• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 385
  • 54
  • 36
  • 11
  • 8
  • 3
  • 1
  • Tagged with
  • 539
  • 333
  • 133
  • 98
  • 87
  • 71
  • 56
  • 50
  • 47
  • 46
  • 45
  • 42
  • 40
  • 38
  • 35
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
61

Heidegger et la déconstruction de la métaphysique / Heidegger's deconstruction of metaphysics

Shimabukuro, Felipe 09 November 2018 (has links)
Le but du présent travail est de proposer une interprétation du concept de déconstruction chez Heidegger. Notre interprétation repose sur trois thèses : 1) La déconstruction est l’un des trois éléments de la méthode phénoménologique de Heidegger avec la réduction et la construction, ces trois éléments étant indissociables les uns des autres. 2) Ces trois éléments nous permettent de comprendre la stratégie la plus générale de constitution de la pensée de Heidegger. 3) La déconstruction de la métaphysique est la version heideggérienne de la critique de la raison. Dans la première partie, la réduction est définie comme une opération de remise en question des présupposés naturalisés de la pensée, le présupposé qui fait l’objet de la réduction de Heidegger étant le concept métaphysique d’être. Dans la deuxième partie, la construction est définie comme une généalogie des présupposés naturalisés de toute l’histoire de la métaphysique. La construction nous permet de dégager deux définitions de la métaphysique chez Heidegger : 1) En tant que compréhension hégémonique et normative des concepts fondamentaux de l’Occident : être, vérité, pensée, langage et homme. 2) En tant qu’onto-théologie. Dans la troisième et dernière partie, la déconstruction est définie comme une double opération. D’une part, l’opération négative de circonscription des limites de la métaphysique, d’autre part, l’opération positive consistant dans la proposition d’une nouvelle manière de penser les concepts fondamentaux de la métaphysique. / The aim of this work is to propose an interpretation of Heidegger’s concept of deconstruction. Our interpretation is based on three thesis: 1) the deconstruction is one of the three elements of Heidegger’s phenomenological method with the reduction and the construction, these three elements being indissociable from each other. 2) These three elements allow us to understand the most general strategy of Heidegger’s thought constitution. 3) The deconstruction of metaphysics is the heideggerian version of the critique of reason. In the first part, the reduction is defined as an operation of questioning the naturalized presuppositions of thought, the metaphysical concept of being is the naturalized presupposition which is the object of Heidegger’s reduction. In the second part, the construction is defined as a genealogy of the naturalized presuppositions of the whole history of metaphysics. The construction allows us to identify two definitions of metaphysics in Heidegger’s thought: 1) as an hegemonic and normative understanding of the basic concepts of the West: being, truth, thought, language and man. 2) As an onto-theology. In the third and last part, the deconstruction is defined as a double operation. On the one hand, the negative operation of circumscription of metaphysics’ limits, on the other hand, the positive operation which consists in the proposition of a new way of thinking the basic concepts of metaphysics.
62

Habiter l'hôtel : un reflet de la précarité dans les agglomérations de Caen, Lisieux et Rouen

Herouard, Florent 02 December 2008 (has links) (PDF)
Si le garni a pratiquement disparu, des personnes continuent, sans autre solution, de résider à l'hôtel qu'il soit meublé, hôtel de tourisme ou de chaînes. Ceux-ci servent de fait et massivement de logements sociaux. Cette mise à disposition pallie la saturation des lieux d'accueil institutionnels nécessaires dans un contexte de précarisation accélérée. Loger à l'hôtel aujourd'hui est plus que jamais signe de grande désaffiliation sociale.
63

