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Grecs et Orientaux en Afrique romaine au Haut-Empire : étude démographique et sociale / Greeks and Orientals in Roman Africa in the Early Roman Empire : demographic and social study

Ladhari, Mohamed-Ali 12 December 2014 (has links)
Le but de ce travail est d’étudier une composante de la société de l’Afrique romaine, constituée par les allogènes originaires de la partie orientale de l’Empire. Le cadre de cette étude est le Haut-Empire romain, car l’essentiel de la documentation dont on dispose date de cette époque. L’épigraphie est la principale documentation. Avant de passer à l’étude de ce sujet, il était essentiel de déterminer les clés de sélection qui ont aidé à fixer l’origine de ces allogènes et à dégager le corpus des 260 notices épigraphiques qui constituent le support de ce travail. Le principal outil pris en considération est l’onomastique, tout en tenant compte du caractère parfois imprécis de cet indice. Ensuite, plusieurs aspects de la présence de ces Orientaux étaient étudiés. En premier lieu l’aspect démographique ainsi que la répartition sur le sol africain. Le second aspect est le volet social. Il a pour but d’étudier les diverses caractéristiques de la présence de cette communauté d’Orientaux. D’abord, la nature des activités qu’ils pratiquaient. Si le métier des armes était leur vocation majeure, ils exerçaient néanmoins plusieurs autres activités. L’étude de leur vie religieuse a montré qu’ils sont restés majoritairement fidèles aux cultes de leurs pays. L’onomastique ou encore les pratiques matrimoniales ont été des indices qui ont servi à étudier la nature des contacts qu’ils ont eu avec les Afro-romains et à évaluer leur intégration dans la société d’accueil. En dernier lieu, une partie du travail a été consacrée à l’étude du phénomène culturel qu’est l’hellénisme et du rôle que ces Orientaux ont joué dans la promotion de ce genre de culture. / The aim of the present work is to study a component of the Roman African society: the one constituted by the aliens originating from the Eastern part of the Roman Empire. The study is framed within the Early Roman Empire, as most of the documentation available dates back to that period. Epigraphy is the primary documentation for this work. Before turning to the study of this subject, it was essential to identify selection keys that helped fix the origin of these non-natives and come up with the body of 260 epigraphic records that constitute the corpus of this work. The main tool taken into consideration is onomastic, notwithstanding the vagueness sometimes inherent in this index. Thereafter, light was shed on the many aspects of the presence of these Orientals. First, the demographic layer: figuring, motives, conditions and structures of departure and the distribution on the African soil. The second layer concerns the social aspect. It aims to explore the various features of the presence of the Oriental community in Roman Africa. First, the nature of the activities they exercised. If the job of arms was their main vocation, they still exercised several other activities. The study of their religious life showed that they remained largely faithful to the worship practices of their home countries. Onomastic and also marriage practices were clues that were used to study the nature of the contacts they had with Africans and evaluate their integration within the host society. The last part of the work was devoted to the study of the cultural phenomenon of Hellenism and the role that these Orientals played in promoting this kind of culture in a predominantly Latin province.
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Orner le forum : décor des centres civiques d'Aquitaine, de Narbonnaise et de Tarraconaise sous le Haut-Empire / Decor of the forum in the provinces of Aquitania, Narbonensis and Tarraconensis in the High Roman Empire

Da Tos, Loussia 22 December 2017 (has links)
Les recherches portant sur les fora provinciaux effectuées au cours des dernières décennies ont permis de redéfinir un certain nombre de leurs caractéristiques. L’étude du décor de ces centres civiques dans sa globalité constitue alors une approche susceptible d’apporter une meilleure compréhension de ces espaces. Cette première approche du sujet a pour objectif d’aborder la question du dialogue entre les images présentes sur le forum et leurs contextes. Le décor figuratif permet de définir les principales thématiques, qui sont souvent complétées par des décors non figuratifs, et qui participent à la diffusion de l’idéologie impériale. Ce décor doit ensuite être contextualisé, afin d’en comprendre la conception, et d’aborder la question de sa réception par le spectateur. / Over the last few decades, studies on provincial fora defined some of their characteristics. A global approach of their decor can bring about a better understanding of these spaces. The link between the images and their contexts will be examined. The study of the images will be associated with the study of non iconographical elements of the decor in order to define the main themes represented on the fora. The definition of several contexts will help to understand how the decor was conceived and seen at the time.
