue différent de la plupart des méthodes existantes dans la littérature. Dans le contexte de l'analyse de documents graphiques, pour le problème de la localisation de symboles, presque toutes les études se focalisent sur l'aspect structurel du document, ce qui nécessite de résoudre plusieurs autres problèmes difficiles qui se situent soit en amont de la chaîne de traitements telle la vectorisation soit en aval telle la détection d'isomorphisme de (sous-) graphes. Cette thèse tente de voir ce problème de localisation sous l'aspect pixelaires qui est très rarement abordé dans les travaux précédents. Ainsi, dans nos travaux, nous avons abordé deux points essentiels pour résoudre ce problème. Le premier concerne le choix d'une représentation des informations des images de documents et le second est lié au processus de localisation de ces symboles. Afin de d´ecrire les symboles, nous proposons un descripteur de formes qui s'adapte bien aux symboles graphiques et qui peut être étendu pour d´ecrire le contenu des documents entiers ayant des symboles non-segmentés. Ce descripteur est basé sur le contexte de formes et prend en compte des informations associées aux seuls points d'intérêt associés à une forme. Le descripteur proposé assure l'invariance à la rotation et au changement d'échelle. Il est également tolérant à la déformation et à l'occultation partielle de l'objet. La localisation de symboles dans les documents graphiques s'appuie sur les techniques de traitement des documents textuels grâce à la notion de mots visuels. Un vocabulaire visuel est construit à partir d'un classifieur non-supervisé sur la base d'informations issues du descripteur de formes proposé et étendu aux documents entiers. Les documents graphiques sont ainsi “textualisés” grâce au vocabulaire visuel avec une technique d'appariements multiples. Lors de la localisation, les régions candidates sont identifiées dans les documents en fonction de l'appariement local entre la requête et les documents. La détermination des régions, parmi les régions candidates, contenant les occurrences du symbole requête est opérée à l'aide d'un système de vote adaptant le modèle vectoriel usuellement utilisé en recherche d'informations. Bien que la méthode ne soit pas encore validée sur les documents réels, les expérimentations sur des documents synthétiques et la comparaison avec une autre méthode montrent la performance de la méthode proposée en termes de précision, rappel.
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Titre : Etudes écologique, floristique, phytosociologique et ethnobotanique de la forêt marécageuse de Lokoli (Zogbodomey – Bénin)/ Title: Ecological, floristic, phytosociological and ethnobotanical studies of the swamp forest of Lokoli (Zogbodomey - Benin)

Dan, Céline B. S. C. 29 June 2009 (has links)
RESUME Titre : Etudes écologique, floristique, phytosociologique et ethnobotanique de la forêt marécageuse de Lokoli (Zogbodomey – Bénin) Mots clés : forêt marécageuse, écologie, flore, groupements végétaux, PFNL, atouts de conservation, Lokoli, Zogbodomey-Bénin La forêt marécageuse de Lokoli, située dans le sud du Bénin est une formation non protégée, bien qu’elle soit la seule forêt marécageuse avec un cours d’eau permanent connue en Afrique de l’Ouest. Pour envisager une prise de décision de conservation et de protection de cet écosystème forestier, il est important de disposer d’une meilleure connaissance de sa flore, de sa végétation et de son fonctionnement. C’est dans ce cadre que la présente étude a été envisagée. Les données collectées concernent le milieu naturel, la structure de la forêt, la régénération naturelle des espèces et les usages faits des Produits Forestiers Non Ligneux (PFNL). Le milieu naturel se compose d’un substratum acide (pH variant de 3,5 à 5,5) et argilo-sableux. Le cortège floristique de cette forêt est composé de 241 espèces réparties en 185 genres et 70 familles dont des espèces endémiques (Uapaca paludosa) ou en danger (Hallea ledermannii), Nauclea xanthoxylon, etc. Sept groupements végétaux ont été identifiés (forêt primaire inondée à Alstonia congensis et Xylopia rubescens, forêt secondaire inondée à Ficus trichopoda et Spondianthus preussii et raphiale à