91 |
Criminal justice, civil society and the local state : the justices of the peace in the district of Montreal, 1764-1830Fyson, Donald January 1995 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
|
92 |
L'impact du programme d'aide aux employés sur l'assiduité des employés en difficulté à la STCUMPilotte, Robert 11 1900 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal. / Des efforts considérables ont souvent été déployés par les employeurs
depuis plusieurs années pour contrer le problème de l'absentéisme et
réduire les comportements problématiques dans l'entreprise. Parmi ces
mesures, on note l'apparition des Programmes d'aide aux employés; ces
organismes visent d'abord l'amélioration du bien-être de l'employé et par
conséquent, celui de l'entreprise.
La littérature qui traite des bienfaits des PAE manque cependant de
rigueur pour établir clairement, donc sans équivoque, les relations entre le
PAE et les divers indicateurs d'une amélioration de l'assiduité. Les études
que l'on retrouve sur les PAE n'adoptent pas de modèle systématique et
nous observons des lacunes méthodologiques importantes : absence de
groupes témoins, données restreintes, échantillons trop petits, etc. Par
ailleurs, les caractéristiques occupationnelles et individuelles des
utilisateurs du PAE sont pour la plupart connues et bien identifiés. En
somme, il faut admettre qu'il est difficile de cerner tout le contexte dans
lequel une problématique s'inscrit et évolue.
La présente étude peut en quelque sorte offrir un canevas à des recherches
plus systématiques. Cette étude est réalisée dans une grande organisation
montréalaise, soit la Société de transport de la Communauté urbaine de
Montréal. Nous avons sélectionné à la STCUM 233 individus ayant
bénéficié d'une intervention au PAE. Ce qui représente 67% de la
population totale qui a fréquenté le PAE en 1989, 1990 et 1991. Les
données furent colligées pour chaque cas durant 4 ans, soit 2 ans avant
leur passage au PAE et 2 ans après leur démarche.
Nous avons identifié 10 variables indépendantes susceptibles d'influencer
l'absentéisme qui constitue notre variable dépendante. Nous avons aussi
répertorié 6 formes d'absentéisme dont 3 sont mesurées en terme de
fréquence et de durée : les absences pour maladies personnelles, pour
accidents de travail, pour maladies dans la famille. Quant aux 3 autres
formes d'absentéisme suivantes, elles furent mesurées seulement en terme
de fréquence «avant et après» le PAE : les absences sans permission, les
retards au travail et les absences dues aux mesures disciplinaires. Le
cadre de référence comporte ainsi 18 mesures distinctes de l'absentéisme,
soit 9 mesurant l'absentéisme qui prévalait AVANT le PAE et 9 autres
APRÈS la venue au PAE (Schéma à la page 86).
Notre étude est animée par 4 grandes questions de recherche, à savoir :
l. Quel est le profil qui caractérise les clients du PAE (en terme de traits
individuels, occupationnels, situationnels et de taux d'absentéisme) ?
2. Comment évoluent les comportements absentéistes entre eux, avant et
après le passage des employés au PAE (corrélations bivariées) ?
3. Y-a-t-il des différences de moyennes significatives dans les taux
d'absentéisme entre AVANT et APRÈS le passage des employés
au PAE (Pair T-Test) ? Y a-t-il aussi des différences de moyennes
significatives lorsqu'on sélectionne des groupes d'individus en
particulier (Pair T-Test avec «select cases» ) ?
4. Est-ce que l'amélioration ou la détérioration de l'absentéisme constatée
après le passage des employés au PAE varie significativement en
fonction des éléments (catégoriques et nominales) de chacune de nos 10
variables indépendantes (analyse de variance Oneway) ?
