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Les règles de droit patrimonial et successoral à la Basse Epoque égyptienne et à l'époque ptolémaïque (664 - 30 avant notre ère) / The rules of patrimonial and inheritance rights in Egypt during the late period and the Ptolemaïc period (660-30 B. C.)

Houssais, Frédéric 19 June 2013 (has links)
Les présents travaux portent sur une période particulière de l’Égypte pharaonique, marquée par l’apparition d’une nouvelle écriture cursive – le démotique – transcrivant un état plus récent de la langue égyptienne, et par une évolution marquée de la société égyptienne sous l’influence des dominations étrangères successives. Parmi la documentation juridique disponible, de nombreux textes ont trait aux règles de droit patrimonial et à leurs modes de transmission : des textes théoriques ( tel le Code d’Hermopolis), mais également, et en plus grands nombres, de la documentation d’application de ces règles de droit et des décisions judiciaires s’y rapportant, ainsi que des textes littéraires qui nous éclairent sur le mode de fonctionnement de la famille égyptienne du premier millénaire avant notre ère. Outre la description des règles de transmission patrimoniale intrafamiliale, l’analyse de cette documentation permet de percevoir le rôle des différents éléments composant la famille égyptienne : père, fils aîné, femme, principalement, et d’en mieux comprendre les mécanismes successoraux en tant que vecteur, non seulement du patrimoine familial, mais aussi et surtout, du rôle de chef de famille, de patriarche, au sein de l’indivision familiale. Enfin, les sources juridiques relevant de la pratique démontrent que les Égyptiens du premier millénaire avant notre ère interprétaient les règles liées aux transmissions patrimoniales et en usaient de façon stratégique, afin de les façonner de la manière désirée, quitte à passer outre aux principes établis, parfois depuis de nombreux siècles. / The present work concerns a particular period of Pharaonic Egypt, marked by the appearance of a new cursive writing – the demotic writing – transcribing a more recent state of the Egyptian language, and a loss of political independence. Among the available legal documentation, numerous texts concerned the rules of patrimonial law and their modes of transmission: theoretical texts (such as the Legal Code of Hermopolis), but also, and in larger numbers, the application documentation of these legal rules and the court orders relating to it, and literary texts which give us another view of the first millennium B.C. Egyptian family way of functioning. Besides the description of the rules of the family intra family holdings transmission, the analysis of this documentation allows to determine what the role of the family main component was: father, first son, woman, and to understand the inheritance process as vector, not only of the family goods, but mostly of the family chief (or patriarch) role in the family undivided possession. Then, the useful judicial sources show that the first millennium B.C. Egyptians interpreted the rules of patrimonial transmissions and used of them strategically in order to disregard the established principles, often since centuries
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L’emprunt aux langues étrangères en arabe égyptien moderne et contemporain : Aspects linguistiques, historiques et identitaires / The borrowing from foreign languages in modern and contemporary Egyptian Arabic : Linguistic, historic and identical aspects

Kamal Boles Mikhael, Ayman 28 June 2012 (has links)
Le présent travail se compose de cinq parties. Dans la première partie, nous parlons des aspects historico-linguistiques de l’Égypte, des dialectes de l’arabe égyptien et du contexte sociolinguistique en Égypte. Dans la deuxième partie, de la notion de l’emprunt, des motifs de l’emprunt, de la langue des jeunes et de l’évolution de l’emprunt. Dans la troisième partie, nous parlons des critères d’identification des emprunts existant en arabe égyptien, des cas particuliers. Dans la quatrième partie, nous donnons les résultats d’une enquête menée auprès d’Égyptiens. Dans la cinquième et dernière partie, nous parlons de l’intégration phonétique, phonologique et sémantique des emprunts et de leurs correspondances phonologiques, des cas problématiques de l’emprunt, des champs et des causes de la disparition de quelques-uns d’entre