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Les créoles de l'île Maurice des années 1930 à l'indépendance : processus de construction identitaire d'une communauté / The creoles of Mauritius from the 1930s to independence : identity process of building a community

Chilin, Jérémy 26 September 2017 (has links)
Entre 1936 et 1969, le groupe très hétérogène des Créoles de l’île Maurice va être projeté dans la longue décolonisation de son petit territoire insulaire. Dans la lutte pour l’acquisition de meilleurs droits sociaux et politiques, d’une égalité avec les colons, les Créoles deviennent une force politique incontournable. Mais, bien vite, affaiblis par leurs divisions et leurs fragilités socio-économiques, ils se font dépasser par la majorité indienne de cette île de plantations de l’Océan Indien. Il s’en suit la création d’un front chrétien qui va combattre une indépendance indienne redoutée par les minorités. Dans cette lutte, les Créoles vont enfin prendre conscience de l’identité de leur propre groupe. Mais lors de la défaite électorale de 1967 et les malheurs issus des émeutes de 1968 qui en découlent, ils comprennent, que, dans cette société plurale, le communalisme les a durement frappés. Entre l’exil et la mise en marge de la société mauricienne, cette nouvelle communauté, qui venait juste d’émerger des tourbillons de la décolonisation, s’enfonce dans une crise profonde, un « malaise créole » qui la poursuit dramatiquement jusqu’à aujourd’hui. / Between 1936 and 1969, the very heterogeneous group of Creoles of Mauritius will be projected in the long decolonization of its small island territory. In the struggle for better social and political rights and equality with the settlers, the Creoles became an indispensable political force. But soon, weakened by their divisions and socio-economic fragility, they were overtaken by the Indian majority of this island of plantations of the Indian Ocean. The result is the creation of a Christian front that will fight an Indian independence feared by the minorities. In this struggle, the Creoles will finally become aware of the identity of their own group. But during the electoral defeat of 1967 and the misfortunes of the ensuing 1968 riots, they realized that in this pluralistic society communalism had struck them hard. Between the exile and the marginalization of Mauritian society, this new community, which had just emerged from the vortices of decolonization, is sinking into a deep crisis, a "Creole malaise" which dramatically pursues it today.
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La presse quotidienne en ligne : analyse d'un nouveau rapport à l'information

Gérard, Magalie January 2001 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Société civile, une réalité à l'étroi [sic] dans son concept / Société civile, une réalité à l'étroit dans son concept