Les résultats de cette recherche font état d'une amélioration indéniable de
l'assiduité quant à sa fréquence et ceci pour toutes les formes
d'absentéisme considérées dans notre modèle. Il y a donc la démonstration
claire d'une diminution de l'absentéisme suite à la relation d'aide.
|
93 |
La gouverne de la société des nations : généalogie de la gouvernementalité et biopolitiques globalesGrenier, Yan 16 April 2018 (has links)
Depuis les trente dernières années, plusieurs chercheurs se sont penchés sur le phénomène de gouvernementalisation de l'État et sur l'installation de politiques intéressées à la vie des populations humaines à l'intérieur des cadres nationaux. L'historicisation des relations de pouvoir entre la gouverne et la vie en tant qu'objet de régulation en ayant résulté aura permis d'aborder les rationalités biopolitiques et leur application technique à travers différents moments de l'histoire moderne. Ce mémoire s'intéresse aux politiques globales qui s'adressent aux populations et à la maximisation de leurs potentialités. Prenant comme ancrage la période 1918-1945 et l'expérience pratique de la Société des Nations comme premier effort de gouvernementalisation et de normalisation biopolitique d'un espace administratif transnational, ce mémoire offre un examen des divers développements de la politisation du bios à l'échelle globale par les organisations intergouvernementales. Même si la Société des Nations est remplacée par l' Organisation des Nations-Unies à la fin de la Deuxième Guerre mondiale, cette organisation aura su, par ses travaux, léguer une philosophie politique libérale et cosmopolite, une pensée sécuritaire et hygiéniste et finalement, un ensemble de technologies gouvernementales s'adressant à la fois à la chair et à l' esprit des populations, lequel visant à garantir une paix internationale. Même si elles se présentent comme positives et moralement dignes de louanges, les politiques des organisations internationales imposent des valeurs, détruisent certaines possibilités pour en imposer d ' autres, et sont généralement l'apologie des dominants.
|
94 |
Les conditions de production et de réception des téléromans diffusés à Radio-Canada (CBFT, Montréal) 1952-1977Eddie, Christine, Eddie, Christine 26 April 2024 (has links)
« Cette thèse porte donc sur les conditions de production et de réception de l'ensemble des téléromans diffusés par le réseau français de Radio-Canada, de 1952 à 1977. Entre La famille Plouffe et Du tac au tac il y a, certes, une révolution technique dans le monde de la télévision, une révolution tranquille dans la société québécoise et une évolution extrêmement rapide du rôle qu'a joué la télévision dans cette société. Ces mutations, plus ou moins liées, ont directement affecté nos téléromans en participant aux changements qui s'y sont opérés. Car, il ne faut pas s'y tromper: si le discours actuel, venant des intellectuels surtout, tend à propager qu'"on voit une émission, on les a vues toutes", une observation diachronique de ces vingt-cinq premières années prouverait plutôt que la réception et, dans une moindre mesure, la production de téléromans ont subi d'importantes transformations. Nous souhaitons, dans ce travail, rendre compte de cette évolution. L'expérience acquise par tous, auteurs et comédiens, réalisateurs et techniciens, la connaissance du média et de ses contraintes, les caprices de la censure, l'affinement des techniques et l'assouplissement des conditions de travail sont autant d'éléments qui furent prépondérants dans la fabrication du téléroman et qui modifièrent peut-être l'accueil que devaient faire les intellectuels à ces oeuvres. Le pivot central de cette thèse est donc la mise en parallèle de la production des téléromans, d'une part, et les réactions qu'ils ont suscitées, tant auprès du public que des critiques, d'autre part. Nous aurons constamment en tête le souci d'éclairer le cheminement de cet éloignement entre instances critiques et émissions populaires. La question que nous jugeons fondamentale et à laquelle nous voulons trouver une réponse est la suivante: comment et pourquoi, en vingt-cinq ans, la critique, qui est le principal témoin de la vitalité culturelle d'une société, passe-t-elle, pour le même type de programme, d'un jugement plutôt favorable à un discours essentiellement péjoratif? A partir de cette question, une multitude d'aspects seront abordés dans cette recherche, tous liés à l'histoire des téléromans et à l'histoire de la critique de télévision au Québec, avec, en filigrane, l'histoire