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Temporal and spatial structures in film and the novel a comparison between Ozu Yasujirō's Kohayagawa-ke no aki and Michel Butor's L'emploi du temps /

Hedges, Inez, January 1900 (has links)
Thesis--Wisconsin. / Vita. Includes bibliographical references (leaves 238-271).
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A male 'look' versus a female 'look' : a comparison of Kurosawa's and Ozu's films /

Lam, Oi-wah. January 2002 (has links)
Thesis (M.A.)--University of Hong Kong, 2002. / Includes bibliographical references (leaves 55-56).
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A male 'look' versus a female 'look' a comparison of Kurosawa's and Ozu's films /

Lam, Oi-wah. January 2002 (has links)
Thesis (M.A.)--University of Hong Kong, 2002. / Includes bibliographical references (leaves 55-56). Also available in print.
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Os ensaios da Dona Sombra - Shadôsan no zuihitsu / -

Hori, Yukie 13 October 2015 (has links)
Buscando referências e novas relações que ampliassem as possibilidades do pensar e do fazer nas artes visuais, Os ensaios da Dona Sombra (?????? ??? Shadôsan no zuihitsu) lança um olhar vagante para as artes e culturas japonesa e ocidental, conferindo especial atenção às obras e práticas de dois artistas, o diretor de cinema Yasujiro Ozu e o paisagista Mirei Shigemori. Quatro textos delineiam quatro dúvidas: o ensaio, o tempo (cinema), o espaço (jardim) e os encontros (meus trabalhos visuais). / Looking through references and relations that contribute to broaden the possibilities of thinking and creating in Visual Arts, The essays of Lady Shadow (????????? Shadôsan no zuihitsu) casts a wandering eye into Japanese and Western arts and cultures, bestowing a special attention on the works and practices of two artists, the film director Yasujiro Ozu and the landscape designer Mirei Shigemori. Four texts outlining four topics: the essay, time (cinema), space (garden) and the poetic encounters (my artworks).
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Os ensaios da Dona Sombra - Shadôsan no zuihitsu / -

Yukie Hori 13 October 2015 (has links)
Buscando referências e novas relações que ampliassem as possibilidades do pensar e do fazer nas artes visuais, Os ensaios da Dona Sombra (?????? ??? Shadôsan no zuihitsu) lança um olhar vagante para as artes e culturas japonesa e ocidental, conferindo especial atenção às obras e práticas de dois artistas, o diretor de cinema Yasujiro Ozu e o paisagista Mirei Shigemori. Quatro textos delineiam quatro dúvidas: o ensaio, o tempo (cinema), o espaço (jardim) e os encontros (meus trabalhos visuais). / Looking through references and relations that contribute to broaden the possibilities of thinking and creating in Visual Arts, The essays of Lady Shadow (????????? Shadôsan no zuihitsu) casts a wandering eye into Japanese and Western arts and cultures, bestowing a special attention on the works and practices of two artists, the film director Yasujiro Ozu and the landscape designer Mirei Shigemori. Four texts outlining four topics: the essay, time (cinema), space (garden) and the poetic encounters (my artworks).
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La couleur de la vacuité : analyse de l'esthétique zen du style cinématographique de Yasujiro Ozu / The Color of emptiness : analysis of zen aesthetic of Yasujiro Ozu's cinematographic style

Huang, Mu-Ching 13 December 2018 (has links)
Il existe deux approches, culturelle et cinématographique, dans les recherches sur Ozu. En réponse au conflit entre les deux, nous proposons de retourner plus profondément aux idées essentielles du bouddhisme Zen qui affectent la culture et l’esthétique traditionnelles japonaises, pour obtenir un nouveau regard sur la richesse et la profondeur de son cinéma. Le style du « ni s’attacher ni quitter » d’Ozu vient de la pensée bouddhiste « La couleur même est la vacuité. » « Couleur » signifie « phénomène », le bouddhisme affirme que dans l’univers de vacuité, tout phénomène est changeant et temporaire, à savoir impermanent. Dans notre recherche, nous analyserons comment Ozu nous permet d’apercevoir et de comprendre la réalité de l’impermanence de l’univers et de la vie, à travers l’arrangement d’éléments du vide et du plein, et nous inspire à chérir la compagnie des émotions humaines dans la vie impermanente. Nous constaterons que c’est juste l’interpénétration entre le vide et le plein, entre l’absence et la présence, qui fait naître dans le cinéma d’Ozu une tension qui nous touche. Et son cinéma est pour ainsi dire une manifestation de « la couleur de la vacuité ». / There are two approaches, cultural and cinematographic, in the study of Yasujiro Ozu’s films. In response to the conflict between the two, and to view the richness and depth of Ozu’s works from a new perspective, I propose to return to Zen Buddhism ideas, which are deeply rooted in Japanese culture and aethetics. Ozu’s style of “neither attaching nor quitting" comes from the Buddhist idea that "Color is Emptiness”. "Color" means "phenomenon"; Buddhism asserts that in the universe of Emptiness, all phenomena are changeable and temporary, namely, impermanent. In my research, I will analyze how Ozu, by arranging elements of emptiness and fullness, reveals to us that impermanence is the reality of universe and life, and inspires us to cherish our companies in the impermanent life. We will find that it is the interpenetration of emptiness and fullness, of absence and presence, which give rise to the tension in Ozu’s films. And these films are the manifestation of “the Color of Emptiness”.
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L’œil et l’objectif : la psychologie de la perception à l’épreuve du style cinématographique (1945-1965) / The eye and the objective : the psychology of perception tested by filmmaking style (1945-1965)