Raphia hookeri et Anthocleista vogelii en forêt ; forêt ripicole à Alchornea cordifolia et Mitragyna inermis, savane marécageuse à Ficus asperifolia et Paullinia pinnata ; prairie marécageuse à Cyclosorus gongylodes et Polygonum pulchrum et enfin prairie marécageuse à Rhynchospora corymbosa et Ludwigia abyssinica en lisière) avec des précisions sur leurs caractéristiques floristiques, biologiques, phytogéographiques et écosociologiques. Les mésophanérophytes sont abondants en forêt alors qu’en lisière, ce sont les microphanérophytes qui sont les plus nombreux. Ces groupements constituent un refuge pour de nombreuses espèces animales dont Barboides britzi, poisson déterminé pour la première fois en 2006. D’après cette étude, on note une bonne régénération des espèces forestières malgré une recrudescence des trouées liées à l’installation de champs de Colocasia esculenta. Parmi les 75 espèces, source de PFNL recensées, les produits et sous-produits issus de Raphia hookeri sont les plus exploités car ils constituent pour les populations riveraines d’importantes sources de revenus. Ces PFNL sont exploités à Lokoli pour plusieurs usages à savoir l’alimentation, l’emballage, boisson alcoolisée, recettes médicinales, construction, etc. Le nombre de pieds de Raphia hookeri saignés par an est de 15.452 par 320 exploitants dont 148 cueilleurs, 81 transformateurs et 91 commerçants ; ce qui fournit aux exploitants des revenus de l’ordre de 28.000 à 159.000 FCFA (42,7 à 242,4 euros) par mois et par exploitant, sans oublier les autres activités menées par les riverains dans cet écosystème. On note une forte pression anthropique sur cette formation qu’il est donc urgent de protéger. En effet, elle dispose d’importants atouts qui militent en faveur de sa conservation. Elle abrite des espèces végétales et animales rares, endémiques, vulnérables et en danger (inscrites sur la liste rouge de l’UICN), telles que : Hallea ledermannii, Uapaca paludosa, Nauclea xanthoxylon, Cercopithecus erythrogaster erythrogaster, Cercopithecus mona, Colobus vellerosus, Ceriagrion citrinum Campion, Barboides britzi, etc. La forêt marécageuse de Lokoli joue un rôle de refuge pour toutes ces espèces qui y trouvent leur niche écologique. Sur le plan socio-économique, la FML fournit aux populations riveraines des revenus pour leur subsistance. Toutes ces potentialités font d’elle une Forêt à Haute Valeur pour la Conservation (FHVC) et elle pourrait constituer une véritable réserve de biosphère dans le Sud-Bénin. SUMMARY Title: Ecological, floristic, phytosociological and ethnobotanical studies of the swamp forest of Lokoli (Zogbodomey - Benin) Key words: swamp forest, ecology, flora, vegetation classification, NTFP, conservation assessments, Lokoli, Zogbodomey-Benin. The swamp forest of Lokoli, located in the south of Benin, is a non-protected area, although it is the only swamp forest in West Africa accompanied by a river which always contains water. To be able to make decisions concerning the conservation and protection of this forest ecosystem, it is important to have a better knowledge of its flora, its vegetation and its ecology and dynamics. It is within this framework that the present study was considered. The data that were collected relate to the natural environment, the structure of the forest, the natural regeneration of the species and the uses of the Non Timber Forest Products (NTFP). The natural environment is composed of a substratum which is acid (pH varying from 3.5 to 5.5) and loamy-sandy. The floristic composition of this forest is composed of 241 plant species from 185 genera and 70 families. Seven vegetation types were identified: 1. Inundated primary forest with Alstonia congensis and Xylopia rubescens; 2. Inundated secondary forest with Ficus trichopoda and Spondianthus preussii; 3. Raphia forest with Raphia hookeri and Anthocleista vogelii; 4. Riparian forest with Alchornea cordifolia and Mitragyna inermis; 5. Marshy savanna with Ficus asperifolia and Paullinia pinnata; 6. Marshy savanna with Cyclosorus gongylodes and Polygonum pulchrum; and 7. Marshy savanna with Rhynchospora corymbosa and Ludwigia abyssinica. Precise details are given on their floristic, biological, phytogeographical