Théberge, Antoine 17 April 2018 (has links)
Pourquoi une réflexion sur la société civile? Parce que depuis quelques années on assiste à un retour du concept. Presqu'oubliée au long du XXe siècle, elle est maintenant porteuse de grands espoirs; se présentant sous ces nouvelles formes de solidarité qui émergent, elle révèle une importante force de démocratisation. Deux causes viennent rapidement à l'esprit pour expliquer son retour: d'un côté la chute des régimes totalitaires communistes à laquelle ont participé les sociétés civiles des pays de l'Est; de l'autre, le phénomène des grandes mobilisations citoyennes qui poussent leurs causes sans passer par les canaux politiques traditionnels et sans égards aux frontières des États. Par contre, malgré le rôle politique de premier plan qu'on lui attribue, malgré que plusieurs l'appellent, l'interpellent ou s'y réfèrent, trop souvert le concept est utilisé sans qu'il sort défini. Et même lorsqu'il l'est, les définitions proposées diffèrent et les désaccords conceptuels demeurent. Bref l'objet reste flou: représente-t-elle un phénomène de génération spontané ou la manifestation récente d'une tendance ancrée dans l'histoire? Est-elle une simple marchandise politique ou le terreau démocratique du XXIe siècle? La réflexion proposée cernera d'abord l'ampleur du phénomène et les difficultés liées à la notion avant de s'attarder aux événements ayant ramené l'expression. Nous cheminerons en puisant autant dans la politique, l'économie que dans la sociologie comme telle mais également dans la philosophie puisque trouvant son fondement dans le riche héritage qu'ont légué ceux qu'on peut appeler les pères du concept, l'essai s'intéressera de phis près aux contributions de Rousseau, Smith, mais Hegel surtout, pour ensuite interpeller Gramsci, ce penseur marxiste de la modernité qui, partant de Hegel, a repris et réactualisé la catégorie. C'est par ce détour que notre réflexion se donnera les assises lui permettant de s'attaquer à la théorie phare de la société civile qu'Andrew Arato et Jean L. Cohen ont développée dans leur ouvrage, devenu référence, Civil Society and Political Theory (1992). Suivant leur réflexion nous répondrons à trois questions structurelles fondamentales pour la catégorie. Premièrement, à ceux qui le remettaient en question, nous verrons que, malgré quelques ajustements, Hegel fourni toujours un cadre conceptuel adéquat à la compréhension de notre objet. Puis nous réfléchirons à la place de la société civile par rapport au marché, et finalement aux liens qu'elle entretient avec la société politique. / Cette démarche sera bienvenue puisque trop souvent sont esquivées les prémisses conceptuelles, références théoriques et bases historiques indispensables. C'est pour y remédier que nous prendrons ainsi le temps de mobiliser autant les théoriciens plus anciens du XVIIe, XVIIIe et XIXe qui ont forgé le concept, que les auteurs modernes et contemporains. Empruntant ce détour par les "anciens", nous éclairerons les multiples significations dont le concept a été dépositaire, puis dégagerons, à l'aide des recoupements et filiations trouvés entre auteurs, les acquis les plus fermes. Proposé comme effort de synthèse, ce mémoire qui explorera autant les racines que les nouveaux aspects du concept, aspire évidemment à mieux en cerner les contours et à faciliter la compréhension de sa théorie mais plus encore, à penser adéquatement cette "chose nouvelle". Catégorie particulièrement équivoque en théorie politique et sociale, nous chercherons ce dénominateur commun qui permettra d'ériger un pont entre ce que le concept traîne avec lui et ce qui s'y colle aujourd'hui Au-delà du produit composite des cheminements militants, il devrait être possible d'élaborer une réflexion pouvant ancrer ce qui finalement reste une discussion commune outrepassant les frontières temporelles et physiques. Quel intérêt et quelle pertinence sociologique cette démarche peut-elle avoir? Descriptive, théorique et analytique, elle permettra d'abord en s'attardant principalement au concept de dissiper le flou l'entourant, de mieux en saisir et en apprécier l'immense potentiel, puis... de prendre position. Voilà, serait-il possible que ce nouveau phénomène ne soit ni tout à fait un phénomène de génération spontané, ni non plus entièrement la manifestation récente d'une tendance ancrée dans l'histoire? Serait-il possible que dans un certain sens cette "chose nouvelle" soit mal nommée? Clair auparavant, le concept utilisé pour la désigner, où nouveauté et continuité bataillent, devient flou. Et justement, le phénomène récent de mobilisation que nous observons s'y empêtre. Comment penser adéquatement cette conscience globale s'attaquant au problème local, ce phénomène d'influence économique qui n'est pas marchand, ce nouveau rapport au politique qui ne fait phis l'arrêt par la politique? En établissant un cadre commun entre les différentes réalités nationales, nous dépasserons l'image de simple marchandise politique que d'aucuns collent au concept et la présenterons comme véritable force démocratique, mais pour lui redonner toute sa valeur nous devrons libérer la chose du mot qui la défini en travaillant cette asymétrie révélée entre ses racines historiques et la forme qu'elle prend à désigner ce monde d'alternatives. Pour outrepasser les frontières physiques autant que temporelles du concept nous devrons mettre en lumière la dimension communautaire et dégager ces nouvelles formes de solidarité qui apparaissent maintenant mais qui se situent à un autre niveau que celui décrit par Hegel d'une totalité citoyenne vécue à l'intérieur de l'État. Bref, à travers ces nouveaux phénomènes d'opposition ou de résistance c'est l'aspect de mobilisation, la dimension de la solidarité, de ces nouvelles formes de solidarité, qui garantira une cohésion conceptuelle et qu'il faudra mettre en valeur.
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Expériences institutionnelles de parents autochtones dont les enfants sont pris en charge par la Société de l'aide à l'enfance de l'Ontario

