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La place du renforcement musculaire dans la rééducation des dysfonctions musculaires de l'insuffisance cardiaque chronique / Role of strength training in the rehabilitation of muscle dysfunctions due to chronic heart failure

Feiereisen, Patrick 06 February 2014 (has links)
L’insuffisance cardiaque chronique est une maladie systémique où des dysfonctions périphériques viennent s’ajouter à l’incapacité du cœur à assurer un débit cardiaque adéquat aux tissus métabolisants. Parmi des dysfonctions périphériques, l’atrophie ainsi que la perte de force et d’endurance musculaire jouent un rôle primordial et contribuent largement à la genèse des symptômes majeurs de l’insuffisance cardiaque chronique, c’est à dire la fatigue, la dyspnée et l’intolérance à l’effort.<p>Ce n’est que depuis le début des années 1990 que des études ont montré que le réentraînement à l’effort pouvait être bénéfique pour le patient insuffisant cardiaque chronique; auparavant, il était considéré comme contre-indiqué.<p>La méthodologie d’entraînement proposée à cette époque aux patients était un entraînement de l’endurance cardio-vasculaire, le renforcement musculaire n’y avait pas sa place car on craignait que l’impact hémodynamique de ce type d’entraînement risquerait de détériorer la fonction cardiaque encore plus. Des études menées sur des contractions musculaires de type isométrique montraient en effet une diminution de la fonction cardiaque pendant l’entraînement. Cependant, les contraintes imposées pendant les exercices de renforcement musculaire dynamique (encore appelés « résistifs ») ne correspondent nullement à celles du renforcement isométrique. Des études sur des personnes saines ont montré que le renforcement musculaire est plus adapté à induire des améliorations du volume et de la force musculaire que l’entraînement de l’endurance cardio-vasculaire.<p>Le but de nos travaux a donc été de vérifier si l’introduction du renforcement musculaire, en complément de l’entraînement cardio-vasculaire ou bien comme entraînement à part entière, pouvait apporter un bénéfice supplémentaire chez l’insuffisant cardiaque chronique par son aptitude, du moins théorique, à mieux corriger certains aspects des dysfonctions musculaires.<p><p><p>Il s’agissait, dans les différentes études que nous avons menées, de vérifier qu’un entraînement composé de renforcement musculaire (au moins partiellement) chez le patient insuffisant cardiaque chronique:<p>-\ / Doctorat en Sciences de la motricité / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Perception des cliniciens, gestionnaires et usagers à l’égard des interventions de groupe offertes pendant la réadaptation en déficience physique

Bélanger, Dominique 04 1900 (has links)
No description available.
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Effets de la poursuite des activités sportives sur la symptomatologie d'adolescents ayant subi un traumatisme craniocérébral léger d'origine sportive

Jacob-Tardif, Maude 13 December 2024 (has links)
Jusqu’à tout récemment, la position des différents guides de prise en charge des adolescents ayant subi un traumatisme craniocérébral léger (TCCL) était de les consigner au repos complet suite à leur blessure jusqu’à ce qu’ils deviennent asymptomatiques pendant une période de 7 jours pour ensuite reprendre graduellement l’activité physique. Toutefois, ces lignes directrices sont à même de changer notamment puisque de nouvelles recherches tendent à démontrer que la restriction des activités en contexte de problèmes de santé peut contribuer directement à l’apparition de symptômes d’ordre psychologiques pouvant venir entraver la récupération. À ce propos, un panel d’experts s’est regroupé à Berlin en octobre 2016 afin d’émettre de nouvelles recommandations qui seront publiées en 2017. C’est donc dans l'optique d'évaluer l’influence de la quantité d’activité physique réalisée dans les 7 jours suivants le TCCL sur la sévérité des symptômes et la récupération des adolescents que ce projet prend forme. L’hypothèse posée par cette étude est qu’une plus grande quantité d’activités physiques dans les 7 jours suivants l’impact soit associée à une sévérité plus élevée de symptômes. Aussi, il était attendu qu’une faible quantité d’activité physique ait une meilleure influence sur la symptomatologie qu’une absence complète d’activité. Cinq adolescents, soit 3 filles et 2 garçons âgés entre 12 et 17 ans, ayant subi un TCCL lors de la pratique d’un sport ont été testés au cours de trois entrevues téléphoniques à 10-15 jours, 30 jours et 90 jours post-TCCL. Les résultats obtenus permettent de constater qu’un seul participant se distingue des autres quant à sa trajectoire de récupération alors qu’il présente une symptomatologie significativement plus élevée que les autres. Il apparaît que le mécanisme de la blessure ainsi que le portrait symptomatologique plus important en phase aiguë chez ce participant ont pu influencer négativement