and phytosociological characteristics. The mesophanerophytes are abundant in forest whereas at forest edges the microphanerophytes are most numerous. These vegetation types constitute a refuge for many animal species, for example Barboides britzi, a species of fish first identified in 2006. This study noted a good regeneration of forest species, in spite of disturbance related to the installation of fields of Colocasia esculenta. About 75 investigated NTFP are exploited in Lokoli for many purposes, among which food, packaging, alcoholic drinks, medicines, construction, etc. Among the listed NTFP, the products and by-products made from Raphia hookeri are the most important because they are important sources of revenue for the inhabitants of the area. The number of stems of Raphia used per year for palm wine production is 15.452 by the 320 inhabitants, including 148 gatherers, 81 transformers and 91 tradesmen. This provides to the inhabitants an income of about 28,000 to 159,000 FCFA per month and per inhabitant, without forgetting the other activities undertaken by these inhabitants. This results in a strong human pressure on the vegetation of the area which is therefore in urgent need of protection. The vegetation of the Lokoli forest has important values which indicate its conservation concern. It shelters plant and animal species that are endemic and/or endangered or vulnerable according to the red list of the IUCN, such as: Hallea ledermannii, Uapaca paludosa, Nauclea xanthoxylon, Cercopithecus erythrogaster erythrogaster, Cercopithecus mona, Colobus vellerosus, Ceriagrion citrinum Campion, Barboides britzi, etc. The swamp forest of Lokoli is a refuge for all these species who find here their ecological niche. On the socio-economic level, the Lokoli forest provides to the inhabitants an income for their subsistence. The Lokoli forest in southern Benin is a forest with a high conservation value and it has the potential to become a “biosphere reserve”.
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Méthodes probabilistes basées sur les mots visuels pour la reconnaissance de lieux sémantiques par un robot mobile.

Dubois, Mathieu 20 February 2012 (has links) (PDF)
Les êtres humains définissent naturellement leur espace quotidien en unités discrètes. Par exemple, nous sommes capables d'identifier le lieu où nous sommes (e.g. le bureau 205) et sa catégorie (i.e. un bureau), sur la base de leur seule apparence visuelle. Les travaux récents en reconnaissance de lieux sémantiques, visent à doter les robots de capacités similaires. Ces unités, appelées "lieux sémantiques", sont caractérisées par une extension spatiale et une unité fonctionnelle, ce qui distingue ce domaine des travaux habituels en cartographie. Nous présentons nos travaux dans le domaine de la reconnaissance de lieux sémantiques. Ces derniers ont plusieurs originalités par rapport à l'état de l'art. Premièrement, ils combinent la caractérisation globale d'une image, intéressante car elle permet de s'affranchir des variations locales de l'apparence des lieux, et les méthodes basées sur les mots visuels, qui reposent sur la classification non-supervisée de descripteurs locaux. Deuxièmement, et de manière intimement reliée, ils tirent parti du flux d'images fourni par le robot en utilisant des méthodes bayésiennes d'intégration temporelle. Dans un premier modèle, nous ne tenons pas compte de l'ordre des images. Le mécanisme d'intégration est donc particulièrement simple mais montre des difficultés à repérer les changements de lieux. Nous élaborons donc plusieurs mécanismes de détection des transitions entre lieux qui ne nécessitent pas d'apprentissage supplémentaire. Une deuxième version enrichit le formalisme classique du filtrage bayésien en utilisant l'ordre local d'apparition des images. Nous comparons nos méthodes à l'état de l'art sur des tâches de reconnaissance d'instances et de catégorisation, en utilisant plusieurs bases de données. Nous étudions l'influence des paramètres sur les performances et comparons les différents types de codage employés sur une même base.Ces expériences montrent que nos méthodes sont supérieures à l'état de l'art, en particulier sur les tâches de catégorisation.