Robitaille, Martine 15 January 2024 (has links)
Les questions que nous avons posées à quarante parents autochtones dont les enfants avaient été pris en charge par la Société d'aide à l'enfance (SAE) entre 2000 et 2018 se situaient sur deux axes : 1) la manière dont l'intervention de la SAE prenait en compte la difficulté d'être à la fois parent et autochtone dans un contexte traumatique colonial et 2) la façon dont les cultures autochtones étaient ou non intégrées dans le processus de réajustement parental qu'entreprend la SAE. Pour aborder ces deux axes, nous sommes partie du principe que les Indigenous Studies constituaient un cadre à la fois incontournable et indépassable pour étudier toute une série de thématiques liées au domaine institutionnel de la protection de l'enfance : définition de la famille, approche de la parentalité, conception de l'intérêt de l'enfant, hiérarchie des savoirs et de leurs valeurs respectives, régulation de la précarité, etc. Malgré diverses stratégies de diversification, nous avons eu devant nous quarante expériences quasi similaires en ce qu'elles témoignaient toutes d'une impossibilité pour les parents d'être reconnus institutionnellement comme partie prenante de décisions impliquant pourtant directement leurs propres enfants. Faisant fi de l'histoire coloniale et de ses diverses conséquences désastreuses notamment sur les plans affectif, parental et économique, les intervenants apparaissent pris dans une socialisation professionnelle qui ne reconnait ni le contexte (colonial), ni leurs cultures, ni leurs points de vue, ni leurs souffrances. Pas plus que leurs efforts pour (enfin) devenir des parents. Faisant comme si rien ne s'était passé, les intervenants de la SAE imposent alors aux parents des décisions aussi absurdes qu'injustes comme seule possibilité de gagner leurs galons de bon parent. Mais l'analyse montre encore autre chose : il ne s'agirait en effet pas seulement pour les parents de se désoler du fait que les intervenants perdent de vue ce qu'être un parent aux multiples vulnérabilités veut dire. Il ne leur serait pas seulement demandé de penser, d'agir et de réagir comme un parent blanc. Leur serait également communiquée, dans une forme d'injonction contradictoire, l'impossibilité de remplir le statut et le rôle que le SAE leur demande pourtant d'endosser.
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L'émission d'actions et le comportement du courtier

Héroux, Roger 04 March 2024 (has links)
« Thèse présentée à l'École des gradués de l'Université Laval comme exigence partielle pour l'obtention du grade de docteur ès sciences de l'administration (Ph. D.) » / « Lors du lancement d'une émission d'actions, nous devons distinguer trois prix : le prix du marché (Pₘ), le prix d'émission (Pₑ) et le montant versé à l'émetteur (Pb). Les écarts entre ces troix prix peuvent s'expliquer par le comportement du courtier. La thèse analyse ce comportement et mesure les coûts totaux des émissions d'actions effectuées au Canada de 1968 à 1972. La première partie du travail, qui se compose de cinq chapitres, est consacrée au développement d'hypothèses sur le comportement du courtier à l'aide de modèles économiques mettant en relief les variables influençant le coût de la mise en marché d'un titre et la compensation au courtier. Dans le premier chapitre, nous définissons le rôle des marchés financiers et les implications de l'efficience de ces marchés pour une première émission d'actions. Au second chapitre, nous avons fait un inventaire des ouvrages pertinents de la littérature financière. Le troisième chapitre nous a donné l'occasion de préciser un certain nombre de question telles que les circonstances et caractéristiques d'une nouvelle émission et les objectifs poursuivis par le courtier et la compagnie émettrice. Le quatrième chapitre porte sur l'établissement du prix d'émission (Pₑ) par le courtier-banquier et sur les facteurs qui expliquent le coût d'émission (Cₑ = Pₘ - Pₑ). Enfin, dans le chapitre cinq, nous décrivons le contexte institutionnel dans lequel travaille le courtier, les relations qui existent entre la compagnie émettrice et le courtier, le pouvoir de négociation et les contraintes de chacune des parties. Après avoir analysé ces éléments structurels, nous examinons les facteurs susceptibles d'influer sur la compensation du courtier (Cc = Pₑ - Pb). Cette démarche nous amène à considérer comme valable l'analyse du coût total d'émission (Cₜ = Cₑ + Cc) plutôt que celle de ses composantes sur lesquelles ont porté les études antérieures. La seconde partie de notre travail est constitué du cheminement empirique destiné à vérifier les hypothèses suggérées par notre développement théorique. Le chapitre six discute de la population étudiée, des difficultés rencontrées dans la cueillette de l'information et du mode d'évaluation utilisé pour l'analyse des variables tant au niveau quantitatif que qualitatif. Au chapitre sept, l'analyse empirique et économique a mis en évidence que le marché canadien des nouvelles émissions est contrôlé par un groupe très restreint de courtiers prestigieux. Il semble qu'une plus grande concurrence entre les courtiers et qu'une plus grande décentralisation du marché hors-bourse pourraient être à l'avantage des compagnies émettrices et un élément de stimulation pour un certain nombre de compagnies à passer de privées à publiques. Relativement au comportement du courtier et à une redéfinition de la notion de "coût d'émission", la majorité des hypothèses furent vérifiées. Pₑ est systématiquement inférieur à Pₘ. Ce biais est une partie du coût total d'obtention du capital lors d'une nouvelle émission. De plus, Cc et Cₑ sont interreliés: on ne peut évaluer les déterminants de (Cc) sans tenir compte de leur incidence sur (Cₑ) et inversement. Par conséquent, la variable la plus importante est Cₜ ( = Cₑ + Cc). Enfin, le comportement du courtier dépend de son appartenance au groupe très restreint des courtiers prestigieux et du niveau d'activité de la bourse à la date d'émission. »--Pages ix-x
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Les conditions de production et de réception des téléromans diffusés à Radio-Canada (CBFT, Montréal) 1952-1977