le temps de récupération. De plus, il présente une symptomatologie dépressive et anxieuse importante ayant probablement influencé négativement son rétablissement. Enfin, ce participant n’a pas respecté de période initiale de repos suite à la survenue de sa blessure avant de reprendre une activité physique légère. Les résultats de la présente étude sont discutés de façon plus large en tenant compte des données de la littérature actuelle. Les informations soulevées permettent de croire qu’il est important en clinique de veiller à ce qu’une période initiale de quelques jours de repos soit respectée et de tenir compte de la santé mentale du patient pour déterminer sa trajectoire de récupération et orienter les interventions. Néanmoins, des études additionnelles demeurent nécessaires afin de déterminer la durée et la nature exacte du repos à recommander afin d’élaborer des protocoles de prise en charge présentant un meilleur équilibre entre repos et activité physique. / Until recently, the position of the various guides for the management of mild traumatic brain injury (MTBI) in adolescents was to record them at full rest following their injury until they become asymptomatic for a period of 7 days and then gradually resume physical activity. However, these guidelines are in a position to change in particular as new research tends to show that restricting activities in the context of health problems can directly contribute to the development of psychological symptoms that may impede recovery. In this regard, a panel of experts gathered in Berlin in October 2016 to issue new recommendations to be published in 2017. It is therefore with a view to assessing the influence of the quantity of physical activity carried out within 7 days following TCCL on the severity of the symptoms and recovery of the adolescents that this project takes shape. The hypothesis posed by this study is that a greater amount of physical activity within 7 days after the impact is associated with a higher severity of symptoms. Also, it was expected that a small amount of physical activity had a better influence on the symptomatology than a complete absence of activity. Five teenagers, three girls and two boys aged 12 to 17 years old, who underwent a MTBI while playing a sport were tested in three telephone interviews at 10-15 days, 30 days and 90 days post- MTBI. The results obtained show that only one participant distinguishes himself from the others in his recovery trajectory while he has a significantly higher symptomatology than the others. It appears that the injury mechanism as well as the high severity level of the symptoms in the acute phase may have a negative influence on recovery time. In addition, he has an important depressive and anxious symptomatology that has probably had a negative impact on his recovery. Finally, this participant did not respect an initial period of rest following the occurrence of his injury before returning to a light physical activity. The results of this study are discussed in greater detail taking into account data from the current literature. The information gathered suggests that it is important in the clinic to ensure that an initial period of a few days of rest is respected and that the mental health of the patient is taken into account in determining its recovery trajectory and guiding interventions. Nevertheless, additional studies are still needed to determine the duration and exact nature of the rest to recommend in order to develop management protocols with a better balance between rest and physical activity.
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Déterminants et traitements influençant la reprise des activités professionnelles ou scolaires chez des jeunes adultes en début d'évolution d'un trouble psychotique : le rôle de la cognition

Pothier, William 13 December 2024 (has links)
Le rétablissement socioprofessionnel, une dimension du rétablissement personnel, est un objectif courant chez les personnes en début d’évolution d’un trouble psychotique. Plusieurs facteurs pourraient influencer la reprise des activités professionnelles ou scolaires, dont les déficits cognitifs, qui sont des symptômes au coeur des troubles psychotiques. Cependant, le rôle de la cognition parmi les autres déterminants clés du rétablissement socioprofessionnel chez les personnes en début d’évolution d’un trouble psychotique reste encore à documenter. De plus, les traitements standards pour les personnes atteintes d’un trouble psychotique, comme la pharmacothérapie, ont peu d’effets sur les déficits cognitifs. La remédiation cognitive est efficace pour atténuer les déficits cognitifs, mais peu d’études chez les personnes en début d’évolution d’un trouble psychotique ont évalué son effet sur la reprise des activités professionnelles ou scolaires ou ont tenté de personnaliser le programme pour favoriser la réponse thérapeutique. Cette thèse avait donc pour objectif de mieux comprendre le rôle de la cognition dans la reprise