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Jeux de pouvoir : des coulisses à l'avant-scène : les reines de France Marie de Médicis et Anne d'Autriche

Leduc, Tania January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Les représentations de l'Italie et des Italiens dans le théâtre de William Shakespeare et Ben Jonson. / The representations of Italy and Italians in the drama of William Shakespeare and Ben Jonson

Camard, Christophe 15 June 2010 (has links)
Cette thèse propose d’étudier la place et la portée de l’Italie comme lieu scénique dans les pièces de deux célèbres dramaturges de la période élisabéthaine. L’introduction met en lumière la présence et l’influence de l’Italie durant la période qui précède l’essor du théâtre à Londres, ainsi que l’omniprésence de la péninsule au théâtre entre 1580 et 1620, en particulier chez William Shakespeare. La première partie de l’étude s’attache à mettre en évidence la façon dont le décor italien se met en place et dont se construit la figure de l’Autre sur la scène élisabéthaine. Sur une scène où le décor physique est limité, les procédés de création d’une couleur locale prennent des formes diverses et variées et révèlent la nature de la dualité entre identité et altérité pour le spectateur de la Renaissance anglaise. C’est alors que l’on entrevoit les différences entre la représentation satirique de Ben Jonson et celle de William Shakespeare, dont la vision de l’Italie apparaît bien plus vague, complexe et changeante. La seconde partie de ce travail repose sur l’étude des différents topoï auxquels est liée l’Italie au théâtre. Ces derniers permettent de comprendre que la représentation de la péninsule s’appuie sur un certain nombre de codes en partie attendus du public. Ils démontrent en outre combien l’identité anglaise se construit à la fois à travers le rejet et l’imitation de la patrie de la Renaissance, en un temps où l’Europe est coupée en deux sur le plan politique et religieux. / This dissertation proposes the study of the place and significance of Italy as a dramatic setting in the plays of two famous dramatists of the Elizabethan period. The introduction describes the presence and influence of Italy during the period preceding the rise and blossoming of the theatre in London, as well as the omnipresence of the Italian peninsula in drama between1580 and 1620, particularly in that of William Shakespeare. The first part of the study aims to show how the Italian setting is constructed and how the figure of the Other is represented on the Elizabethan stage. In a theatre where the physical décor is limited, the methods for creating local colour take diverse and varied forms and reveal the nature of the duality between identity and otherness for the English Renaissance spectator. This then brings into focus the differences between the satirical representation of Ben Jonson and that of William Shakespeare, whose vision of Italy appears far more vague, complex and mutable. The second part of this work focuses on the study of the different topoi to which Italy is linked in their plays. They reveal the extent to which representation of the Italian peninsula is based on a collection of codes shaped in part by the expectations by the public. Moreover, they demonstrate the importance of the simultaneous rejection and imitation of the homeland of the Renaissance in the construction of English identity,at a time when Europe is divided in two on political and religious grounds.
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Les récits de conjuration sous le règne de Louis XIV

Tribout, Bruno January 2008 (has links)
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Avatars de l'épopée dans la geste rabelaisienne et les histoires comiques du 17e siecle / Avatars of epic in the rabelaisian "Geste" and the comic narratives of the XVIIth century

