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Mettre la France en tableaux : la formation politique et sociale d’une iconographie nationale au musée historique du château de Versailles (1830-1950) / No English title available

Antichan, Sylvain 24 October 2014 (has links)
En 1837, le château de Versailles est « converti » en un vaste musée visant à « réunir tous lessouvenirs historiques nationaux qu’il appartient aux arts de perpétuer ». Durant près d’unsiècle, cette histoire muséale de la France est reconduite, remaniée et actualisée jusqu’auprésent du Second Empire puis de la Troisième République. Notre thèse tente de comprendre,à partir d’un matériau archivistique dense, la contribution du musée à l’élaboration tout autantqu’à la diffusion d’un imaginaire national et civique.L’analyse iconographique de près de 1300 peintures, réinscrites dans leur cadre palatial,permet d’approcher les mises en forme picturales et matérielles du politique, ses variations etses invariants. Dès lors, l’enjeu est d’appréhender comment ces visions historicisées d’unÉtat-nation ont pu tenir et être appropriées. Leurs succès ne relèvent pas seulement d’uneaction politique et administrative mais s’arriment à l’agencement réciproque de différentessphères sociales et strates d’appartenance. Cette histoire nationale se forme en retraduisant lesunivers les plus familiers des acteurs, en empruntant à la mémoire domestique des « grandsnotables », aux normes et aux enjeux de groupements professionnels (peintres, historiens,militaires) ou encore en solennisant les pratiques routinières d’un « public mêlé ». L’histoirede France s’objective dans cette interpénétration des identités et des loyautés, dans cesconsolidations croisées de secteurs sociaux, dans ces dynamiques de politisation du social etde socialisation du politique. Saisir la formation, le contenu et la diffusion de cet imaginairenational équivaut alors à scruter des systèmes de relation entre groupements sociaux, desarticulations variables entre le quotidien et le national, entre l’art et l’histoire, entre le social etle politique. / In 1837, the Palace of Versailles was « converted » into a vast museum aiming to « gather allthe national historical memories that it belongs to the arts to perpetuate ». For about a century,the Second Empire, followed by the Third Republic, maintained, reshuffled and expanded themuseum, to include representations of contemporaneous events. This thesis aims tounderstand, based on a dense network of archival materials, the museum’s contribution to theelaboration and diffusion of a national and civic imagination.The iconographic analysis of nearly 1,300 paintings within the context of their palatialframework allows us to explore the pictorial and material representations of the political, theirsimilarities and differences. The issue, therefore, is to apprehend the manner in which thesehistoricized visions of the nation-Statecould hold and become internalized. Their success isnot only the result of political and administrative action, but also finds its source in the mutualreinforcement of different social spheres and loyalties. This national history takes shape byreproducing the actors’ most familiar environments, by borrowing from the domestic memoryof the “great notables” and from the norms and issues of professional groups (painters,historians, the military), or by solemnizing the popular habits. The history of France becomesobjective through this interpenetration of identities, through this mutual reinforcement ofsocial sectors, in these processes of politicization of the social and socialization of thepolitical. To understand the formation, content and diffusion of this national imaginationamounts to scrutinizing the systems of relationships between social groups, the evolvinginterrelations between everyday life and the national, between art and history, and betweenthe social and the political.