des vingt-cinq premières années de Radio-Canada. Et, sous-jacente à cette question se posera toute celle de la culture savante et de la culture populaire. Malgré les difficultés que posent ces deux concepts et bien que les définitions qui en sont faites soient aussi variées que complexes, nous les utiliserons, au cours de cette recherche, dans leur sens le plus classique: culture savante et culture populaire seront entendues comme dichotomiques, la première pouvant être comprise comme étant une forme raffinée de la seconde ou, à l'inverse, la seconde, une forme détériorée de la première. Les rapports entre l'une et l'autre, le jeu d'opposition qui, toujours, les a définies, ressortiront inévitablement de notre analyse des téléromans et des critiques qui leur furent faites. »--Pages 3-4
|
95 |
Société civile, une réalité à l'étroi [sic] dans son concept / Société civile, une réalité à l'étroit dans son conceptThéberge, Antoine 17 April 2018 (has links)
Pourquoi une réflexion sur la société civile? Parce que depuis quelques années on assiste à un retour du concept. Presqu'oubliée au long du XXe siècle, elle est maintenant porteuse de grands espoirs; se présentant sous ces nouvelles formes de solidarité qui émergent, elle révèle une importante force de démocratisation. Deux causes viennent rapidement à l'esprit pour expliquer son retour: d'un côté la chute des régimes totalitaires communistes à laquelle ont participé les sociétés civiles des pays de l'Est; de l'autre, le phénomène des grandes mobilisations citoyennes qui poussent leurs causes sans passer par les canaux politiques traditionnels et sans égards aux frontières des États. Par contre, malgré le rôle politique de premier plan qu'on lui attribue, malgré que plusieurs l'appellent, l'interpellent ou s'y réfèrent, trop souvert le concept est utilisé sans qu'il sort défini. Et même lorsqu'il l'est, les définitions proposées diffèrent et les désaccords conceptuels demeurent. Bref l'objet reste flou: représente-t-elle un phénomène de génération spontané ou la manifestation récente d'une tendance ancrée dans l'histoire? Est-elle une simple marchandise politique ou le terreau démocratique du XXIe siècle? La réflexion proposée cernera d'abord l'ampleur du phénomène et les difficultés liées à la notion avant de s'attarder aux événements ayant ramené l'expression. Nous cheminerons en puisant autant dans la politique, l'économie que dans la sociologie comme telle mais également dans la philosophie puisque trouvant son fondement dans le riche héritage qu'ont légué ceux qu'on peut appeler les pères du concept, l'essai s'intéressera de phis près aux contributions de Rousseau, Smith, mais Hegel surtout, pour ensuite interpeller Gramsci, ce penseur marxiste de la modernité qui, partant de Hegel, a repris et réactualisé la catégorie. C'est par ce détour que notre réflexion se donnera les assises lui permettant de s'attaquer à la théorie phare de la société civile qu'Andrew Arato et Jean L. Cohen ont développée dans leur ouvrage, devenu référence, Civil Society and Political Theory (1992). Suivant leur réflexion nous répondrons à trois questions structurelles fondamentales pour la catégorie. Premièrement, à ceux qui le remettaient en question, nous verrons que, malgré quelques ajustements, Hegel fourni toujours un cadre conceptuel adéquat à la compréhension de notre objet. Puis nous réfléchirons à la place de la société civile par rapport au marché, et finalement aux liens qu'elle entretient avec la société politique. / Cette démarche sera bienvenue puisque trop souvent sont esquivées les prémisses conceptuelles, références théoriques et bases historiques indispensables. C'est pour y remédier que nous prendrons ainsi le temps de mobiliser autant les théoriciens plus anciens du XVIIe, XVIIIe et XIXe qui ont forgé le concept, que les auteurs modernes et contemporains. Empruntant ce détour par les "anciens", nous éclairerons les multiples significations dont le concept a été dépositaire, puis dégagerons, à l'aide des recoupements et filiations trouvés entre auteurs, les acquis les plus fermes. Proposé comme effort de synthèse, ce mémoire qui explorera autant les racines que les nouveaux aspects du concept, aspire évidemment à mieux en cerner les contours et à faciliter la compréhension de sa théorie mais plus encore, à penser adéquatement cette "chose nouvelle". Catégorie particulièrement équivoque en théorie politique et sociale, nous chercherons ce dénominateur commun qui permettra d'ériger un pont entre ce que le concept traîne avec lui