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Heidegger : la vérité de l'oeuvre d'art. comparaison entre deux versions de L'Origine de l'oeuvre d'artFrenette, Christian January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Phénoménologie et oeuvre d'art chez HeideggerGruber, Emmanuelle January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Échos wagnériens : musique et organicité dans Le jeu des perles de verre de Hermann Hess et Docteur Faustus de Thomas MannLamontagne, Véronique January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Analyse de la structure participative de la compréhension chez Gadamer sous la conduite de l'oeuvre d'artMathieu, Olivier January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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L'esthétique relationnelle : une étude de cas : les actions artistiques de Sylvie CottonFullum-Locat, Geneviève January 2007 (has links) (PDF)
Cette recherche propose une enquête sur cinq oeuvres de Sylvie Cotton réalisées à Montréal entre 1998 et 2006. Cette recherche démontre que ces dernières relèvent de la théorie de l'« esthétique relationnelle », une pratique artistique en arts visuels où la rencontre fait office d'oeuvre; théorie formulée en 1998 par le théoricien de l'art Nicolas Bourriaud et rééditée en 2002 dans l'ouvrage Esthétique relationnelle. Cette enquête met de l'avant le thème de la communauté dans trois actions artistiques et, le thème de la relation interpersonnelle, dans deux autres. Elle définit, pour chacune des cinq actions, le « modèle de socialité » en relevant les notions de collaboration et de proximité. Pour ce faire, elle exhibe le caractère social et communicatif de la rencontre entre l'artiste et le participant comme faisant indéniablement partie du tissu de l'oeuvre. Elle relève les attraits tactiles et kinesthésiques de la rencontre. De plus, cette recherche établit un rapprochement entre l'art et la vie comme principe fondamental du processus artistique en démontrant comment s'opère le modelage de l'oeuvre par l'entremise du participant. Cette recherche fut élaborée par une enquête exhaustive recueillant le témoignage de l'artiste, son intention, et celui de 16 participants. Nous les avons interrogés sur la façon dont ceux-ci on perçu leur collaboration et proximité au projet artistique. Ce travail d'enquête demeure la trace conservée de ces actions qui, sans ça, seraient vouées à l'oubli à cause de leur caractère éphémère. En définitive, cette recherche démontre que le caractère participatif de l'oeuvre constitue le lien social par lequel se construit l'oeuvre. Ces expériences artistiques qui véhiculent le « modèle de socialité » émettent une limite envers l'élaboration d'une possible communauté, car celles-ci exigent la collaboration soutenue entre les participants et l'intention de l'artiste. Puisque ces actions laissent beaucoup de place à la spontanéité et à l'imprévu, l'intention initiale de l'artiste devient arbitraire dans le jeu des rencontres. En contrepartie, la relation interpersonnelle agit, elle, comme principe même du lien social car, c'est grâce à ce lien que l'oeuvre prend réellement forme. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Sylvie Cotton, Esthétique relationnelle, Art et public.
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Oeuvres sans demeureDemers, Jonathan January 2008 (has links) (PDF)
Le mémoire que voici est une exploration d'un travail en expansion. L'objectif premier est de poser une réflexion nouvelle sur une pratique de plus en plus courante dans le milieu de l'art actuel, comme en témoigne ma participation au dernier numéro de la revue montréalaise ESSE (60 -dossier canular). Ainsi, à partir de différentes notions mettant en relation ou en opposition la réalité et la fiction, le vrai, le faux, et le moins vrai, j'ai tenté de cerner les différentes possibilités du travail de création que j'ai élaboré dans le cadre de mon mémoire de production en Études des arts. Cette pratique est constituée de trois textes publiés dans des revues d'art montréalaises ainsi que tout ce qui les entoure. Ces textes sont-ils de vrais articles, à propos de véritables artistes, ou sont-ils des constructions de toutes pièces? Jusqu'à quel point sont-ils vrais, moins vrais, ou même carrément faux? J'ai cerné l'aspect théorique de ce travail de deux points de vue presque opposés. Puisque la nature de ces articles diffère selon la réception qu'en fera chaque lecteur (ou spectateur), j'ai dû concevoir cette pratique à partir de son dévoilement, ou de sa transparence. Le premier volet du mémoire concerne une pratique que j'associerai principalement à la mystification telle que Jean-François Jendillou l'explique dans son ouvrage phare (ou pourquoi pas fard!) L'esthétique de la mystification. Je m'attarderai aussi dans ce passage sur d'autres concepts, voisins de la mystification, comme le trompe-l'oeil, le canular et la supposition d'auteur. Le second volet, développé au dernier chapitre, fait état d'une pratique transparente, ou à faible coefficient de visibilité. J'en suis arrivé à la conclusion qu'une telle pratique, que j'ai nommée OEuvres sans demeure, ne peut avoir une seule approche théorique due à sa forme ambiguë. Elle est une forme ouverte, parfois mystificatrice lorsque dévoilée (ou auto-dévoilée), et parfois sans véritable contour, potentiellement immense et infini, tant et aussi longtemps que des lecteurs liront ces textes comme de véritables textes, et que des gens en parleront ainsi. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Mystification, Canular, Trompe-l'œil, Œuvre invisible, Œuvre théorique, Pascal Rhoze, Biennale de Paris.