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Etude d'Interaction et Evaluation de Guides Portables Multimédia pour la visite culturelle: Des Multimédia à la Réalité Augmentée Mobile

Damala, Areti 30 June 2009 (has links) (PDF)
Cette thèse examine le contexte d'utilisation des guides portables multimédia comme aide alternative à la visite culturelle. Son hypothèse de recherche principal est que l'utilisation des technologies de Réalité Augmentée (RA) mobile et de la métaphore introduit par la RA en tant que component principal de conception et d'interaction concernant les guides multimedia portables, pourrait énormément faciliter l'interaction et la navigation, tant dans l'application interactif mobile que dans le contexte sensible du musée. Le domaine traité appartienne plus largement dans le contexte plus large de l'interaction Homme-Machine Mobile. Cependant, à cause de la nature du sujet traite, la thèse apporte aussi des éléments qui enrichissent l'état de l'art concernant l'interaction et évaluation des applications de RA mobile. Enfin, a cause de la nature de l'environnement ou l'expérience a eu lieu –le musée- la thèse apporte aussi des contributions sur les façons avec lesquelles l'utilisation des guides portables multimedia pour la visite culturelle peut altérer, transformer ou promouvoir l'expérience de la visite culturelle et les relations du musée contemporain avec ses publics. Après avoir examiné le contexte d'utilisation des guides portables multimedia pour la visite culturelle, proposé un set de critères de classification, réexaminé la notion d'interaction dans notre contexte de recherche et investigué de quelle manière les technologies de RA pourraient former l'analyse conceptionelle et fonctionnelle des guides portables multimedia, l'hypothèse de recherche principal est testé a travers la conception, l'implémentation et l'évaluation d'un guide de RA mobile, créé pour et avec le Musée des Beaux Arts de Rennes. La méthodologie et le protocole d'évaluation sont ensuite exposés avant de venir aux résultats des sessions d'évaluation qui ont eu lieu dans l'environnement du Musée. Des observations ont été combinée avec des entretiens semi-structurées, suivis ensuite d'un questionnaire et deux sessions des entretiens de group. L'analyse de donnes a démontré plusieurs avantages mais aussi inconvénients lies avec l'utilisation de la RA comme un alternative intuitive et facile a utiliser pour la geolocalisation, l'orientation, la navigation et l'interaction tant dans l'environnement du musée que dans l'environnement de l'application interactive.
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La diffusion d'archives à l'aide des technologies du Web 2.0 : le cas du Musée McCord

Roy, Sophie 02 1900 (has links)
Ce mémoire explore le concept de diffusion des archives à l’ère du Web 2.0. Dans le contexte nord-américain, la diffusion en archivistique englobe les aspects de promotion, de mise en valeur et de communication des archives. Le Web 2.0 offre un potentiel très intéressant pour la diffusion d’archives. Ce moyen de diffusion est défini comme étant un ensemble de principes et de technologies qui crée et facilite l’interaction entre plusieurs individus. Peu d’études ont été menées sur la diffusion des archives à l’ère du Web 2.0, c’est pourquoi notre recherche s’est intéressée à un milieu qui a intégré le Web 2.0 afin d’instaurer un dialogue avec ses usagers, connus et potentiels, pour exploiter ses archives et augmenter sa visibilité, soit le Musée McCord. Dans cette étude de cas simple certains membres du personnel du Musée McCord ont été rencontrés, afin de découvrir les motivations de l’institution à se lancer dans l’utilisation d’outils issus de ces technologies. De plus, l’étude a permis d’observer quels outils ont été choisis, comment et pourquoi. Ensuite, les avantages et les désavantages de cette nouvelle utilisation ont été mis en lumière. Enfin, les étapes de la mise en place d’outils du Web 2.0 sont exposées. / This master thesis explores the concept of archival dissemination in the Web 2.0 era. In the North American context, dissemination from an archival perspective includes the promotion, valorization and communication of archives. Web 2.0 represents new and interesting opportunites for dissemination as it facilitates interactions among individuals. As few studies examined this question, we were interested in studying an organisation where Web 2.0 platforms had been integrated to establish a dialog with their known and potential users, in order to enhance the exploitation of their archives as well as to increase their visibility. In this case study of the McCord Museum of Canadian History, we interviewed members of the personnel involved in the implementation of Web 2.0 platforms to discover the motivations behind the adoption of those technologies, as well as to describe the selected tools and the way they were implemented. The advantages and disadvantages of these new dissemination plateforms were highlighted. In conclusion, we propose guidelines to successfully implement Web 2.0 tools.
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Expérience de visite et construction des connaissances : le cas des musées de sciences et des centres de culture scientifique

Schmitt, Daniel 05 December 2012 (has links) (PDF)
Pouvons-nous saisir, comprendre et décrire l'expérience de visite dans un musée ? Cette étude aborde l'expérience des visiteurs à partir d'une perspective énactive comme ce qui fait sens du point de vue du visiteur dans le cours de sa visite. Les principaux résultats portent sur une méthode d'investigation originale dans le champ muséal qui autorise un nouveau point de vue sur l'expérience des visiteurs dans les musées. Nous montrons que l'analyse du cours d'expérience réalisée à partir d'un entretien en re-situ subjectif permet de décrire et de comprendre les unités élémentaires de l'expérience des visiteurs, ainsi que l'expérience globale de visite avec précision, finesse et profondeur. Nous mettons en évidence les actions et les cheminements cognitifs des visiteurs qui concourent à la construction de leurs connaissances et nous proposons des cours d'expérience typiques aux visites de musées.