Eddie, Christine, Eddie, Christine 26 April 2024 (has links)
« Cette thèse porte donc sur les conditions de production et de réception de l'ensemble des téléromans diffusés par le réseau français de Radio-Canada, de 1952 à 1977. Entre La famille Plouffe et Du tac au tac il y a, certes, une révolution technique dans le monde de la télévision, une révolution tranquille dans la société québécoise et une évolution extrêmement rapide du rôle qu'a joué la télévision dans cette société. Ces mutations, plus ou moins liées, ont directement affecté nos téléromans en participant aux changements qui s'y sont opérés. Car, il ne faut pas s'y tromper: si le discours actuel, venant des intellectuels surtout, tend à propager qu'"on voit une émission, on les a vues toutes", une observation diachronique de ces vingt-cinq premières années prouverait plutôt que la réception et, dans une moindre mesure, la production de téléromans ont subi d'importantes transformations. Nous souhaitons, dans ce travail, rendre compte de cette évolution. L'expérience acquise par tous, auteurs et comédiens, réalisateurs et techniciens, la connaissance du média et de ses contraintes, les caprices de la censure, l'affinement des techniques et l'assouplissement des conditions de travail sont autant d'éléments qui furent prépondérants dans la fabrication du téléroman et qui modifièrent peut-être l'accueil que devaient faire les intellectuels à ces oeuvres. Le pivot central de cette thèse est donc la mise en parallèle de la production des téléromans, d'une part, et les réactions qu'ils ont suscitées, tant auprès du public que des critiques, d'autre part. Nous aurons constamment en tête le souci d'éclairer le cheminement de cet éloignement entre instances critiques et émissions populaires. La question que nous jugeons fondamentale et à laquelle nous voulons trouver une réponse est la suivante: comment et pourquoi, en vingt-cinq ans, la critique, qui est le principal témoin de la vitalité culturelle d'une société, passe-t-elle, pour le même type de programme, d'un jugement plutôt favorable à un discours essentiellement péjoratif? A partir de cette question, une multitude d'aspects seront abordés dans cette recherche, tous liés à l'histoire des téléromans et à l'histoire de la critique de télévision au Québec, avec, en filigrane, l'histoire des vingt-cinq premières années de Radio-Canada. Et, sous-jacente à cette question se posera toute celle de la culture savante et de la culture populaire. Malgré les difficultés que posent ces deux concepts et bien que les définitions qui en sont faites soient aussi variées que complexes, nous les utiliserons, au cours de cette recherche, dans leur sens le plus classique: culture savante et culture populaire seront entendues comme dichotomiques, la première pouvant être comprise comme étant une forme raffinée de la seconde ou, à l'inverse, la seconde, une forme détériorée de la première. Les rapports entre l'une et l'autre, le jeu d'opposition qui, toujours, les a définies, ressortiront inévitablement de notre analyse des téléromans et des critiques qui leur furent faites. »--Pages 3-4
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La gouverne de la société des nations : généalogie de la gouvernementalité et biopolitiques globales

