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    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
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ATT KLIPPA ELLER INTE KLIPPA : En jämförelse av sequence shots och kontinuitetsprincipens inverkan på karaktärstolkningar

Panula, Iiro, Edvinsson, Pontus January 2018 (has links)
Syftet med den här uppsatsen är att undersöka skillnader i tolkningen av karaktärer i två versioner av en och samma scen klippta utifrån olika metoder. Den ena klipptes utifrån kontinuitetsprincipen och den andra klipptes inte alls, utan gestaltades istället enbart genom en helbild, i en tagning, i vad som kallas en sequence shot. Genom att gestalta ett maktspel mellan tre karaktärer i scenen tar författarna fasta på skillnader i uppfattningen av makt- och statusförhållanden. Versionerna sågs av två olika testgrupper i omvänd ordning som sedan fick frågor i enkätform. Resultatet visar på att kontinuitetsklippningen ger tittaren en mer enhetlig bild av handlingen och fördjupade bilder av karaktärerna, medan en sequence shot ger en större spridning tolkningar och en mer övergripande bild av karaktärernas gruppdynamik i scenen.
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De la camera oscura à la "caméra visible" : éloge du plan-séquence dans l'oeuvre de Sam Szafran / From the camera oscura to the ‘visible camera’ : the importance of the ‘sequence shot’ in Sam Szafran’s work

Marini, Alexandra 02 October 2015 (has links)
En choisissant d’aborder l’œuvre de Sam Szafran par le biais du cinéma et de la photographie, cette thèse a une double visée : - D’une part, démontrer le principe séquentiel qui domine son œuvre. Szafran, qui a appris à voir au cinéma, ne se répète pas, mais crée des images arrêtées d’une séquence globale; et la photographie, de par sa contingence et sa fragmentation, constitue à cette fin un outil essentiel. - D’autre part, il s’agira d’aborder la question du montage tant du point de vue technique, rappelons que l’artiste est célébré comme le virtuose du pastel à travers le monde, que du point de vue cinématographique. Nous établirons que Szafran — homme de cinéma — emprunte la structure d’un plan-séquence pour composer ses images afin de poser le problème du regard, ou, pour le dire autrement, de rendre la caméra « visible ». Ainsi, en exposant Sam Szafran à ses influences clés, notre étude — qui constitue le premier travail de recherche universitaire approfondi sur l’artiste — entend multiplier les analyses autour des processus réflexifs et méthodologiques du travail du peintre. A partir de sources inédites, convoquant tour à tour l’histoire du siècle et la vie intime de l’artiste, elle ambitionne de jeter un jour nouveau sur ce que l’on considère comme « l’une des œuvres les plus secrètes et les plus poétiques de ce temps » (Jean Clair). Enfin, deux volumes d’annexes complèteront cette réflexion par un large corpus d’œuvres et de documents d’archives. / By exploring Sam Szafran’s work through film and photography, the aim of this thesis is twofold: - To highlight the largely sequential nature of his work: Szafran, who learnt to ‘see’ through the cinema, does not repeatedly create the same images - he creates ‘freeze frames’ in a global sequence; and photography, which by its nature is incidental and fragmentary, is an essential tool for achieving this. - To examine the notion of editing: from both the technical - Szafran is of course world famous for his virtuosic pastels - and cinematographic points of view. We will demonstrate that his images resemble sequence shots, as employed in the modern era by Orson Welles, in order to examine how things are seen, or, in other words, to make one aware of the camera’s presence. Hence, by highlighting Sam Szafran’s key influences, our study - which is the first in-depth university study of the artist - aims to analyse every aspect of the painter’s methodological and reflexive approach to his work. Based on completely new sources, relating to both the history of the 20th century and the artist’s personal life, the study’s main aim is to shed new light on the artist’s oeuvre, which is considered to be ‘one of the most mysterious and poetic of our time’ (Jean Clair). This study will be complemented by two volumes of annexes, comprising a large corpus of works and archive documents.
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Le plan-séquence chez Kenji Mizoguchi

