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Vécu scolaire et stratégies identitaires d'adolescents montréalais d'origine haïtienne de première et de deuxième générationsLafortune, Gina January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Enrichissement des repas scolaires en huile de palme rouge au Burkina Faso : évaluation des résultats et de l'impactZeba, Nawidimbasda Augustin January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le double fardeau de la malnutrition à l’âge scolaire en milieu urbain : une étude au Burkina FasoDaboné, Charles 12 1900 (has links)
Ce travail financé par l'ACDI a été réalisé au Laboratoire TRANSNUT de l'Université de Montréal (Canada)en collaboration avec le Laboratoire National de Santé Publique (Burkina Faso) et HKI-Burkina Faso. / L’objectif de l’étude conduite à Ouagadougou était d’évaluer l’état nutritionnel et les habitudes de vie des écoliers ainsi que leurs pratiques alimentaires et certains déterminants, afin d’orienter puis plus tard d’évaluer une intervention nutritionnelle.
L’étude a inclus 799 écoliers du cours moyen (âge moyen : 11,7 ± 1,4a) fréquentant 12 écoles privées ou publiques, urbaines ou péri-urbaines. Le poids, la taille, la tension artérielle et l’hémoglobine ont été mesurés et la thyroïde évaluée par palpation. Les lipides sanguins, la glycémie et le rétinol sérique ont été mesurés dans un sous-échantillon (N=208). Un questionnaire complété en classe portait sur la fréquence de consommation d’aliments « santé » (fruits, légumes, viande, poisson, légumineuses) et «superflus » (gâteaux, biscuits, bonbons, glaces, soda), les déterminants du comportement alimentaire ainsi que les pratiques d’hygiène et d’activité physique. Les signes carentiels étaient : une faible rétinolémie, l’anémie, la maigreur, le retard de croissance et le goitre. Les facteurs de risque cardio-métabolique (RCM) consistaient en une tension artérielle élevée, le surpoids/obésité, l’hyperglycémie et la dyslipidémie.
Au moins une carence était présente chez 57% des participants. L’anémie (40,4%) et la carence en vitamine A (CVA) (38,7%) étaient fortement prévalentes. Le retard de croissance touchait 8,8% et la maigreur 13,7% des enfants. L’anémie (p=0,001) et la CVA (p<0.001) étaient significativement plus élevées dans les écoles publiques que privées. Aucun cas de goitre n’a été détecté. Le surpoids/obésité était rare (2,3%) . La maigreur et le retard de croissance étaient significativement plus élevés en milieu périurbain.
Au moins un facteur de RCM était présent chez 36% des écoliers dont le principal était un taux de cholestérol-HDL-(HDL-C) bas (19,3%), suivi du cholestérol total et du LDL-C élevés (11,6% chacun) et la pression systolique élevée (9,7%). Le sexe féminin était indépendamment et positivement associé aux taux de lipides sanguins dont paradoxalement le HDL-C. L’IMC était indépendamment associé à une tension élevée.
On observait que le double fardeau de la malnutrition (DFM) affectait 27,5% des participants.
Le score de fréquence de consommation des aliments superflus était plus élevé que celui des aliments santé (p=0,001). Pendant la semaine précédant l’étude, 25 % des enfants n’avaient pas consommé de fruits, 20% pas de viande, 20% pas de légumineuses alors que 18,3% consommaient des glaces tous les jours. Les écoliers du privé consommaient plus fréquemment autant les aliments santé que superflus que ceux des écoles publiques. Les écoliers du milieu urbain avaient un score plus élevé de consommation des aliments superflus que ceux du milieu péri-urbain. La consommation des aliments santé ou superflus était essentiellement expliquée par le contrôle perçu, la disponibilité des produits ainsi que l’influence de la mère pour les aliments santé et l’influence des pairs pour les aliments superflus parmi les explications explorées.
Cette étude a montré que les signes de carence nutritionnelle sont répandus et prédominent encore chez les écoliers du milieu urbain, mais aussi que la fréquence des marqueurs de risque cardiométabolique n’est pas négligeable. Des mesures préventives devraient être entreprises pour contrer tant les problèmes de carences que de surcharge. / The aim of this study carried out in Ouagadougou was to assess the nutritional status of schoolchildren and to assess their lifestyle practices as well as their food habits and determinants, for the guidance and evaluation of a nutrition intervention.