des activités professionnelles ou scolaires. Pour se faire, deux études ont été réalisées chez les personnes en début d’évolution d’un trouble psychotique. La première, une étude longitudinale, visait à déterminer le rôle qu’occupe la cognition parmi les déterminants clés de la reprise des activités professionnelles ou scolaires et la seconde, une série d’études de cas, visait à évaluer l’effet d’un programme personnalisé de remédiation cognitive sur la reprise des activités professionnelles ou scolaires. De manière générale, l’étude longitudinale a montré que la mémoire de travail et la durée d’absence du travail ou des études expliquaient 48,1% de la variance du statut socioprofessionnel six mois après l’évaluation initiale. La contribution unique significative de la mémoire de travail dans le modèle souligne l’importance de considérer le fonctionnement cognitif des personnes en début d’évolution d’un trouble psychotique dans les interventions visant la reprise des activités professionnelles ou scolaires. La deuxième étude a quant à elle montré que la remédiation cognitive personnalisée avait permis à deux des trois participants inclus dans l’étude d’améliorer leur statut socioprofessionnel, en plus d’avoir des effets sur des facteurs cognitifs, psychologiques ou cliniques reliés à la reprise des activités professionnelles ou scolaires. / La personnalisation de la remédiation cognitive en fonction de caractéristiques individuelles (e.g., déficits cognitifs préexistants) et contextuelles (e.g., combinaison des interventions) semble avoir favorisé la réponse thérapeutique. À la lumière des résultats des deux études, la remédiation cognitive pourrait être utilisée comme catalyseur de la reprise des activités professionnelles ou scolaires dans les programmes de soutien à l’emploi ou à l’éducation. En effet, la remédiation cognitive semble améliorer plusieurs déterminants du retour au travail ou aux études, dont ceux déterminés à l’étude 1 (i.e., la mémoire de travail et la durée d’absence du travail ou des études). Les trajectoires variées vers le retour au travail ou aux études semblent indiquer que les mécanismes par lesquels la remédiation cognitive favorise la reprise des activités professionnelles ou scolaires sont hétérogènes, soulignant l’importance de personnaliser les interventions. / Occupational recovery (i.e., return to work or to school) is a common objective among people with recent-onset psychosis. Many factors may influence occupational recovery process, such as cognitive deficits, which are core symptoms in psychotic disorders. However, the role of cognition among other key predictors of occupational recovery in recent-onset psychosis remains to be documented. In addition, usual treatments in psychotic disorders, such as pharmacological treatments, have limited impact on cognitive deficits. Cognitive remediation can reduce cognitive deficits in psychotic disorders, but few studies have evaluated its effect on occupational recovery and have attempted to personalize the intervention to enhance treatment response in recent-onset psychosis. Therefore, the general objective of this thesis was to evaluate the role of cognition on occupational recovery. To reach this goal, two studies were conducted among people with recent-onset psychosis. The first, a longitudinal study, aimed to evaluate the role played by cognition among other key predictors of occupational recovery and the second, a multiple cases study, aimed to evaluate the effect of personalized cognitive remediation on occupational recovery. In general, the longitudinal study showed that working memory and length of time absent from employment or school explained 48.1% of the variance of occupational recovery. The unique significant contribution of working memory on occupational recovery underlined that considering cognitive functioning is relevant to interventions targeting return to work or to school. The second study including three cases showed that two of them improved their occupational status after the personalized cognitive remediation therapy, as well as cognitive, psychological and/or clinical factors relevant to occupational recovery. The personalization of the cognitive remediation therapy according to individual (e.g., pre-existing cognitive deficits) and contextual (e.g., combined interventions) characteristics appeared to have enhanced treatment response. According to results of both studies, cognitive remediation could be provided as a catalyst of occupational recovery in supported employment and education programs. Indeed, cognitive remediation may improve many factors relevant to occupational recovery, such as those determined in study 1 (i.e., working memory and length of time absent from employment/school). The distinct pathways leading to return to work or to school suggested that mechanisms through which cognitive remediation influence occupational recovery may be heterogeneous, underlying the relevance of personalizing interventions.
