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L'inversion temporelle du cinéma / Backwards time in cinema

Odin, Paul-Emmanuel 07 December 2011 (has links)
Jean Epstein place l’inversion temporelle au cœur de la révolution cinématographique. Le cinéma est la seule expérience qui nous donne non seulement le temps mais aussi l’inversion temporelle comme une perception. Il s’agit de reprendre et de continuer la pensée de Epstein par une redéfinition du temps propre au cinéma à partir de la notion d’inversion temporelle conçue de la façon la plus transversale : de l’inversion pelliculaire à la rétrotemporalité narrative, au temps de la pensée. On convoque la relecture de grands textes classiques, l’analyse de films et de vidéos expérimentales, la musique, des exemples littéraires.Les points d’ancrage théoriques sont le mythe rétrotemporel du Politique de Platon, la conception du temps irréversible de Vladimir Jankélévitch, les écrits théorico-poétiques de Jean-Louis Schefer, la notion d’Aiôn chez Gilles Deleuze, la psychanalyse issue de Jacques Lacan.On aborde d’abord le cinéma comme un contre-temps inséparable de renversements philosophiques, esthétiques, moraux, politiques. En partant de Platon, on explore ensuite les différentes formes de retours dans le passé, de la rétrotemporalité narrative aux voyages dans le temps. Puis on approche les images sans causes, avec les aberrations burlesques ou oniriques, l’unité des temps contraires, l’inversion temporelle qui se spatialise. Enfin, l’inversion temporelle du cinéma non seulement nous montre que penser c’est régresser dans le temps, mais concerne le dur mystère d’une pensée à rebours. La réversibilité de l’acte intellectuel est le seuil ultime où apparaissent les idées, sans envers et sans endroit. / Jean Epstein places backwards time in the heart of the revolution of film. The cinema is the only experience that delivers time as a perception to us, and backwards time too. The purpose is to follow and continue Epstein’s thought ; we elaborate a redefinition of the proper time of cinema intimately linked to the concept of backwards time in its various meanings : i.e. from the film backwards time to the narrative retrotemporality towards the thought time. We help us with famous classical texts, films and experimental video analysis, music, litterary examples. The theorical anchorage points are : the backwards time myth in Plato’s Politic, Vladimir Jankélévitch’s conception of irreversible time, Jean-Louis Schefer’s theorical-poetical works, GillesDeleuze Aiôn’s notion, and Jacques Lacan’s psychoanalytical studies. We first consider the cinema as a counter-time that can not be detached from philosophical, aesthetical, moral, and political reversal. Examining Plato’s theory we then explore the different forms of retrieving the Past, from the narrative retrotemporality to the time travels. Then we analyse the without causes pictures with the comical, onirical aberrations, the contrary times unity, the temporal inversion which spatialises. At last, the cinema’s backwards time not only shows us that thinking is regressing in time, but concerns the hard mystery of an inverse thought. The reversibility of the intellectual act is the ultimate threshold where the ideas appear, without a wrong or a right side.
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Alcidamas d'Élée discours et fragments : avec introduction, texte, traduction, notes et commentaire des fragments et témoignages d’Alcidamas d'Élée, suivi d'une étude sur la constitution d'un vocabulaire psychologique chez Alcidamas / Alcidamas of Elea discourses and fragments : with introduction, text, translation, notes and commentary of the fragments and testimonials of Alcidamas, followed by a study about the constitution of a psychological vocabulary in Alcidamas’ work.