The cross-sectional survey included 799 schoolchildren in 5th grade (mean age 11.7 ± 1.4y) attending 12 private or public, urban or peri-urban schools. Weight, height, blood pressure and haemoglobin were measured and thyroid palpation was performed. Fasting serum lipids, glycaemia and serum retinol were measured in a sub-sample (N=208). A questionnaire was filled in classroom to assess consumption frequency of ‘healthy’ foods (fruits, vegetables, meat, fish, legumes) and ‘unhealthy’ items (cakes, cookies, candies, ice, soda) and underlying factors as well as hygiene and physical activity practices. Deficiencies signs were: low serum retinol, anaemia, thinness, stunting and goitre whereas cardiometabolic risk factors (CRF) signs consisted of elevated blood pressure (BP), overweight/obesity, hyperglycaemia, and dysglyceamia.
At least one malnutrition sign was found in 57% pupils. Anaemia (40.4 %) and vitamin A deficiency (VAD) (38.7 %) were highly prevalent. Stunting affected 8.8% of children while thinness affected 13.7 % of them. Anaemia (p = 0.001) and DVA (p < 0.001) were significantly higher in public than private schools. Goitre was not detected. Overweight/obesity was rare (2.3 %). Thinness and stunting were significantly higher in peri-urban compared to urban schools.
At least one CRF was found in 36% schoolchildren. The main risk factors were low HDL-cholesterol (HDL-C) (19.3%) followed by high total cholesterol, high LDL-cholesterol (11.6% each) and elevated systolic blood pressure (9.7%). Being a girl was independently associated with increased serum lipids including HDL-C paradoxically. Body Mass Index was independently associated with increased BP.
It was found that the double burden of malnutrition (DBM) affected 27.5% children.
Consumption scores of unhealthy food were significantly higher than healthy foods’ (p= 0.001). During the week prior to the survey, 25% of children had eaten no fruit, 20% no meat, 20% no legume, while 18.3% ate ice pop every day. Compared to public-school pupils, those from private schools consumed both healthy and unhealthy items more frequently. Urban school children had significantly higher unhealthy food scores compared to peri-urban schools. Children’s healthy and unhealthy food consumption was primarily explained by perceived control and availability for both types of foods, and maternal reinforcement for healthy foods and peers’ reinforcement for consumption of unhealthy items among the investigated explanations.
This study showed that malnutrition is widely prevalent in schoolchildren in cities, concurrently with a sizeable prevalence of cardiometabolic risk factors. Preventive measures should be tailored to prevent both dietary inadequacies and excess.
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Étude des déterminants socio-familiaux associés aux comportements sexuels à risque des adolescents de Lubumbashi : Une contribution à la théorie socio-psychologique de la santéKalau Mutej, Jean-Marie 24 July 2013 (has links) (PDF)
La voie sexuelle est le mode principal de transmission du VIH/SIDA, actuelle pandémie mondiale au macabre bilan insoutenable : environ 40 millions d'infectés dans le monde en 2011 dont plus de deux tiers en Afrique Subsaharienne ; de nouvelles contaminations annuelles évaluées par centaines de milliers ; explosion du nombre d'orphelins, etc. Eu égard à l'allure inquiétante de cette pandémie en RDC (4,1 - 4,9% de SIDA ; 6 à 7% dans les centres urbains comme Lubumbashi), plusieurs acteurs œuvrant dans le cadre de la prévention contre cette pandémie s'obligent parfois à monter au créneau pour fustiger certains comportements insolites (par exemple affectation des préservatifs à des usages inappropriés). Cette étude s'est proposé d'identifier les facteurs socio-familiaux associés aux CSR des adolescents de Lubumbashi (RDC). Elle hiérarchise ces facteurs en fonction de leurs forces respectives d'association aux CSR et en détermine les mécanismes d'influence opérationnels. L'étude consiste en une série d'enquêtes avec questionnaire, entretiens semi-structurés et observation en situation réalisés auprès de plus de sept cents adolescents et adolescentes scolarisés et non scolarisés et autres PS de Lubumbashi. Les questions de prise en charge des frais des soins médicaux et des autres supports sociaux perçus ou ressentis, les défauts et défaillances dans l'exercice de l'autorité parentale et autres adultes (considérés comme prestations parentales (parentalité) carentielles, les abus parentaux, tutoriaux ou des autres adultes par le fait des ancrages sociaux nuisibles et le climat délétère en famille, manifesté parfois au travers des violences en famille entrainant du coup des situations complexes telles que les incitations subtiles, c'est-à-dire qui ne disent pas leurs noms ont été des référents majeurs visés. Au terme de l'étude, il se révèle une activité sexuelle manifeste, indifférenciée et préoccupante dans la population visée. Les modèles issus des régressions logistiques s'appesantissent sur les querelles (violences, conflits, bagarres) en famille, prise en charge des frais de soins de santé et principal confident intime. Quels qu'eussent été leurs situations scolaires, les confidents ou type de climat au sein de la famille de provenance, les ADO qui avaient été supportés par leurs propres parents étaient près de deux fois (OR = 0,46 (0,25-0,86)) moins nombreux sexuellement actifs comparativement à ceux qui n'ont pas décliné l'identité de la personne qui avaient pris en charge ce type des frais. En outre, les ADO supportés par leurs propres géniteurs déclaraient facilement les signes (symptômes) des IST que les autres " sans réponse ". Ils étaient près de quatre fois (OR = 3,72 (1,21-11,7)) plus nombreux à déclarer au moins un signe d'IST que les autres. Enfin, qu'ils aient été scolarisés ou pas, pris en charge par leurs parents ou pas et quel qu'eusse été leur confident, les ADO qui refusaient de répondre à la question concernant les querelles ou bagarres en famille étaient près de deux fois (OR = 1,89 (1,13-3,16)) plus nombreux actifs sexuellement que ceux qui affirmaient en observer ; ce qui n'est pas sans soulever des questions au sujet de l'encadrement et du climat social en famille mais aussi en dehors de celle-ci dans la mesure où les ADO qui ont déclaré avoir utilisé le préservatif lors de leurs derniers rapports sexuels sont moins nombreux à rapporter les signes des IST. Par ailleurs, les engagements problématiques constatés se traduisent par une prédominance du confiage et prestations parentales carentielles. Cette étude est un plaidoyer en faveur d'un bon encadrement socio-familial des ADO et des " familles en sursis ". Eu égard au bas niveau d'éducation ; au caractère jeune de la population visée, l'habilitation ; alternative/occasion, notamment par l'allégement de la prise en charge des frais médicaux des ADO par leurs parents ; sinon tuteurs, devrait faire partie des efforts d'intervention.
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Le double fardeau de la malnutrition à l’âge scolaire en milieu urbain : une étude au Burkina FasoDaboné, Charles 12 1900 (has links)
L’objectif de l’étude conduite à Ouagadougou était d’évaluer l’état nutritionnel et les habitudes de vie des écoliers ainsi que leurs pratiques alimentaires et certains déterminants, afin d’orienter puis plus tard d’évaluer une intervention nutritionnelle.
L’étude a inclus 799 écoliers du cours moyen (âge moyen : 11,7 ± 1,4a) fréquentant 12 écoles privées ou publiques, urbaines ou péri-urbaines. Le poids, la taille, la tension artérielle et l’hémoglobine ont été mesurés et la thyroïde évaluée par palpation. Les lipides sanguins, la glycémie et le rétinol sérique ont été mesurés dans un sous-échantillon (N=208). Un questionnaire complété en classe portait sur la fréquence de consommation d’aliments « santé » (fruits, légumes, viande, poisson, légumineuses) et «superflus » (gâteaux, biscuits, bonbons, glaces, soda), les déterminants du comportement alimentaire ainsi que les pratiques d’hygiène et d’activité physique. Les signes carentiels étaient : une faible rétinolémie, l’anémie, la maigreur, le retard de croissance et le goitre. Les facteurs de risque cardio-métabolique (RCM) consistaient en une tension artérielle élevée, le surpoids/obésité, l’hyperglycémie et la dyslipidémie.
Au moins une carence était présente chez 57% des participants. L’anémie (40,4%) et la carence en vitamine A (CVA) (38,7%) étaient fortement prévalentes. Le retard de croissance touchait 8,8% et la maigreur 13,7% des enfants. L’anémie (p=0,001) et la CVA (p<0.001) étaient significativement plus élevées dans les écoles publiques que privées. Aucun cas de goitre n’a été détecté. Le surpoids/obésité était rare (2,3%) . La maigreur et le retard de croissance étaient significativement plus élevés en milieu périurbain.