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"Goal Management Training" : effets d'un programme d'entraînement des fonctions exécutives chez des patients atteints de la maladie de Parkinson idiopathique

Giguère-Rancourt, Ariane 02 February 2024 (has links)
La maladie de Parkinson (MP) est une maladie neurodégénérative surtout reconnue par des tremblements au repos et une rigidité musculaire. Outre ces symptômes moteurs de la MP, d'autres symptômes non-moteurs sont observés, entre autres des problèmes cognitifs. Un peu plus de 30% des patients MP présente un trouble cognitif léger (TCL) avec dysfonctions exécutives, c'est-à-dire des difficultés dans les fonctions exécutives. Ces fonctions consistent en la capacité à organiser et à coordonner les pensées, les actions dirigées vers un but, ainsi qu'à réguler les émotions. Il existe aujourd'hui très peu de traitements disponibles spécifiquement pour les troubles cognitifs chez les patients avec MP. Étant donné que le développement de médicaments peut prendre plusieurs années et que ces médicaments peuvent entraîner des effets secondaires adverses, d'autres avenues non pharmacologiques, pourraient s'avérer utiles afin de soutenir les patients qui présentent un TCL. La présente thèse propose donc l'évaluation de deux approches non-pharmacologiques (entraînement cognitif et psychoéducation), qui ont été adaptées aux patients avec MP-TCL. Afin de répondre à certaines limites des études antérieures, le programme d'entraînement « Goal Management Training » (GMT) a été choisi pour être administré aux patients MP-TCL avec dysfonctions exécutives. Un autre programme a été développé sous forme de psychoéducation sur la MP et ses divers symptômes, couplé à des exercices de pleine conscience. La première étude avait pour objectif d'adapter le programme GMT à la population avec MP-TCL. Avec une étude de cas à niveaux de base multiples chez un premier patient, la faisabilité, la sécurité et l'acceptabilité ont été vérifiées sur plusieurs paramètres (fatigue, symptômes psychologiques et comportementaux, changements de médication ou de dosage et fardeau de l'aidant). Les résultats de cette étude de cas montrent que le GMT est sécuritaire et acceptable, en plus d'améliorer les plaintes concernant les fonctions exécutives. La deuxième étude avait pour objectif de vérifier la faisabilité des deux programmes (fonctions exécutives, qualité de vie, cognition globale) à l'aide d'une étude avec devis randomisé – contrôle chez 12 patients atteints de MP-TCL. Six patients ont reçu le GMT adapté, et six autres patients ont reçu la combinaison de psychoéducation et pleine conscience. Les programmes ont été administrés au domicile de chaque participant en présence du proche aidant, en cinq séances de 60-75 minutes, sur cinq semaines. Différentes mesures de suivi ont été prises une, quatre et 12 semaines après la fin de l'intervention. Les résultats montrent que les deux programmes permettent d'améliorer les plaintes concernant les fonctions exécutives. Ils permettent également de réduire le nombre d'erreurs commises à une tâche mesurant les fonctions exécutives, avec une tendance non-significative à une plus grande amélioration dans le groupe GMT. Aussi, après quatre semaines, le groupe combinant la psychoéducation et la pleine conscience a vu une amélioration de la qualité de vie. Cette étude montre l'intérêt des approches non pharmacologiques. Chaque programme présente ses avantages et ses limites en fonction du profil de chaque participant. La troisième étude avait pour objectif de prendre en compte le point de vue des proches aidants. Pour ce faire, lors de l'étude 2, les proches aidants de chaque participant ont rempli différents questionnaires, notamment sur leurs sentiments de fardeau et de détresse. Dans un premier temps, toutes les données du niveau de base, avant la randomisation et les interventions, ont été combinées. Les liens entre des variables cliniques et chez les proches ont été évalués à l'aide d'une matrice de corrélation. Dans un deuxième temps, les effets des deux interventions ont été évalués sur les mesures des proches aidants spécifiquement. Les résultats montrent qu'il n'y a aucune détérioration des sentiments de fardeau et de détresse chez les aidants pour aucun des groupes et ce, même s'ils devaient investir du temps pour accompagner leur proche lors des interventions. Cette étude a montré l'importance de prendre en compte et d'intégrer les proches aidants dans le processus thérapeutique des patients avec MP-TCL. En somme, cette thèse a montré le potentiel de deux approches non-pharmacologiques pour améliorer le quotidien de patients aux-prises avec des troubles cognitifs. Pour chacune des approches et des méthodes employées, les différentes études présentent des limites, de même que des forces. Différentes recommandations théoriques et cliniques quant à l'intervention chez des personnes avec MP-TCL peuvent être retenues de ces travaux. / Parkinson's disease (PD) is a neurodegenerative disease characterised by resting tremor and rigidity. In addition to these motor symptoms of PD, other non-motor symptoms occur, such as cognitive deficits. Approximately 30% of PD patients develop Mild Cognitive Impairment (MCI) with executive dysfunction, that is, difficulties in executive functions. These functions are the ability to organize and coordinate thoughts, goal directed behaviors and to regulate emotions. Few treatments are actually available