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Cyrène, colonie et capitale. Le destin méditerranéen d’une cité des confins du monde grec (VIIe – Ier s. av. J.-C.) / Cyrene, colony and capital city. The Mediterranean fate of a city on the borders of the Greek world (VIIth – Ist century B.C.)

Berthelot, Hugues 25 November 2016 (has links)
La cité de Cyrène offre un visage différent selon le point de vue qu’on adopte pour la considérer : elle est tout à la fois colonie et métropole, tout à la fois capitale régionale de la Cyrénaïque et simple cité du royaume hellénistique des Lagides, tout à la fois cité située aux confins du monde méditerranéen et cité dont la présence en Grèce continentale et en Égée est manifeste.Les études antérieures ayant principalement porté sur l’examen de l’histoire politique de la cité et des modifications du cadre urbain, ce travail se propose donc d’étudier l’évolution du statut de la cité de sa fondation en 631 par des colons venus de Théra à son don par Ptolémée Apion en 96 av. J.-C. à la République romaine, au prisme des relations qu’elle entretint avec le reste du monde grec : nous avons donc cherché Cyrène et les Cyrénéens à l’extérieur de la cité, l’étranger et les étrangers à l’intérieur de la cité, en nous fondant sur les données épigraphiques, numismatiques, papyrologiques et archéologiques. Organisé en trois parties coïncidant avec les trois grandes phases de l’histoire cyrénéenne, ce travail examine les rapports économiques, diplomatiques et culturels existant entre Cyrène et les autres cités grecques et s’attache à en dégager les grandes tendances et à mesurer leur influence sur la cité elle-même. / The city of Cyrene provides different faces depending on the perspective adopted to consider it : it is both a colony and a metropol, both the capital city of Cyrenaica and a mere city in the Hellenistic kingdom of the Ptolemies, both a city situated on the borders of the Mediterranean world and a city whose presence incontinental Greece and in Aegea is clear.Since the previous studies focused on the city’s political history and the transformation of the urban landscape, we intend in this work to study the evolution of the city’s status from its foundation in 631 B.C. by colonists fromThera to its gift by Ptolemy Apion to the Roman Republic in 96 B.C., by focusing on the relations which it maintained with the rest of the Greek world : we searched then Cyrene and the Cyrenaeans outside of their city, foreign objects and foreigners inside the city, relying on epigraphical, numismatical, papyrological and archaeological data.Organised in three parts which coincide with the three major phases of Cyrenaean history, this work investigates the economic, diplomatic and cultural relations between Cyrene and the other Greek cities and strives to detect the main trends of those and to measure their influence on the city itself.
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Cempiyaṉ-Mahādevī, reine et dévote : un “personnage épigraphique” du Xe siècle / Cempiyaṉ-Mahādevī, Queen and Devotee : An "epigraphic persona" of the Xth Century

Cane, Nicolas 12 December 2017 (has links)
Cette thèse porte sur la figure historique de la reine tamoule Cempiyaṉ-Mahādevī, épouse de Gaṇḍarāditya-Cōḻa (r. c. 949-57) et mère d'Uttama-Cōḻa (r. 971-87). Restée dans l'Histoire comme la plus formidable patronne de temples de l'Inde méridionale, elle est célébrée comme un modèle de dévotion à son dieu et à son époux. L'ensemble du savoir sur la souveraine se fondant sur la production épigraphique qui enregistra son activité sur les sites śivaïtes du pays tamoul durant une période estimée à six décennies, la présente recherche se concentre sur ces sources premières. Présentées de façon indifférenciée comme des « inscriptions de la reine », elles n'avaient jamais été rassemblées, ni intégralement éditées, en dépit de la réputation dont elles jouissent depuis leurs premiers signalements par l'agence de recensement archéologique de l'Inde britannique. La thèse établit le corpus des mentions épigraphiques de Cempiyaṉ-Mahādevī sur lequel s'appuyer pour mettre en évidence la part jouée par cette somme d'épigraphes dans l'écriture de l'histoire d'une reine Cōḻa dont l'élaboration se fit dans le contexte de l'émergence des histoires régionales au XXe siècle. À l'issue d'une analyse structurale de la titulature épigraphique de la patronne royale enregistrée au cours des trois phases identifiées au sein de son activité, l'on montre que cette titulature constitue la trame d'un itinéraire biographique reconstruit. En confrontant ces inscriptions aux interprétations reçues dans plus d'un siècle de publications, l'étude livre une illustration de la notion de « personnage épigraphique ». / This thesis examines the