eux. Dans un premier temps, nous avons réfléchi sur l’emprunt d’une façon théorique en essayant de répondre aux questions suivantes: qu’est-ce qu’on emprunte ? Dans quel domaine ? Quel type de mots ? A qui ? Pourquoi ? Comment ? Dans quelles circonstances ? Dans un deuxième temps, nous cherchons à comprendre les mécanismes sémantiques et phonologiques des emprunts: d’une part, pour le volet sémantique, nous avons identifié les sources d’emprunts (25 langues) et nous avons procédé à une vérification minutieuse et aussi systématique que possible de tous les emprunts dans les dictionnaires spécialisés; environ 1825 emprunts ont été trouvés dans les échanges quotidiens (qui représentent la majorité des emprunts aux langues étrangères existant en arabe égyptien). D’autre part, pour le volet phonétique, nous avons fait une analyse de tous les phonèmes étrangers et de leurs correspondances en arabe égyptien. Nous avons noté l’évolution sémantique des emprunts (qui est toujours la règle) par rapport au terme de la langue originale, et étudié leur l’adaptation phonologique. De plus, nous avons noté certaines différences qu’il y a entre certains dialectes de l’égyptien, car un mot n’est pas emprunté sous une forme unique, il donne parfois lieu à plusieurs variantes, suivant les circonstances, le lieu, la période de l’emprunt. Nous avons consulté les travaux qui ont été faits dans le domaine, nous avons eu recours à des corpus journalistiques, télévisuels (notamment la radio et la télévision) et aux médias sociaux (facebook, Windows Live messenger, yahoo messenger, les forums en ligne) ainsi qu’internet. De plus, nous avons procédé à des enquêtes orales ponctuelles visant des propos très courants dans le milieu égyptien. Nous avons organisé plusieurs rencontres avec des enquêtés égyptiens dans ce but. / This study consists of five parts. In the first part, we talk about the historical and linguistic aspects of Egypt, Egyptian Arabic dialects and the sociolinguistic context in Egypt. In the second part, we consider the concept of borrowing, borrowing motivation, the language of the youth and the evolution of borrowing. In the third part, we talk about the identification criteria of existing borrowings in Egyptian Arabic and special cases of borrowing. In the fourth part, we give the results of a survey from Egyptians informants. In the fifth and final part, we talk about phonetic, phonological and semantic integration of the borrowed terms and their phonological correspondences, problematic cases of borrowing, fields and causes of disappearance of certain words. First, we study the loan in a theoretical way by trying to answer the following questions: what do we borrow? In which domain? What kind of words? From whom? Why? How? Under what circumstances? Second, we intend to understand the mechanism of semantic and phonological borrowings. On the one hand, semantically, we set out and identified the sources of borrowings (25 languages). Thereafter, we conduct a thorough and systematic verification of all borrowed words or expressions in specialized dictionaries. Approximately 1825 borrowed words or phrases were found in daily exchanges (which represent the majority of the loans from foreign languages existing in Egyptian Arabic). On the other hand, phonetically, we made an analysis of all foreign phonemes and their reflexes in Egyptian Arabic. Furthermore, we watched closely and in an orderly manner the use of these words. We also looked at their semantic evolution (which is always the rule) in comparison to the correspondent term in the original language and to their phonological adaptation. In addition, we looked for the differences that exist in some of the various Egyptian dialects. Because a word is not borrowed in a single form, it sometimes has several variants, according to the circumstances, the place, and the time of the loan or borrowing of the language derivative. To achieve this thesis, we consulted the works that are made in this field. We used journalistic corpora, traditional media (radio and television), social media (Facebook, Windows Live Messenger, Yahoo Messenger, as well as online forums) and Internet. In addition, we conducted oral surveys on some very common borrowing in the local environment because such studies are of interest only if they are based on field surveys. We organized several meetings with Egyptians for this purpose.