specifically for cognitive impairment in PD patients. Since medication development can take several years and cause adverse side effects, other non-pharmacological treatments may be useful in helping patients with PD-MCI. This thesis aims to evaluate two non-pharmacological approaches (cognitive training and psychoeducation), which were adapted to patients with PD-MCI. In order to meet certain limitations of previous studies, the Goal Management Training (GMT) training program was chosen for administration to PD-MCI patients with executive dysfunction. Another program was developed in form of psychoeducation on PD and various symptoms, coupled with mindfulness exercises. The first study intended to adapt the GMT program to PD-MCI population. With a multi baseline case study in a first patient, safety and acceptability were verified on several parameters (fatigue, psychological and behavioral symptoms, changes in medication or dosage and caregiver burden). The results show that GMT is safe and acceptable. In addition, it improves concerns about executive functions. The second study assessed the effects of the two programs (executive functions, quality of life, overall cognition) with a randomized - control study. Six patients received the adapted GMT, and six others received the combination of psychoeducation and mindfulness. The programs were administered at the home of each participant in the presence of the caregiver, in five sessions of 60-75 minutes, over five weeks. Various follow-up measures were taken at one, four and 12 weeks after the end of the intervention. The results show that both programs improved concerns about executive functions. They also reduced the number of errors made in an executive functions task, with a non-significant trend towards greater improvement in the GMT group. After four weeks, the group combining psychoeducation and mindfulness saw an improvement in quality of life, whereas scores of the GMT group were maintained. This study shows the interest of non-pharmacological approaches. Each program has its advantages and limitations depending on the profile of each participant. The third study aimed to include caregiver's data. During the second study, the caregivers of each participant answered questionnaires on the feelings of burden and distress. First, all data from the baseline, before randomization and interventions, were combined. The associations between clinical variables and variables in caregivers were assessed with a correlation matrix. Secondly, the effects of the two interventions were specifically evaluated on caregiver's measures. The results show there was no deterioration in feelings of burden and distress among caregivers for any of the groups, even if they had to invest time during the interventions. This study showed the importance of involving caregivers in the therapeutic process of PD-MCI patients. This thesis has shown the potential of two non-pharmacological approaches to improve concerns of patients with cognitive disorders. The three studies show limits, as well as strengths. Different theoretical and clinical recommendations regarding the intervention in people with PD-MCI can be considered.
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Qualité de vie subjective des personnes ayant participé à un programme de réadaptation au travail en raison de troubles musculo-squelettiques comparaison selon la situation de travail

Ramón-Moliner, Carmen Elisabeth January 2007 (has links)
L'Organisation mondiale de la santé rapporte que les accidents de la route et les lésions professionnelles contribuent à une prévalence grandissante de personnes vivant avec des incapacités à la suite d'un trouble musculo-squelettique (TMS). En fait, les écrits scientifiques suggèrent qu'environ 10% des cas risquent de développer des incapacités prolongées et une situation de handicap au travail. Face à ce problème de santé, des programmes interdisciplinaires de réadaptation au travail (PIRT) sont actuellement offerts aux personnes qui ont atteint le stade subaigu (6 à 12 semaines) ou chronique (plus de 12 semaines) d'absence du travail. Ces programmes visent à faciliter le retour au travail de façon sécuritaire, durable et en santé. Or, le taux de retour au travail après un PIRT varie entre 50% et 80%. Dans le domaine de la santé, la qualité de vie peut être mesurée selon différentes perspectives. L'approche qualité de vie liée à la santé (QVLS) mesure la qualité de vie à partir de référents sociétaux et reflète la performance biopsychosociale. L'approche qualité de vie subjective individualisée (QVSI) mesure, quant à elle, la qualité de vie d'une perspective client et reflète l'estimation de la satisfaction et du bonheur vécu en lien avec diverses situations de vie. Selon certains écrits scientifiques, la QVSI serait un moyen d'identifier le niveau d'adaptation à une situation de handicap. Or, la mesure de la QVSI n'est qu'exceptionnellement utilisée en réadaptation. Ainsi, il apparaît que la mesure de la QVSI pourrait être complémentaire aux mesures de résultat traditionnellement utilisées par les PIRT. Cette étude a donc été élaborée afin de générer des connaissances entourant la QVSI auprès d'une population présentant des TMS et ayant participé à un PIRT. De façon spécifique, l'étude a comparé la QVSI en fonction de la situation de travail six mois après le programme et l'a comparé à des valeurs de référence. Puis, elle a exploré la relation entre la QVSI et