historical figure of the Tamil queen Cempiyaṉ-Mahādevī, the spouse of Gaṇḍarāditya-Cōḻa (r. c. 949-57) and mother of Uttama-Cōḻa (r. 971-87). This woman, who went down in history as Southern India’s greatest patron of temple-building, is celebrated as a model of devotion to both her god and her husband. Since current knowledge on the queen appears to be based entirely on the epigraphic production that recorded her activity at Śaiva sites in the Tamil country during an estimated six–decade period, this study focuses on these primary sources. Indiscriminately conceived of as “inscriptions of the queen,” they have never been gathered together, nor edited in their entirety, despite the renown they have acquired from the time they were first reported by the Archaeological Survey of British India. The thesis draws up the corpus of Cempiyaṉ-Mahādevī’s epigraphical mentions. This will serve as the basis for examining the role played by this body of epigraphs in the writing of the history of a Cōḻa queen in the context of the twentieth-century rise of regional histories. Following a structural analysis of the royal patron’s epigraphic titulature recorded over the three identified phases within her activity, it is shown that this titulature serves as a framework for a reconstructed biographical itinerary. By confronting these inscriptions with the interpretations they received over more than a century of publication, the study provides an illustration of the concept of an “epigraphic persona.”
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Les Grecs face aux catastrophes naturelles : gestion et représentations des risques (Ve siècle A.C. - IIe siècle P.C.) / Natural Hazards in Greece : Perception and Management of Risks, from the Classical Time to the Roman Empire

Thély, Ludovic 27 October 2012 (has links)
Cette étude porte sur la perception antique des catastrophes naturelles, les moyens de gestion et les représentations religieuses. Elle se fonde essentiellement sur l'interprétation des documents littéraires et épigraphiques, mais, dans une logique interdisciplinaire, elle n'exclue pas d'intégrer la documentation archéologique et les résultats obtenus, dans certains cas, par la géomorphologie. L'emploi des expressions « catastrophes naturelles » et « risques naturels » repose sur une définition récente portée par les géographes contemporains : un risque est le produit d'un aléa naturel – la probabilité d'occurence d'un phénomène physique – et de la vulnérabilité d'une société – les facteurs aggravants et la capacité de résilience d'une communauté civique. L'application de ce concept au monde des cités grecques, depuis l'époque classique jusqu'au Haut Empire romain, invite à tenir compte des évolutions notables qui ont marqué les processus de gestion des risques et les discours, scientifiques ou religieux, portant sur les bouleversements majeurs survenus à la surface du globe. L'enquête s'articule ainsi autour de deux axes principaux : le premier établit les impacts catastrophiques, autrement dit les types de conséquences qu'un aléa naturel a pu produire sur une société antique, inhumation des victimes, soins apportés aux survivants, destructions des édifices urbains, modifications et altérations des paysages ainsi que les difficultés et les crises économiques consécutives aux événements dévastateurs ; dans un second temps, cette étude entreprend d'analyser les observations et les théories antiques portant sur les catastrophes naturelles, autant que les discours et les actes religieux. En parallèle, l'enjeu de cette enquête est de répondre à une question essentielle : les Grecs ont-ils subi les catastrophes ou ont-ils cherché à se prémunir efficacement contre la fréquence de certains risques naturels ? / This thesis deals with the perception, management and religious thoughts of natural hazards in Antiquity. It is based essentially on epigraphics and literary sources, but includes archaeological and geomorphological documentation. Natural hazards and risks are two recent notions, coming from geographic studies. To apply these concepts to the Greek world, from the Classical Period to the Roman Empire, contributes to our knowledges of these societies, pointing out the chronological evolutions of the scientific discourses and the religious thoughts. This study is organized in two main parts ; the first dealing with the consequences of natural hazards (burial of victims, destruction of buildings, modifications of landscapes and economic crisis) and the second, the analysis of theories about natural hazards as well as the religious representations and practices. Last but not least, one of the most important questions that this thesis tries to answer is "Did Greek society manage the risks or did it fall victim to doomsday ?"