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Musée en peinture : discontinuité / continuité / extension : souffle et résonance d'une pratique artistique entre peinture chinoise et occidentale / Museum in painting : discontinuity / continuity / extension : breath and resonance of an artistic practice between Chinese and Western painting.

Lin, Shen-Te 25 January 2018 (has links)
La relation entre les peintures chinoise et occidentale apparait comme une rencontre entre l’eau et l’huile. Mélanger les deux étant impossible, comment, dès lors, un artiste entre deux cultures, peut-il faciliter leur dialogue et devenir un passeur ? Cette recherche tente d’associer la technique des matériaux occidentaux avec l’expression du pinceau et de l’encre liés au concept du plein et du vide afin d’explorer des oppositions complémentaires, en créant une réalité diluée dans un contraste harmonisé. La réflexion s’est concrétisée par des peintures en trois formats : la série, le rouleau et l’album, intitulées Musée en peinture. Formats qui permettent d’aborder aussi bien les questions de l’écoulement du temps, de la circulation du regard, de la dynamique spatiale, que celles de l’extension et de la suggestion. Ces peintures interrogent le phénomène du musée en portant un regard ironique, critique et empathique sur les spectateurs et leurs travers. Elles témoignent aussi de la conversation avec les maîtres anciens et d’un cheminement dans les musées. La réalisation de ce musée des musées consiste en un processus de transfert de la photographie vers la composition photographique, puis vers la peinture. Ce processus se rapproche de la structure cinématographique, à partir du montage filmique d’Eisenstein, et de la notion de continuité et de discontinuité de Raoul Ruiz. Avec la boîte de Poussin numérique, on joue à la fois le rôle de peintre, de metteur en scène et de documentariste. Exploré, le passé se mue en espace, en reconstituant le passage du monde réel au monde virtuel, du ça-a-été de Roland Barthes à la notion du ça n’a pas été. / The relationship between Chinese and Western painting appears as a meeting of water and oil. Mixing the two seems impossible, so how can an artist create a dialogue between two cultures and media, effectively becoming a cultural conduit ? This research attempts to combine the techniques of Western materials with the expression of Chinese brush and ink, which is linked to the concept of fullness and tangible versus emptiness and abstract. From here, we explore the complementary opposition, create a “diluted reality” in a harmonized contrast. This reflection, entitled Museum in Painting, is represented in three different formats: the series, the scroll, and the album. These formats allow us to explore ideas of the flow of time, the circulation of the gaze, the spatial dynamics, as well as the topic of Extension and Suggestion. From the satirical, critical, and empathic point of views, we investigate the audience and their quirks, questioning the phenomenon of museum. These works exhibit my intellectual journey through the museum, and the conversation with the old masters. The realization of this museum of museums is a transfer process from photography to digital composition, and then to the painting. It takes the concepts of Eisenstein's film montage and Raoul Ruiz’s continuity and discontinuity to explore its relevance to the cinematographic composition and structure. With the “Digitized Box of Poussin”, we played the role of painter, director and documentary filmmaker to explore the idea of past events becoming a space to re-create a pathway from the real world to the virtual world, from Roland Barthes’ concept of “what happened” to the concept that is put forward that “it didn’t happen”.
