• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 83
  • 10
  • 6
  • 5
  • 4
  • 3
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 121
  • 59
  • 27
  • 18
  • 18
  • 17
  • 17
  • 16
  • 16
  • 14
  • 14
  • 13
  • 12
  • 12
  • 12
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
21

The beginnings of naturalism in American fiction. A study of the works of Hamlin Garland, Stephen Crane, and Frank Norris with special reference to some European influences 1891-1903.

Åhnebrink, Lars. January 1900 (has links)
Diss. Upps. phil. / Essays and studies on American language and literature, 9.
22

Naturalisme dualiste ou transcendantal : Chalmers a-t-il réfuté McGinn ?

Marceau, Jean-Philippe 15 February 2020 (has links)
Disons que je me cogne l’orteil à l’instant. Selon le physicalisme, il est possible d’expliquer l’ensemble de ce qui se produit alors de façon purement physique. Ultimement, il s’agit de certaines interactions entre les particules de mon orteil et de celles du mur, qui mènent à des interactions dans mon système nerveux, qui mènent à d’autres interactions dans mon appareil vocal, de façon à ce qu’on entende « Aïe! ». Je crois qu’il manque quelque chose d’important à cette histoire, en l’occurrence l’effet que cela fait de se cogner l’orteil : ma douleur phénoménale à l’orteil. Plus généralement, l’ontologie de la physique n’est pas suffisante pour rendre compte de la conscience phénoménale. La question est de savoir par quoi la remplacer. Dans ce mémoire, j’explore la possibilité d’une ontologie qui ne serait pas physicaliste, mais qui serait quand même naturaliste, c’est-à-dire qu’elle reposerait quand même sur les sciences naturelles. Après tout, la science n’a pas à se limiter à l’ontologie de la physique actuelle. Pour mener à bien cette exploration, je comparerai les deux possibilités qui me semblent les plus plausibles, c’est-à-dire le naturalisme transcendantal de Colin McGinn et le dualisme naturaliste de David Chalmers. McGinn affirme qu’il existe une réponse naturaliste au problème corps-esprit, mais qu’elle n’est pas cognitivement accessible à l’humain, de la même façon que la solution au problème de la gravité n’est pas accessible à l’écureuil par exemple. Chalmers croit au contraire qu’il est bien possible de répondre au problème, à condition d’introduire la conscience phénoménale dans notre ontologie comme une nouvelle entité, comme Newton l’avait fait avec la gravité. J’expliquerai qu’un compromis est en réalité possible entre McGinn et Chalmers. La position de Chalmers est menacée par des paradoxes et des problèmes qui ne seront ultimement réglés qu’en concédant beaucoup de terrain à McGinn.
23