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Analyse de facteurs prédisant la reconnaissance et la rapidité de reconnaissance des congénères interlinguaux par des élèves anglophones de première secondaire lisant en français

Hébert, Nancy January 2007 (has links) (PDF)
Le lexique est à la base de tout langage. Son apprentissage dans une langue seconde prend du temps et peut parfois être ardu. Cependant, une certaine parenté entre la langue première et la langue seconde d'un apprenant peut en accélérer l'apprentissage. Bien que la présence de congénères interlinguaux (mots de même origine étymologique) dans des textes puisse aider l'élève à comprendre plus facilement, il n'en demeure pas moins que leur reconnaissance n'est pas nécessairement simple et peut poser certains problèmes d'interprétation, liés à l'existence des faux amis. En effet, les variations orthographiques ou sémantiques entre les deux langues peuvent l'induire en erreur et, à la longue, le faire hésiter par méfiance dès qu'il rencontre un mot apparenté. Nous savons, grâce à de nombreuses études sur le sujet, que les congénères interlinguaux ne sont généralement pas reconnus spontanément, sans enseignement préalable. Certains sont reconnaissables, d'autres pas. Est-il possible de prédire systématiquement lesquels seront reconnus et lesquels ne le seront pas? Notre recherche descriptive vise donc, de façon globale, à mesurer la capacité de 21 élèves anglophones de première secondaire apprenant le français, langue seconde de base, à reconnaître des congénères avant même qu'on ne leur enseigne l'origine étymologique des mots ou la présence de mots apparentés. Pour ce faire, nous reproduisons partiellement et élargissons une étude menée par Moss (1992) auprès d'étudiants hispanophones apprenant l'anglais. Ainsi, trois objectifs sont poursuivis. Le premier consiste à déterminer, parmi des variables lexicales à plusieurs niveaux (longueur du mot, nombre de différences orthographiques, classe du mot, type de changement orthographique), celles qui peuvent prédire la récognition ou la non-récognition des congénères chez des élèves anglophones de première secondaire apprenant le français, langue seconde. Le second objectif est de vérifier si la présence d'un contexte peut également prédire cette récognition. Le dernier vise à observer si ces mêmes variables peuvent prédire la rapidité de reconnaissance des congénères. Sur le plan méthodologique, nous avons créé et utilisé principalement deux types de tests: un test de traduction (sur papier) et un de temps de réaction (sur support informatique). La partie A du premier test contenait une liste de congénères (hors contexte) et la partie B, des congénères soulignés dans des phrases (en contexte). Chaque élève devait tenter de traduire sans aide chacun des congénères. Le deuxième test, quant à lui, présentait à l'écran d'un ordinateur une suite de congénères (hors contexte): chaque élève devait indiquer le plus rapidement possible si elle reconnaissait le mot ou non (le temps de réaction était calculé en millisecondes). Tous les congénères utilisés ont ensuite été codés dans un tableur électronique en fonction des différentes variables étudiées, de façon à permettre le calcul de coefficients de corrélation entre la reconnaissance, la rapidité de reconnaissance et les aspects. Les résultats du test de traduction ont révélé que la combinaison de sept des niveaux de variables (nombre de lettres différentes, différence proportionnelle, classe nominale, voyelles ajoutées, voyelle remplacée par une consonne, consonne remplacée par une voyelle, total des différences sur les plans des voyelles et des consonnes) avec l'absence de contexte ont prédit une non-récognition des congénères. En contexte, trois niveaux de variables ont prédit une non-récognition (classe adjectivale, voyelle remplacée par une consonne et consonne remplacée par une voyelle) alors que deux ont prédit l'inverse (voyelle effacée et consonne remplacée par une autre consonne). Ainsi, seulement deux niveaux de variables, soit le remplacement d'une consonne par une voyelle et d'une voyelle par une consonne, ont donné une prédiction similaire dans les deux parties du test. Pour ce qui est des résultats du test de réaction, sept niveaux des variables (nombre de lettres différentes, différence proportionnelle, classe adverbiale, dernière lettre différente, voyelle remplacée par une autre voyelle, consonne effacée et total des différences sur le plan des voyelles et des consonnes) ont prédit un ralentissement de la reconnaissance des congénères. Nous confirmons que la reconnaissance des congénères ne va pas de soi et recommandons aux enseignants de planifier et de structurer l'enseignement des congénères en tenant compte des facteurs pouvant en prédire la reconnaissance ou la non-reconnaissance lors de l'apprentissage (le nombre de lettres différentes, la différence proportionnelle et les différences sur le plan des consonnes) par exemple en misant davantage sur le contexte interne du congénère, en enseignant diverses stratégies de lecture et en ayant recours à une variété de support dont l'informatique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Congénères interlinguaux, Faux amis, Vocabulaire réceptif, Français langue seconde, Temps de réaction, Mémoire, Transfert.
