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Klassen-Bilder : sozialdokumentarische Fotografie 1900-1945 /Stumberger, Rudolf, January 1900 (has links)
Habilitationsschrift--Soziologie--Gesellschaftswissenschaftliches Institut der Universität Frankfurt am Main, 2005. / Bibliogr. p. 280-288.
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La collecte des vues : explorateurs et photographes en mission dans l'Ouest américain : 1839-1879 /Brunet, François, January 1993 (has links)
Th. Etat--Histoire et civilisations--Paris--Ec. des hautes etudes en sciences sociales, 1993.
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Visuele strategieën : foto's en films van fabrieksarbeidsters in Nederland (1890-1919) /Altena, Marga, January 2003 (has links)
Texte remanié de: Proefschrift--Nijmegen--Katholieke universiteit, 2003. / Bibliogr. p. 307-312. Résumé en anglais.
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L'iconographie touristique comme propagande géopolitique en temps de paix : un exemple, le Touring club de France, une publication, Sites et monuments /Martel, Xavier, January 1998 (has links)
DEA--Histoire de l'art--Paris 1, 1998. / Bibliogr. p. 63-72.
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La valeur référentielle des oeuvres photographiques d'Andreas Gursky : la mise à distance du réel et la représentation intelligible du mondeValcourt, François 01 1900 (has links) (PDF)
En Allemagne, la Kunstakademie de Düsseldorf est le lieu où la photographie documentaire est légitimée comme pratique artistique durant les années 1980. Dans la classe de Bernd et Hilla Becher, des étudiants tels Thomas Struth, Thomas Ruff et Andreas Gursky y apprennent les principes fondateurs de la Nouvelle Objectivité. Ce mémoire portera plus particulièrement sur le travail d'Andreas Gursky. Nous expliquerons de quelles façons l'artiste détourne les stratégies figuratives et procédurales associées à la photographie documentaire afin de construire une représentation structurée et détaillée du monde. L'étude de son travail nous conduira ainsi à réfuter la notion d'objectivité pour analyser l'image photographique à partir de son intelligibilité, de sa lisibilité et de son autonomie formelle. Dans les œuvres d'Andreas Gursky, les problèmes associés à l'émergence de la mondialisation y sont évoqués de façon générique. L'organisation spatiale des espaces photographiés se traduit par des arrangements compositionnels rigoureusement structurés. La précision focale attribuée à chaque motif permet enfin de scruter les sujets représentés dans les moindres détails. Nous exposerons les principales stratégies employées par l'artiste qui favorisent ces différents modes de lecture. L'emprunt de registres thématiques traités par les médias de masse, l'attention portée à l'autonomie plastique de ses œuvres comme la recomposition numérique de celles-ci seront étudiés. Notre discussion consistera ainsi à comprendre la valeur référentielle des photographies d'Andreas Gursky en dehors d'un rapport dichotomique entre les notions d'objectivité et de subjectivité. Considérant que les enjeux sociaux culturels ne peuvent être représentés directement, nous démontrerons que sa démarche esthétique et conceptuelle nécessite un travail de construction.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Andreas Gursky, photographie allemande, Kunstakademie de Düsseldorf, objectivité, esthétique documentaire.