Lintner, Dorothee 10 December 2011 (has links)
La thèse s’intéresse aux usages de l'épopée chez Rabelais et les histoires comiques du XVIIe siècle (Sorel, Furetière, Scarron, Tristan L’Hermite, d’Aubigné). Elle cherche à dépasser l’interprétation parodique, souvent mobilisée par la critique moderne, et à montrer comment ces auteurs semblent rivaliser avec les poètes héroïques de la même époque (Ronsard, Chapelain, etc.) en tentant de refonder le récit comique long. Tout d’abord, on tente d’évaluer la présence de l’épopée dans ces œuvres comiques par un relevé des références et des citations, et une redéfinition de l’héroïsme tel qu’il apparaît dans les récits. Dans un deuxième temps, on cherche à expliquer l’usage de ces références par les auteurs comiques, autrement que par le concept moderne et trop souvent plaqué de « parodie » : on s’intéresse donc aux usages sociologiques de l’épopée, qui sert à la satire politique, religieuse, mais aussi savante. Les historiens sont, par exemple, des cibles privilégiées, car ils se servent de l’épopée pour cautionner leurs projets d’historiographie nationaliste et mythologique. Ce travail doit enfin permettre de mesurer le rôle du genre épique dans le renouvellement de l’écriture comique, tel que l’a instauré Rabelais, et tel qu’il fut poursuivi par ses successeurs. Cette analyse permet de revenir sur la réception de Rabelais au XVIIe siècle, encore peu étudiée, autant que d’appréhender l’influence de ces longues histoires comiques en prose, dans les siècles suivants : romans d’aventures, romans de cape et d’épée – autant de genres qui ont bénéficié des innovations héroïques et vraisemblables de ces longs récits comiques d’une époque disparue. / This dissertation focuses on the various uses of epic in Rabelais’ Books and in the comic novels of the XVIIth century (d’Aubigné, Sorel, Tristan L’Hermite, Scarron, Furetière). It attempts to go beyond the parodic interpretation commonly adopted by modern criticism towards this corpus, and to underline how these authors compete with the epic poets of that time (Ronsard, Chapelain etc.), as they try to renew the comic narrative. The first part of the study assesses the presence of epic features in the works: using a list of references and quotes, it strives towards a redefinition of heroism, as the paradigm appears in the texts. It then delves into the reasons why the authors so often refer to epic: as an efficient tool for their satiric discourses. The dissertation focuses on the sociological uses of epic that target political, religious and intellectual groups that appropriate epic models for their own purposes. Historians appear as privileged targets because they use epic to validate their historiographic projects, often imbued with nationalist and mythological tendencies. Finally, the work gauges the role of epic in the renewal of comic writing, as established by Rabelais, and continued by his epigones. This analysis sheds light on Rabelais’ reception in the XVIIth century, a topic that has scarcely been studied yet, and offers explanations for the lasting influence of these long comic and prosaic stories in the following centuries: adventure novels, swashbucklers and historical novels are some of the genres that may have taken advantage of the realistic and heroic innovations brought forth by these comic stories of a bygone age.
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Tragédie historique ou Histoire en Tragédie ? : les sujets d’histoire moderne dans la tragédie française (1550-1715) / Historical Tragedy or Tragic History ? : modern Historical Subjects in French Tragedy (1550-1715)

Postert, Kirsten 18 December 2008 (has links)
Dès son apparition en 1550, la tragédie française trouve la plupart de ses sujets dans l’histoire. Si les auteurs dramatiques, suivant le goût du temps, semblent favoriser l’histoire antique ou mythologique, les sujets d’histoire moderne ou contemporaine n’en sont pas moins très présents dans la production théâtrale des années 1550-1715. Le présent ouvrage explicite les liens entre histoire et tragédie : il ne confronte pas seulement œuvres dramatiques et histoire véritable, il met aussi en lumière les rapports entre historiographie et écriture dramatique aux XVIe et XVIIe siècles. / From its apparition in 1550, French tragedy tends to draw most of its subjects from history. Though most dramatic authors, according to the taste of the times, tend to favour classical or mythological plots, subjects drawn from modern or contemporary history are nevertheless very present in the works produced between 1550 and 1715. The present work seeks to explain the links between history and tragedy. It compares not only the dramatic works with real historical events but also seeks to illuminate the relationship between historiography and dramatic writing in the 16th and 17th centuries.
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Le corps dans les histoires comiques au XVIIe siècle / The Body in XVIIth century Comic Novels