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Le processus de décodage et de production de mots dérivés chez des apprenants adultes du français langue seconde

Lépine, Isabelle 09 1900 (has links) (PDF)
À Montréal, nombreux sont les nouveaux immigrants qui choisissent d'apprendre le français langue seconde. Cette situation pose de nouveaux défis aux enseignants qui doivent composer avec une clientèle de plus en plus diversifiée culturellement et linguistiquement. Par cette recherche, nous avons voulu vérifier si la langue maternelle des apprenants adultes avait un impact sur leur capacité à traiter les mots dérivés en français ainsi que sur les stratégies qu'ils utilisent pour décoder et produire ces mots dérivés. Pour vérifier nos hypothèses, deux groupes d'apprenants de langues maternelles différentes ont d'abord été testés à l'aide de C-tests et ont ensuite participé à une tâche de rappel stimulé. Les résultats montrent que les caractéristiques morphologiques du système d'écriture de la langue maternelle affectent d'une manière significative la capacité à reconnaître et à produire les mots dérivés sans influencer toutefois les stratégies déployées pour traiter ces mots. Les différences significatives observées ne seraient pas causées par un manque de connaissances de la morphologie dérivationnelle du français chez certains sujets, mais bien plutôt par un manque de connaissances lexicales. Cette dernière hypothèse reste toutefois à confirmer. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Langue seconde, Morphologie dérivationnelle, Apprenants adultes, C-tests
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L'impact d'une intervention orthopédagogique rééducative sur le transfert d'habiletés d'identification de mots en situation authentique de lecture chez des élèves du premier et du deuxième cycles du primaire présentant des difficultés d'apprentissage

Côté, Marie-France 02 1900 (has links) (PDF)
Certains auteurs ont observé que les apprentissages réalisés à l'intérieur de séances rééducatives relativement à l'identification de mots ne se transféraient pas à la compétence à lire des élèves en difficulté lors de situation authentique de lecture et que le transfert, en général, était peu observable. Il semblerait également qu'il soit encore plus rare chez les élèves en difficulté. Or, les recherches s'étant spécifiquement intéressées au transfert des apprentissages en lecture sont peu nombreuses et présentent des limites importantes. Ce projet visait donc à valider l'efficacité d'une intervention orthopédagogique orientée sur le transfert des apprentissages et basée sur l'enseignement explicite et stratégique en lecture sur le transfert d'habiletés d' identification de mots en situation authentique de lecture chez des élèves de fin du 1er cycle et de début de 2e cycle du primaire présentant des difficultés en lecture. Un devis expérimental à cas uniques basé sur l'alternance de traitement avec sujets et niveaux de base multiples a été retenu pour évaluer l'efficacité de l'intervention développée. Chacun des participants (N=3) a bénéficié d'une rééducation selon le programme RÉÉDYS (Laplante, sous presse) pendant quatre semaines, à raison de quatre séances de 45 minutes et d'une séance de 50 minutes en classe par semaine. Ces séances visaient l'apprentissage et le transfert de quatre règles contextuelles de lecture. La capacité des participants à lire des non-mots, ainsi que des phrases et des textes contenant des mots cibles composés des graphies enseignées, qui n'avaient pas fait l'objet d'un enseignement systématique, était mesurée chaque semaine. L'analyse des résultats a permis d'en arriver à des conclusions positives pour deux des trois élèves participant au projet. Pour ces deniers, il est possible d'observer le transfert des apprentissages, tant latéral que relationnel, dans tous les contextes de lecture évalués. L'analyse des résultats montre également que le transfert apparaît parfois de façon différée par rapport à l'intervention rééducative, démontrant que le développement d'une expertise suffisante au transfert des apprentissages requiert parfois plus de temps. Certaines limites importantes sont toutefois à considérer dans l'analyse de ces résultats. Ces conclusions positives constituent une piste d'intervention intéressante en vue d'améliorer l'efficacité des séances d'orthopédagogie et de bonifier les interventions rééducatives relativement à l'identification de mots, afin de venir en aide aux élèves en difficulté d'apprentissage de la lecture. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Transfert des apprentissages, apprentissage de la lecture, orthopédagogie, élèves en difficulté d'apprentissage, école primaire