Le chamanisme : une traduction socioanthropologique à travers l'art

El Sonbati, Karim Alexandre 14 October 2011 (has links)
Comment traduire le chamanisme en termes socioanthropologiques? Pour répondre à cette question cette étude du chamanisme s'articule autour de trois niveaux d'analyse. Une compréhension des dynamiques, sociohistoriques et ontologiques, ainsi qu'une focalisation sur les facultés de médiation de l'art et de la science, entourant et animant des pratiques chamaniques; offrent un tremplin réflexif engendrant des parallèles entre des collectifs issus des deux hémisphères. Une sociologie phénoménologique, combinée à un empirisme post-positiviste, esquissent des trames théoriques et méthodologiques, s'appuyant sur une réflexivité expériencielle et institutionnelle. Elles se résument en une tentative d'attiser la réflexivité des savoirs. Cette mise en forme de l'agencéité, immanente aux science sociales, veut inviter aux possibilités d'assouplissement de contours conceptuels; induites par le travail intellectuel. L'art, aussi bien visuel que sonore, se trouve employé à la fois comme support empirique, et comme toile heuristique; dévoilant des modes de compréhension transcendant les marges de la physicalité cartésienne. Cette traduction tisse donc une matrice épistémologique, aiguisant des optiques inédites, pour cerner ce qui semblerait se profiler hors des marges de la scientificité communément entendue. Les sphères étudiés affichent des similarités, par moments ontologiques et, par d'autres, d'ordre historiques enrichissantes du point de vue sociologique. Aussi, cette thèse explore, et devient en soi, une tentative d'application d'un potentiel, à la fois structurant et transformateur, qui semble octroyé à certains acteurs sociaux que sont les artistes et les chamanes et les intellectuels.
64

Le chamanisme : une traduction socioanthropologique à travers l'art

El Sonbati, Karim Alexandre 14 October 2011 (has links)
Comment traduire le chamanisme en termes socioanthropologiques? Pour répondre à cette question cette étude du chamanisme s'articule autour de trois niveaux d'analyse. Une compréhension des dynamiques, sociohistoriques et ontologiques, ainsi qu'une focalisation sur les facultés de médiation de l'art et de la science, entourant et animant des pratiques chamaniques; offrent un tremplin réflexif engendrant des parallèles entre des collectifs issus des deux hémisphères. Une sociologie phénoménologique, combinée à un empirisme post-positiviste, esquissent des trames théoriques et méthodologiques, s'appuyant sur une réflexivité expériencielle et institutionnelle. Elles se résument en une tentative d'attiser la réflexivité des savoirs. Cette mise en forme de l'agencéité, immanente aux science sociales, veut inviter aux possibilités d'assouplissement de contours conceptuels; induites par le travail intellectuel. L'art, aussi bien visuel que sonore, se trouve employé à la fois comme support empirique, et comme toile heuristique; dévoilant des modes de compréhension transcendant les marges de la physicalité cartésienne. Cette traduction tisse donc une matrice épistémologique, aiguisant des optiques inédites, pour cerner ce qui semblerait se profiler hors des marges de la scientificité communément entendue. Les sphères étudiés affichent des similarités, par moments ontologiques et, par d'autres, d'ordre historiques enrichissantes du point de vue sociologique. Aussi, cette thèse explore, et devient en soi, une tentative d'application d'un potentiel, à la fois structurant et transformateur, qui semble octroyé à certains acteurs sociaux que sont les artistes et les chamanes et les intellectuels.
65

Méthode phénoménologique dans la philosophie du langage du cercle linguistique de Prague

Barkova, Iryna January 2008 (has links) (PDF)
Le terme « structuralisme phénoménologique » peut caractériser l'oeuvre du Cercle linguistique de Prague. Influencés au tout début par le formalisme et le fonctionnalisme russes et par l'esthétique tchécoslovaque, les Praguois, au moyen d'une transposition des idées, déterminent très tôt leur orientation méthodologique et développent une branche originale du structuralisme qui manifeste de nombreuses affinités avec la phénoménologie. Ce sont justement ces étapes principales dans l'oeuvre du Cercle de Prague et les points de rencontre du structuralisme fonctionnel praguois et de la philosophie phénoménologique qui seront examinés de façon détaillée dans ce travail. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Philosophie du langage, Phénoménologie, Linguistique, Cercle linguistique de Prague, Philosophie tchécoslovaque, Philosophie russe.
66