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La photographie africaine contemporaine : vers une photographie panafricaine / Contemporary African Photography, Toward a Panafrican PhotographyGodeau, Vincent 24 June 2010 (has links)
La photographie africaine contemporaine est ici celle que pratique les Africains vivant en Afrique. Durant notre période (1989-2009), le constat de l’absence de spécificité de la photographie africaine fait place au constat du regard photographique erroné que porte les Occidentaux sur l’Afrique. « Quelle est la vraie photographie africaine ? » est une des questions les plus souvent posées. En parallèle, le genre du portrait s’impose, en lutte contre un afropessimisme ambiant, tandis que les photographies documentaire et du réel montrent l’Afrique vécue par les Africains. Plus militante, la photographie citoyenne se développe et s’accompagne d’une hégémonie discursive. Mais la vraie photographie engagée est donnée par des pays anglophones qui contribuent à la marche collective vers la reconnaissance. Dans ce processus de reconnaissance, la France et les Etats-Unis jouent un rôle essentiel. L’intérêt porté par ces deux pays du Nord à la photographie africaine s’explique par l’existence d’une diaspora de photographes africains dont les travaux alimentent nombre de manifestations, palliant ainsi un déficit relatif en photographes locaux pratiquant une « photo d’art ». Dans ce contexte fragile, la pépinière de photographes sud-africains évoluant dans une économie de marché à l’occidentale prend à contre-pied les pays d’Afrique francophone où les fonctionnaires français répartissent des aides d’origine étatique et européenne. Cette Afrique du Sud, avec d’autres pays anglophones et le Mozambique, est le véritable porte-étendard d’une photographie africaine en gestation. / Contemporary African photography is here photography practiced by Africans living in Africa. In our period (1989-2009), the acknowledgement of the absence of specificity of African photography takes the place of the photographic gaze brought by Westerners to Africa: “What is the real african photography?” is a question that characterizes this photography. In parallel, the portrait genre imposes itself, searching to end up outside of the consciences of an ambient afropsessimism, while documentary photographs show the Africa lived by Africans. Even more militant, citizen photography develops and is accompanied by a discursive hegemony. But the true photography engaged has been given by some of the Anglophone countries that therefore contribute to the collective march to recognition, France and the United States playing an essential role, since 1990, in this process. The interest in those two northern countries may also be explained by a diaspora of African photographers whose work feeds a number of manifestations that highlight a relative deficit of local photographers that practice “art photography”. In this fragile context, the nursery of South African photographers evolving in an economic market similar to that of the occident takes a counter-point to French speaking countries where French civil servants distribute state assistance of European origin. It is this South Africa, alongside other English speaking countries and Mozambique, that demonstrates the path of a clearly gestating African photography.
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La photographie documentaire comme aide-mémoire de l'identité féminine américaine (1920-1960)Hamel, Anne-Marie 06 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire porte sur la photographie documentaire comme aide-mémoire de l'identité féminine américaine dans les décennies 1920-1960. L'objectif est de démontrer la manière dont le photographe «crée» une image inédite du sujet représenté, malgré et en deçà de la fonction première et avouée du dispositif. L'hypothèse est donc la suivante: la capture photographique modélise ce qu'elle vise à documenter. Le corpus est composé de neuf photographies, toutes représentant des groupes de femmes dans trois types de circonstances: le travail, l'événement politique, le loisir, chaque bloc regroupant trois documents. L'étude est partagée en deux grandes parties: la première présente les assises méthodologiques et théoriques majeures, la seconde réunit les analyses de cas. La première partie est aussi divisée en deux chapitres: Les fondements sémiologiques; Les fondements sociopsychologiques. La seconde partie est partagée en trois chapitres: Représentation de la femme au travail; Représentation de la femme lors d'événements politiques; Représentation de la femme dans ses loisirs. À chaque bloc, trois photographies font l'objet de l'analyse, chacune provenant d'une décennie différente. Ainsi, à l'intérieur de chaque chapitre, la présentation des analyses par ordre chronologique vise à faciliter la mise en valeur des retournements socioculturels ponctuels. Pour des raisons de cohérence relatives à l'identité féminine aux États-Unis au cours des cinq décennies couvertes par le mémoire, une attention particulière est accordée aux codes vestimentaires des femmes représentées, ainsi qu'à leur posture et à leur attitude. Le choix de photographies documentaires plutôt que de photographies de mode n'est pas fortuit, et il a pour but d'élargir la réflexion sur le fond social qui a prévalu au moment de la prise photographique. Une étude approfondie du contexte socioculturel de chaque représentation permet d'autant mieux de faire valoir la façon dont la photographie présente une image singulière de l'événement représenté.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Photographie documentaire, États-Unis 1920-1960, Iconographie, Vêtement, Identité féminine.