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Acquisition de la morphosyntaxe chez les enfants préverbaux francophones du Québec

Marquis, Alexandra 05 1900 (has links) (PDF)
Ce travail a pour objectif de mieux comprendre les mécanismes d'acquisition de la morphosyntaxe chez les enfants préverbaux francophones du Québec. Il vise également à déterminer l'âge et les étapes d'acquisition des morphèmes verbaux au stade préverbal, stade précédant la production de la parole. Il apparaît qu'un grand nombre de chercheurs aient étudié les processus d'acquisition de mots appartenant à la catégorie des noms, en considérant tant le langage naturel (par ex. Bortfeld, Morgan, Golinkoff et Rathbun, 2005; Jusczyk et Aslin, 1995) qu'artificiel (par ex. Saffran, Aslin et Newport, 1996; Johnson et Jusczyk, 2001). Il semble y avoir une lacune en ce qui concerne les processus d'acquisition de la morphosyntaxe qui sous-tendent l'organisation et l'acquisition des formes verbales. Le traitement des verbes n'a toujours pas été examiné auprès d'enfants francophones, tant d'Europe que du Québec. De plus, le traitement des verbes monosyllabiques n'a encore jamais été exploré. Est-ce que les enfants peuvent analyser les verbes? Quelles sont les formes verbales analysées? Comment est-ce que le système du langage fonctionne? L'hypothèse de recherche est que les capacités morphosyntaxiques des enfants se doivent d'être en fonction avant l'explosion verbale, qui survient vers l'âge de 18 mois (par ex. Bloom, 1973; Fenson, Dale, Reznick, Bates, Thal et Pethick, 1994). La première expérience a pour but de vérifier si les enfants au stade préverbal peuvent démontrer, en situation de discours continu, des capacités de reconnaissance et de segmentation d'une forme verbale simple : la forme racine (par ex. mange). En mesurant leur attention, on a évalué la structure des connaissances verbales chez des enfants francophones du Québec. Les résultats obtenus indiquent un changement, dans la capacité de reconnaître un verbe en discours continu, entre les âges de 8 et 11 mois. Les enfants ont démontré pouvoir reconnaître et segmenter des verbes français ayant la forme de la racine, à l'âge de 11 mois, bien avant la production de ceux-ci (Marquis et Shi, 2008). Par contre, les enfants âgés de 8 mois n'ont démontré aucune préférence, suggérant qu'à cet âge, ils ne possèdent pas encore les capacités révélées trois mois plus tard. Ces résultats sont surprenants considérant les résultats obtenus auprès d'enfants anglophones qui ont démontré leurs capacités de traiter les verbes seulement à l'âge de 13,5 mois, mais uniquement pour les verbes débutant par une consonne (Nazzi et al., 2005). La seconde série d'expériences concerne les Expériences 2, 3 et 4 au Chapitre III. Ces expériences visent à déterminer les processus d'association de formes verbales différentes en français en conditions de racine et de morphème fréquent [e], comme c'est le cas pour le verbe « couler » entre les formes « coule » et « coulé ». Les enfants doivent se rendre compte des liens sémantiques qui existent à l'intérieur d'une famille de mots. Les évidences disponibles pour cette éventuelle interprétation se retrouvent sous les différentes réalisations d'un mot enregistré dans le lexique mental. Un seul item serait lexicalisé, la racine du mot (par ex. mange), et une règle générative (par ex. ajouter lei à la fin de la racine pour former mangez 2p) fournirait les outils afin d'obtenir les autres formes possibles (par ex. Pinker, 1991; Pinker et Prince, 1988, 1994; Prasada et Pinker, 1993). Cette capacité d'association lexicale pourrait contribuer à déterminer la signification des mots ou concepts de la langue. Les résultats démontrent que non seulement les enfants francophones du Québec associent des formes verbales variables à l'âge de 11 mois, mais qu'ils possèdent un début de paradigme de conjugaison (Marquis et Shi, 2007). L'évaluation d'enfants plus âgés (14 et 18 mois) permet de déterminer qu'un traitement