La philosophie de l'histoire chez Marcel Gauchet : les apports théoriques de la phénoménologie, du structuralisme et de l'herméneutique

Morisset, Charles January 2009 (has links) (PDF)
Le pari que nous avons pris ici, consiste à éclairer la question de la philosophie de l'histoire chez Marcel Gauchet à l'aide d'une analyse des apports de trois sources théoriques qui déterminent l'anthroposociologie transcendantale soit la phénoménologie, le structuralisme et l'herméneutique. Notre hypothèse se situe dans le désir de vérifier la justesse des thèses qui imputent une philosophie de l'histoire déterministe et téléologique à la pensée historique de Marcel Gauchet. Si tel était le cas, l'histoire serait alors réduite à être celle d'un processus structural qui, en dernière analyse, déterminerait de manière absolue les possibles des phénomènes politiques aussi différents que la religion chez les peuples primitifs et la modernité politique. Notre intuition fut que braquer l'analyse sur la question de l'origine abolirait la thèse selon laquelle, au terme d'une succession progressiste de l'histoire, l'hétéronomie mènerait nécessairement à l'autonomie. Ainsi, une analyse de la philosophie de l'histoire chez Gauchet demande de s'interroger sur la condition de possibilité de l'histoire, soit l'ontologie du social historique qui sous tend, chez Gauchet, le devenir historique du politique au sein du monde social-humain. Pour y arriver, nous avons pris une distance par rapport aux interprétations qui étaient faites jusqu'alors de la pensée de Marcel Gauchet. En effet, celles-ci se limitaient principalement à deux types d'analyses, soit son approche politique du fait religieux, soit son interprétation de l'histoire comme avènement progressif des sociétés de l'autonomie. Nous avons plutôt décidé de replacer la pensée gauchetienne au coeur des débats théoriques et épistémologique plus fondamentaux qui touchaient la philosophie et les sciences humaines françaises de la deuxième moitié du XXe siècle. L'oeuvre de Gauchet est donc replacée d'emblée au sein des débats qui touchent la pensée française des années 1960-70 -débats qui avaient pour enjeux principal le statut de l'hégélano-marxisme. Au delà d'une ressaisie détaillée du devenir historique et de sa mécanique, la philosophie de l'histoire est à comprendre chez Gauchet en fonction des apports théoriques et des débats entourant l'influence de la phénoménologie, du structuralisme et de l'herméneutique au sein des sciences humaines. Comprendre ces apports théoriques s'avère nécessaire afin de ressaisir le sens originaire, ontologique et historique que prend le fait social et politique chez Gauchet. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Gauchet, Structuralisme, Phénoménologie, Herméneutique, Origine.
67

Corps communicants en situation de proximité de la mort : le lien et le toucher

Leduc, Christine January 2010 (has links) (PDF)
Ce travail de recherche a pour objet de réfléchir sur la situation des personnes en fin de vie. Il explore les transformations de l'appareil psychique et leurs conséquences sur le comportement humain au moment du trépas et même avant. Ces transformations qui touchent éminemment les modalités sensorielles de communication concernant autant le grand malade que ceux qui l'accompagnent, que ce soit les proches ou les intervenants. Après avoir référé à quelques unes des théories de Michel De M'Uzan, en l'occurrence, celle de l'appétence relationnelle et de la notion du double, nous en sommes venus à penser que le sens du toucher serait fortement concerné dans l'état de bien-être d'une personne au moment du trépas. Ces pistes conceptuelles ont conduit à aller rencontrer des personnes porteuses d'un pronostic de fin de vie. Le récit de vie a été la méthode utilisée; des concepts tirés de la phénoménologie, de la psychanalyse, mais aussi des travaux en socio-anthropologie de la maladie, en anthropologie des sens, ont servi à nous éclairer pour effectuer l'analyse et chercher à donner sens aux deux récits, lesquels ont nécessité chacun plusieurs rencontres. Si le coeur de ce mémoire tient dans ces récits, dans les associations mémorielles et les manières de composer avec leur situation, concernant nos deux collaborateurs, viennent s'ajouter des oeuvres picturales, lesquelles ont été crées en résonance avec ce qui s'était vécu au moment de ces rencontres. Nous renouons ainsi avec cette première signature, celle d'artiste visuelle. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Trépas, Maladie grave, Appétence relationnelle, Double, Appareil psychique, Toucher, Récit de vie, Phénoménologie.
68