Tramonte, Julie 17 December 2015 (has links)
L'objectif de ce travail est de donner accès aux discours, fragments et témoignages d'Alcidamas d'Élée (IVè s. avant J.-C.), orateur originaire d’Asie mineure, disciple de Gorgias et grand rival d'Isocrate. Cet auteur est une figure méconnue car marginale de l'histoire de la philosophie: l'établissement de ses textes sur de nouveaux frais puis leur analyse fournissent des éléments qui mettent en évidence des éléments conceptuels récurrents dans sa pensée et qui nous permettent, donc, de dessiner les contours d’une cohérence dans la réflexion du penseur. Ce travail comprend une première partie introductive et méthodologique où sont abordés les problèmes posés par la nature du corpus fragmentaire et la nature de la citation, l'état de la recherche et les raisons qui rendent nécessaire la retraduction de l'oeuvre alcidamantéenne. La deuxième partie est la traduction proprement dite: les discours, fragments et témoignages sont édités avec un apparat actualisé, une notice introductive, une traduction ainsi que de nombreuses notes complémentaires. Une étude lexicale synthétique du vocabulaire psychologique est proposée en troisième partie et vise à démontrer l'existence chez Alcidamas de la constitution d'un vocabulaire psychologique philosophiquement dense. Cette étude permettra de montrer en quoi le vocabulaire de la psychologie permet de se forger une idée de la cohérence des apports et de la pensée novatrice d’Alcidamas. / The main purpose of this work is to give access to the discourses, fragments and testimonials of Alcidamas of Elea (4th century BC), a rhetor born in Asia Minor, Gorgias' disciple and Isocrates’ great rival. This author is a relatively unknown figure of the history of philosophy.This work includes a first part introductive and methodological where are treated the problems posed by the very nature of the fragmentary corpus and of the quotation in Ancient Greece, the state of investigation and the motives why it is necessary to retranslate Alcidamas’ works. The second part is the translation itself: the discourses, fragments and testimonials are edited with an updated critical apparatus, an introduction, a translation and numerous complementary notes. A synthetic lexical study of the psychological vocabulary makes up the third part and aims to prove the existence in Alcidamas’ works of a philosophically consistent psychological vocabulary. This study will allow us to show the reason why a psychological vocabulary puts the emphasis on the coherence and innovative view of Alcidamas.
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Les racines grecques de la philosophie : theôria et praxis dans le platonisme de Hans-Georg Gadamer et Leo Strauss

Pageau St-Hilaire, Antoine January 2017 (has links)
Bien qu’ils soient généralement opposés sur la question de l’herméneutique et de l’historicisme, Hans-Georg Gadamer (1900-2002) et Leo Strauss (1899-1973) sont deux des plus grands représentants du retour contemporain à la pensée grecque, et plus particulièrement à Platon. Cette thèse cherche à éclairer le débat entre Gadamer et Strauss en insistant sur cet élément central de leurs philosophies respectives. En dépit de multiples accords interprétatifs sur les Dialogues, nous soutenons qu’un désaccord est également perceptible à même leurs lectures de Platon, à savoir qu’ils ne s’entendent pas sur la relation de la dimension théorétique et la dimension pratique de l’existence humaine dans la philosophie platonicienne. Nous cherchons d’abord à introduire les problématiques platoniciennes en analysant les réceptions gadamérienne et straussienne de l’interprétation d’Aristote proposée par Martin Heidegger dans les années 1920, laquelle influença de manière déterminante leur approche de Platon. Nous comparons ensuite leurs compréhensions de l’articulation entre theôria et praxis dans la philosophie platonicienne à l’égard de trois questions : 1) la signification pratique de la forme dialoguée ou dialogique de la philosophie ; 2) le rapport entre philosophie et poésie ; 3) le rapport entre politique et philosophie, a fortiori la philosophie comme recherche des Idées. En éclairant ainsi des points de convergence et de divergence entre Gadamer et Strauss en amont de la question de l’herméneutique et de l’historicisme, nous proposons un portrait plus complet et nuancé d’un dialogue qu’on tend trop souvent à réduire à une stricte opposition.
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Visionary Philosophy

Jörnvi, Malin January 2020 (has links)
In this thesis I look at possible implications of the philosophical use of sight metaphors as rendered visible in the philosophy of Iris Murdoch. Through Murdoch’s reading of Plato, and together with the perspectives added by Ludwig Wittgenstein, Paul de Man, Carolyn Korsmeyer, and Mats Persson, I argue that some contemporary philosophy as shaped by science and logic might be partially blind to essential aspects of human life and human awareness. I show that this partial blindness becomes visible in an inability to acknowledge and understand the philosophical importance of that which cannot be seen from a distance, and I argue that this may be due to a modern understanding of clarity. I claim that this understanding of clarity essentially differs from that of Plato and that it becomes particularly evident in Plato’s reliance on metaphors and allegories, not as unclear and obfuscating aspects to be untangled, but as depicting essential dimensions of the inexhaustible complexity of life. I finally argue that it is vital to recover and to philosophically consider these obscurer aspects if philosophy is to stay relevant to actual human beings living in the muddle that is everyday life.
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Lösningen på pathos mysterier? : En esoteristisk tolkning av Aristoteles