Zernik, Clélia 20 October 2009 (has links)
En faisant du monde un objet déployé sous le regard du spectateur, le dispositif cinématographique semble mettre le film à la disposition de la science de la perception, qui pourrait alors rendre compte de cet objet spécifique en tous ses éléments, et même le plus inassignable – son style. La psychologie expérimentale peut alors devenir un instrument d’analyse privilégié dans l’étude des films, précisément parce que, comme eux, elle suppose un dispositif dualiste de perception. Il s’agit alors de déterminer dans quelle mesure la psychologie de la perception – notamment la Gestalttheorie – est susceptible d’éclairer le style au cinéma : si elle semble pertinente quand le film revêt l’apparence d’un objet à distance, elle achoppe et trouve ses limites quand elle cherche à analyser un style qui renoue avec notre présence au monde et brouille la distinction de l’objectif et du subjectif. / Films turn the world into an object that visually unfurls in front of the audience. In doing so, the filmmaking device seems to put films at the disposal of the science of perception. This science could very well, then, capture all the elements of this specific object, even the most elusive one: style. Therefore, experimental psychology can be used as a preferred tool for film analysis, as it presupposes, as all films do, that perception is a dualistic device. Our task is then to sort out how exactly the psychology of perception (and more particularly the Gestalttheorie) may throw some light on filmmaking style. On one hand, psychology of perception does clarify style, when it acts like an object: kept at a good distance. But, on the other hand, its limitations become evident when style is more about the way we actually inhabit the world, and when it tends to blur the distinction between subjectivity and objectivity.
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Destruction, puissance et limites du cinéma dans les films d'Ozu Yasujirô

Beth, Suzanne 01 1900 (has links)
Cette thèse de doctorat se rapporte aux films du cinéaste japonais Ozu Yasujirô (1903-1963) suivant l'hypothèse principale que les enjeux de la destruction qui y sont mis en scène, sous la forme de la disparition des liens familiaux et de la mort, ne peuvent être éclairés par la narration, dont le caractère non dramatique est notoire. En figurant la dislocation de la famille, les films d'Ozu rendent plutôt compte de la vulnérabilité du monde à la prise cinématographique : la destructivité du médium s'y énonce comme sa capacité à mobiliser ce qui entre dans son champ et à le transformer en faire-valoir de son aptitude à produire des effets. Cette étude fait ainsi apparaître les images animées, en tant qu'elles relèvent de la logique technique régie par la modernité, comme une forme de désastre, qui atteint la famille comme expérience de la communauté, c'est-à-dire comme rapport constitutif à un hors-de-soi. Mais à cette destructivité fait également face, au sein même de la pratique cinématographique d'Ozu, une autre possibilité du cinéma, qui peut restaurer ces liens menacés. Cette étude du cinéma d'Ozu montre sa profonde affinité avec la pensée du désœuvrement élaborée par Giorgio Agamben, les films du cinéaste et les travaux du philosophe s'éclairant mutuellement. Le concept de désœuvrement permet de reconsidérer les enjeux essentiels des films d'Ozu à un niveau à la fois thématique et formel, immatériel et matériel, articulant ces deux facettes pour en considérer le registre proprement médiatique. Le propos n'est pas essentiellement esthétique ou formaliste, mais s'intéresse avant tout au travail d'Ozu du point de vue des enjeux éthiques du cinéma, qui se formulent en termes de relation à sa puissance. Celle-ci concerne aussi bien l'attention d'Ozu à la vie collective que le soin qu'il porte aux potentialités expressives du cinéma, c'est-à-dire à la manière dont il se rapporte aux limites de son médium. / In this dissertation, the films of Japanese director Ozu Yasujirô (1903-1963) are studied according to the main hypothesis that the destruction they picture – disappearing family bonds, death – cannot be accounted for by plot development, its non-dramatic stance being well-known. As it is depicted in his films, family dissolution in fact testify for the world's vulnerability to cinematographic take: the medium's destructivity is especially expressed as an ability to mobilize what comes into its range and to transform it as a stooge for its own capacity to produce effects. This study then portrays moving images, inasmuch as they conform to the logic of modern technology, as a kind of disaster affecting family as a commununity, as an experience of being out-of-oneself. But Ozu's cinematographic practice shows as well ways to face such a destructivity, and points to another, restaurative potentiality for cinema. This study of Ozu's cinema shows its profound affinity with Giorgio Agamben's conception of inoperativeness, the filmmaker's work and the philosopher's thought throwing light on each other. Through the concept of inoperativeness, the issues at the heart of Ozu's films are considered anew at a level both thematic and formal, immaterial and material, articulating these two aspects in order to tackle their very mediatic register. My approach, then, is not foremost aesthetic or formal but focuses on Ozu's films from the point of view of practice: it deals with ethical issues raised by the cinematographic medium, which express themselves in relation to power (or potentiality). This ethical concern relates to Ozu's attention to collectivity as well as to his care for cinema's expressive potentialities that is to say to the way in which his films face their medium's limits.
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Tidig Ozu / Sen Ozu : En jämförande stilanalys av A Story of Floating Weeds och Floating Weeds