La constitution de l'effet de présence dans la conscience : art contemporain et animisme

Mackrous, Paule January 2006 (has links) (PDF)
Ce mémoire représente l'ensemble de mes réflexions portées sur le phénomène de l'« effet de présence » dans des oeuvres d'art contemporaines. Il s'attache d'abord à la présence elle-même. Avec une approche phénoménologique, j'expose la manière dont la présence de l'Autre être humain se construit dans la perception humaine. Dans un deuxième temps, c'est une réflexion sur l'effet lui-même qui est opérée par l'étude de la religion primitive dite animiste. J'expose ici comment la présence dans les choses inertes s'érige dans l'esprit animiste. Cette réflexion me permet de proposer un éclaircissement sur l'effet de présence dans des oeuvres d'art, sur la manière dont celui-ci opère dans notre perception. Finalement, quatre oeuvres contemporaines (Forty-Part Motet, Janet Cardiff, I Want You to Feel the Way I Do, Jana Sterbak, Too Sweet Go Away, Helen Choe et Lodge, Marianne Corless) sont étudiées selon leur effet de présence. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Phénoménologie, Husserl, Altérité, Présence, Primitif, Animisme, Représentation, Installation, Polysensorialité.
69

Chiasme dialogique : le partage du sensible dans L'attente l'oubli de Maurice Blanchot

St-Onge, Alexandre 06 1900 (has links) (PDF)
L'œuvre de Maurice Blanchot, si importante soit-elle pour la pensée littéraire de la seconde moitié du vingtième siècle, demeure l'une des plus difficiles à cerner. Tenter d'extraire quelque chose de substantiel qui permettrait au lecteur de comprendre l'œuvre blanchotienne est une tâche des plus ardues. Comment entendre le sens d'une pensée incarnée par l'écriture qui précisément désire veiller sur le sens absent? Je tente à travers ce mémoire de voir comment la pensée blanchotienne remet radicalement en question l'aspect conceptuel du langage comme outil de communication afin de l'ouvrir à son étrangeté constitutive: ce chiasme inaliénablement matériel qui est le seul espace de communication possible au delà de toute pensée conceptuelle et idéologique. À partir du récit L'attente l'oubli, je tente de voir comment chez Blanchot l'écriture n'est pas seulement le véhicule d'un message quelconque mais se déploie aussi comme de la matière-langage où le sens s'absente. La forme fragmentaire du récit et l'utilisation excessive de la forme paradoxale détournent constamment le sens de ce qui est écrit vers un ailleurs inacessible et ne donnent à entendre au lecteur que la résonance spectrale des voix qui narrent le récit. L'attente l'oubli se développe comme un étrange dialogue de sourds où les narrateurs semblent à la recherche d'un dialogue à venir. En fait, ils lancent, telles des bouteilles jetées à la mer, des appels vers l'autre sans savoir si il y aura un écho. Les deux narrateurs semblent bien être séparés l'un de l'autre par un chiasme. Cette séparation est l'espace de ce que je nomme chiasme dialogique. Cette idée inspirée par la pensée blanchotienne me permet de repenser la relation à l'autre comme une forme de partage du sensible au-delà du conceptuel et de l'idéologique. L'attente l'oubli de Maurice Blanchot n'est donc pour moi qu'un point de départ pour redéfinir la relation à l'altérité comme une passion de l'étrangeté matériellement situable : nulle part ailleurs qu'ici. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Maurice Blanchot, Altérité, Étrangeté, Éthique, Littérature, Phénoménologie.
70