morphologique plus approfondi survient entre les âges de 11 et 14 mois. Au Chapitre IV, pour faire suite aux résultats obtenus aux expériences du chapitre précédent nous avons construit de nouvelles expérimentations, avec des conditions de Test similaires aux expériences précédentes, en gardant cette fois les variations phonologiques constantes. Les enfants avaient à reconnaître et associer des formes non identiques d'un verbe potentiel, en conditions de vrai et de faux morphèmes. Les résultats de l'Expérience 5 appuient l'hypothèse selon laquelle les enfants encodent avec détail les formes verbales traitées (Marquis et Shi, 2009). La sixième expérimentation, au Chapitre V, visait à reproduire, en accéléré, les processus d'apprentissage d'un paradigme verbal. Plusieurs exemplaires d'une quinzaine d'items partageant une nouvelle terminaison ont été présentés. Suivait ensuite l'introduction d'un nouvel item sans terminaison. Finalement, la phase de Test consistait en séquences ayant, à la place du verbe, le nouvel item avec la nouvelle terminaison. Les résultats indiquent l'apprentissage d'une nouvelle terminaison en seulement 120 secondes d'exposition. Les capacités mises en évidence suggèrent une modélisation des régularités du langage par la reconnaissance des concordances présentes dans les terminaisons entre les formes simples et conjuguées. Les expériences du sixième chapitre évaluent l'encodage des suffixes et des racines des verbes en situation d'indices conflictuels statistiques et syllabiques chez des enfants francophones du Québec. L'évaluation d'enfants âgés de 11 mois suggère une sous-spécification d'une nouvelle racine verbale (Marquis et Shi, sous presse) tandis que les 14 mois démontrent une utilisation des indices statistiques afin de catégoriser une nouvelle forme (Shi et Marquis, 2009). Cette étude vient corroborer la recherche sur le développement du langage, notamment concernant le traitement des formes verbales et la nature des paradigmes verbaux chez des enfants préverbaux francophones du Québec. L'hypothèse selon laquelle les enfants peuvent démontrer l'utilisation de connaissances morphologiques précédant la production de ces connaissances s'avère confirmée. ______________________________________________________________________________
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Suites de Consonnes en Berbère : Phonétique et Phonologie

Ridouane, Rachid 16 December 2003 (has links) (PDF)
J'ai traité lors de cette thèse de deux aspects liés au phénomène des suites consonantiques en berbère chleuh : les mots sourds et les consonnes géminées. J'ai adopté l'approche dite de " la phonologie du laboratoire " (cf. Kingston & Beckman 1990, Pierrehumbert et al. 1996), selon laquelle les analyses phonologiques doivent s'accorder avec les données phonétiques qui émanent de procédures expérimentales. La phonologie du laboratoire suppose en effet que la phonétique peut apporter des éléments de réponse à certains comportements phonologiques. C'est l'objectif central de ce travail.<br />Le chleuh est un dialecte berbère parlé au Sud et au Sud-Ouest du Maroc. Ce dialecte présente deux phénomènes très rares voire typologiquement uniques. Certains mots peuvent contenir uniquement des obstruantes sourdes (e.g. tsskRftstt " tu l'as séchée ") sans voyelle ou consonne sonore. Des phrases entières peuvent aussi être totalement sourdes (e.g. [tftWtstt tftktstt] " tu l'as roulée (et) tu l'as donnée "). Ce dialecte contient aussi différentes sortes de géminées : lexicales, issues d'une assimilation complète ou issues d'une concaténation de deux consonnes identiques. Les géminées tautomorphémiques sont attestées aussi bien en position intervocalique qu'initiale et finale absolues. Elles peuvent être précédées ou suivies d'une ou de plusieurs consonnes.