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Pouvoir et prestige des élites locales en Égypte à la Première Période intermédiaire : études sur l’administration et la société égyptiennes de la fin du IIIe millénaire / Power and Prestige of Local Elites in First Intermediate Period Egypt : Studies on Egyptian Administration and Society at the End of the 3rd Millennium

Pillon, Andrea 08 March 2018 (has links)
La Première Période intermédiaire égyptienne est souvent perçue comme une époque de crise de l’autorité royale, de morcellement politique du pays et de perte des valeurs éthiques traditionnels. Cette recherche a l’ambition de vérifier l’état de ce changement dans l’organisation sociale à travers le prisme de l’histoire institutionnelle. Les sources primaires analysées sont principalement les textes commémoratifs des notables des villes et des membres de leur maisonnée : il s’agit de titres, d’épithètes et de récits autobiographiques qui révèlent comment les rangs supérieurs de la société définissaient leur autorité, c’est-à-dire leur pouvoir et leur prestige. L’étude de leurs fonctions et de leur comportement dans quatre secteurs administratifs (l’administration centrale, territoriale, l’administration des palais et des temples) et dans le domaine privé permet de conclure que la Première Période intermédiaire ne représente pas une césure nette avec le passé. En revanche, l’augmentation des centres ayant leurs propres ateliers qui produisent des monuments inscrits offre une photographie inédite sur les sociétés urbaines et sur les liens que les élites de province entretenaient avec la capitale à la fin du IIIe millénaire. Des aspects caractéristiques de la Première Période intermédiaire, comme l’importance des activités militaires, sont aussi envisagés. / Egypt's First Intermediate Period is often portrayed as a time of crisis of the royal authority, political fragmentation, and loss of traditional ethical values. The aim of this research is to assess the features of this transformation in the social organization, through the lens of institutional history. The primary sources analysed are chiefly the commemorative texts of the towns' dignitaries and the members of their households; they includes titles, epithets, and autobiographical records that reveal how the higher ranks of society defined their authority, i.e. their power and prestige. The study of the roles and behaviour of these individuals within four administrative areas (i.e. central, territorial, palace, and temple administration) and in the private domain makes it possible to conclude that the First Intermediate Period does not constitute a clear break with the past. On the other hand, the increase in the number of centres that were provided with their own workshops for the production of inscribed monuments offers a new view of the contemporary urban societies, and of the link that the provincial elites maintain with the capital at the end of the 3rd millennium. Some features distinctive of the First Intermediate Period (for instance, the importance of military activities) are also considered.
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Le rôle du sanskrit dans le développement de la langue khmère : une étude épigraphique du VIe au XIVe siècle / The role of Sanskrit in the development of the Khmer language : an epigraphic study from the 6th to the 14th century

Chhom, Kunthea 16 December 2016 (has links)
Le Cambodge ancien (VIe – XIVe siècle) est riche en inscriptions, composées principalement en sanskrit, en vieux khmer et en deux langues (sanskrit et khmer). L’impact du vocabulaire sanskrit dans l’enrichissement linguistique du khmer n’avait pas encore étudié jusque-là en détail. Le présent travail propose d’examiner les inscriptions khmères et sanskrites comme un ensemble. Il traite des sujets et des domaines dans lesquels les éléments sanskrits apparaissent dans les inscriptions khmères ; à savoir : les donations, la datation, les bénédictions-malédictions, les noms propres, l’orthographe, le vocabulaire de l’administration royale, les fonctions des serviteurs dans les temples, la prosodie, la dérivation, les objets offerts aux dieux et les objets cultuels. Les emprunts sanskrits dans chaque domaine présentent différentes caractéristiques dans leur interaction avec les mots khmers ; certains d’entre eux ont des connotations locales, d’autres deviennent des modèles de « calques » du sanskrit vers le khmer. Si les premières inscriptions semblent favoriser le sanskrit (dans certains cas, sous des formes prākritisées), celles du Xe siècle sont en khmer et se distinguent par l’abondance de nouveaux emprunts au sanskrit. Le Xe siècle est aussi marqué par l’apparition de textes qui contiennent des passages équivalents dans leurs versions sanskrite et khmère ; et en XIIe et XIVe siècle nous trouvons deux inscriptions comprenant des passages équivalents en khmer et en pāli. Ces passages montrent que les textes sanskrits jouent non seulement le rôle « rhétorique » qui était réservé au sanskrit mais aussi le rôle « documentatif » considéré comme propre aux textes khmers. / Ancient Cambodia (6th – 14th century A.D.) is relatively rich in inscriptions, composed mainly in Sanskrit, in Old Khmer and in both languages (Sanskrit and Khmer). The impact of Sanskrit on the linguistic enrichment of the Khmer language has not been studied in detail. The present study proposes to examine the Sanskrit and Khmer parts together. It deals with the domains where Sanskrit elements appear densely clustered in the Khmer inscriptions, such as descriptions of donations, formulations of dating, boons and curses, proper names, orthography, royal administration, accounts of the functions of servants in temples and of objects offered to gods and cult objects. It also touches on areas where there appears to have been less palpable influence, such as prosody and morphological derivation. The Sanskrit loanwords in each domain show different features of interaction with Khmer terms: some of them acquire local connotations; some may be “calques” from Sanskrit into Khmer. (Calques of Khmer expressions in Sanskrit are also considered.) If the early inscriptions seem to favour Sanskrit (in some cases, in Prākritised forms), those from the 10th century A.D. onwards are increasingly in a form of Khmer characterized by an abundance of new Sanskrit loanwords. The 10th century is also marked by the appearance of some texts containing “equivalent” passages in their Khmer and Sanskrit portions; later on, in the 12th and the 14th century we find two inscriptions with equivalent passages in Khmer and Pāli. These passages prove that Sanskrit texts play not only the “rhetorical” role for which they are famous, but also the “documentative” role associated with the Khmer texts.