Langetz, Jonas January 2021 (has links)
No description available.
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The question of being

Haines, David 24 April 2018 (has links)
La difficulté éprouvée lorsqu'on considère la question de l'être est décrite par Étienne Gilson de la manière suivante : Dans « un domaine où la démonstration dialectique perd ses droits, chacun ne peut que regarder, dire ce qu'il voit et inviter les autres à tourner comme lui le regard vers la vérité. » En fait, Gilson dit, dans le même article : « De deux métaphysiciens également compétents et jouissant d'une égale habileté dans le maniement des arguments dialectiques, il se peut qu'aucun ne réussisse jamais à convaincre l'autre, parce qu'ils ne voient pas les mêmes choses. » Cela semblerait être le sort du vrai philosophe, qui est, comme il est décrit dans le Sophiste, difficile à voir, « car cette région est si brillante, et les yeux de l'âme de la plupart des gens ne peuvent pas supporter de regarder ce qui est divin. » Si le philosophe, la personne qui interroge l'Être, est difficile à voir, à cause de ce qu'il poursuit, alors ce qu'il poursuit doit être encore plus difficile à saisir. Comme Josef Pieper le dit, « La personne philosophante se trouve dans une telle situation ; ceci est, en effet, exactement ce que la distingue, c'est-à-dire, qu'elle est obligée de parler de quelque chose qui soit indéniablement rencontré, mais qui ne peut être exprimé avec des mots précis. » Cette thèse est divisée en deux grandes sections. La première pourrait être décrite comme une section interprétative. Nous essayons ici de mettre en place, aussi précisément que possible, les différentes tentatives de répondre à la question de l'être proposées par Platon, Aristote et Martin Heidegger. Nous cherchons, dans un sens, à tracer les chemins qu'ils ont pris dans leur quête vers le sommet du mont Être. Chacune de ces subdivisions contiennent nos propres contributions à ce que nous proposons comme la bonne approche interprétative de ces trois philosophes. Ces appoints prennent en compte une interprétation préliminaire de ces auteurs, suivies d'une tentative de naviguer dans un véritable marécage de textes interprétatifs qui prétendent nous dire, une fois pour toutes, comment bien comprendre les revendications ontologiques de Platon, d'Aristote et de Martin Heidegger. Nos contributions à la pensée philosophique entourant ces penseurs particuliers ne constituent pas, cependant, l'objectif principal de cette thèse. Au contraire, ils serviront à nous aider dans notre tentative d'atteindre, nous-mêmes le sommet du la montagne de l'Être. Après avoir jalonné ces parcours, nous devrions être en mesure de mieux planifier notre propre approche à la question de l'Être. La première section sous-tendra ainsi la deuxième afin d'aborder, à nouveau, la question de l'Être. Cette deuxième section doit être considérée comme une section philosophique-la poursuite active de la sagesse. Dans cette deuxième partie, nous proposons d'aborder la question de l'Être, tout d'abord par la comparaison, l'analyse et la critique des trois penseurs que nous avons examinés dans la première section ; nous proposerons ensuite nos propres tentatives de répondre à la question de l'Être. Nous allons conclure avec quelques brèves réflexions sur la façon dont nos découvertes concernant l'Être pourraient affecter d'autres domaines de la connaissance. / The difficulty of approaching the question of Being is described, by Étienne Gilson as follows, "in a domain where dialectical demonstration loses its rights, one can do no more than look, say what he sees, and invite others to turn, like himself, their eyes towards the truth." In fact, says Gilson, earlier in this same article, "Take two metaphysicians who are equally competent and in possession of equal ability in the handling of dialectical arguments, it is possible that neither of them will ever succeed in convincing the other, because they do not see the same things." This seems to be the fate of the true philosopher, as he is described in the Sophist, who is hard to see "because that area is so bright and the eyes of most people's souls cannot bear to look at that which is divine." If the philosopher, the person who questions Being, is difficult to see, because of that which he is pursuing, then that which he is pursuing must be even more difficult to grasp. As Josef Pieper puts it, "The philosophizing person finds himself in just such a situation; this is precisely what singles him out, that is, that he is obliged to speak of something undeniably encountered but that cannot be expressed exactly in words." This dissertation can be divided into two major sections. The first major section could be portrayed as an interpretative section. We here attempt to establish, as accurately as possible, the differing attempts to answer the question of Being that were proposed by Plato, Aristotle and Martin Heidegger. We are, in a sense, attempting to map out the paths they took in their quest to attain the summit of Mount Being. Each of these sections contain our own contributions to what we propose is the proper interpretation of these three philosophers. These contributions take into account a preliminary interpretation of these authors, followed by the attempt to wade through a veritable swamp of interpretative writings that purport to tell us, once and for all, how to properly understand the ontological claims of Plato, Aristotle and Martin Heidegger. Our contributions to philosophical thought surrounding these particular thinkers do not constitute, however, the primary goal of this dissertation. Rather, they will serve to help us in our attempt to climb the mountain of Being. Having mapped out their paths, we should be better able to plan out our own approach to the question of Being. Thus, in the second section, we will use what we have learned in the first section in order to approach the question of Being anew. This second section should be seen as a philosophical section-the active pursuit of wisdom. In this second section we propose to approach the question of Being, first of all, through a comparison, analysis, and critique of the three thinkers we examined in the first section. This will be followed by our own humble attempts to answer the question of Being. We will conclude with some brief thoughts about how our discoveries about Being may affect other domains of knowledge.
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L'acte de philosopher en philosophie pour enfants