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Both temple and tomb: difference, desire and death in the sculptures of the Royal museum of central Africa

Morris, Wendy Ann 30 November 2003 (has links)
Both Temple and Tomb is a dissertation in two parts. The first part is an examination and analysis of a collection of 'colonial' sculptures on permanent display in the Royal Museum of Central Africa in Tervuren Belgium. The second part is a reflection on the author's own paintings, drawings and film and an examination of the critical potential of these images in challenging the colonial narratives of the RMCA. Part I presents two arguments. The first is that European aesthetic codes have been used to legitimize the conquest of the Congo and to award sanction to a voyeuristic gaze. The second is that the organization of the sculptures of Africans (and European females) into carefully managed spaces and relationships results in the creation of erotically-charged formations that are intended to afford pleasure to male European spectators. Part II examines the strategies used in Re-Turning the Shadows to disrupt (neo)colonial patterns of viewing that have become ritual and 'naturalized'. Against RMCA narratives that pay homage to the objectivity of science and research, the paintings and film present images that explore multiple subjectivities, mythologizing impulses, and metaphoric allusions. / Art History, Visual Arts and Musicology / M.A. (Visual Arts)
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L’histoire du Cabinet des médailles et antiques de la Bibliothèque nationale (1819-1924) : un Cabinet pour l’érudition à l’âge des musées / The History of the Cabinet des médailles et antiques de la Bibliothèque nationale (1819-1924) : a Cabinet of Scholarly Pursuits in the Museum Age

Bodenstein, Felicity 27 June 2015 (has links)
Le Cabinet des médailles et antiques de la Bibliothèque nationale conserve les « bijoux savants » aux origines du collectionnisme occidental avec son médaillier universel, des pierres gravées et des collections d’antiques d’une diversité étonnante. Si celles-ci proviennent pour les parties les plus anciennes, des collections de la maison royale et de trésors ecclésiastiques, cette thèse ne remonte pas aux origines du département mais s’occupe de son destin à l’âge des musées, entre la Restauration, avec l’arrivée au département en 1819 de Désiré Raoul-Rochette (1789-1854) et la période qui suit la première guerre mondiale jusqu’à la mort d’Ernest Babelon (1854-1924). Elle cherche à comprendre, comment ce « parangon des cabinets d’amateurs de jadis » s’est développé, pris comme il l’était entre une tradition antiquaire aristocratique et les exigences de la modernité, républicaine et spécialiste. Elle aborde les différents aspects de la vie du département à l’intérieur du quadrilatère Richelieu. Tout d’abord, comme le portrait d’un lieu d’histoire d’un point de vue institutionnel et architectural qui permet de comprendre la place accordée historiquement à la culture matérielle au sein de la Bibliothèque nationale. Ensuite l’histoire du développement des collections et puis celle de leur valorisation muséographique et scientifique sont examinées au prisme de l’expansion du domaine de l’archéologie et de l’essor des sciences auxiliaires de l’histoire au XIXe siècle. / The Cabinet des médailles et antiques in the French National Library holds a particular place in the vast constellation of Parisian museums. Home to the so-called « bijoux savants » that founded western collecting culture since the Renaissance, it is at once a universal coin cabinet, one of the worlds foremost collections of cut stones and gems, but also a miscellaneous collection of antiquities representing all periods and places. As described in 1930 by one of its curators, it represents a « parangon of amateur cabinets from another time ». This thesis does not directly deal with its prestigious origins but tells one chapter of its long history, looking at how, from the period of the Restoration onwards (beginning with the direction of Désiré Raoul-Rochette in 1819) until the passing of Ernest Babelon in 1924, this cabinet of antiquarian culture and collections adapted and developed to the modern Republican museum age. The life of the department is first considered as a means of understanding the role of material culture and the place of the museum inside France’s national library in the nineteenth century. It then goes on to consider the development of the collections themselves and their scientific and museological exploitation in light of the rapidly expanding practice of archaeology and highly specialised auxiliary sciences of history.