des variables sociodémographiques et cliniques utilisées par les PIRT douleur, capacité perçue, détresse émotionnelle, QVLS. Enfin, elle a intégré une variable peu connue le"sens du travail" afin d'explorer si celle-ci influençait la relation entre la QVSI et la situation de travail. Une étude descriptive exploratoire transversale a été réalisée. Quarante personnes de retour au travail et 32 personnes n'ayant pas repris ou effectuant peu d'heures de travail ([inférieur ou égal à] 10 heures) ont été rencontrées six mois après leur congé d'un PIRT. Chacune de ces personnes a été rencontrée individuellement (90 minutes) afin de recueillir les informations sociodémographiques habituelles (âge, sexe, revenu, scolarité, conditions de santé, historique du TMS) et de remplir six questionnaires autoadministrés. La QVSI, variable principale, a été estimée avec l'Inventaire systémique de qualité de vie (ISQV) qui se complète sur ordinateur. Les mesures cliniques incluant la détresse émotionnelle, la capacité perçue, la QVLS, le sens du travail et la situation de travail ont été estimées à l'aide de questionnaires dont les qualités métrologiques sont connues. Pour comparer les groupes, des tests t de Student pour groupes indépendants, de Mann-Whitney et de Chi[indice supérieur 2] ont été utilisés. Une analyse de régression linéaire multiple a été effectuée pour explorer les relations entre la QVSI et les variables sociodémographiques et cliniques. Plusieurs résultats émergent de cette étude. D'abord, après un programme de réadaptation au travail, la QVSI globale ne diffère pas en fonction de la situation de travail. Ensuite, le profil QVSI de l'ensemble des participants est inférieur aux valeurs de référence. Toutefois, une grande variabilité des scores suggère que les différences individuelles sont importantes. Enfin, la présence d'un niveau élevé de détresse émotionnelle, documenté par la convergence de trois mesures de détresse émotionnelle, autant chez le groupe"retour au travail" que celui"non-retour ou peu au travail", explique plus du tiers de la QVSI. Après un PIRT, la QVSI des personnes reste fragile surtout sur le plan émotif, peu importe la situation de travail. En conclusion, cette étude a démontré que la mesure de la qualité de vie subjective individualisée permet une nouvelle compréhension des domaines de vie problématique chez des personnes ayant développé des incapacités au travail à la suite d'un trouble musculo-squelettique et ayant participé à un PIRT et que la situation de travail ne semble pas l'influencer.
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Conception d'un outil de mesure de la charge de travail mentale dans le processus de retour au travail à la suite d'un trouble mental transitoire ayant engendré des incapacités prolongées / Conception of a tool measuring mental workload in the return-to-work process following prolonged incapacity due to a common mental disorder

Tremblay-Boudreault, Valérie January 2012 (has links)
Résumé: Problématique : La charge de travail mentale est un obstacle au retour au travail des personnes présentant une incapacité prolongée due à un trouble mental transitoire. Le retour au travail de ces personnes pourrait être facilité par la mesure de la charge de travail mentale afin d'orienter la progression des tâches de travail. Cependant, les approches de mesure actuelles ne prennent pas en compte l'ensemble de son continuum (sous-charge, charge confortable et surcharge). Objectif : Cette étude propose de pallier cette lacune en concevant un nouveau questionnaire de la charge de travail mentale (QCTM) adapté aux personnes recevant un programme de réadaptation au travail à la suite d'un trouble mental transitoire. Méthodologie : Premièrement, une analyse de concept a été réalisée afin d'identifier les dimensions de la charge de travail mentale et de proposer des indicateurs (ou items) qui soient adaptés au retour au travail à la suite d'un trouble mental transitoire. Les items proposés ont fait l'objet d'une révision par des experts en réadaptation au travail en santé mentale (n=-16) par le biais d'une méthode de consensus formalisé (Delphi), Finalement, un prétest qualitatif du QCTM a été réalisé auprès de personnes ayant été impliquées, à titre de travailleur (n=5) ou de clinicien (n=-5), dans un processus de retour au travail à la suite d'un trouble mental transitoire. Résultats : Au terme de l'analyse de concept, les attributs de la charge de travail mentale sont : 1) un état mental immédiat ou à court terme relié à l'effort/coût pour l'individu découlant de la réalisation de son activité de travail pour un niveau de performance donné; 2) un état mental qui touche les sphères cognitives et affectives; 3) un continuum, allant de la sous-charge à la surcharge de travail mentale, en passant par une charge confortable et 4) un état mental néfaste (extrémités du continuum) ou profitable (charge confortable) pour la personne. Des indicateurs ont été construits afin de couvrir l'ensemble des attributs identifiés. La clarté et la pertinence des items ont été jugées satisfaisantes au terme des deux tours de consultation auprès des experts en réadaptation au travail en santé mentale, ainsi que lors du prétest qualitatif réalisé auprès des futurs utilisateurs. Conclusion : Cette étude a permis de développer, de façon systématique, un questionnaire innovant car il intègre l'ensemble du continuum de la charge de travail mentale. Le QCTM vient outiller le