Passages : carnets de la montagne ; suivi de, Les pieds sur terre

Desrochers-Hogue, Marie-Ève 12 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire comporte deux parties : Passages, Carnets de la montagne et Les pieds sur terre, toutes deux nées d'un voyage dans les Alpes, le long du chemin de grande randonnée n°10, qui relie Nice au mont Blanc, et nourries par un stage de recherche à l'Université Stendhal Grenoble 3. Pour explorer la relation qui se nouerait entre la géographie montagneuse et moi, j'ai pris des notes au fil des jours, que j'ai ensuite réécrites en tentant de rester fidèle à mon expérience et à l'espace singulier qui les avait suscitées. Cette démarche a donné lieu à des carnets (en prose) où la narration est au présent et à la première personne du singulier. Les thèmes abordés y sont, entre autres, la marche, le corps, le paysage et le campement. Séparés en trois temps, Matin, Midi et Soir, ces Passages témoignent, à la manière d'un récit initiatique, de l'apprivoisement difficile de la montagne, du dépassement de soi à travers sa fréquentation, puis d'un échec qui ouvre sur un élargissement de la conscience. Le choix du fragment, résultant d'abord des impératifs de la randonnée, a été maintenu de manière à rendre compte de la perception (toujours parcellaire) de notre environnement. De plus, les ellipses, en conférant au récit un caractère discontinu, permettent de mettre l'accent sur l'instant plutôt que la durée; autrement dit, sur l'espace plutôt que le temps. D'autre part, ce texte se présente comme une description. La fonction dénotative du langage l'emporte sur la connotation. Comme c'est le cas dans le haïku, on ne lit nul commentaire ou interprétation, leur préférant une syntaxe et un vocabulaire simples, qui vont au plus près des choses. L'ensemble de ces préférences formelles pointe, en définitive, le caractère indicible du réel et les limites du langage, tout en faisant la part belle au silence de la montagne. Le second volet est lui aussi composé de fragments, titrés et traitant chacun d'un problème spécifique, mais tous reliées à la question générale du rapport à l'espace. Dans un premier temps, je fais un retour sur mes carnets, c'est-à-dire sur les rares comparaisons utilisées pour dépeindre la montagne (qui appartiennent aux vocabulaires de la mer, de la peinture, du théâtre et des monstres) ainsi que sur mes principaux choix formels : le fragment et la description. Sur le plan de ma démarche, j'aborde les problèmes de l'habitation, de la mémoire et de la marche. Dans un second temps, j'accède à une pensée plus théorique. Je définis brièvement l'espace moderne (rationnel et scientifique) et relate l'histoire de la pensée occidentale qui a mené à cette définition, avant de traiter du romantisme comme tentative de réconciliation avec la nature. Je critique par la suite le paysage de l'histoire de l'art, en mettant notamment en relief son parti pris idéaliste et subjectiviste. Prenant mes distances par rapport à ces différents discours, je me rapproche d'une pratique du paysage ou de l'espace qui s'accorde avec ma démarche, et me propose de renouer avec la matière dans une perspective éthique. Dans un troisième temps, je m'adonne à une réflexion plus personnelle liant la théorie à ma pratique - sur les aspects suivants : l'écriture et l'engagement, les répercussions des contraintes formelles et psychologiques sur l'écriture, la représentation en tant que répétition créatrice de réel, et, enfin, la subjectivité inhérente au travail de création. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Écriture, espace, fragment, marche, paysage, phénoménologie

Page generated in 0.0406 seconds