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Art public et conservation : déplacement et mise en valeur de sculptures comtemporaines d'art publicLangevin, Marie-Claude January 2007 (has links) (PDF)
Dans les débats sur la conservation de l'art public, nous observons qu'une nouvelle conception de l'objet d'art public impose une réflexion sur la patrimonialisation de l'oeuvre publique contemporaine lors de sa mise en valeur. Le sujet de ce mémoire se situe dans la continuité de cette réflexion critique. Il a pour objectif de faire l'analyse sociologique d'une stratégie de mise en valeur des sculptures d'art public contemporaines: leur déplacement de leur premier lieu d'installation vers un autre lieu jugé beaucoup plus propice à leur mise en valeur. Notre analyse de leurs déplacements conjugue l'examen de leur mise en valeur, leur conservation et leur restauration. Ce mémoire se base sur l'étude des cas figures suivants: L 'Homme de Calder, Phare du Cosmos d'Yves Trudeau, un groupe de sept sculptures de la Ville de Longueuil et La Joute de Riopelle, tous délocalisés pour leur conservation. Lors de la mise en valeur par le déplacement des sculptures, nous constatons, en nous référant aux théories du sociologue, Howard Becker, Les mondes de l'art, la formation d'un réseau de plusieurs acteurs de différents secteurs coopérants entre eux grâce à des conventions facilitant l'activité collective. Nous examinons l'impact de la participation active de nouveaux acteurs dans la chaîne de coopération, soit l'artiste, des personnes non spécialistes en conservation et le public. Ceux-ci démontrent par leur intérêt que l'art public fait partie du patrimoine. Nous démontrons que la délocalisation de ces sculptures cause des pertes et des gains. Bien qu'elles perdent leur caractère propre de production (historique, fonctionnel, identitaire), cette délocalisation des sculptures contribue à créer des espaces collectifs plus riches sur le plan visuel dans des nouveaux lieux et permet de restaurer et de mettre en valeur adéquatement les oeuvres. Souvent rejetées ou négligées, ces déplacements permettront à de nouveaux usagers de se les réapproprier. La protection de l'art public nous indique qu'il reflète une partie de l'histoire et qu'il fait partie de notre patrimoine artistique et culturel. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Art public, Sculpture, Conservation, Déplacement, Patrimonialisation.
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Fantômes dans la ville : récits de la survivance et du retour dans les représentations artistiques contemporaines de la villeGrandbois-Bernard, Estelle 02 1900 (has links) (PDF)
De nombreux artistes interrogent aujourd'hui le phénomène de la démolition et de la disparition de bâtiments dans la ville. En éveillant la mémoire du disparu, en évoquant l'esprit des lieux, en provoquant une douce nostalgie ou en critiquant la modernisation effrénée des villes, leurs œuvres composent des récits qui orientent nos expériences du temps et de l'espace. Ce mémoire porte sur les représentations artistiques de la démolition et de la disparition urbaines et sur les récits qu'elles mettent en forme. À partir de l'étude d'un corpus de trois œuvres d'art contemporain, The Writing on the Wall de Shimon Attie, Souvenirs de Berlin-Est de Sophie Calle et Phantom Shanghai de Greg Girard, j'examine la dynamique narrative de ces représentations et interroge les conceptions du temps et de la ville qu'elles reproduisent. Les traces, les fantômes et la nostalgie sont les trois éléments centraux autour desquels s'organise le sens des œuvres. Ces figures de l'absence configurent un temps où le passé ne disparaît jamais tout à fait, mais où il survit dans les lieux du quotidien. Les œuvres mettent ainsi en forme des récits de la survivance et du retour qui reproduisent une pensée moderne du temps, c'est-à-dire une conscience du contemporain et du passage, qui, à travers sa propre critique, provoque son continuel renouvellement. En activant les traces du disparu et en faisant émerger les fantômes de nos mémoires nostalgiques, les artistes participent aussi à rendre les villes contemporaines habitables et à montrer la diversité qui les anime dans le contexte de leur « mégapolisation ». Les œuvres d'art transforment ainsi le regard que nous portons sur nos espaces de vie, en nous apprenant à voir les fantômes dans la ville.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Œuvres d'art contemporain, récits, temps, ville, démolition, disparition, traces, fantômes, nostalgie, modernité, mégapole.