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Donner la parole aux autochtones : Quel est le potentiel de reconnaissance de l'exposition à plusieurs points de vue dans les musées ? / Giving voice to aboriginal peoples : On the recognition potential of multivocal exhibitions in museums

Soulier, Virginie 28 June 2013 (has links)
Depuis la fin des années 1980, les collaborations avec les communautés autochtones semblent s’accroître dans les musées canadiens. Un déplacement apparaît de la prise de parole en contexte de revendication au don de parole en contexte muséal. Après la remise en cause des musées ethnologiques, la prise en charge de la parole autochtone annonce le temps de la reconnaissance. Seulement, le mot reconnaissance est employé dans des contextes variés en muséologie. Ses occurrences indiquent plusieurs sens, dérivés de la volonté de redonner dignité et respect aux peuples autochtones et de produire des expositions qui présentent leur patrimoine d’origine à la lumière de leurs points de vue. Selon une approche communicationnelle, notre travail a porté sur les pratiques des musées qui consistent à donner la parole aux peuples autochtones et à l’exposer. Le travail a été centré sur la combinaison des points de vue autochtones avec ceux des concepteurs-muséographes. L’entreprise de la recherche a visé à cerner les opérations induites et générées par cette situation d’entrecroisements de points de vue, plus ou moins discordants, qui doivent, d’une manière ou d’une autre, s’unir dans un même espace communicationnel. Le système polyphonique de l’exposition est conceptualisé en trois moments de médiation : la prise en compte, la monstration et l’interprétation des points de vue autochtones. Ils correspondent aux intentions des concepteurs-muséographes et des expositions, puis à la manière dont elles sont interprétées par les visiteurs. Nous avons réalisé quatre enquêtes de terrain dans onze musées à travers le Canada : observation participante ; entretiens individuels auprès de professionnels des musées ; analyse de discours ; entretiens de groupes auprès de visiteurs autochtones et allochtones. Nous avons examiné les pratiques collaboratives et croisé ces quatre formes de discours des musées afin de mettre à l’épreuve le potentiel de reconnaissance des expositions qui tiennent compte des points de vue des représentants autochtones. Il résulte que la patrimonialisation est conçue en tant que processus de reconnaissance. De plus, l’intensification de la patrimonialisation des objets autochtones est synchronique de l’expansion coloniale. Néanmoins, l’analyse de la prise de distance du concepteur-muséographe vis-à-vis de son point de vue et de celui des autochtones rend compte des relations complexes entre le don de parole, l’autorité de discours et l’auctorialité. Malgré les divergences entre les intentions explicitées par les professionnels et leurs intentions implicites dans les expositions, les discours des visiteurs autochtones et allochtones traduisent un contrat de reconnaissance entre le musée et les visiteurs. Ainsi, le principe polyphonique et ses formes de reconnaissance sont mis en évidence dans les espaces de production et de réception des expositions produites en collaboration. Notre recherche révèle plusieurs modalités de reconnaissance manifestes dans la combinaison et l’entrecroisement des voix autochtones avec celles des praticiens. Cet essai d’interprétation met au jour des conflits d’ordre patrimonial et socio-historique qui engendrent des mécanismes de régulation par assimilation/accommodation. Il décrit deux logiques fondamentales relatives à l’identité et à la mémoire. De ces adaptations mises en œuvre par les musées ressort un phénomène permanent de reconnaissance amorcé depuis la colonisation des territoires autochtones. La recherche suggère finalement d’envisager le musée comme lieu de reconnaissance non seulement du patrimoine, mais aussi des publics et des peuples donateurs et donataires du patrimoine. / Collaborations with aboriginal communities appear to be increasing in Canadian museums, with the communities shifting from speaking in a context of claiming theirrights to being given a voice in the museum context. In keeping with the questioning about ethnological museums, taking into account the voice of the aboriginal peoplesprefigures since the eighties the time for recognition. But the word recognition is used indiverse museum contexts.Based on a communicational approach, our research considers the links between thepolyphonic and recognition modalities of the exhibition media. We have attempted toidentify and understand the processes induced and generated by exhibitions’ interactionaland intertextual systems. The polyphonic system is conceptualized in three mediation moments in the production and reception spaces of the exhibition: acknowledgment, monstration, and interpretation of aboriginal points of view. They correspond to there cognition intentions of the exhibitions and designers-museographers, then visitors’recognition. We have conducted four field studies in eleven different Canadian museums : participant observation; one-on-one interviews with museum professionals; discourse analysis ; group interviews with native and non-native visitors. We have studied the collaborative practicesand these four types of museum discourses to demonstrate the recognition potential ofexhibitions dedicated to the aboriginals’ perspectives.Our research reveals several recognition modes manifest in the combination andinterlinking of aboriginals’ and practitioners’ voices; it identifies logic in the polysemy ofthe word recognition. This interpretation essay reveals patrimonial and socio-historical conflicts that generate regulation mechanisms through assimilation/accommodation. A permanent recognition phenomenon emerges from the adaptations implemented by themuseums since the beginning of aboriginal patrimonialization during the colonizationperiod. Our research proposes to apprehend the museum as a recognition place of heritage, but also of the general public and the peoples, whether donors or donees of that heritage.