clinicien et le chercheur dans le domaine de la réadaptation au travail en santé mentale. Ce questionnaire devra faire l'objet d'études de validation subséquentes afin de soutenir son utilisation. //Abstract: Background: Mental workload represents one of the obstacles encountered by people returning to work following prolonged incapacity due to a common mental disorder. Their return-to-work could be facilitated by measuring mental workload in order to guide the progression of increasing work tasks. However, actual measurement tools do not consider the whole mental workload continuum (underload, comfortable load and overload). Purpose: This study contributes to filling this gap through the conception of a new mental workload questionnaire (MWQ) designed for the return-to-work process following a common mental disorder. Methods: First, a concept analysis was conducted in order to identify mental workload dimensions and help propose a set of indicators for its measurement in a work rehabilitation setting following a common mental disorder. The proposed items were revised by work rehabilitation experts (n=16) through a formalised consensus method (Delphi). Finally, a qualitative pretest was conducted among people implicated in a return-to-work process following a common mental disorder, either as clinicians (n=5) or workers (n=5). Results: The concept analysis of mental workload led to the following attributes: 1) an immediate or short term mental state related to the effort or the cost to the individual resulting from accomplishing work at a given level of performance; 2) a mental state related to both affective and cognitive components; 3) a continuum varying from mental underload to mental overload, with a comfortable mental workload existing between these extremes and 4) a negative mental state (both continuum extremes) or positive (comfortable mental workload) for the individual. Mental workload indicators were constructed to cover the identified attributes. Their relevance and their clarity appeared to be satisfying following consultation with the work rehabilitation experts, as well as qualitative pretesting among the future MWQ users. Conclusion: This study led to the systematic development of an innovative questionnaire as it measures the whole mental workload continuum. The MWQ represents a new tool offered to the clinician and the researcher working in mental health rehabilitation. Further validation studies are required to sustain its use.
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Analyse des obstacles et des facilitateurs concernant la participation au travail de personnes présentant un trouble de la personnalité limite : points de vue de différents acteurs clés / Barriers and facilitators to work participation of individuals with borderline personality disorder : perspective of different stakeholders

Dahl, Kathy January 2016 (has links)
Résumé : Problématique : Le trouble de la personnalité limite (TPL) est une condition psychiatrique touchant environ 1 % de la population et 20 % de la clientèle recevant des services en psychiatrie (Gunderson et Links, 2008). L’un des domaines du fonctionnement dans la vie quotidienne le plus touché chez cette population est le travail (Gunderson et al., 2011; Larivière et al., 2010; Zanarini et al., 2012). À notre connaissance, aucune étude n’a décrit de façon approfondie la participation au travail des personnes présentant un TPL. Objectif : L’objectif général de cette étude vise à identifier et à décrire les obstacles, les facilitateurs de même que les solutions possibles de la participation au travail des personnes présentant un TPL selon leur point de vue et celui de leurs intervenants. Méthodologie : Une étude de cas multiples a été utilisée (Yin, 2009). Neuf cas ont été étudiés selon trois contextes socioprofessionnels de la participation au travail : A. Réintégration (personne en invalidité), B. Retour (personne en absence maladie) et C. Maintien au travail. Pour chacun des contextes, trois dyades incluant une personne avec un TPL (âgée de 18 à 55 ans) et son intervenant soutenant la participation au travail ont été interviewées. Résultats: Les résultats qualitatifs (n = 18) ont démontré que la participation au travail des personnes présentant un TPL est influencée par des facteurs individuels (p. ex., la réaction face à la pression et aux relations de travail, la régulation émotionnelle) ainsi que des facteurs liés aux acteurs et procédures des systèmes de l’assurance, organisationnel et de la santé (p. ex., la collaboration et la communication entre les acteurs, l’alliance de travail entre les acteurs et la personne présentant un TPL, les mesures d’accommodement et de soutien naturel dans le milieu de travail). Conclusions et implication clinique : Cette étude met en lumière le défi important et spécifique que représente la participation au travail pour les personnes présentant un TPL. Elle implique des facteurs personnels et environnementaux qui doivent être considérés par tous les acteurs impliqués (les utilisateurs de services, les professionnels de la santé, les assureurs et les employeurs). Les programmes de réadaptation au travail actuels devraient être bonifiés et coordonnés adéquatement avec les thérapies spécialisées afin d’aborder de manière optimale les enjeux liés à la participation au travail des personnes présentant un TPL. / Abstract : Background: Borderline personality disorder (BPD) affects around 1% of the population