Le réductionnisme dans le Traité de la nature humaine de David Hume

Noisette, Kim January 2016 (has links)
Résumé : À l’aube des études humiennes, Norman Kemp Smith appelait à représenter Hume « suivant toutes ses nombreuses activités », comme s’il pressentait que l’étude de la pensée humienne pouvait s’avérer un labyrinthe dans lesquels les commentaires pouvaient s’égarer et se perdre de vue. Ce pressentiment, on peut le dire aujourd’hui, s’est avéré juste, et il porte avec lui une clé de lecture : pour dépasser la représentation parcellaire, fragmentée et ultimement incohérente d’un Hume kaléidoscopique, le mieux est peut-être de s’intéresser à ses activités. La présente thèse vise à circonscrire la pratique humienne de la philosophie, ou, pourrait-on dire, du travail épistémologique et conceptuel, dans l’espace de son magnum opus, et cela à l’aide d’une clé de lecture : celle du réductionnisme. Si le Traité est une oeuvre que l’on peut qualifier d’empiriste, on ne saurait la lire seulement par ce biais ou par celui de questions localisées, et nous montrons que le projet du Traité ne peut se comprendre qu’en voyant comment Hume tente d’y réduire la et les connaissances à des dépendances ou à des parties de sa propre théorie de la nature humaine. Pour cela, nous procédons via quatre chapitres. D’abord, nous tentons de circonscrire les caractéristiques les plus importantes du projet humien, c’est-à-dire de ce que Hume avait l’intention de développer à travers les contenus particuliers du Traité ; ensuite, nous nous concentrons sur la base dont Hume part et dont il se servira pour accomplir des réductions, base que l’on peut appeler une théorie des perceptions doublée d’une théorie de l’esprit (principes, facultés, relations) ; ces deux théories, couplées à un standard strict pour obtenir le statut de « vraie idée » ou d’idée intelligible, semblent amener de par leurs prémisses assez directement au scepticisme, et c’est pourquoi on traitera du scepticisme avant d’évoquer les aspects « naturalistes » du Traité au-delà des éléments de base de la théorie des perceptions et de l’esprit, soit une manoeuvre qui ne suit pas tout à fait l’ordre humien d’exposition mais nous semble suivre un certain ordre des raisons ; enfin, la quatrième partie nous permettra de passer en revue diverses réductions opérées par Hume, celles qui mènent au scepticisme pyrrhonien mises à part, ce qui nous permettra de voir quelles sont les limites et les problèmes afférents à son réductionnisme particulier. Refondateur, systématique et totalisant dans ses intentions, le Traité suit bien plus qu’un projet simplement empiriste, et on verra que dans la démarche humienne l’empirisme apparaît davantage dans les conclusions qu’au point même de départ. En le lisant comme le lieu et la conséquence d’une orientation que l’on peut dire réductionniste, on peut trouver dans le Traité un fil conducteur qui, en dépit de problèmes plus ou moins importants rencontrés en cours de route, ne se rompt pas. / Abstract : At the dawn of Hume studies, Norman Kemp Smith called to study the philosopher “in all his manifold activities,” as if he foresaw there a serious risk for the comments to lose themselves as well as each other. Today, it can be said that Kemp Smith’s foreseeing was legitimate. Fortunately, it is possible to find here a reading key: in order to go beyond fragmented and ultimately incoherent readings of Hume, the better way to proceed may consist into focusing on his activities. The present dissertation aims at delineating Hume’s practice of philosophy, or rather his conceptual and epistemological work, in his magnum opus, by focusing on why, how and when he makes reductions. As well-known, the Treatise is an empiricist work, but can never be fully understood if one focuses only on that aspect or on local and tangential questions, and we aim at showing that the Hume’s project and development of said project can only be understood by following how the philosopher tries to reduce most (if not all) knowledge to dependencies of his own theory of human nature. In order to do that, we proceed through four chapters. First, we circumscribe the most important features of the project before and behind the Treatise, which is, what Hume intended to develop through the particular contents of the work. Second, we focus on the conceptual basis from where Hume accomplishes reductions, a basis we call his theory of perceptions, on which is grafted a theory of mind (principles, faculties, relations). These theories, associated to an intention to boil down everything into perceptions as well as to a strict standard to give a mental content the status of a “true idea,” seem to lead straight to skepticism, and this is why the third chapter will focus on the skeptical overtones of the Treatise before looking into aspects commonly referred to as “naturalist.” Though this maneuver does not exactly follow Hume’s own order of exposition, it follows, we think, a specific order of reasons. Finally, on the fourth chapter we review various reductions Hume proceeds (apart from those that lead to a Pyrrhonian skepticism), which will allow us to highlight the limits and problems that stem from his particular breed of reductionism. Following a foundationalist, systematic and totalizing project, Hume’s Treatise is much more than simply empiricist, and as we will see the empiricist aspect appears more as a set of conclusions than as a starting point. Read as both a place and an effect of a reductionist orientation, the Treatise shows a common threat which, in spite of sometimes important problems met on the spot, never breaks.
24

Le concept de fonction propre chez Plantinga

Grondin, Jean-Philippe January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
25