et ce qui s'y colle aujourd'hui Au-delà du produit composite des cheminements militants, il devrait être possible d'élaborer une réflexion pouvant ancrer ce qui finalement reste une discussion commune outrepassant les frontières temporelles et physiques. Quel intérêt et quelle pertinence sociologique cette démarche peut-elle avoir? Descriptive, théorique et analytique, elle permettra d'abord en s'attardant principalement au concept de dissiper le flou l'entourant, de mieux en saisir et en apprécier l'immense potentiel, puis... de prendre position. Voilà, serait-il possible que ce nouveau phénomène ne soit ni tout à fait un phénomène de génération spontané, ni non plus entièrement la manifestation récente d'une tendance ancrée dans l'histoire? Serait-il possible que dans un certain sens cette "chose nouvelle" soit mal nommée? Clair auparavant, le concept utilisé pour la désigner, où nouveauté et continuité bataillent, devient flou. Et justement, le phénomène récent de mobilisation que nous observons s'y empêtre. Comment penser adéquatement cette conscience globale s'attaquant au problème local, ce phénomène d'influence économique qui n'est pas marchand, ce nouveau rapport au politique qui ne fait phis l'arrêt par la politique? En établissant un cadre commun entre les différentes réalités nationales, nous dépasserons l'image de simple marchandise politique que d'aucuns collent au concept et la présenterons comme véritable force démocratique, mais pour lui redonner toute sa valeur nous devrons libérer la chose du mot qui la défini en travaillant cette asymétrie révélée entre ses racines historiques et la forme qu'elle prend à désigner ce monde d'alternatives. Pour outrepasser les frontières physiques autant que temporelles du concept nous devrons mettre en lumière la dimension communautaire et dégager ces nouvelles formes de solidarité qui apparaissent maintenant mais qui se situent à un autre niveau que celui décrit par Hegel d'une totalité citoyenne vécue à l'intérieur de l'État. Bref, à travers ces nouveaux phénomènes d'opposition ou de résistance c'est l'aspect de mobilisation, la dimension de la solidarité, de ces nouvelles formes de solidarité, qui garantira une cohésion conceptuelle et qu'il faudra mettre en valeur.
|
96 |
L'émission d'actions et le comportement du courtierHéroux, Roger 04 March 2024 (has links)
« Thèse présentée à l'École des gradués de l'Université Laval comme exigence partielle pour l'obtention du grade de docteur ès sciences de l'administration (Ph. D.) » / « Lors du lancement d'une émission d'actions, nous devons distinguer trois prix : le prix du marché (Pₘ), le prix d'émission (Pₑ) et le montant versé à l'émetteur (Pb). Les écarts entre ces troix prix peuvent s'expliquer par le comportement du courtier. La thèse analyse ce comportement et mesure les coûts totaux des émissions d'actions effectuées au Canada de 1968 à 1972. La première partie du travail, qui se compose de cinq chapitres, est consacrée au développement d'hypothèses sur le comportement du courtier à l'aide de modèles économiques mettant en relief les variables influençant le coût de la mise en marché d'un titre et la compensation au courtier. Dans le premier chapitre, nous définissons le rôle des marchés financiers et les implications de l'efficience de ces marchés pour une première émission d'actions. Au second chapitre, nous avons fait un inventaire des ouvrages pertinents de la littérature financière. Le troisième chapitre nous a donné l'occasion de préciser un certain nombre de question telles que les circonstances et caractéristiques d'une nouvelle émission et les objectifs poursuivis par le courtier et la compagnie émettrice. Le quatrième chapitre porte sur l'établissement du prix d'émission (Pₑ) par le courtier-banquier et sur les facteurs qui expliquent le coût d'émission (Cₑ = Pₘ - Pₑ). Enfin, dans le chapitre cinq, nous décrivons le contexte institutionnel dans lequel travaille le courtier, les relations qui existent entre la compagnie émettrice et le courtier, le pouvoir de négociation et les contraintes de chacune des parties. Après avoir analysé ces éléments structurels, nous examinons les facteurs susceptibles d'influer sur la compensation du courtier (Cc = Pₑ - Pb). Cette démarche nous amène à considérer comme valable l'analyse du coût total d'émission (Cₜ = Cₑ + Cc) plutôt que celle de ses composantes sur lesquelles ont porté les études antérieures. La seconde partie de notre travail est constitué du cheminement empirique destiné à vérifier les hypothèses suggérées par