Grenier, Yan 16 April 2018 (has links)
Depuis les trente dernières années, plusieurs chercheurs se sont penchés sur le phénomène de gouvernementalisation de l'État et sur l'installation de politiques intéressées à la vie des populations humaines à l'intérieur des cadres nationaux. L'historicisation des relations de pouvoir entre la gouverne et la vie en tant qu'objet de régulation en ayant résulté aura permis d'aborder les rationalités biopolitiques et leur application technique à travers différents moments de l'histoire moderne. Ce mémoire s'intéresse aux politiques globales qui s'adressent aux populations et à la maximisation de leurs potentialités. Prenant comme ancrage la période 1918-1945 et l'expérience pratique de la Société des Nations comme premier effort de gouvernementalisation et de normalisation biopolitique d'un espace administratif transnational, ce mémoire offre un examen des divers développements de la politisation du bios à l'échelle globale par les organisations intergouvernementales. Même si la Société des Nations est remplacée par l' Organisation des Nations-Unies à la fin de la Deuxième Guerre mondiale, cette organisation aura su, par ses travaux, léguer une philosophie politique libérale et cosmopolite, une pensée sécuritaire et hygiéniste et finalement, un ensemble de technologies gouvernementales s'adressant à la fois à la chair et à l' esprit des populations, lequel visant à garantir une paix internationale. Même si elles se présentent comme positives et moralement dignes de louanges, les politiques des organisations internationales imposent des valeurs, détruisent certaines possibilités pour en imposer d ' autres, et sont généralement l'apologie des dominants.
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La destinée de Jingdezhen, capitale de la porcelaine

Balard, Nancy 23 November 2012 (has links) (PDF)
Jingdezhen, bourg de la province reculée du Jiangxi, a révolutionné l'histoire de la céramique en proposant au monde dès la dynastie des Song une porcelaine par nulle autre égalée. Développant une industrie porcelainière organisée à tous les points de vue, elle en est arrivée à devenir la capitale de la porcelaine. La place qui fut accordée à la porcelaine de Jingdezhen dans les régions importatrices -- Asie, Proche et Moyen-Orient, Afrique orientale, Europe et Amériques --témoigne de l'estime qu'elle gagna. Cet objet, entre art et artisanat, s'immisça dans divers aspects de la vie des populations concernées et influença ces dernières de manière plus ou moins évidente. Après un brillant passé, Jingdezhen dut faire face à une période de crise à partir de la fin de l'empire. Pour tous, sa gloire fait partie de l'Histoire. Pourtant, face à de nouveaux défis, la ville s'inscrit encore de nos jours dans sa destinée de capitale de la porcelaine.
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Le contrôle social des établissements de détention : les cas de la France et du Canada

Lehalle, Sandra January 2006 (has links)
Thèse diffusée initialement dans le cadre d'un projet pilote des Presses de l'Université de Montréal/Centre d'édition numérique UdeM (1997-2008) avec l'autorisation de l'auteur.
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VERS UNE « SOCIÉTÉ HARMONIEUSE » DE CONSOMMATION ? Discours et spectacle de l'harmonie sociale dans la construction d'une Chine “civilisée” (1978-2008)

Boutonnet, Thomas 25 November 2009 (has links) (PDF)
Bouleversée par plus de vingt années de réformes initiées par Deng Xiaoping en 1978, par le basculement d'une économie planifiée vers une économie de marché et le développement d'une société de consommation de masse, la société chinoise du début des années 2000 est minée par des disparités socio-économiques et territoriales grandissantes. C'est dans un tel contexte que se constitue le discours de la « société harmonieuse » (hexie shehui 和谐社会), un programme officiel présenté par le président Hu Jintao dans l'intention de pacifier les tensions sociales. Notre travail sera de démonter les stratégies discursives mises en place par la « société harmonieuse » par une analyse de ses énoncés, pour démontrer que ce discours prône la construction de l'harmonie sociale par l'acceptation des inégalités et des injustices sociales, et qu'il s'inscrit dans un processus, global et plus ancien, de civilisation de la population chinoise défavorisée. La hexie shehui s'affirme comme un instrument de contrôle et de discipline des populations pauvres, et propose un traitement moral de la question sociale. Nous verrons enfin que la « société harmonieuse » met également en scène une Chine “civilisée” et que ce spectacle est au cœur de son programme.

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