Les tentatives contemporaines de sémantique naturaliste et l'héritage peircien

Marcy, Thomas 29 November 2008 (has links)
Cette thèse aborde un sujet très débattu dans la philosophie de l’esprit et les sciences cognitives contemporaines : la naturalisation de l’intentionnalité en vue d’une théorie générale de la signification exprimable dans les prédicats des sciences naturelles. La première partie expose comment, à partir des années 1960 a évolué le programme collectif de naturalisation, depuis le fonctionnalisme jusqu’à ce qu’on peut appeler le « tournant naturaliste » du début des années 1970 dû à l’essor des sciences cognitives et à une forte remise en cause du fonctionnalisme, notamment en ce qui concerne la prise en compte de l’indexicalité des significations (cf. Kripke 1971, Putnam 1975). La deuxième partie expose les deux types de stratégies qui s’esquissent alors au début des années 1980 : d’une part la voie de la « sémantique informationnelle » (SI) (initiée par Fred Dretske et poursuivie aussi par Jerry Fodor, ce dernier défendant un symbolisme cérébral) où il s’agit de fonder l’intentionnalité sur des rapports nomologiques informatifs. D’autre part la voie de la « téléosémantique » (TS) (initiée par Ruth G. Millikan, suivie notamment par David Papineau) qui consiste à expliquer le développement de l’intentionnalité jusqu’à la cognition conceptuelle à partir de contraintes évolutionnistes. La troisième partie opère un « tournant sémiotique » en examinant la théorie logique et métaphysique des signes chez Charles S. Peirce (1845-1914), dont Millikan déclare s’être initialement inspirée. Il s’agit de montrer que la conception peircienne de l’intentionnalité, qui conçoit celle-ci comme un processus inférentiel réalisé dans des signes fonctionnant de manière iconique, est effectivement la voie permettant de fonder une nouvelle conception de la représentation symbolique qui évite d’avoir à assumer les présupposés métaphysiques du cognitivisme computationnel propres à la SI ; cela en développant une notion de signe naturel qui rend compte des faits découverts par les sciences cognitives sans tomber pour autant dans le psychologisme. La quatrième partie constitue alors l’ébauche de ce que pourrait être une philosophie de l’esprit élaborée à partir du concept écologique de signe cognitif, celui-ci comportant une dimension logique (une relation triadique, au sens où l’entend la logique des relatifs de Peirce) et une dimension proprement comportementale (également triadique, mais dépourvue d’auto-contrôle : ce pour quoi on crée le concept d’Image comportementale). Un examen sur la question de l’indexicalité montre que la bonne appréhension du problème consiste en effet à bien penser l’articulation entre les fonctions indexicales et iconiques du signe, qui ne prend la forme d’un rapport contrôlé d’intentionnalité seconde que dans le cadre d’un système symbolique régi par des conventions syntaxiques / The subject of this thesis is the naturalizing project of intentionality, i.e. a theory of meaning expressible in natural sciences predicates. Part I expose the functionalist program in the 1960’ and its calling into question during the 1970’ by the development of cognitive sciences and indexicality problem (Kripke 1971, Putnam 1975). Part II is devoted to the alternative strategies developed since the beginning of the 1980’. In one hand : the “information semantics”, i.e. a nomic grounded semantics initiated by Fred Dretske (followed by Jerry Fodor). On the other hand: the “teleosemantics” of Ruth G. Millikan (followed by David Papineau) which seeks to found the theory of cognition on evolutionary constraints. Part III proceeds to a “semeiotic turn” by analyzing the logical and metaphysical theory of signs of Charles S. Peirce (1845-1914), one of the most prominent sources of Millikan’s thesis. Indeed, Peirce’s conception of cognition as an inferential process grounded in iconic signs is the very way of a naturalistic theory of symbols which symmetrically avoids the metaphysical prejudices of computational cognitivism and psychologism. Then Part IV try to sketch out the project of an ecological theory of mind based on the concept of a multi-functional intentional sign (a sign of which the inferential function of self-control is not reducible to the simpler behavioural functions). In this part we argue in favour of a new behavioural concept : the “Image”. A last development concerning the indexicality problem tends to prove that the matter consists in an adequate description of the relations between iconic and indexical functions in the sign, by which it is possible to understand the specificity of syntactical and conventional systems of expression
26

Tuer l'idéal. L'anti-romantisme de Zola et des naturalistes / Killing the ideal. Anti-Romanticism in Zola and the Naturalists