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Les terres cuites figurées de la collection Raffaele Gargiulo au Musée National de Naples : recherches sur le goût et le marché de l'art dans la première moitié du XIXe siècle / The figured terracottas of Raffaele Gargiulo’s collection in the National Museum of Naples : research on the taste and the art market in the first half of the 19th century / Le terrecotte della collezione di Raffaele Gargiulo al Museo Archeologico Nazionale di Napoli : ricerche sul gusto e sul mercato d’arte nella prima metà del XIX secolo

Berriola, Riccardo 05 December 2014 (has links)
La these analyse la collection de terre cuite de Raffaele Gargiulo (1785-après 1864), céramiste et restaurateur affirmé, personnage de première importance du Musée de Naples, marchand napolitain d'antiquité des années 20 et 30 du XIXe siècle. La proposition de vente de sa collection au Musée de Naples est faite en décembre 1852. Après deux années de dures négociations le 29 mai 1855 la vente se conclut pour 6000 ducats. Pour comprendre le personnage de Gargiulo en tant que marchand d'oeuvre d'art, 315 documents, conservés dans l'Archive d'État de Naples et la Surintendance de Naples, ont èté analysés. L'étude de 11 arrêtés royaux entrés en vigueur entre 1807 et 1852, ont permis de reconstruire le cadre législatif en vigueur de l'époque. La petite plastique, la classe la plus nombreuse, représente environ les trois quarts de la collection de terre cuite. En ce qui concerne les provenances, les Pouilles et la Campanie sont largement dominantes avec 578 objets (95.54% de la collection entière): dans le détail on note que les localités se trouvant aux premières places sont aussi bien les Pouilles (Gnathia, Ruvo et Canosa) que la Campanie (Capoue et Calès), plus célèbres pour les fabrications coroplastiques. Le matériel architectonique va de la fin du VIe s. av. J.- C. au I Ier s. ap. J.-C., le matériel coroplastique se situe entre la moitié du IVe s. et la fin du IIIe s. av. J.-C., la céramique à décoration plastique et polychrome et celle achrome entre le IVe et le IIIe s. av. J.-C., alors que la chronologie des vases modelés va de la fin du VIe et le IIIe s. av. J.-C. Enfin, les lampes à huile sont toutes datées entre la première moitié et le dernier quart du Ier s. ap. J.-C. / The thesis analyzes the collection of terracottas of Raffaele Gargiulo (1785-after 1864), ceramist and restorer, leading figure of the Museum of Naples, neapolitan merchant of antiquity in the twenties and thirties of the 19th century. The proposed sale to the Museum of Naples of his collection is made in December 1852, but only after more than two years of hard deals it comes to the purchase on May 29th, 1855, for 6000 ducats. In order to understand the figure of Gargiulo as merchant of art 315 documents, kept in the State Archive of Naples and in the Historical Archive of the Archaeological Superintendence of Naples, have been analyzed. By the study of 11 royal decrees dated between 1807 and 1852 the legislative framework in force at the time was rebuilt, as part of the trade and export of archaeological and art objects. In the Gargiulo’s collection of terracottas the little plastic (443 specimens, 73.88%) is the most documented class, accounting for about three-quarters of the collection. About the provenances, Apulia and Campania with 578 items, the 95.54%, prevail. At the top lie the towns, both in Apulia (Gnathia, Ruvo and Canosa) and Campania (Capua and Cales), most famous for the coroplastic products. If the architectural material is dated from the end of the 6th century BC to 1st century AD, the coroplastic material lies mostly between the mid-4th century BC and the end of the 3rd BC. The pottery ranges between the 4th century and 3rd century BC, especially the plastic and polychrome decoration and the achromatic ceramic; the chronology of plastic vessels is more varied, between the late 6th and 3rd centuries BC. The lamps, finally, are dated to 1st century AD. / La tesi analizza la collezione di terrecotte di Raffaele Gargiulo (1785-post 1864), ceramista e restauratore affermato, figura di primo piano del Museo di Napoli, grande mercante napoletano di antichità degli anni Venti e Trenta dell'Ottocento. La proposta di vendita al Museo di Napoli della sua collezione viene fatta nel dicembre del 1852, ma dopo oltre due anni si giunge all'acquisto, il 29 maggio 1855, per seimila ducati. Per inquadrare la