Ly, Hieu-Thong 04 1900 (has links)
Cette recherche porte sur le langage cinématographique (ou mode de représentation) adopté par Mizoguchi en contraste avec le style classique hollywoodien. Notre hypothèse est que le refus de Mizoguchi de recourir au découpage classique et au gros-plan procurerait au spectateur une expérience de perception qui tendrait à se rapprocher de celle vécue par un spectateur de théâtre ou le témoin d’une action se déroulant dans notre monde physique. Mizoguchi a débuté son métier au début des années 1920. Le cinéma japonais venait tout juste de prendre la voie d’un art nouveau en quittant son statut de simple captation de spectacles théâtraux. L’industrie cinématographique japonaise était alors en incubation marquée par diverses influences occidentales. Nous nous pencherons plus particulièrement sur les questions stylistiques à partir du moment où le cinéma japonais s’engageait dans le parlant en imitant le style classique hollywoodien. Ce cinéma dominant devenait une norme que Mizoguchi décida de ne pas suivre pour préférer un style caractérisé par des plans-séquences. Ce style plus « neutre » et «objectif » allait être encensé par Bazin après la guerre au moment où ce dernier découvrit notamment Welles et Wyler. À partir de plusieurs extraits filmiques, nous analysons le plan-séquence mizoguchien comme substitution à une série de plans rapprochés qui se serait imposé normalement avec le style classique hollywoodien. Et ce, afin de discuter des enjeux de réalisme et de théâtralité soulevés par Bazin. / This research focuses on the film language (or mode of representation) chosen by Mizoguchi in contrast to the Hollywood classical style. Our hypothesis is that Mizoguchi’s refusal to resort to traditional cutting and close-up would give the viewer an experience of perception that would tend to be get closer to the one experienced by a stage audience or viewers witnessing an action taking place in our physical world. Mizoguchi made his entry into the profession in the early 20s. At that time, Japanese cinema just recently became a new art by leaving its status of a mere capture of theatrical performances. The Japanese film industry was being incubated with various Western influences. We will focus specifically on stylistic issues from the moment the Japanese cinema engages in talkies by imitating the Hollywood classical style. This dominant style became a standard practice which Mizoguchi decided not to follow to prefer sequence-shots. The long takes style was to be later praised by Bazin for its neutrality and objectivity when he discovered Welles and Wyler after the Second World War. Through analysis of film excerpts, we compare Mizoguchi’s sequence-shots with cutting that would usually take place with the Hollywood classical style. This is to discuss the issues of realism and theatrics raised by Bazin.
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Brian De Palma : une esthétique de la violence? / Brian De Palma : an aesthetic of violence ?

Bchir, Aroussia 24 October 2016 (has links)
Approche esthétique de l’œuvre cinématographique de Brian De Palma. La problématique s’articule entre esthétique du montage et violence de l’image. En premier lieu, le texte interroge le mode de découpage privilégié par Brian De Palma en soulignant l'importance du plan-séquence et du split screen. L'usage du plan-séquence est, notamment, rapporté à la question du défaut de vision, phénomène considéré comme central. Un second moment de cette thèse est consacré à l'étude des personnages. Des personnages anti-héros, marginaux. L'accent est particulièrement mis sur le corps féminin. Regard et voyeurisme revient à la question du découpage privilégié par Brian De Palma. Comment Brian De Palma utilise-t-il le regard pour accéder à la violence ? Qu’est-ce que regarder chez Brian De Palma ? Comment les éléments voyeuristes depalmiens se construisent-ils à partir du langage cinématographique ? Le cinéma de Brian De Palma s’annonce aussi savant et complexe, entre classicisme et modernisme. Comment Brian De Palma travaille-t-il l’œuvre hitchcockienne pour offrir une conception nouvelle ? Comment violenter l’image pour extraire son invisible ? / An esthetically pleasing approach to Brian De Palma's cinematographic work. The issue revolves around editing aesthetics and image violence. First, the text questions the cutting mode favored by Brian De Palme, stressing the importance of sequence-shot and split screen. The use of sequence-shot is in particular brought by the issue of lack of vision, a phenomenon considered as central. A second point of this thesis is devoted to the study of the characters. Anti-hero characters, drop outs. Emphasis is particularly placed on the female body. And voyeuristic gaze returns to the issue of cutting by Brian De Palma. How does Brian De Palma use eyes to see violence ? What is the meaning of « looking » to Brian De Palm a? How are De Palma's voyeuristic elements constructed from film language ? Brian De Palma's film also promises to be clever and complex, between classicism and modernism. How does Brian De Palma use Hitchcock's work in order to offer a new design? How assaulting the image to get its unseen part ?
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Le plan-séquence chez Kenji Mizoguchi