Toublet, Cécile 12 December 2015 (has links)
Les histoires comiques forment, de 1612 à la fin du siècle, un genre narratif divertissant qui, bien que traversé par des influences diverses, trouve sa cohésion dans de nets partis pris esthétiques : une écriture naturelle, une attention portée aux réalités, une apparente vérité des lieux, des situations et des personnages, ainsi que la présence d’une thématique sérieuse sous une fantaisie de façade. La redécouverte de ces oeuvres par la critique moderne a permis de souligner le rôle qu’elles ont joué dans l’évolution du roman au XVIIe siècle, après plusieurs siècles d’oubli ou de dénigrement. Assurément, avant toute analyse, les histoires comiques marquent surtout l’esprit par leur bouffonnerie : leurs auteurs n’écartent aucun ressort facétieux, si grossier soit-il, pour provoquer le rire. C’est, en effet, sur la mise en scène grotesque du corps que repose le plaisir franc et simple de ces oeuvres : visages difformes, anatomies disproportionnées, gesticulations, chutes, maladies, coups, chairs blessées ou sensuelles tissent le matériau narratif. Notre thèse propose de sonder cette présence ostentatoire du corps humain et de démontrer qu’elle est au centre de la fabrique du genre deshistoires comiques. En sus de cette exploration, notre étude cherche à affiner l’interprétation du divertissement corporel en prenant en compte son contexte culturel et anthropologique. Il s’agit de comprendre comment, au-delà de son rôle poétique et générique, le corps devient signifiant pour les auteurs du la narration comique du XVIIe siècle. / From 1612 to the end of the century, comic novels constitute a entertaining narrative genrewhich, despite many diverse influences, finds its cohesion in firm aesthetic choices : a natural writing, an attention to reality, an outward truthfulness of places, situations and characters, as well as serious themes under the apparent farce. When the modern critique rediscovered those works, it underlined their crucial part in XVIIth century novel’s evolution, after a long period of oblivion or denigration. Indeed, previous to any analysis, comic novels strike mostly by their buffoonery : their writers don’t hesitate to use triviality and vulgarity to create laughter.Surely, the simple and franc pleasure of reading comic novels is based on the grotesque staging of the body : deformed faces, disproportionate anatomies, gesticulations, falls, illnesses, punches, armed or sensual fleshes forge the narrative material. Our thesis proposes to investigate the ostentatious presence of the human body and to demonstrate that it is at the heart of the construction of the comic novel as a genre. In addition to this exploration, our study seeks to sharpen the interpretation of the corporeal entertainment by taking into account its cultural and anthropological context. The aim is to understand how, beyond its poetical andgeneric part, the body becomes meaningful to the authors of XVIIth century comic narration.
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Approches de l'écriture de soi : les récits autobiographiques de soldats dans l'Espagne du XVIIe siècle / Approaches of writing about oneself : stories autobiografical from soldiers in Spain in the 17th century

Steinbach, Jacqueline 27 May 2016 (has links)
Cette étude analyse un ensemble de narrations à la première personne du singulier rédigées au XVIIe siècle, ainsi que leurs conditions d’écriture et de réception. Cinq récits de vie de soldats ont fait l’objet de ce travail : les récits de Diego Suárez Corvín, Jerónimo de Pasamonte, Diego Galán de Escobar, Alonso de Contreras et Domingo de Toral y Valdés. L’étude s’attache dans un premier temps à l’analyse du contexte historique et militaire, qui conditionne fortement ces écritures personnelles. L’analyse du cadre culturel et idéologique de l’écriture sur soi au Siècle d’Or démontre que l’émergence de ces récits de vie ne peut pas être dissociée d’un ensemble de circonstances (théories aristotéliciennes sur l’histoire et la poésie, apparition de la notion d’individu et des premiers récits de soi à la Renaissance, contexte de réception) qui ont permis l’ouverture d’un nouvel espace générique dans lequel s’inscrivent ces récits de vie. Enfin, cette étude s’attache aux enjeux et aux stratégies d’écriture de ces récits de soldats : ces aspects légitiment l’inclusion de ces textes dans le cadre théorique et générique de l’autobiographie, et font également apparaître la présence d’influences intertextuelles qui démontrent que ces auteurs ont écrit en fonction de matrices d’écriture et qui permettent, d’une certaine manière, le passage de la vie à la littérature. / This research analyses a corpus of five first-person narratives written in the 17th century as well as the context in which they were written and the way they were received. These five self-narratives are from soldiers named Diego Suárez Corvín, Jerónimo de Pasamonte, Diego Galán de Escobar, Alonso de Contreras and Domingo de Toral y Valdés.First of all, the study focuses on the historical and military context which strongly influenced the writing of these self-narratives. The analysis of the cultural and ideological contexts of autobiographical writing in the Golden Age shows that the emergence of these self-narratives is intermingled with a number of historical elements (the Aristotelian theories on history and poetry, the emergence of the notion of individual and of the first self-narratives, the context of their reception) which led to the creation of a new theoretical space to which these self-narratives belong. This research also deals with the issues and strategies at stake in these soldiers’ writings. These elements make it relevant to include these writings in the theoretical and generic genre of the autobiography. They also reveal inter textual references which are clear evidence that these writings were produced according to writing patterns, which enabled, in a way, the passage from life to literature.
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Apologie, archive et pratique de la scène au XVIIe siècle. Étude et édition critiques du Théâtre françois de Samuel Chappuzeau (1674) / Apology, archive and practice of the scene in 17th century. Critical study and edition of Le Théâtre François of Samuel Chappuzeau