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Habitat, terroirs et territoire en Languedoc oriental durant l'Antiquité. Approche spatio-temporelle d'un système de peuplement.

Ouriachi, Marie-Jeanne 31 January 2009 (has links) (PDF)
Cette étude porte sur une portion du territoire de la cité de Nîmes durant l'Antiquité. L'espace considéré, de Montpellier et Lattes à l'ouest, au Vidourle à l'est – en englobant les communes qui jouxtent la rive gauche du fleuve –, du littoral au sud à Combas et Montpezat, dans la « garrigue », au nord, affiche une grande diversité en terme de milieux géographiques. Il présente également la particularité d'avoir fait l'objet de recherches archéologiques de grande envergure, fouilles conduites sur les agglomérations protohistoriques et/ou antiques, investigations portant sur des petits établissements, annexes agricoles ou petites fermes, fouilles de structures agraires, programmes de prospections systématiques. Il en résulte une richesse archéologique exceptionnelle, que vient compléter un corpus épigraphique comportant quelques 95 inscriptions exploitables. Cette documentation est présentée dans une première partie consacrée à une rapide généalogie de la recherche, afin de mettre en évidence l'hétérogénéité des conditions d'acquisition des données ; dans un second temps, c'est à une analyse critique des deux corpus que nous nous sommes livrée, de manière à en établir à la fois les qualités et les limites. Parce que notre objectif est de cerner les dynamiques qui affectent le peuplement de cet espace durant l'Antiquité, et parce que notre documentation nous le permet, nous avons choisi d'aborder ce problème sous deux angles complémentaires : celui des hommes, et celui des lieux. Il nous a paru d'abord intéressant de faire porter notre attention sur les acteurs de cette histoire, en dégageant des données épigraphiques des indications concernant le statut et la nomenclature, mais aussi la pratique religieuse de la population afin de tenter d'évaluer le degré d'intégration des population dans le cadre d'une cité de droit latin : la question a été posée d'un point de vue temporel et spatial, afin de voir si l'ensemble des points de l'espace considéré s'inscrivent dans la même dynamique. Nous avons également posé la question à partir des données se rapportant à l'implantation des grandes familles, notamment celles basées dans le chef-lieu de cité, afin de voir comment ces entités s'approprient et font vivre l'espace de la cité. Cette approche a toutefois due être circonscrite au Haut-Empire, les bornes chronologiques étant imposées par la documentation épigraphique. La question du peuplement a ensuite été abordée du point de vue des lieux occupés par les hommes. Nous avons dans un premier temps posé le problème des phases de création des habitats : cette analyse nous a permis de confirmer l'importance, déjà évoquée par les auteurs du programme Archaeomedes, du milieu du Ier siècle dans la mise en valeur des régions de plaine et du littoral, délaissées au cours du 2nd Age du Fer. Notre enquête a porté, dans un second temps, sur l'ensemble des établissements : ceux-ci ont fait l'objet d'une classification permettant d'élaborer une typologie, fondée sur leurs caractéristiques matérielles et temporelles. Enfin, pour mettre en oeuvre une approche en terme de réseaux d'établissements, nous avons construit un indice de centralité, élaboré à partir des fonctions économiques et symboliques représentées dans les différents lieux habités : cet indice nous a permis d'établir une hiérarchie fonctionnelle des établissements et de construire des réseaux à partir d'un modèle gravitaire élémentaire. Nous avons alors tenté de montrer comment ces réseaux s'organisent et organisent l'espace, en mettant en évidence des différences entre Lez et Vidourle, mais aussi entre zones basses et collines. Dans ce cadre de réflexion, nous avons reposé le problème de l'influence de Nîmes, située hors zone d'étude. Cette approche appliquée à plusieurs moments clés, 100 avant notre ère, 100, 300 et 500 de notre ère, a débouché sur la mise en évidence de phases d'évolutions dans le système de peuplement entre la fin de la protohistoire et le haut Moyen Age. Quel que soit le vecteur choisi pour appréhender le peuplement, qu'il s'agisse des hommes ou des lieux, il apparaît que les changements n'affectent pas de manière uniforme l'ensemble de la population ou la totalité de l'espace. Cette étude confirme le fait que la romanisation se présente comme un processus complexe, en raison de la multiplicité des facteurs en jeu.