figura del Gargiulo come mercante di opere d'arte sono stati analizzati 315 documenti custoditi nell'Archivio di Stato di Napoli e nell'Archivio Storico della Soprintendenza Archeologica di Napoli. Attraverso lo studio di 11 regi decreti tra il 1807 e il 1852 si è ricostruito il quadro legislativo in vigore all'epoca nell'ambito del commercio e dell'esportazione di reperti archeologici e oggetti d'arte. Nella collezione Gargiulo di terrecotte la piccola plastica (443 esemplari, pari al 73.88%) è la classe più documentata, rappresentando circa i tre quarti della collezione. Tra le provenienze prevalgono la Puglia e la Campania con 578 oggetti, il 95.54%. Ai primi posti si collocano le località, sia pugliesi (Egnazia, Ruvo e Canosa) che campane (Capua e Cales), più celebri per i prodotti coroplastici. Se il materiale architettonico va dalla fine del VI a.C. al I d.C., quello coroplastico si colloca per lo più tra la metà del IV e la fine del III a.C. La ceramica spazia tra il IV e il III secolo a.C., soprattutto per la ceramica a decorazione plastica e policroma e per quella acroma, più varia è la cronologia dei vasi plastici, tra la fine del VI e il III a.C. Le lucerne, infine, si datano nell'ambito del I secolo d.C.
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Raffaele Gargiulo e la sua collezione di vasi al Museo Archeologico Nazionale di Napoli : ricerche sul restauro dei vasi antichi nella prima metà del XIX secolo a Napoli : tecniche e materiali / Raffaele Gargiulo et sa collection de vases (Musée Archéologique National de Naples) : recherches sur la restauration des vases antiques dans la première moitié du XIXe siècle à Naples : techniques et matériaux / Raffaele Gargiulo and his vases collection in the National Archaeological Museum of Naples : research on the restoration of ancient vases in the first half of the nineteenth century in Naples : techniques and materials

Luppino, Angela 26 January 2017 (has links)
La recherche a analysé la figure éclectique de Raffaele Gargiulo, marchand d'antiquités célèbre en Europe, collectionneur, personnage complexe et controversé de l'histoire du Musée de Naples, dans le monde des Antiquités napolitaines de la première moitié du XIXème siècle. À partir de sa collection d’objets provenant de la Grande-Grèce; l'une des plus riches du Musée de Naples, et en examinant en particulier les vases peints, nous avons analysé ses méthodes de travail ainsi que ses techniques de restauration, les matériaux qu’il a utilisés et les choix qu’il a faits pour reconstruire et comprendre les critères qui ont guidé la pratique de la restauration des vases du musée Royal Bourbon dans la première moitié du XIXème siècle. La recherche a analysé les événements historiques qui ont conduit le Musée Royal à acheter l’intégralité de la collection de Raffaele Gargiulo et, en particulier, sa collection de vases. Le travail effectué est accompagné de documents d'archives qui illustrent les longues négociations concernant l'achat des matériaux, commencé en 1852 et achevé en 1855 et renseignent sur les tendances et les choix effectués par le Musée Royal de Naples en étroite collaboration avec la Commission des Antiquités et des Beaux-Arts. L’enquête a permis d’en savoir plus sur le restaurateur-marchand qu’était R. Gargiulo et sur les relations qu’il entretenait avec les personnes impliquées dans ces affaires. En partant des sources bibliographiques, des anciens inventaires et des documents d’archives, nous avons identifié les vases de la collection Gargiulo (environ 481 vases) et tous les “vases Gargiulo" achetés par le Musée de Naples. Nous avons compilé le catalogue des vases, en les classant par type de céramique et en rédigeant une fiche pour chacun d’eux. À travers le catalogage des vases, qui a permis la reconstruction de la collection, nous avons cherché à identifier et à mettre en évidence les goûts du collectionneur R. Gargiulo mais aussi des personnes impliquées dans les choix (ministre, directeur du Musée, experts), qui ont déterminé un certain style pour les collections du Musée de Naples. / The research focuses on the eclectic figure of Raffaele Gargiulo, who was a dealer, an expert, a restorer, a collector, a controversial figure in the history of the Naples Museum and Neapolitan antiques market in the first half of the nineteenth century. Starting from his collection of antiquites, one of the richest coming from Magna Graecia and which arrived in the Naples