and 20% of psychiatric service users (Gunderson & Links, 2008). Recent studies show that work participation is the most impaired occupational domain and should be prioritized in rehabilitation (Gunderson et al., 2011; Larivière et al., 2010; Zanarini et al., 2012). However, to our knowledge, no study has examined in depth the specific issues regarding work participation for people with BPD. Objective: The overall purpose of this study was to identify and describe barriers and facilitators as well as possible solutions for enabling work participation of individuals with a borderline personality disorder (BPD) from their perspective and the perspective of their service providers. Methods: Using a qualitative multiple case study design (Yin, 2009), three contexts of work participation were considered: 1) work (re) integration, 2) return to work (after a sick leave), and 3) job tenure. Within each context, three dyads including an individual with BPD (aged 18 to 55) and their service provider supporting work participation were met for individual interviews. Results: Qualitative results (n = 18) showed that individual factors (e.g., reaction towards pressure and relationships at work, regulation of emotions) and factors related to stakeholders and procedures from insurance, organizational and health systems (e.g., poor collaboration and communication between stakeholders, working alliance between individuals with BPD and stakeholders, work accommodations and natural support in the workplace) influenced work participation of individuals with BPD. Conclusions and implication for practice: This study highlights that work participation presents specific challenges for individuals with BPD, including several personal and environmental factors to be considered by all stakeholders (service users, health care professionals, insurers and employers). Current work rehabilitation programs need to be improved to address more optimally the work participation issues of individuals with BPD and be well coordinated with current specialized psychotherapies.
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Effet de mouvements symétriques et simultanés sur la performance motrice du membre parétique chez le sujet ayant un accident vasculaire cérébral

Messier, Sylvie January 2005 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La marche : un moyen standardisable de l'évaluation des capacités au cours des maladies cardiovasculaires ?

Gremeaux, Vincent 18 April 2011 (has links) (PDF)
Les maladies cardio et cérébro-vasculaires représentent la première cause de mortalité et de handicap dans le monde. Du fait des progrès thérapeutiques dans la prise en charge de ces pathologies à la phase aigüe, le nombre de patients porteurs de formes chroniques de ces affections limitant leurs capacités d'effort est en augmentation constante. La problématique de ce travail de thèse s'articule autour de l'utilisation des tests de marche standardisés dans l'évaluation des capacités d'effort des patients porteurs de pathologies coronariennes. Nous avons dans un premier temps rappelé les notions de handicap et de qualité de vie appliqués aux maladies chroniques, et la nécessité d'évaluations fonctionnelles spécifiques pour en apprécier le retentissement et l'évolution. Puis nous avons fait le point sur les modalités actuelles de la réadaptation cardiaque, en développant plus particulièrement la place de l'activité physique. Nous avons entrepris ensuite l'étude des sollicitations physiologiques induites par un test de marche rapide de 200 mètres (TMR200) chez des sujets âgés sains, puis sur une population de patients coronariens. Ce test s'est avéré bien toléré, et correspond à une intensité d'exercice intermédiaire entre le premier seuil ventilatoire et les capacités maximales d'exercice. Il apparaît ainsi particulièrement intéressant pour apprécier les capacités à effectuer des efforts fréquents de la vie quotidienne, plus intenses que ceux correspondant à la marche à vitesse spontanément adoptée au cours du classique tes de marche de 6 minutes (correspondant à un effort essentiellement aérobie). Par la suite nous avons cherché à définir la différence minimale cliniquement pertinente du test de marche (MCID) de 6 minutes (TM6) et du TMR200, afin de mieux interpréter les progrès fonctionnels des patients intégrés dans les programmes de réadaptation cardiaque après un syndrome coronarien aigu. Cette dernière a été estimée à 25 mètres pour le TM6. Enfin, nous avons étudié l'intérêt de ces tests de marche dans l'aide à l'individualisation de la prescription de l'intensité du réentraînement chez les patients coronariens. Ces modalités permettent aux patients d'être plus souvent proches des intensités d'entraînement conventionnellement préconisées, en aboutissant à des résultats comparables, sans la nécessité de pratiquer un test d'effort maximal mobilisant des moyens significatifs en personnel et en matériel. Au total, ce travail apporte des arguments pour l'utilisation en pratique clinique courante de ces tests de marche standardisés. Ils apparaissent complémentaires dans le cadre de l'évaluation objective des capacités fonctionnelles et de la qualité de vie perçue des patients âgés et coronariens. Ces résultats ouvrent des perspectives pour poursuivre l'étude de leurs propriétés métrologiques et de leurs applications cliniques au cours des affections chroniques incapacitantes.

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