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L’image de la tombe en Égypte ancienne. Histoire iconographique d’un motif (XVIIIe – XXIIe dynasties) / The Image of the Tomb in Ancient Egypt. Iconographical History of a Motif (XVIIIth – XXIInd Dynasties)

Semat, Aude 09 May 2017 (has links)
L’objet de cette étude est la représentation de l’architecture dans la peinture (ou architectura picta), en Égypte ancienne, à travers une étude de cas : la tombe comme motif iconographique au Nouvel Empire et au début de la Troisième Période intermédiaire.Après une mise au point sur les principes de représentation égyptiens et l’image architecturale en Égypte, dans toute sa diversité, l’étude porte sur l’évocation de la nécropole et des abords de la tombe dans l’iconographie. Une part importante de l’analyse est consacrée à la montagne en tant qu’objet figuré, notamment sa genèse à la XVIIIe dynastie, et aborde la question de la « représentation paysagère » en Égypte ancienne.L’architecture funéraire fait l’objet d’une mise en image à partir de la XVIIIe dynastie, dans le cadre de la représentation de rites funéraires sur les parois des tombes. Si les premières représentations sont conventionnelles et renvoient à l’architecture sacrée, elles intègrent au cours de la XVIIIe dynastie des éléments du réel, prenant pour modèle les tombes telles que se présentent au Nouvel Empire, c'est-à-dire des tombes pourvues d’une structure pyramidale. Cette image de la tombe à pyramide devient un motif du répertoire iconographique égyptien et perdure sur les cercueils et les papyri funéraires à la Troisième Période intermédiaire, après que les tombes à pyramide cessent elles-même d’exister. L’étude pose donc la question, en filigrane, du rapport au réel dans la peinture égyptienne, mais aussi de la fonction d’une telle image. / The study examines the representation of architecture in painting (or architectura picta) in ancient Egypt, through a case study of the tomb as an iconographical motif during the New Kingdom and the early Third Intermediate Period.After an overview of the principles of Egyptian representation and the architectural images in ancient Egypt, in all their diversity, the study focuses on the iconographical evocation of the necropolis and the tomb’s surroundings. An important part of this study concerns the mountain as an object of representation and in particular, its origins during the XVIIIth Dynasty, as well as dealing with landscape depictions in ancient Egypt.The funerary architecture is put in painting during the XVIIIth Dynasty, within depictions of funerary rites in private tombs. If the first tomb depictions refer to sacred architecture, according to representational conventions ; they show realistic elements in the course of the XVIIIth Dynasty, being modeled after the tomb architecture as it is during the New Kingdom, which is to say a pyramid-topped tomb. This tomb motif is integrated into the Egyptian iconographical repertoire and remains on coffins and funerary papyri, after the pyramid tomb itself disappeared from architecture in the Third Intermediate Period.The underlying question in this study is the relation to reality in Egyptian painting, but also the function of the tomb image.
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Monachisme et altérité : la représentation des «autres» dans la littérature monastique égyptienne (IVe-Ve siècles)

Tremblay-Roy, Anthony 05 1900 (has links)
L’essor du monachisme au courant des IVe et Ve siècles a transformé le paysage religieux dans le bassin méditerranéen. Ce mouvement d’ascètes célibataires et l’impact de son institutionnalisation au sein de la Grande Église ont contribué à la formation d’une nouvelle identité religieuse et à la transformation des systèmes hérités des penseurs classiques. Ce projet, en partant des sources monastiques et classiques, mettra en lumière les relations entre les premiers moines chrétiens et les différentes figures de l’altérité – religieuse, intellectuelle et culturelle – dans la province égyptienne pendant la période byzantine. En se penchant sur différentes entités présentes sur le territoire égyptien, on sera en mesure de mieux comprendre de quelle façon l’identité monastique s’est formée dans sa relation avec l’altérité et comment les auteurs monastiques ont représenté ces groupes identitaires. Ainsi, au terme de cette présentation, le lectorat sera mieux outillé pour saisir les relations qu’entretiennent les premiers moines chrétiens et les divers visages de l’altérité dans le contexte monastique égyptien. / During the 4th and the 5th centuries, the emergence of monasticism transformed the religious landscape around the Mediterranean. This ascetic movement and the impact of its institutionalization within the Great Church contribute to the formation of a new religious identity and to the transformation of systems inherited from classical thinkers. Starting from the monastic sources, this project will shed light on the relations between the first Christian monks and the various figures of otherness – religious, intellectual, and ethnical – in the Egyptian provinces during Late Antiquity. By looking at different entities present in Egyptian territory, we will be able to understand how monastic identity was formed in its relationship with the otherness and how the monastic authors represent these identity groups. Thus, at the end of this presentation, the readers will be better equipped to understand the relationships between the first Christian monks and the various face of otherness in the Egyptian monastic context.