Au moins un facteur de RCM était présent chez 36% des écoliers dont le principal était un taux de cholestérol-HDL-(HDL-C) bas (19,3%), suivi du cholestérol total et du LDL-C élevés (11,6% chacun) et la pression systolique élevée (9,7%). Le sexe féminin était indépendamment et positivement associé aux taux de lipides sanguins dont paradoxalement le HDL-C. L’IMC était indépendamment associé à une tension élevée.
On observait que le double fardeau de la malnutrition (DFM) affectait 27,5% des participants.
Le score de fréquence de consommation des aliments superflus était plus élevé que celui des aliments santé (p=0,001). Pendant la semaine précédant l’étude, 25 % des enfants n’avaient pas consommé de fruits, 20% pas de viande, 20% pas de légumineuses alors que 18,3% consommaient des glaces tous les jours. Les écoliers du privé consommaient plus fréquemment autant les aliments santé que superflus que ceux des écoles publiques. Les écoliers du milieu urbain avaient un score plus élevé de consommation des aliments superflus que ceux du milieu péri-urbain. La consommation des aliments santé ou superflus était essentiellement expliquée par le contrôle perçu, la disponibilité des produits ainsi que l’influence de la mère pour les aliments santé et l’influence des pairs pour les aliments superflus parmi les explications explorées.
Cette étude a montré que les signes de carence nutritionnelle sont répandus et prédominent encore chez les écoliers du milieu urbain, mais aussi que la fréquence des marqueurs de risque cardiométabolique n’est pas négligeable. Des mesures préventives devraient être entreprises pour contrer tant les problèmes de carences que de surcharge. / The aim of this study carried out in Ouagadougou was to assess the nutritional status of schoolchildren and to assess their lifestyle practices as well as their food habits and determinants, for the guidance and evaluation of a nutrition intervention.
The cross-sectional survey included 799 schoolchildren in 5th grade (mean age 11.7 ± 1.4y) attending 12 private or public, urban or peri-urban schools. Weight, height, blood pressure and haemoglobin were measured and thyroid palpation was performed. Fasting serum lipids, glycaemia and serum retinol were measured in a sub-sample (N=208). A questionnaire was filled in classroom to assess consumption frequency of ‘healthy’ foods (fruits, vegetables, meat, fish, legumes) and ‘unhealthy’ items (cakes, cookies, candies, ice, soda) and underlying factors as well as hygiene and physical activity practices. Deficiencies signs were: low serum retinol, anaemia, thinness, stunting and goitre whereas cardiometabolic risk factors (CRF) signs consisted of elevated blood pressure (BP), overweight/obesity, hyperglycaemia, and dysglyceamia.
At least one malnutrition sign was found in 57% pupils. Anaemia (40.4 %) and vitamin A deficiency (VAD) (38.7 %) were highly prevalent. Stunting affected 8.8% of children while thinness affected 13.7 % of them. Anaemia (p = 0.001) and DVA (p < 0.001) were significantly higher in public than private schools. Goitre was not detected. Overweight/obesity was rare (2.3 %). Thinness and stunting were significantly higher in peri-urban compared to urban schools.
At least one CRF was found in 36% schoolchildren. The main risk factors were low HDL-cholesterol (HDL-C) (19.3%) followed by high total cholesterol, high LDL-cholesterol (11.6% each) and elevated systolic blood pressure (9.7%). Being a girl was independently associated with increased serum lipids including HDL-C paradoxically. Body Mass Index was independently associated with increased BP.
It was found that the double burden of malnutrition (DBM) affected 27.5% children.
Consumption scores of unhealthy food were significantly higher than healthy foods’ (p= 0.001). During the week prior to the survey, 25% of children had eaten no fruit, 20% no meat, 20% no legume, while 18.3% ate ice pop every day. Compared to public-school pupils, those from private schools consumed both healthy and unhealthy items more frequently. Urban school children had significantly higher unhealthy food scores compared to peri-urban schools. Children’s healthy and unhealthy food consumption was primarily explained by perceived control and availability for both types of foods, and maternal reinforcement for healthy foods and peers’ reinforcement for consumption of unhealthy items among the investigated explanations.