Ly, Hieu-Thong 04 1900 (has links)
Cette recherche porte sur le langage cinématographique (ou mode de représentation) adopté par Mizoguchi en contraste avec le style classique hollywoodien. Notre hypothèse est que le refus de Mizoguchi de recourir au découpage classique et au gros-plan procurerait au spectateur une expérience de perception qui tendrait à se rapprocher de celle vécue par un spectateur de théâtre ou le témoin d’une action se déroulant dans notre monde physique. Mizoguchi a débuté son métier au début des années 1920. Le cinéma japonais venait tout juste de prendre la voie d’un art nouveau en quittant son statut de simple captation de spectacles théâtraux. L’industrie cinématographique japonaise était alors en incubation marquée par diverses influences occidentales. Nous nous pencherons plus particulièrement sur les questions stylistiques à partir du moment où le cinéma japonais s’engageait dans le parlant en imitant le style classique hollywoodien. Ce cinéma dominant devenait une norme que Mizoguchi décida de ne pas suivre pour préférer un style caractérisé par des plans-séquences. Ce style plus « neutre » et «objectif » allait être encensé par Bazin après la guerre au moment où ce dernier découvrit notamment Welles et Wyler. À partir de plusieurs extraits filmiques, nous analysons le plan-séquence mizoguchien comme substitution à une série de plans rapprochés qui se serait imposé normalement avec le style classique hollywoodien. Et ce, afin de discuter des enjeux de réalisme et de théâtralité soulevés par Bazin. / This research focuses on the film language (or mode of representation) chosen by Mizoguchi in contrast to the Hollywood classical style. Our hypothesis is that Mizoguchi’s refusal to resort to traditional cutting and close-up would give the viewer an experience of perception that would tend to be get closer to the one experienced by a stage audience or viewers witnessing an action taking place in our physical world. Mizoguchi made his entry into the profession in the early 20s. At that time, Japanese cinema just recently became a new art by leaving its status of a mere capture of theatrical performances. The Japanese film industry was being incubated with various Western influences. We will focus specifically on stylistic issues from the moment the Japanese cinema engages in talkies by imitating the Hollywood classical style. This dominant style became a standard practice which Mizoguchi decided not to follow to prefer sequence-shots. The long takes style was to be later praised by Bazin for its neutrality and objectivity when he discovered Welles and Wyler after the Second World War. Through analysis of film excerpts, we compare Mizoguchi’s sequence-shots with cutting that would usually take place with the Hollywood classical style. This is to discuss the issues of realism and theatrics raised by Bazin.
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Postures et mutations du plan-séquence fixe, du cinéma des premiers temps à YouTube