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Impact des propos humoristiques des jeunes Égyptiens tenus durant le printemps arabe (2011-2015) sur les représentations politiques du chef d'État égyptien : contexte, dynamiques et évolution

Haroun, Amal 09 1900 (has links)
Ce mémoire analyse le phénomène de l’humour politique envers les chefs d’État égyptiens (Moubarak, Moursi et Es-Sissi) sur les places publiques et sur les réseaux sociaux durant les soulèvements du printemps arabe entre 2011 et 2015 qui furent remplis de tumultes, de divisions et de déceptions. L’humour politique était très présent dès le premier moment et a non seulement joué un rôle important comme marqueur de transformations dans le système politique, mais aussi comme marqueur du déroulement d’un drame social qui connaît des phases d’évolution et de régression, voire un retour vers un point de départ. Alors que la symbolique du chef d’État égyptien implique la mobilisation d’une image locale d’Ibn El Balad (égyptien authentique et fils du pays), père et unificateur d’un peuple sensible à son héritage millénaire et à ses traditions, l’humour politique reflète à la fois les aspirations des jeunes activistes branchés sur le monde pour une société civile basée sur le respect des droits de la personne et le rappel populaire constant des valeurs traditionnelles fondatrices de la nation égyptienne que le président égyptien doit incarner, soit la famille et la religion. Même si le tabou du président est brisé, le champ politique semble retourner vers un point de départ. Le peu de libéralisme gagné avec ces tumultes révolutionnaires depuis cinq ans se trouve détourné et devient plutôt un signe négatif dans une société qui, une fois revenue à la normale, demeure profondément conservatrice. / This thesis analyzes the phenomenon of political humor to the head of the Egyptian State (Mubarak, Mursi and Es-Sissi) on public squares and on social networks during the Arab Spring uprisings between 2011 and 2015, which was a period of turmoil, divisions and disappointments. Political humor was very present from the first moment, and has not only played an important role as a marker of changes in the political system, but also as a marker of the progress of a social drama who knows evolution and regression phases, or even a return to a starting point. While the symbolism of the Egyptian head of state involves the mobilization of a local image of Ibn El-Balad (authentic Egyptian and son of the country), father and unifier of a people sensitive to its old heritage and traditions, political humor reflects both the aspirations of young activists globally connected to a civil society based on respect for human rights and the constant reminder of traditional values, founders of the Egyptian nation that the Egyptian President must embody, such as family and religion . Although the taboo president is broken, the political field seems to return to a starting point and limited liberalism gained with these revolutionary turmoil for five years is hijacked and becomes a more negative sign in a society which, once returned to normal rest deeply conservative.
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L'art du 'ūd égyptien, de l'organologie à la performance : la virtuosité traditionnelle et son évolution à l'aune du 78 tours / The art of the Egyptian ‘Ūd, from Organology to Performance : traditional Virtuosity and its Evolution in View of the 78 rpm Recording

Abdalla, Tarek 29 September 2017 (has links)
L’autonomisation de l’art instrumental arabe et, plus particulièrement, l’éclosion de l’art improvisatif du taqsīm au ‘ūd, sont concomitants à l’avènement de l’ère discographique et du 78 tours (1903) en Égypte, notamment avec les enregistrements de Sayyid a-s-Suwaysī, tandis que l’apogée de cet art attendra les années 1920, avec les développements apportés à cette pratique par Muḥammad al-Qaṣabgī, surnommé Sultan du ‘ūd. L’émergence du 78 tours est anticipée par une véritable renaissance musicale, menée par des musiciens de génie attachés à la cour d’Ismaël Pacha et ses successeurs. Le développement du pendant instrumental de cette école (nommée la Nahḏa), qui est inhérent au ‘ūd, est lié notamment à l’apparition au cours du dernier tiers du XIXe siècle d’un nouveau modèle de cet instrument. Les caractéristiques géométriques de ce nouveau model (taille, rapport entre longueur de corde vibrante et longueur du manche etc.) le distinguent nettement de son prédécesseur tel qu’il est décrit par les auteurs occidentaux (Villoteau, Lane, Fétis) et orientaux (Maššāqa et al-Jundī). Aussi, sur la période 1902-1904, plusieurs théoriciens égyptiens ont-ils rendu hommage à cet instrument par une actualisation de la théorie modale arabe abbasside, conçue en fonction des doigtés du ‘ūd, et son application au grand ‘ūd égyptien. Ce faisant, ils affirment l’importance de l’instrument dans la théorie, la performance et la transmission. Cette thèse a pour but d’étudier l’évolution de la virtuosité traditionnelle inhérente à la notion médiévale du haḍaq (liée à la perfection artistique) au sein de la tradition musicale arabe, et ce, par le biais de l’analyse de l’évolution des formes jouées, de l’accordage, et des modes de jeu. Cet examen commence par une étude organologique et acoustique des modèles d’instruments employés dans les enregistrements du début de l’ère discographique, en tant que critères externes. Il se poursuit par la segmentation des énoncés enregistrés, à partir de critères internes, liés à la métrique poétique arabe, au mode de jeu et à la configuration du discours musical. Il se termine par une modélisation sémiotique modale