This study showed that malnutrition is widely prevalent in schoolchildren in cities, concurrently with a sizeable prevalence of cardiometabolic risk factors. Preventive measures should be tailored to prevent both dietary inadequacies and excess. / Ce travail financé par l'ACDI a été réalisé au Laboratoire TRANSNUT de l'Université de Montréal (Canada)en collaboration avec le Laboratoire National de Santé Publique (Burkina Faso) et HKI-Burkina Faso.
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Dermatophytoses en milieu scolaire au Mali / Dermatophytoses among schoolchildren in MaliCoulibaly, Oumar 19 December 2014 (has links)
Pour déterminer les caractéristiques épidémiologiques des dermatophytoses chez les élèves, nous avons effectué trois enquêtes transversales entre décembre 2009 et février 2012 dans des écoles primaires publiques situées dans trois zones éco-climatiques différentes du Mali. Sur un échantillon aléatoire de 590 élèves (âge moyen de 9,7 ans ; 286 garçons), la prévalence clinique des dermatophytoses était de 59,2%. La teigne du cuir chevelu (39.3%) représentait la forme clinique la plus fréquente ; la prévalence des autres dermatophytoses était de 13,6% avec une prédominance de l'atteinte de la peau glabre (81,3%). Une forte prévalence (59,5%) des cas confirmés de teigne a été enregistrée dans la zone climatique soudano-guinéenne. Nous avons mis en évidence le genre masculin et la résidence dans la zone bioclimatique Soudano-guinéenne comme facteurs de risque indépendants associés à la teigne du cuir chevelu. Les espèces de dermatophytes identifiées étaient T. soudanense (41,3%), M. audouinii (36,5%), T. violaceum (3,7%), T. mentagrophytes (2,1%) et l'association de T. soudanense avec M. audouinii (14,8%) ou T. mentagrophytes (1,6%). Sur 41 instruments de coiffure prélevés, 73,2%, étaient contaminés par deux espèces anthropophiles : T. soudanense (53,3%) et M. audouinii (46,7%). Au plan thérapeutique, nous avons évalué l'activité de la squalamine, contre des dermatophytes in vitro. Cette molécule a présenté des CMIs variant de 4 à 16 mg/l. Nous avons ensuite montré une bonne tolérance et une efficacité partielle de la squalamine en topique dans le traitement de la teigne du cuir chevelu dans un essai clinique de phase II, randomisé, en double aveugle, contrôlé par placebo. / To determine the epidemiological characteristics of dermatophytoses in Malian schoolchildren, we conducted three cross-sectional surveys between December 2009 and February 2012 in three public primary schools located in three climatic zones. A randomly selected sample of 590 schoolchildren (mean age: 9.7 years, 286 males) participated in this study. Overall, three hundred and twelve participants were diagnosed to have dermatophytosis lesions, giving a 52.9 % prevalence of clinical dermatophytoses. Tinea capitis was the most common clinical presentation, with a 39.3% prevalence, whereas the prevalence other dermatophytoses was 13.6%. A high (59.5%) prevalence rate of confirmed cases of tinea capitis was observed in the Sudano-Guinean climatic zone. Male gender and living in this climatic zone were independent risks factors associated with tinea capitis. Mycological culture found T. soudanense (41.3%), M. audouinii (36.5%), T. violaceum (3.7%), T. mentagrophytes (2.1%), and the combination of T. soudanense with M. audouinii (14.8%) or T. mentagrophytes (1.6%). In addition, we found a high contamination rate (73.2%), with two anthropophilic dermatophytes: T. soudanense (53.3%) and M. audouinii (46.7%), of hairdressing tools in peri-urban area of Bamako. Regarding anti-dermatophyte therapy, we showed a significant in vitro activity of squalamine against clinical dermatophyte isolates, with MICs ranging from 4 to 16 mg/l. In a phase II, randomized, double-blind, placebo-controlled, clinical trial, a topical treatment with squalamine ointment was well tolerated and exhibited a partial clinical activity in the treatment of tinea capitis.
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Organisations et groupes de jeunesse dans les communautés entre Rhône et Alpes (XVIe -XVIIe -XVIIIe siècles)Champeley, Jean-Yves 02 December 2010 (has links)
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