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La photographie documentaire à l'épreuve du modernisme au "Museum of Modern Art" de New York (1937-1970) / Documentary photography faced with the challrnge of modernism at the New York Museum of Modern Art (1937-1970)Barrere, Laetitia 21 June 2013 (has links)
Cette thèse est consacrée aux questions de réception et d'institutionnalisation de la photographie documentaire et de la photographie de reportage à partir de 1937 jusqu'aux années 1970 au Museum of Modem Art (MoMA) de New York. Le premier chapitre revient sur la genèse et les enjeux de l'instauration de la straight photography comme canon d’une tradition esthétisante du médium et éclaire l’influence de la critique formaliste dans l'émergence d'un modernisme documentaire, exemplifié par la production de Walker Evans. De nombreux photographes dont les pratiques ne correspondaient pas aux idéaux de perfection technique de la straight photography ont de exclus des circuits de légitimation institutionnelle, en particulier les membres de la Photo League de New York. La photographie documentaire urbaine, développée en dehors de la doxa moderniste, fait l'objet du deuxième chapitre de cette étude. A. cet égard, une attention particulière est consacrée à l'œuvre critique d'Elizabeth McCausland, principale porte-parole de la fonction sociale de la photographie. Le troisième chapitre se concentre sur la période de l’après-guerre. Dans ce nouveau contexte, les Américains sont à la recherche de nouveaux canons artistiques, qu'ils trouvent dans la photographie de reportage française, dont Henri Cartier-Bresson représente le chef de file. Ce chapitre dévoile les intérêts diplomatiques du modernisme dans les échanges transatlantiques avec la France, ainsi que ses intérêts économique à travers l'exemple d'André Kertész dont l'exposition au MoMA suscite l'envol de sa cote sur le marché naissant de la photographie dans les années 1970. / This thesis is dedicated to questions of reception and institutionalization of documentary photography and reportage photography from 1937 through to the 1970s at the New York Museum of Modern Art (MoMA). The first chapter looks at the development and objectives of the advent of straight photography as a canon or an aestheticizing tradition of the medium, and sheds light on the influence of formalist criticism in the emergence of a form of documentary modernism, exemplified by the works of Walker Evans. Many photographers whose practices do not correspond to the ideals of technical perfection of straight photography were excluded from the circuits of institutional legitimization, particularly the members of the New York Photo League, Urban documentary photography, developed outside of the modernist doxa will be the subject of the second chapter of this study. In this respect, particular attention is paid to the critical work of Elizabeth McCausland, a major spokesperson for the social function of photography. The third chapter focuses on the post-war period. ln this new context. The Americans were looking for new artistic canons, which they found in French reportage photography, with Henri Cartier-Bresson leading the fray. Finally, this chapter reveals the diplomatic interests of modernism in Transatlantic exchanges with France, as well as its economic interests, taking André Kertész, as an example, whose exhibition at MoMA caused his works to suddenly rise in value on the inchoate photography market of the 1970s.
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Le savant et le profane : documenter l'impressionnisme en France, 1900-1939 / Between Scholar and Layman : documenting Impressionism in France, 1900-1939Viraben, Hadrien 20 November 2018 (has links)
En 1946, la parution à New York de l’Histoire de l’impressionnisme de John Rewald consacra l’aura d’une historiographie scientifique du mouvement, cautionnée par un investissement documentaire. Cette qualité l’opposait à un monde profane, dominé par une tradition orale et en particulier la réputation de certains témoignages. Un examen attentif ne saurait pourtant donner raison au postulat d’une nature exclusivement savante du document. Une documentation impressionniste se constitua en effet, dès le début du XXe siècle, par l’intermédiaire de producteurs hétéroclites, artistes, témoins, héritiers, critiques, journalistes, aussi bien qu’historiens professionnels, conservateurs et universitaires. Elle peut ainsi être envisagée autant comme le fruit d’une quête de la vérité factuelle que comme l’appropriation d’un objet d’étude populaire, à travers ses empreintes écrites et visuelles. L’appareillage des lectures de l’impressionnisme réunit de la sorte : les autographes ; les memorabilia, meubles ou immeubles chargés du souvenir des peintres ; les technologies photographique et cinématographique. Ces documents participaient en outre d’une culture visuelle plus vaste, incluant les monuments et les plaques commémoratives dans l’espace public, ou encore les motifs transformés par l’acte pictural en points de vue remarquables. L’étude historique et critique de l’écriture de l’histoire impressionniste comme (dé)monstration documentaire permet de revenir sur les circonstances sociales et visuelles de sa mise en œuvre, sur les enjeux de carrière auxquels elle participa, et sur les missions qui lui furent assignées au sein de différents discours sur l’art, savants et profanes. / In 1946 the publication of John Rewald’s History of Impressionism in New York consecrated the aura of the movement’s scientific historiography, supported by documentary investment. This quality confronted laymen’s narratives, which oral tradition and some witness’s accounts’ reputations dominated. Yet, a close consideration could not agree with the assumption of an exclusive scholarly nature of the document. Since the beginning of the 20th century, varied producers, such as artists, witnesses, heirs, critics, journalists, as well as professional historians, museum curators and academics formed an impressionist documentation. It thus can be interpreted as a quest for factual truth, as much as an appropriation of a research object through its written and visual marks. The equipment of impressionist readings hence gathered are: autographs; memorabilia, movable and physical assets as souvenirs of artists; photographic and cinematographic technologies. Moreover, these documents fit into a broader visual culture which included monuments and commemorative plaques of the public sphere, or motives transformed by pictorial acts into remarkable viewpoints. A historical and critical study of such a writing of history as documentary (de)monstration allows here to look back to its execution’s social and visual contexts, the career issues in which it participated, the goals that had been assigned to it within both scholars’ and laymen’s art discourses.