de deux extraits et débouche sur une mise en exergue des apports de Qaṣabgī à l’art improvisatif du taqsīm. / The autonomy of Arabic instrumental art and, in particular, the development of improvisational from (taqsīm) on the 'ūd, were concomitant with the advent of 78 rpm recordings in Egypt (1903), as represented by the recordings of Sayyid as-Suwaysī. Yet, the apogee of this art will wait until the 1920s, with the novelties brought to its practice by Muḥammad al-Qaṣabgī, dubbed Sultan of 'Ūd. The emergence of 78 rpm recordings is anticipated by a real musical renaissance, led by genius musicians attached to the court of Ismā‘īl Pasha and his successors. The development of the instrumental counterpart of this school (called the Nahḏa) which is closely related to 'ūd, is linked in particular to the appearance during the last third of the 19th century of a new model of this instrument. The geometric characteristics of this innovative model (size, ratio between length of the vibrating string and the neck length) clearly distinguish it from its predecessor as described by both Western (Villoteau, Lane, Fetis) and Oriental authors (Maššāqa et al-Jundī). Moreover, during the period 1902-1904, several Egyptian theorists expressed explicitly their appreciation of this instrument and presented it as an update of the Abbasid Arab modal theory, conceived according to the ūd's fingering, and its application to the large Egyptian ‘ūd. In so doing, they affirmed the importance of the instrument in theory, performance and education. This thesis aims at studying the evolution of traditional virtuosity related to the medieval notion of haḍaq (linked to artistic perfection) within the Arab musical legacy through the analysis of development of musical forms, tuning, and techniques. This examination begins with an organological and acoustic study of the different models used in the recordings of the early era (1904-1937) as an external criterion. It continues with the segmentation of performed sentences, based on internal criteria, related to Arabic poetic metrics, instrumental technique and the configuration of musical discourse. The study ends with a modal semiotic medialization
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Histoire alternative des origines du roman : promenades interculturelles dans un monde sans épopée / An alternative history of the origins of the novel genre Intercultural wanderings around a world with no epics

Toren, Orly 04 December 2010 (has links)
Que signifie repenser l’Histoire littéraire et l’Histoire du roman comme Histoire culturelle ? Le point de départ de notre questionnement sur les formes de représentation adoptées par l’Histoire littéraire porte sur la doxa critique selon laquelle il existe une relation génétique entre l’épopée et le roman, dont la source se trouve dans ce qu’il est convenu de voir comme le texte fondateur de la littérature, l’épopée d’Homère et celui de la théorie littéraire, la Poétique d’Aristote. Si l’épopée homérique est une œuvre de la tradition orale, quelle est sa relation avec le roman, issu, lui, de la scripturalité et de l’émergence de la prose ? Si les récits en prose narrative de fiction apparaissent dans des civilisations sans épopée, quelle est la condition nécessaire pour leur émergence ? Si, de plus, l’apparition d’une prose narrative de fiction est précédée de plusieurs siècles de celle d’une historiographie et que ce phénomène se répète aussi bien dans la Grèce classique qu’au Moyen Âge européen, ou encore en Chine, quelle est la condition nécessaire pour l’essor du roman ? Nous présentons ici l’ébauche d’une Histoire alternative des origines du roman dans la Weltliteratur, en relation avec l’émergence de la scripturalité et la prose et l’essor de l’historiographie À la croisée de plusieurs disciplines académiques, notamment entre les sciences humaines et sociales, notre recherche fait appel d’une part à la théorie et à l’Histoire de la littérature, d’autre part à l’Histoire de l’historiographie, ainsi qu’à la théorie et la philosophie de l’Histoire. / Is it possible to rethink Literary History and in particular the History of the Novel as Cultural History which seeks to differentiate between an historical object and it’s representation? Considering the critical doxa, according to which, there exists a genetic link between epics and the novel, leads to one of Western thinking’s most stubborn myths. If epics, and particularly Homer’s, is seen as the novel’s ascendant , although it belongs to oral tradition, how does it explain the fact that as Ancient civilizations as Egypt or China or Israel developed sophisticated prose narratives without having epics? Moreover, if Western literary history refers to Aristotle’s Poetics as it’s foundational text, although by the time it was written, fictional prose didn’t exist yet, and was only to develop a few centuries later, shouldn’t we seek for the missing link between the oral tradition and the rise of the novel? As against this hegemonic and unhistorical representation that considers the novel genre as a Western invention, and as opposed to the historical circumstances that gave birth to the novel, we consider that the key to understanding this phenomenon lies in the emergence of literacy and prose. Indeed, in all civilizations that developed fictional prose writing, it was systematically preceded, not by epics, but by historiography. Our PHD dissertation presents an alternative History of the novel, whose angle is intercultural and interdisciplinary, aiming at recreating a new chronology of the emergence of the novel as a an inevitable historical genre in world’s literature.