Michaud, Myriam 16 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2010-2011 / Ce mémoire a pour but d'évaluer si, et dans quelle mesure, il est vraisemblable de dire que les principes et enjeux qui sous-tendent la pratique de la Philosophie pour enfants impliquent que ceux qui reçoivent une éducation répondant à ces principes sont placés en situation de véritablement philosopher. À cette fin, nous avons construit une définition de l'acte de philosopher en interrogeant les écrits de Platon et d'Aristote sous l'angle des causes efficiente, finale, matérielle et formelle. Nous avons par la suite comparé les différents constats dégagés de cette lecture aux caractéristiques de la pratique philosophique telle que la conçoit Matthew Lipman. Nous concluons cette mise en dialogue des trois penseurs par la proposition d'une conception du philosopher qui se veut accessible à tous, y compris aux enfants, mais qui exige de la part des éducateurs des compétences particulières.
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L'interprétation de l'Atlantide de Platon par Proclus : commentaire sur le Timée, I. 75.27-190.30

Brillant, Céline 08 May 2021 (has links)
L'interprétation de l'Atlantide de Proclus constitue avec la récapitulation de la République un prologue-guide au Commentaire sur le Timée. Ce commentaire représente la première étude d'importance du néoplatonicien des œuvres de Platon réalisée aux alentours de 439 après J.-C., alors qu'il était âgé de 27 ans. L'introduction du commentaire tient compte de chacune des règles d'interprétation auxquelles se soumettaient les exégètes à la fin de l'Antiquité dans leurs études des travaux de Platon et d'Aristote. Proclus applique, une première fois, ces règles d'interprétation, de manière générale, dans son prologue scientifique au Commentaire sur le Timée, et une autre fois, de manière particulière, dans son introduction rhétorique au discours symbolique de l'Atlantide. Il interprète le mythe de l'Atlantide de Platon selon la méthode analogique qui consiste à rapporter les réalités d'en bas aux réalités d'en haut. Il s'agit de la méthode des images qui procède du rapport de l'effet à la cause. Cette méthode n'est pas sans rappeler la réminiscence platonicienne laquelle vise à approcher l'unité à partir de la multiplicité. L'application de l'analogie donne le ton à la lecture symbolique du récit de l'Atlantide en ce que les parties terrestres sont ramenées aux touts célestes, par opposition à une interprétation qui emprunte le mode d'exposition à partir des images et qui tend à remonter des copies aux modèles. En conservant le même but que le Commentaire sur le Timée , Proclus interprète l'Atlantide en regard de la science de la nature. Il réalise donc son interprétation selon les thèmes de la génération et de la destruction. Il aborde le terme de principe créatif par opposition à celui de la matière, et les termes de la mémoire et de l'oubli, ainsi que les séries parallèles pythagoriciennes en tant qu'elles sont responsables de la génération dans le Tout, de même que les causes et les types de la destruction dans la génésis. Puis, les meilleurs que représentent les Athéniens et les moins bons que personnifient les Atlantes. Alors que les Athéniens demeurent sous la protection de la déesse Athéna qui symbolise l'unité, les Atlantes sont identifiés à Poséidon qui est analogue à la multiplicité. Les premiers font état de ce qui est permanent dans la génésis et les seconds de ce qui est en perpétuel changement.
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Une introduction à la pensée d'Albert Lautman