Beillacou, Florence 10 December 2018 (has links)
Dès le début de sa carrière littéraire, Zola se bat contre le romantisme. C’est en grande partie autour de cette polémique qu’il cherche à fédérer le groupe naturaliste, dont le recueil de 1880 "Les Soirées de Médan", auquel participent à ses côtés Céard, Maupassant, Hennique, Alexis et Huysmans, proclame l’existence. La haine affichée du romantisme unit les auteurs naturalistes dans un même combat contre l’-isme d’hier, en faveur d’une nouvelle esthétique et d’un nouveau mouvement de pensée : le naturalisme. La stratégie médiatique et collective mise en place par Zola pour faire de cette polémique anti-romantique un événement, permet aux naturalistes d’occuper le terrain de l’édition et du journal. Mais c’est aussi à travers l’opposition au romantisme que les naturalistes construisent leur propre esthétique, profondément anti-idéaliste, et se positionnent sur des questions telles que le rapport de la littérature à la société et à la politique. Enfin, la polémique anti-romantique informe également les œuvres de fiction. Si le personnage naturaliste apparaît souvent comme une victime de la culture romantique, le discours critique des naturalistes dans les romans passe également par la défiguration ou le dépassement de clichés considérés comme typiquement romantiques. Le métadiscours de certains romans naturalistes permet d’insérer la polémique anti-romantique au sein de la fiction, souvent de façon critique et réflexive. / From the beginning of his literary career, Zola fought against Romanticism.This opposition allowed him to build the unity of the Naturalist movement, a movement which first sprung into existence with the publication of "Evenings at Médan" (1880), the collection of short stories co-written with Céard, Maupassant, Hennique, Alexis and Huysmans. Naturalist authors, united by their hatred for Romanticism, joined forces against yesteryears’ dominant movement to defend a new aesthetics and a new school of thought: Naturalism. Thanks to Zola’s efforts to publicise this controversy, Naturalists gained visibility in the press and the publishing sector. It is largely through this opposition to Romanticism that Naturalists developed their own, deeply anti-idealistic aesthetics, and defined their positions on issues such as literature’s relation to society and politics. Their anti-Romantic stance further shaped their works of fiction. Naturalist characters often appeared as victims of Romantic culture. Moreover, Naturalist authors developed their critical discourse by dismantling clichés considered as typically Romantic. Through the novel’s metadiscourse, they inserted anti-Romantic polemic in the fiction, in an often critical and self-reflexive way.
27

Le polymorphisme du héros réaliste-naturaliste chez Balzac, Flaubert, Maupassant et Zola ou le parcours initiatique d'un être oxymorique / Polymorphism of the realist-naturalist hero in the works of Balzac, Flaubert, Maupassant and Zola or the journey of initiation of an oxymoronic human being

Teboul, Annabelle 24 January 2012 (has links)
Ce travail de thèse interroge la représentation du héros au sein des mouvements réaliste et naturaliste du XIXe siècle. Il s'agit, au travers d'un corpus de six romans et nouvelles, de mettre en lumière la tension inhérente à la figure héroïque chez Honoré de Balzac, Gustave Flaubert, Guy de Maupassant et Émile Zola. Malgré un refus apparent du modèle classique antique qui se signe par une banalisation du personnage principal, les romanciers réalistes-naturalistes n'échappent finalement pas à la tentation héroïque; en proposant un parcours initiatique et des formes originales de sacralisation, ils fabriquent un nouveau type de héros, à la fois plus proche des préoccupations de la société de l'époque et traversé par des représentations mythiques, éternelles (qu'elles soient issues du domaine mythologique, biblique, littéraire, psychanalytique ou religieux). La dialectique entre temporalité sociétale et permanence du légendaire se donne alors à lire. Cette thèse de doctorat cherche donc à démontrer l'exécution immuable d'une symphonie héroïque au sein de la poétique réaliste et naturaliste tout en rappelant la nature spécifique du héros chez chaque auteur étudié. / This thesis questions the representation of the hero by the realist and naturalist movements of the XIXth century. Transgressing six novels and short stories, it aims at highlighting the inherent tension of the heroic figure in the works of Honoré de Balzac, Gustave Flaubert, Guy de Maupassant and Émile Zola. Despite an apparent refusal of the classic antique model which is illustrated by a trivialization of the main character, the realist-naturalist novelists do not escape from the heroic temptation; by offering a journey of initiation and unusual forms of sacralization, they fabricate a new type of hero, both closer to the concerns of society at that era and influenced by mythical and eternal representations (whether from mythological, biblical, literary, psychoanalytical or religious fields). The dialectic between the societal temporality and the permanence of the legendary is thus to be read. This doctorate thesis therefore seeks to de! monstrate the immutable execution of a heroic symphony within the realist and naturalist poetry while recalling the specific nature of the hero in the work of each author studied
28

Théorie et pratique du naturalisme dans l'ɶuvre romanesque de Joris-Karl Huysmans (1874-1883) / Theory and practice of naturalism in Joris-Karl's novel Huysmans (1874-1883)