Toresson, Fredrik January 2005 (has links)
<p>Syftet med denna uppsats är att jämföra ett av Ozus tidigare verk stumfilmen A STORY OF FLOATING WEEDS (1934) med ett senare, färg- och ljudfilmen FLOATING WEEDS (1959). Hur skiljer sig dessa åt stilistiskt, vad förenar dem, vad följer t ex av närvaron av färg och ljud i den senare och avsaknaden av desamma i den tidigare filmen.</p><p>Analysen utgår från ett neoformalistiskt perspektiv och i en teoretisk genomgång redogörs för denna inriktnings begreppsapparat. Centrala begrepp häri är t ex främmandegörning, d v s av-naturaliseringen av den vardagliga perceptionen, stil, definierat som innefattande allt i verket, stilgrepp – det enskilda uttrycket isolerat, fabel, sujett, greppets funktion och bakomliggande motiv samt idén om den parametriska formen – verket som strukturerat efter en stilmässig dominant överordnad berättelsen.</p><p>Uppsatsen inkluderar även ett inledande kapitel vari tidigare forskning kring regissören redogörs för. Donald Richie är här en centralgestalt och uppsatsen pekar på den konflikt som kan skönjas mellan Richies traditionella budskapsorienterade perspektiv och neoformalismen.</p><p>Vidare diskuteras regissörens egensinniga stil och uppmärksamhet ägnas aspekter som t ex den lågt placerade kameran, rummet som ordnat kring 360 grader, det estetiskt motiverade rummet, mellan-liggande rum, hypermarkerade objekt, sujikai, rumsliga ankare, grafisk gestaltning och pillow-shots. Även budskapsorienterade tolkningar som återkommer i diskursen kring regissören ges utrymme, som idén om Mono no Aware, förnimmelsen om alltings förgänglighet och Mu, tomhet som närvaro.</p><p>I analysdelen studeras sedan olika sekvenser i båda verken utifrån dessa stilistiska aspekter. Slutsatsen blir att även om nya teknologier såsom färg och ljud ger upphov till nya grepp så ordnas dessa nya grepp i någon mån in i den befintliga logiken – in i dominanten. Den tydligaste skillnaden mellan verken utöver dessa tillkomna stilistiska aspekter finns i sujetten som antar en än mer episodisk struktur i den senare filmen.</p>
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Tidig Ozu / Sen Ozu : En jämförande stilanalys av A Story of Floating Weeds och Floating Weeds

Toresson, Fredrik January 2005 (has links)
Syftet med denna uppsats är att jämföra ett av Ozus tidigare verk stumfilmen A STORY OF FLOATING WEEDS (1934) med ett senare, färg- och ljudfilmen FLOATING WEEDS (1959). Hur skiljer sig dessa åt stilistiskt, vad förenar dem, vad följer t ex av närvaron av färg och ljud i den senare och avsaknaden av desamma i den tidigare filmen. Analysen utgår från ett neoformalistiskt perspektiv och i en teoretisk genomgång redogörs för denna inriktnings begreppsapparat. Centrala begrepp häri är t ex främmandegörning, d v s av-naturaliseringen av den vardagliga perceptionen, stil, definierat som innefattande allt i verket, stilgrepp – det enskilda uttrycket isolerat, fabel, sujett, greppets funktion och bakomliggande motiv samt idén om den parametriska formen – verket som strukturerat efter en stilmässig dominant överordnad berättelsen. Uppsatsen inkluderar även ett inledande kapitel vari tidigare forskning kring regissören redogörs för. Donald Richie är här en centralgestalt och uppsatsen pekar på den konflikt som kan skönjas mellan Richies traditionella budskapsorienterade perspektiv och neoformalismen. Vidare diskuteras regissörens egensinniga stil och uppmärksamhet ägnas aspekter som t ex den lågt placerade kameran, rummet som ordnat kring 360 grader, det estetiskt motiverade rummet, mellan-liggande rum, hypermarkerade objekt, sujikai, rumsliga ankare, grafisk gestaltning och pillow-shots. Även budskapsorienterade tolkningar som återkommer i diskursen kring regissören ges utrymme, som idén om Mono no Aware, förnimmelsen om alltings förgänglighet och Mu, tomhet som närvaro. I analysdelen studeras sedan olika sekvenser i båda verken utifrån dessa stilistiska aspekter. Slutsatsen blir att även om nya teknologier såsom färg och ljud ger upphov till nya grepp så ordnas dessa nya grepp i någon mån in i den befintliga logiken – in i dominanten. Den tydligaste skillnaden mellan verken utöver dessa tillkomna stilistiska aspekter finns i sujetten som antar en än mer episodisk struktur i den senare filmen.

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