Séguin-Tétreault, Mathieu 06 1900 (has links)
Pour respecter les droits d'auteur, la version électronique de ce mémoire a été dépouillée de ses documents visuels. La version intégrale du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal. / Privilégiant une approche généalogique et intertextuelle, cette étude interroge le dispositif du plan-séquence fixe à travers ses moments phares dans l’histoire du cinéma et démontre que son usage vise autant à renouer avec le cinéma des premiers temps qu’à poursuivre les préoccupations des cinéastes expérimentaux. Chez Andy Warhol, le plan-séquence fixe s’inscrit dans un rapport de redécouverte et d’enchantement du cinéma des premiers temps. Avec Jeanne Dielman, Chantal Akerman prolonge les traits du modernisme bazinien et de l’avant-garde new-yorkaise. Avec l’avènement de la vidéosurveillance, il se transforme en une esthétique carcérale qui pose dès lors des problèmes éthiques et esthétiques (voyeurisme, degré zéro de la mise en scène, etc.), questionnés dans les documentaires News from Home et Délits flagrants. Forme commune et majeure dans le cinéma d’auteur contemporain de même que dans la culture populaire et amateur (web film, série télé, etc.), le plan-séquence fixe permet d’analyser un ensemble de pratiques et de réalités du cinéma, de l’usine Lumière à YouTube. / Favouring an approach at once genealogical and intertextual, this study explores the practice of the "static sequence shot" (plan-séquence caméra fixe) in cinema. It offers an overview of its significant moments in film history. It tries to show how its use since the 70's can be seen as a reappraisal of early cinema technique, and can also find strong echos in the works of experimental filmmakers, in particular structural filmmaking. For Andy Warhol, the static sequence shot was both a rediscovery and an enchantment of early cinema. In Jeanne Dielman Chantal Akerman's static shots extended Bazinian Modernism into the New York Avant-garde. Since the 80's, with the advent of video surveillance, the static sequence shot becomes associated with a carceral apparatus, posing ethical and aesthetic issues (voyeurism, degree zero mechanisms, etc.). These issues are at the core of the documentary films News from Home and Délits flagrants. Today, we can witness that the static sequence shot has become increasingly important and almost dominant in certain branches of auteur cinema as well as in contemporary popular media culture (web films, T.V. series, etc.) This master's thesis thus claims it allows us to analyse current as well as early practices of cinema, from the Lumière' s factory to YouTube.
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Postures et mutations du plan-séquence fixe, du cinéma des premiers temps à YouTube

Séguin-Tétreault, Mathieu 06 1900 (has links)
Privilégiant une approche généalogique et intertextuelle, cette étude interroge le dispositif du plan-séquence fixe à travers ses moments phares dans l’histoire du cinéma et démontre que son usage vise autant à renouer avec le cinéma des premiers temps qu’à poursuivre les préoccupations des cinéastes expérimentaux. Chez Andy Warhol, le plan-séquence fixe s’inscrit dans un rapport de redécouverte et d’enchantement du cinéma des premiers temps. Avec Jeanne Dielman, Chantal Akerman prolonge les traits du modernisme bazinien et de l’avant-garde new-yorkaise. Avec l’avènement de la vidéosurveillance, il se transforme en une esthétique carcérale qui pose dès lors des problèmes éthiques et esthétiques (voyeurisme, degré zéro de la mise en scène, etc.), questionnés dans les documentaires News from Home et Délits flagrants. Forme commune et majeure dans le cinéma d’auteur contemporain de même que dans la culture populaire et amateur (web film, série télé, etc.), le plan-séquence fixe permet d’analyser un ensemble de pratiques et de réalités du cinéma, de l’usine Lumière à YouTube. / Favouring an approach at once genealogical and intertextual, this study explores the practice of the "static sequence shot" (plan-séquence caméra fixe) in cinema. It offers an overview of its significant moments in film history. It tries to show how its use since the 70's can be seen as a reappraisal of early cinema technique, and can also find strong echos in the works of experimental filmmakers, in particular structural filmmaking. For Andy Warhol, the static sequence shot was both a rediscovery and an enchantment of early cinema. In Jeanne Dielman Chantal Akerman's static shots extended Bazinian Modernism into the New York Avant-garde. Since the 80's, with the advent of video surveillance, the static sequence shot becomes associated with a carceral apparatus, posing ethical and aesthetic issues (voyeurism, degree zero mechanisms, etc.). These issues are at the core of the documentary films News from Home and Délits flagrants. Today, we can witness that the static sequence shot has become increasingly important and almost dominant in certain branches of auteur cinema as well as in contemporary popular media culture (web films, T.V. series, etc.) This master's thesis thus claims it allows us to analyse current as well as early practices of cinema, from the Lumière' s factory to YouTube. / Pour respecter les droits d'auteur, la version électronique de ce mémoire a été dépouillée de ses documents visuels. La version intégrale du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal.

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