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La narration et ses structures en égyptien de tradition :approche philologique et narratologique des textes royaux de la XXVe dynastie

Delhove, Arnaud 20 April 2017 (has links)
Ce travail porte sur la question de la verbalisation du récit dans sa structure formelle, par une approche philologique et narratologique, dans les textes royaux de la XXVe dynastie (dynastie couchite – 8e/7e s. avant notre ère), rédigés en égyptien de tradition. L’étude se fonde sur un corpus composé de 11 textes ayant comme caractéristiques d’être couchites, royaux, en égyptien de tradition, comportant des parties narratives, et suffisamment conservés. Parmi ceux-ci, l’on trouve la Stèle de la Victoire de Piânkhy (Caire JE 48862 ;JE 47086-47089) et la Stèle du Songe de Tanoutamon (Caire JE 48863). En outre, un corpus secondaire de 9 textes a été constitué dans une perspective synchronique et diachronique, avec par exemple les Annales d’Osorkon, ou encore les Annales de l’an 1-2 d’Irike-Amannote (Kawa IX), souverain de Couch postérieur à la XXVe dynastie. Pour répondre à la question de la structure formelle du récit, nous procédons en deux temps :d’abord par une étude des marqueurs narratifs (comme les auxiliaires séquentiels) ;puis par celle des structures et macrostructures du texte, en lien avec les séquences narratives ;enfin, par l’examen de facteurs influençant la verbalisation du récit. Dans la première partie, nous précisons dans une série de chapitres les formes et emplois des marqueurs narratifs (auxiliaires séquentiels, śpr pw ỉr.n⸗f, infinitifs narratifs, śḏm.ỉn⸗f, particules, dates, etc.). Pour chacun de ces marqueurs, nous faisons d’abord le point sur leurs formes et emplois en égyptien classique, néo-égyptien et égyptien de tradition, d’après les grandes synthèses grammaticales, avant de procéder à un examen systématique de leurs occurrences dans notre double corpus. En outre, précédant cette analyse, nous traitons de la situation linguistique à la XXVe dynastie (notamment la diglossie), et des caractéristiques de l’égyptien de tradition. Nous examinons également pour notre corpus principal la question de l’opposition des formes śḏm⸗f et śḏm.n⸗f. La seconde partie, qui s’appuie sur les marqueurs étudiés dans la première, traite des différents niveaux dans la structure générale du texte et du récit. Nous envisageons donc là les niveaux supérieurs à la proposition. Après des éléments théoriques sur la narration et sur la mise en récit de l’histoire, nous étudions le niveau séquentiel dans les récits du corpus, et mettons en évidence les structures épisodiques que l’on peut y trouver. Ensuite, nous examinons les éléments non-narratifs, descriptifs et dialogaux, et la façon dont ils intègrent ou sont intégrés dans les parties narratives. En nous appuyant sur les données de ces deux chapitres, nous envisageons alors les structures d’ordre supérieur à la séquence, pour remonter jusqu’au texte dans son ensemble. Enfin, pour montrer le lien entre la première et la deuxième partie, nous présentons la façon dont les marqueurs narratifs se spécialisent dans certains rôles dans la narration et la structuration du récit, et comment ils se hiérarchisent. Ce travail apporte donc une série de données sur la langue littéraire de la XXVe dynastie et ses caractéristiques, ainsi que sur la façon dont les rédacteurs recourent aux moyens linguistiques de l’égyptien de tradition pour organiser formellement leurs textes et transmettre, via le récit, l’histoire qu’ils voulaient communiquer. / Doctorat en Langues, lettres et traductologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La formule m) ("regarder") dans les tombes privées de la dix-huitième dynastie: approche sémiotique et herméneutique