Jouini, Asma 08 November 2013 (has links)
Cette thèse porte sur l’œuvre de Huysmans allant de ses premiers écrits jusqu’à la veille de sa mésentente avec Zola, À Rebours étant en cela le point de disjonction entre une première période de formation et la suite d’expériences littéraires multiples dont la méthode naturaliste est garant d’unité. Car si l’écriture naturaliste fut, à un moment donné de la vie de Huysmans une forme d’initiation, elle n’a pas cessé d’être une manière de penser et l’auteur se réclame de cette part naturaliste même dans ses romans les plus mystiques. Huysmans veut donc écrire un livre en se gardant d’idéaliser le monde, c’est-à-dire un livre anti-romanesque. En cela il s’inscrit en pleine mouvance naturaliste. Car, bannir les intrusions de l’auteur, au nom de l’objectivité expérimentale est l’un des fondements du courant naturaliste. Mais, résultat paradoxal, en poussant le discours théorique du Roman expérimental jusqu’au bout de sa logique, l’écriture de Huysmans va aboutir à une sorte d’éclatement de la structure traditionnelle du roman, tel que va l’attester quelques années plus tard l’écriture d’À Rebours. En effet, Huysmans tire parti à sa manière de la théorie naturaliste de Zola. Il a très tôt compris que cette théorie va aboutir à une impasse et qu’il faut aller aux confins de cette expérience pour pouvoir passer à d’autres. Mais cette étape de sa formation l’a définitivement marqué, surtout comme méthode de documentation. L’expérience littéraire de Huysmans pendant cette décennie est symptomatique d’un état plus général et laisse comprendre que le roman repose sur un terrain mouvant. / This thesis deals with the work of Huysmans ranging from his first writings until the eve of his disagreement with Zola; À Rebours being the point of disjunction between an initial period of setting up and a series of multiple literary experiences where the naturalistic method is the guarantor of unity. For if naturalistic writing was, at some point in the life of Huysmans, a form of initiation, it has not ceased to be a way of thinking and the author claims this naturalist part even in his most mystical novels. Huysmans therefore wants to write a book while avoiding idealizing the world, that is to say, a non-fiction book. Through this, he takes part in the naturalist movement. For, to banish the intrusions of the author, in the name of experimental objectivity, is one of the foundations of the naturalist current. But paradoxically, by pushing the theoretical discourse of the experimental novel to the end of its logic, Huysmans' writing will lead to a sort of break-up of the traditional structure of the novel, as evidenced some years later the writing of À Rebours. Indeed, Huysmans draws in his own way Zola's naturalist theory. He quickly realized that this theory will lead to a dead end and that we must go to the edge of this experience in order to be able to pass on to others. But this stage of its formation definitely marked it, especially as a method of documentation. The literary experience of Huysmans during this decade is symptomatic of a more general state and makes it clear that the novel rests on a moving field.
29

Les Ursidés au naturel et au figuré pendant la Préhistoire

Man-Estier, Elena 09 October 2009 (has links) (PDF)
Rarement figuré dans le bestiaire paléolithique, l'ours n'en est pas moins l'un des animaux les plus proches de l'homme, par son physique, son éthologie et sa stature. Au-delà d'un nécessaire inventaire des représentations d'ours de l'art du Paléolithique supérieur, notre recherche s'inscrit dans l'approche naturaliste des animaux figurés dans l'art préhistorique développée au Muséum national d'Histoire naturelle. Dans ce cadre nous avons étudié et analysé près de deux cent représentations dans l'art pariétal et mobilier provenant de toute l'Europe. Nous les avons aussi mises en comparaison avec des représentations de l'animal issues des arts rupestres de l'Holocène (Asie, Europe du Nord, Amérique du Nord). Ce travail a permis de mettre en lumière de grandes convergences, parfois à travers le temps et l'espace. Elles portent notamment sur les « clés d'identification », que nous avons définies. La massivité, la rondeur du corps de l'animal, la forme de sa tête et de ses oreilles permettent de le déterminer. Nous nous sommes également intéressés au réalisme des représentations ainsi qu'à leur contexte thématique, topographique et archéologique. Plus généralement, nous nous sommes interrogés sur la valeur allégorique susceptible d'être portée par l'image. Nous considérons que certaines représentations d'ours ont pu acquérir une portée symbolique importante mais rien en l'état de notre recherche ne permet d'attester d'un rôle cultuel ou culturel particulier de l'ours dans les cultures du Paléolithique supérieur.
30

Landscape imagery and urban culture in early nineteenth-century Britain /

Hemingway, Andrew. January 1992 (has links)
Texte remanié de: Doctoral Th.--London--University college. / Bibliogr. p. 345-355. Index.

Page generated in 0.0744 seconds