<br />La thèse est composée de deux parties. La première partie est une analyse phonétique et phonologique des consonnes géminées. Entre autres objectifs de cette partie est de déterminer si l'opposition simple/géminée est une opposition de qualité ou de quantité ou des deux. Différents types d'analyses (acoustique, aérodynamique, fibroscopique, photoélectroglottographique et phonologique) ont été réunis. Ils montrent que la distinction entre les consonnes simples et les géminées est essentiellement une distinction de structure temporelle même pour les occlusives sourdes en position initiale absolue. Les autres corrélats moins fiables de cette opposition peuvent être considérés comme secondaires. La théorie syllabique doit donc permettre des distinctions de longueur qui ne reviennent pas uniquement à une jonction entre deux syllabes. La deuxième partie de cette thèse traite d'un phénomène devenu un des exemples les plus célèbres en phonologie depuis la publication des travaux de Dell et Elmedlaoui sur la structure syllabique en chleuh (1985, 1988, 2002). Le chleuh, selon la thèse initiée par ces deux auteurs et adoptée entre autres par Prince & Smolensky (1993), permet à toute consonne d'occuper le noyau de la syllabe, même une occlusive sourde. Cette analyse a été vivement débattue. Un seul point d'accord est sorti de ce débat : la connaissance des phénomènes à partir des transcriptions tranditionnelles est insuffisante et il faut avoir recours à des expériences phonétiques plus poussées pour résourde les problèmes. Ce sont les résultats de telles expériences que j'ai présentés dans ma thèse. La question à laquelle j'ai tenté de répondre à partir d'un ensemble d'analyses acoustiques, fibroscopiques, photoélectroglottographiques et phonologiques est la suivante : " En chleuh, schwa est-il un segment au niveau des représentations phonétiques ? " Un aspect de cette question est le suivant : si, comme le soutiennent Dell et Elmedlaoui, schwa est simplement un aspect de la réalisation d'une consonne voisine, et non un segment, on ne doit pas trouver de schwa, donc du voisement ou de geste vocalique, dans un mot composé de consonnes sourdes. On ne voit pas quel mécanisme phonétique introduirait du voisement dans un contexte dépourvu de segments [+voisé]. Si par contre ces mots contiennent des schwas on doit en déduire que les représentations phonétiques du chleuh comportent au moins quatre vocoïdes : les réalisations de /a, i, u/ et en plus un segment schwa apte à occuper le noyau de la syllabe. Les résultats montrent d'une manière claire qu'en berbère chleuh, il n'y a aucune trace d'une voyelle sous-jacente dans les mots composés entièrement d'obstruantes sourdes. Les traces trouvées principalement dans certaines réalisations d'un locuteur d'Agadir (sur 7 locuteurs) sont dues à l'influence de l'arabe sur le parler des locuteurs bilingues arabe-berbère. La théorie syllabique doit permettre des syllabes sans vocoïdes. Cette thèse présente aussi une contribution nouvelle à l'étude du comportement laryngé en appliquant pour la première fois les techniques de fibroscopie et de photoélectroglottographie à l'étude du berbère. Vu ses caractéristiques linguistiques, le berbère permet d'approfondir nos connaissances sur les mécanismes du contrôle laryngien et sur la nature des rapports temporels entre les gestes glottaux et supraglottaux. Les études précédentes se limitaient pour l'essentiel à l'étude des segments simples (principalement les occlusives aspirées) dans certaines langues germaniques, plus le japonais. Parmi les aspects analysés dans cette thèse, le mécanisme du contrôle de l'aspiration des occlusives simples et géminées, l'aspiration quelque peu atypique dans les groupes initiaux fricative-occlusive et la configuration glottale pendant la tenue des consonnes glottales, pharyngales et uvulaires (précédemment à peine étudiée). L'aspect de ce travail qui peut avoir des ramifications importantes est celui concernant les mots sourds. De telles données n'ont en effet jamais été étudiées auparavant. La modélisation des gestes laryngés pendant la tenue de ces formes entièrement dévoisées a été présentée fondamentalement en adoptant le modèle " cible-et-interpolation " (Pierrehumbert & Beckman, Keating). Les résultats montrent d'une manière quelque peu inattendue que la glotte ne reste pas simplement ouverte durant ces énoncés sourds, mais que l'aperture glottale est sans cesse modulée et peut être systématiquement mise en relation avec celle des segments individuels présents dans la suite sourde. On pourrait en effet s'attendre à ce que dans de tels énoncés, le geste " de dévoisement " soit considéré comme superflu par le locuteur et simplement éliminé. Or il n'en est rien. Ces résultats montrent d'une manière éclatante à quel point les gestes glottaux et les gestes supraglottaux sont liés.

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