notre développement théorique. Le chapitre six discute de la population étudiée, des difficultés rencontrées dans la cueillette de l'information et du mode d'évaluation utilisé pour l'analyse des variables tant au niveau quantitatif que qualitatif. Au chapitre sept, l'analyse empirique et économique a mis en évidence que le marché canadien des nouvelles émissions est contrôlé par un groupe très restreint de courtiers prestigieux. Il semble qu'une plus grande concurrence entre les courtiers et qu'une plus grande décentralisation du marché hors-bourse pourraient être à l'avantage des compagnies émettrices et un élément de stimulation pour un certain nombre de compagnies à passer de privées à publiques. Relativement au comportement du courtier et à une redéfinition de la notion de "coût d'émission", la majorité des hypothèses furent vérifiées. Pₑ est systématiquement inférieur à Pₘ. Ce biais est une partie du coût total d'obtention du capital lors d'une nouvelle émission. De plus, Cc et Cₑ sont interreliés: on ne peut évaluer les déterminants de (Cc) sans tenir compte de leur incidence sur (Cₑ) et inversement. Par conséquent, la variable la plus importante est Cₜ ( = Cₑ + Cc). Enfin, le comportement du courtier dépend de son appartenance au groupe très restreint des courtiers prestigieux et du niveau d'activité de la bourse à la date d'émission. »--Pages ix-x
|
97 |
La destinée de Jingdezhen, capitale de la porcelaineBalard, Nancy 23 November 2012 (has links) (PDF)
Jingdezhen, bourg de la province reculée du Jiangxi, a révolutionné l'histoire de la céramique en proposant au monde dès la dynastie des Song une porcelaine par nulle autre égalée. Développant une industrie porcelainière organisée à tous les points de vue, elle en est arrivée à devenir la capitale de la porcelaine. La place qui fut accordée à la porcelaine de Jingdezhen dans les régions importatrices -- Asie, Proche et Moyen-Orient, Afrique orientale, Europe et Amériques --témoigne de l'estime qu'elle gagna. Cet objet, entre art et artisanat, s'immisça dans divers aspects de la vie des populations concernées et influença ces dernières de manière plus ou moins évidente. Après un brillant passé, Jingdezhen dut faire face à une période de crise à partir de la fin de l'empire. Pour tous, sa gloire fait partie de l'Histoire. Pourtant, face à de nouveaux défis, la ville s'inscrit encore de nos jours dans sa destinée de capitale de la porcelaine.
|
98 |
Le contrôle social des établissements de détention : les cas de la France et du CanadaLehalle, Sandra January 2006 (has links)
Thèse diffusée initialement dans le cadre d'un projet pilote des Presses de l'Université de Montréal/Centre d'édition numérique UdeM (1997-2008) avec l'autorisation de l'auteur.
|
99 |
VERS UNE « SOCIÉTÉ HARMONIEUSE » DE CONSOMMATION ? Discours et spectacle de l'harmonie sociale dans la construction d'une Chine “civilisée” (1978-2008)Boutonnet, Thomas 25 November 2009 (has links) (PDF)
Bouleversée par plus de vingt années de réformes initiées par Deng Xiaoping en 1978, par le basculement d'une économie planifiée vers une économie de marché et le développement d'une société de consommation de masse, la société chinoise du début des années 2000 est minée par des disparités socio-économiques et territoriales grandissantes. C'est dans un tel contexte que se constitue le discours de la « société harmonieuse » (hexie shehui 和谐社会), un programme officiel présenté par le président Hu Jintao dans l'intention de pacifier les tensions sociales. Notre travail sera de démonter les stratégies discursives mises en place par la « société harmonieuse » par une analyse de ses énoncés, pour démontrer que ce discours prône la construction de l'harmonie sociale par l'acceptation des inégalités et des injustices sociales, et qu'il s'inscrit dans un processus, global et plus ancien, de civilisation de la population chinoise défavorisée. La hexie shehui s'affirme comme un instrument de contrôle et de discipline des populations pauvres, et propose un traitement moral de la question sociale. Nous verrons enfin que la « société harmonieuse » met également en scène une Chine “civilisée” et que ce spectacle est au cœur de son programme.
|
100 |
Le contrôle social des établissements de détention : les cas de la France et du CanadaLehalle, Sandra January 2006 (has links)
Thèse diffusée initialement dans le cadre d'un projet pilote des Presses de l'Université de Montréal/Centre d'édition numérique UdeM (1997-2008) avec l'autorisation de l'auteur.
|
Page generated in 0.0305 seconds