Lebel, André 16 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2009-2010 / Comme son titre l'indique, ce mémoire a pour ambition de présenter la philosophie mathématique d'Albert Lautman (1908-1944). L'approche adoptée se distingue en ce qu'elle donne une place centrale aux exemples mathématiques. Cette manière de procéder s'impose, car elle permet de pallier le caractère parfois assez vague des références purement philosophiques de cet auteur. J'accorde ainsi une importance particulière à la méthode de division en mathématiques, que Lautman rattache explicitement au platonisme, et propose de plus une lecture néoplatonicienne de la dualité essence-existence, centrale dans la pensée du philosophe. Cette dernière interprétation me semble fidèle à l'inspiration constante de Lautman. Je décris brièvement en conclusion les quelques pistes de recherche que j'entends suivre au cours des prochaines années. L'oeuvre fascinante d'Albert Lautman se trouve ainsi exposée à partir de ses dimensions mathématiques et ± platoniciennes ¿.
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[fr] SOCRATE FAIT-IL DE LA MUSIQUE?: UNE COMPARAISON ENTRE LES SOCRATES DE NIETZSCHE ET DE PLATON / [pt] SÓCRATES FAZ MÚSICA?: UMA COMPARAÇÃO ENTRE OS SÓCRATES DE NIETZSCHE E DE PLATÃO

BRUNO DE GOUVEA MARTI FERRAO 10 November 2020 (has links)
[pt] Protagonista de boa parte dos diálogos de Platão, Sócrates está presente também na filosofia de Friedrich Nietzsche, desde a primeira fase desta. Em ambos os casos, a figura do filósofo ateniense estabelece alguma relação com a música. Tendo como fio condutor uma célebre passagem do Fédon, buscaremos promover um confronto entre a imagem de Sócrates que Platão nos transmitiu e aquela criada pelo jovem Nietzsche, a fim de estabelecer pontos de contato e de afastamento entre esses dois personagens. Mais do que isso, buscaremos demonstrar o caráter decisivo de Sócrates nas filosofias de Platão e do jovem Nietzsche, perguntando, para tanto, de que maneira o personagem Sócrates veicula e encarna o pensamento de cada um desses filósofos no que diz respeito à música. / [fr] Protagoniste d une bonne partie des dialogues de Platon, Socrate est présent aussi dans la philosophie de Friedrich Nietzsche, depuis la première phase de celle-ci. Dans tous les deux cas, la figure du philosophe athénien a un certain rapport avec la musique. Ayant comme fil conducteur un célèbre passage du Phédon, nous essayerons de faire une confrontation entre l image de Socrate que Platon nous a transmise et celle créée par le jeune Nietzsche, afin d établir des points de contact et d éloignement entre ces deux personnages. En outre, nous essayerons de démontrer le caractère décisif de Socrate chez Platon et chez le jeune Nietzsche, en demandant de quelle manière le personnage Socrate véhicule et incarne la pensée de chacun de ces philosophes en ce qui concerne la musique.

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