Angenot, Valérie January 2002 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L'image de l’Égypte dans l’oeuvre de Tawfīq al-Ḥakīm / The image of Egypt in Tawfīq al-Ḥakīm work

Afkir, Fatima 10 June 2014 (has links)
Si on contemple l’abondante production du dramaturge, on réalise à quel point l’Égypte est omniprésente dans ses écrits et dans sa vie. Elle couronne l’ensemble de son oeuvre littéraire qui met en lumière chacun des différents aspects de ce pays : social, historique, culturel et politique. Cependant, dans cette étude, nous allons essayer de limiter notre sujet de l’Image de l’Égypte dans l’oeuvre de T. al-Ḥakīm à deux époques celle de la révolution de 1919, et celle de 1952. Ses écrits retracent clairement ces deux évènements importants. Sa façon de penser, d’écrire, de critiquer et d’analyser avant et après la révolution de 1919 n’est plus la même après la révolution de 1952. D’un écrivain rêveur, idéaliste, il en devient un autre plus réaliste et engagé littérairement. Notre problématique globale s’articulera autour des questions suivantes : quelle représentation l’oeuvre de Tawfīq al-Ḥakīm donne-t-elle de l’Égypte ? Peut-on considérer son retour aux mythes anciens comme une continuité entre l’Égypte moderne etl’Égypte ancienne ? Dans une première partie nous traitons les deux révolutions qui ont eu des répercussions sur ses écrits et sa vision politique. La deuxième partie, abordera la société de son roman ‛Awdat al-rūḥ, (l’Âme retrouvée), 1933, dans lequel il décrit une Égypte vue par un égyptien de souche et les liens forts qui unissent ce peuple à sa nation. La troisième partie sera réservée à la femme et au fallāḥ qui ont énormément inspiré l’écrivain. La quatrième partie sera consacrée à l’Égypte pharaonique. On va voir comment il a pu être influencé par l’Égypte ancienne pour décrire l’Égypte moderne. Nous nous appuyons aussi sur plusieurs lectures de différents auteurs afin de trouver une authenticité entre ce qu’il écrit et ce qu’il pense, entre la réalité et l’imagination dans ces oeuvres. Nous analyserons comment il voit, observe et critique son pays natal. / If we contemplate the playwright's rich production, we realise to what extent Egypt plays a prominent part in his work and life. It is the crowning achievement of his literary work which highlights all the aspects of this country, social, historical, cultural and political However, in this study, we will try to limit our subject of The image of Egypt in T.al-Hakim's work to two particular eras, the revolutions of 1919 and 1952. His writings clearly relate those major events. The way he thinks, writes, criticizes and analyses before and after the 1919 revolution is no longer the same after the 1952 revolution. He started being a dreamy idealistic writer, and turned into another one, more realistic and committed in his literary work. Our global problematics will hinge on the following issues: what representation of Egypt does Tawfiq al-Hakim's work give? Can we regard his return to ancient myths as a continuity between modern Egypt and ancient Egypt? In a first part, we deal with the two revolutions which have had repercussions on his writings and political vision. The second part will tackle the society of his novel, in which he describes a country seen through a native Egyptian, and the strong ties which link the Egyptian people to their nation. The third part will focus on women and on the fallah, which greatly inspired the writer. The fourth part will be dedicated to the Pharaonic Egypt. We will see how far he has been influenced by ancient Egypt to descibe the modern one. We have relied on a few works of different writers so as to find an authentic link between what he writes and thinks reality and imagination in his works. We will analyse the way he sees, observes and criticizes his own country.

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