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Représentation de la France périphérique : photographie participative dans le bassin minier du NordGeib, Carla 12 1900 (has links)
Comment un photographe peut-il documenter le quotidien des habitants d’un milieu dont il ignore les codes et les habitudes ? Comment doit-il procéder afin d’échapper aux stéréotypes qui figent leur image aux yeux du monde ? Ce mémoire mène une réflexion sur les pratiques que les photographes documentaires pourraient adopter afin de s’éloigner des codes de représentation dictés par la culture dominante et ce faisant tendre vers une approche du vécu plus directe. Le cas d’étude choisi est la population du bassin minier du nord de la France, plus précisément des environs de la ville de Valenciennes. L’objectif est de mettre en avant le quotidien et les spécificités culturelles de l’une des régions caractérisés de la France périphérique.
La méthodologie choisie combine deux techniques, celle du photovoice et celle de l’entretien basé sur la photo-élicitation. Les données sont collectées directement auprès des quatre participants à l’étude. Le présent document mobilise des théoriciens des études critiques afin d’aborder notamment les notions d’idéologie et de représentation. Une collecte de données au plus proche des habitants permet de mieux les connaître et d’en savoir davantage sur leur sentiment d’appartenance à leur région et à leur culture, leur rapport à l’image, aux médias et leur représentation aux yeux du monde.
Ce travail permet notamment de réaliser que dans le bassin minier du nord, les habitants n’ont pas comme réflexe de se mettre en avant en tant qu’individus et voient plutôt la photographie comme un moyen de mettre en avant leurs occupations du quotidien. Cette recherche permet également de faire état de l’omniprésence de stéréotypes sur la région, point particulièrement développé dans la section discussion.
Le recul acquis suite à ce travail sur le terrain couplé à la mobilisation de connaissances théoriques offre une réflexion proposant de nouvelles manières d’appréhender un sujet et d’utiliser le médium photographique. / How can a photographer document people’s daily life in a region with specific codes and habits ? How should he proceed if he wants to escape the stereotypes freezing their image in the eyes of society ? This thesis is focused on the practices that documentary photographers can adopt in order to distance themselves from the codes of representation imposed by the dominant culture. The case study chosen is the population of the mining towns located in north of France, more precisely those nearby of the city of Valenciennes. The purpose is to highlight the daily life and the cultural specificities of one of the characteristic regions of peripheral France.
The chosen methodology combines two techniques, the photovoice and the photo-elicitation interview. The data is collected directly from the four participants in the study. This paper mobilizes critical studies theorists to address notions like ideology and representation. A data collection close to people allows us to know them better and to learn more about their sens of belonging to their region and their culture, their relationship with the image, the media and their representation in the eyes of the world.
In particular, this work allows us to realize that the inhabitants of the mining towns in the north of France do not automatically put themselves forward as individuals and rather see photography as a means of highlighting their daily occupations. This research also points out the omnipresence of stereotypes about the region. This find out is particularly developed in the ‘‘discussion’’ section.
The hindsight enabled from this fieldwork combined with the mobilization of theoretical knowledge offers proposition of new ways to approach a subject and use the photographic medium.
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