Rejichi, Rim 07 June 2011 (has links)
Avec le Théâtre françois, Samuel Chappuzeau rend hommage aux comédiens et révèle tout un pan mal connu du théâtre français. Après la mort de Molière et avec la fondation du théâtre Guénégaud, l’auteur dévoile les conditions de la vie matérielle des acteurs et de l’organisation des troupes. Témoin privilégié d’un compendium d’événements, il entreprend de décrire les us et coutumes de cette catégorie socioprofessionnelle en cours de constitution et participe ainsi à la querelle de la moralité du théâtre. En outre, il élabore la première histoire du théâtre et fait ainsi entrer le théâtre dans le champ de la littérature. Grâce à cet ouvrage, le théâtre acquiert sa dignité comme activité, spectacle et genre littéraire. / In Le Théâtre François, Samuel Chappuzeau celebrated its actors and actresses and unveiled largely unfamiliar aspects of 17th century French theatre. His book described how actors concretely lived and how troupes were organized after Molière's death and the Comédie-Française's foundation; as a privileged witness of such eventful years, he described the ways and customs of that emerging social group, and thus took part in the controversy about whether theatre was immoral or not. Besides, by writing the first history of French theatre, he allowed it to enter the field of literature. Le Théâtre François qualified French theatre as an occupation, as an entertainment, and as a literary genre.
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Une culture chorégraphique au fil des airs : Transferts et adaptations poïétiques entre Venise et Paris au XVIIe siècle / A choreographic culture through airs : Transfers and poiesis adaptations between Venice and Paris in the XVIIth century

Maurmayr, Bianca 19 November 2018 (has links)
Ma recherche interroge les transferts culturels produits entre la France et l’Italie au XVIIe siècle en ce qui concerne la culture chorégraphique, avant que la belle dance française ne s’impose comme norme de référence à l’échelle européenne. Me plaçant dans la lignée d’études promue par J. Sasportes et S. Mamone sur l’appréhension de la culture spectaculaire de l’époque moderne au-delà des limites nationales, je considère qu’une analyse des processus migratoires des artistes au cours du XVIIe siècle aide à redéfinir l’émergence des styles comme le résultat d’un dialogue culturel vigoureux. En ce sens, la notion de transfert culturel – tirée de l’histoire croisée (Werner et Zimmerman) – vient éclaircir les références kinésiques communes entre France et Italie à l’intérieur d’un contexte de circulation (des personnes et des savoir-faire) et d’un processus multiple d’appropriation, de configuration, parfois aussi de résistance à l’intégration d’éléments chorétiques d’autrui. Suivant ces propos, j’ai resserré l’étude sur les riches échanges entre la République de Venise et Paris dans la culture dramaturgique et dans la danse théâtrale et sociale, dans une période comprise entre 1637 (naissance du théâtre public vénitien) et 1728 (publication du Trattato del ballo nobile de Dufort). Suivant la démarche qualitative et inductive de l’anthropologie historique (C. Ginzburg, P. Burke), j’ai envisagé le théâtre public vénitien et son ballo teatrale (I. Alm) comme contre-modèles à la tradition historiographique du ballet français – souvent érigée comme la seule expérience significative de l’époque. Me détachant des catégories taxinomiques de « Renaissance », « Baroque » ou « ballet de cour » (B. Sparti), j’ai retracé les dénominations générées par les discours internes à l’art et transmises par ses acteurs. En plus de sonder les traditions et les relations du « ballet » et du « ballo », la thèse interroge les médiations culturelles entre France et Italie via les emprunts linguistiques de la langue française à la langue italienne (E. Kougioumtzoglou- Roucher), voire via les emprunts cinétiques de la belle dance au vocabulaire technique italien. Cette analyse comparative est accompagnée par un travail de réappropriation corporelle du vocabulaire ancien, l’articulation entre théorie et pratique étant au cœur de la méthodologie des études en danse. / My research questions the cultural transfers between France and Italy in the XVIIth century in the respect of choreographic culture, before French belle dance was imposed as the standard reference on a European scale. Placing myself in the line of studies promoted by J. Sasportes and S. Mamone on the understanding the spectacular culture of the modern era beyond national boundaries, I consider that an analysis of the migratory processes of artists during the XVIIth century could help to redefine the emergency of styles as the result of vigorous cultural dialogues. In this sense, the notion of cultural transfer – drawn from the gekreuzte Geschichte (Werner and Zimmerman) – clarifies the kinetic common references between France and Italy within a context of circulation (of people and expertise) and a multiple process of appropriation, configuration, sometimes also resistance to the integration of choretic elements. Following these remarks, I tightened up the study on the rich exchanges between the Republic of Venice and Paris in the culture of dramaturgy and of theatrical and social dance, in a period between 1637 (birth of the Venetian public theatre) and 1728 (publication of Trattato del Ballo Nobile by Dufort). Following the deliberately qualitative and inductive approach of historical anthropology (C. Ginzburg, P. Burke), I looked at the Venetian public theatre and its ballo teatrale (I. Alm) more specifically as a counter-model to the historiographical tradition of French ballet – often erected as the only experience significant at the time. Also, wanting to get rid of the taxonomic categories of "Renaissance", "Baroque" or "ballet de cour" (B. Sparti), I retraced the denominations generated by internal discourses to the art and transmitted by the actors. In addition to probing the traditions and relations of "ballet" and "ballo", the thesis questions the cultural mediations between France and Italy via linguistic borrowing from the French language to the Italian language (E. Kougioumtzoglou-Roucher), even via the borrowing of kinetic units, and driving content of the belle dance to the Italian technical vocabulary. This comparative analysis is accompanied by a work of physical reappropriation of ancient vocabulary, the articulation between theory and practice being at the very heart of the methodology of dance studies.
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Kalínago. Français et amérindiens dans les Petites Antilles au XVIIe siècle / Kalínago. Amerindians and French in the Lesser Antilles during the seventeenth century