Museum, we have primarily examined the vases and have tried to analyze the restoration methods, the materials used and the choices made to reconstruct the criteria that guided the practice of the vases restoration in the Royal Bourbon Museum in the first half of the nineteenth century. The research analyzes the historical events that led to the purchase, by the Museum, of Raffaele Gargiulo’s collection, focusing mainly on the study of the vases collection. The research, enriched by archival documentation aimed at illustrating the long negotiation in the acquisition of the objects, which began in 1852 and ended in 1855, has shown the judgements and the choices made by the Neapolitan Museum in cooperation with the Commissione di Antichità e Belle Arti. Furthermore, it has contributed to define the figure of the restorer-dealer Gargiulo and his relationship with the people interested in the deal. A combination of archival documentation, old inventories and surveys in the Museum’s stores has allowed us to identify the Gargiulo’s vases collection (about 481 vases) and all the "Gargiulo’s vases" in the Museum. The vases catalogue has been created, in order to classify them according to type of ceramic, with an individual file for each vase. Thanks to the catalogue, which has aimed to the reconstruction of the collection, we have been able to highlight the aspects related to the criteria and to the taste of the collector Gargiulo and of the figures involved (Minister, Director of the Museum, experts, etc.). They have all contributed to the enrichment of the collections of the Naples Museum through the variety of artifacts and provenance from different locations in the Naples Kingdom.The research has also investigated the figure of the restorer Gargiulo, his "career" and his activities at the «Officina dei Vasi Italo-greci» of the Naples Museum. The restoration methods have been analyzed on some vases that still preserve the ancient interventions, focusing on a comparative study between old photos and archival documentation. / La ricerca ha analizzato l'eclettica figura di Raffaele Gargiulo, commerciante, abile restauratore, collezionista, figura controversa nella storia del Museo di Napoli e dell’antiquaria napoletana nella prima metà del XIX secolo. Partendo dalla sua collezione, una delle raccolte più ricche di materiali di provenienza magnogreca mai giunte nel Museo di Napoli, esaminando in particolare i vasi, si è cercato poi di analizzare i metodi di restauro, i materiali adoperati e le scelte attuate per ricostruire e comprendere i criteri che guidarono la pratica del restauro dei vasi del Museo Borbonico nella prima metà dell'Ottocento. La ricerca ha analizzato le vicende che hanno portato all’acquisizione da parte del Museo Borbonico della collezione di Gargiulo nella sua totalità e, in particolare, della collezione vascolare. Il lavoro, corredato da documenti archivistici volti ad illustrare la lunga trattativa nell'acquisizione dei materiali, iniziata nel 1852 e conclusa nel 1855, ha messo in evidenza le valutazioni, le tendenze e le scelte operate a Napoli presso il Museo in stretto rapporto con la Commissione di Antichità e Belle Arti e ha contribuito a delineare la figura del restauratore-commerciante Gargiulo e il suo rapporto con le figure che, più o meno appassionatamente, si interessarono alla vicenda.Sono stati individuati, sulla base delle fonti, degli antichi inventari e dei documenti archivistici, i vasi della collezione Gargiulo (481 vasi ca.) e tutti i “vasi Gargiulo” immessi nel Museo. Si è redatto il catalogo dei vasi, diviso per classi ceramiche e con la redazione di singole schede per ogni vaso. Attraverso il catalogo e quindi la ricostituzione della collezione, si sono potute individuare, nella sua varietà di classi ceramiche e di provenienze, gli aspetti relativi ai criteri e al gusto di Gargiulo e delle figure coinvolte (Ministro, Direttore del Museo, esperti, etc.) che hanno determinato anche una scelta di gusto e di rappresentatività per le collezioni del Museo di Napoli. La ricerca ha anche preso in esame la figura del restauratore Gargiulo, la sua “carriera” e la sua attività presso «l’Officina dei Vasi Italo-greci» del Museo di Napoli. Si sono esaminati i metodi di restauro su alcuni vasi che ancora conservano gli interventi antichi, anche attraverso uno studio comparativo tra le foto antiche e i documenti di archivio.

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