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L'identité des villes tunisiennes et leur médiation par les arts / Tunisian cities' identity and its transmission through artsMsolli, Mohamed Ali 27 June 2014 (has links)
Ces dernières années, la question de l'art dans les espaces publics enregistre une nouvelle actualité dans le domaine de la recherche appliquée. Les relations entre la création actuelle et les publics se déplacent des lieux artistiques vers l'espace public. Les mutations économiques et sociales, dans certains endroits, ont fait perdre aux villes leurs identités architecturales, culturelles ou historiques. L’action de la sauvegarde de l’identité devient nécessaire et elle nécessite l'intervention rapide pour assurer la continuité de l’histoire dans les sites anciens. En outre, l’intervention des professionnels du cadre bâti (aménageur, architecte, artiste, géographe urbain, urbaniste, …) devient indispensable pour rendre à la ville son âme et conserver son empreinte et son identité. C’est une tendance de fond de redonner sens aux espaces publics de la ville mais aussi de garantir une préservation de la mémoire commune à l’aide de sculptures publiques. Autour de cette réflexion, nous avons choisi d’étudier trois villes tunisiennes qui sont comme suit : Tunis, Sousse, et Moknine. L’action de sauvegarde de l’identité varie dans ces villes historiques puisque chaque espace définit sa propre structure urbaine et architecturale. Nous nous intéressons à l’intervention artistique comme étant un outil de communication-médiation qui facilite la transmission de l’histoire. La politique de sauvegarde tunisienne s’intéresse à la réanimation de sites anciens où l’art investit certains monuments pour assurer une réintégration du patrimoine dans le cadre contemporain / In the last few years, the relationship between art and public spaces has become one of the most important issues in the realm of applied research. The connection between contemporary creative works and publics is gradually migrating from artistic spaces to public spaces. Economic and social mutations have caused certain Tunisian cities to loose their cultural or historical identities, and thus, their originality. Consequently, saving these public sculptures in order to preserve the cultural heritage of the city has become a top priority that necessitates a quick intervention. The intervention of professionals (developer, architect, artist, urban geographer, town planner, etc…) is necessitated to bring back to the city its soul and its uniqueness to maintain its identity. It is an urge, as a matter of fact, to render to the city’s public spaces their weight to guarantee the perseverance of the country’s cultural heritage thanks to public sculptures. In the light of this reflexion, we have chosen to consider this subject taking three Tunisian cities as case studies, namely, Tunis –capital of Tunisia, Moknine and Sousse, situated in the region coast of the country. The necessitated policies to save the architectural and, thus, historical identity of historical monuments vary from one city to another since every space has got its inherent urban and architectural structure. We are interested in the artistic intervention as a means of mediation-communication that facilitates the transmission of history. In this regard, the Tunisian agenda is oriented towards the reanimation of historical monuments whereby art is deployed to modernize and update the Tunisian cultural heritage
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A relação entre pensamento, poesia e sagrado na interpretação da obra de arte em HeideggerPernisa, Renata Angelo 26 February 2016 (has links)
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Previous issue date: 2016-02-26 / CAPES - Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior / Esta tese pretende questionar a relação entre o pensamento, a poesia e o sagrado ocorrida a
partir da interpretação heideggeriana da obra de arte como o “colocar em obra da verdade do
ser”. Com o desdobramento desta relação, reportamos-nos à proximidade de uma ambiência
originária, aberta ao sagrado. O caminho para esse horizonte, nós o buscamos através de um
modo de ocorrência do pensamento apropriado como rememoração da origem. No
rememorar, podemos auscultar aquilo que constitui o pensamento. É por meio da
rememoração, que o nosso pensar pensa o pensamento no mesmo caminho em que a poesia
poetiza seu dizer. É no horizonte dessa relação, resguardado por um modo de ser como
abertura, que podemos entrever o sagrado ressoado na origem. / Cette thèse prétende questionner le rapport entre la pensée, la poésie et le sacré qui si produit
à partir de l’interprétation heideggeriene de la oeuvre d'art comme “le mise en oeuvre la vérité
de l’être”. Avec le développement de ce rapport, nous emmenons à proximité dans un horizon
original ouvert au sacré. Le chemin vers cet horizon, nous le cherchons à travers une manière
de l’occurrence de la pensée appropriée comme souvenir de l’origine. Dans la rememoration,
nous pouvons ausculter cela qui constitue la pensée. C’est pour la rememoration que notre
penser pense la pensée au même chemin dont la poesie póetise son dire. C’est dans un horizon
de ce rapport, protégé par une façon d’être comme ouverture, que nous pouvons entrevoir le
sacré résonné dans la origine.
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