Roux, Benoît 13 September 2019 (has links)
L’histoire des expansions européennes est peuplée d’ethnonymes dont l’évocation seule suffit à figurer les confins de la civilisation et à résumer les espoirs déçus des empires coloniaux. Autant de noms exotiques que l’on prononce, tels des emblèmes de la résistance indigène opposée à tout effort de conquête. Caraïbes est de ceux-là qui, sitôt entrés dans les chroniques européennes, ont été érigés en légende. Or, au-delà des discours hérités et convenus, que savons-nous de ces Indiens, de leurs logiques, de leurs pratiques, de leurs représentations sociales, ou des relations qu’ils entretiennent avec les Français au XVIIe siècle ? À dire vrai, fort peu de choses. Ces questions, bien que sorties des mortes-eaux de l’histoire coloniale, n’ont suscité que peu d’intérêt. Elles n’ont été qu’effleurées dans des monographies insulaires, ou dans des ouvrages consacrés à l’occupation archéologique de l’archipel. C’est en écho à ce constat un peu trop vite entériné qu’a pris forme le projet d’écrire une histoire de la cohabitation entre Français et Caraïbes au XVIIe siècle. La présente recherche aspire donc non seulement à apporter un éclairage sur ce chapitre, mais également à désenclaver des histoires généralement séparées dans la production scientifique. Aussi, souhaitons-nous que cette enquête, à l’intersection des histoires coloniales et indigènes, conduise à revoir nos grilles d’analyse, en tenant compte des réflexions développées par l’ethnologie et l’archéologie, afin d’éviter les écueils de l’histoire-récit. Les circulations et les échanges entre Indiens, Européens et Africains, où prime le facteur humain, seront par conséquent au cœur de l’intrigue. / In the stories of European expansion, many ethnonyms are synonymous with barbarism (as opposed to civilization) or with the failure of the colonial empire. These “exotic” demonyms became the symbols of the resistance of the natives against any attempt of conquest. “Caraïbes” (Caribs) is one of the names which became legendary as soon as it appeared in the European chronicles. But beyond the inherited and agreed discourses, what do we know about these Caribs, their logics, their practices, their social representations, or their relations with the French settlers during the seventeenth century? It must be acknowledged we know next to nothing about these Indians, despite the historiographical revival in the field of colonial history over the last decades. The Caribs have only been touched upon in monographs concerned with such or such island, or in books focusing on archaeological occupation of the archipelago. On the basis of these observations, this doctoral thesis explores the history of the cohabitation between the French and the Caribs in the seventeenth century. It also attempts to open up stories which have generally been studied separately although they all belong to the same scientific field. Such project, at the intersection of colonial and native history, will therefore take into account archaeological and ethnological research in order to avoid the pitfalls of story-telling. As a consequence, the circulation and exchanges between Amerindians, Europeans and Africans, in which the human factor prevailed, will be an essential field of investigation.

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