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Villes et urbanisation de l'Arabie du Sud à l'époque préislamique : formation, fonctions et territorialités urbaines dans la dynamique de peuplement régionale

Schiettecatte, Jérémie 13 March 2006 (has links) (PDF)
La mise en place, les transformations et les configurations territoriales des réseaux urbains de l'Arabie du Sud à la période préislamique (XIIe s. av. – VIe s. ap. J. C.) sont analysées en mettant l'accent sur la polarisation fonctionnelle des villes et sur l'articulation des fonctions au sein d'ensembles politiques. La première étape passe par la remise en contexte de l'étude, par une lecture critique des sources et par la définition des concepts de ville et de société segmentaire dans le cadre défini. La deuxième étape présente les différentes trajectoires urbaines à travers les monographies de villes significatives regroupées dans des études régionales. Elles permettent d'aborder les questions relatives à la continuité et à la résilience du peuplement régional. Enfin, une troisième étape aborde dans une perspective dynamique :<br />- les processus qui régissent l'apparition et le développement du fait urbain ;<br />- les polarités fonctionnelles qui définissent l'armature urbaine ;<br />- les représentations mentales de la ville sudarabique ;<br />- la définition des territorialités urbaines et l'évolution du réseau urbain.<br />Cette analyse systémique avance des premiers éléments pour l'élaboration d'un modèle de peuplement de l'Arabie du Sud à la période préislamique.
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Chéronée, du haut-archaïsme à l’Empire : contribution à l’histoire d’une cité béotienne / Chaironeia, from archaic to Roman time : contribution to the history of a Boiotian city

Grenet, Claire 27 November 2009 (has links)
Le présent travail est consacré à l’histoire d’une petite cité de Béotie, Chéronée, du haut-archaïsme à l’Empire. Chéronée est surtout connue pour les batailles qui ont eu lieu sur son territoire (ainsi les Grecs coalisés y furent défaits par Philippe de Macédoine en 338 av. J.-C.). Or les sources, notamment épigraphiques, permettent de restituer l’histoire de cette cité de la périphérie occidentale de la Béotie, que la géographie aurait pu rattacher naturellement à la Phocide voisine. On s’est donc interrogé sur la façon dont Chéronée s’est intégrée à l’ethnos béotien et aux structures de la confédération béotienne, dont elle devint un membre de plein droit à la fin du Ve siècle av. J.-C. On a aussi étudié les appartenances politiques successives de Chéronée, de sa soumission à Orchomène, dès l’époque archaïque sans doute, à son intégration dans l’Empire romain. Cité frontalière implantée sur une voie de circulation importante reliant la Grèce centrale à la Grèce du Nord, Chéronée fut en effet projetée, plus brutalement que d’autres cités peut-être, dans la « grande histoire ».L’étude se divise en trois parties. La première est une étude de géographie historique. La deuxième est une étude historique, découpée en quatre chapitres : la naissance de la cité (époque archaïque) ; l’accession de Chéronée au statut de cité indépendante et son intégration à la confédération béotienne (époque classique) ; Chéronée à l’époque du Koinon béotien hellénistique (335-171) ; Chéronée à l’heure de la domination romaine (171 av. J.-C. – IIIe s. ap. J.-C.). La troisième partie présente un catalogue des cultes de Chéronée, qui témoignent aussi de l’histoire et de l’identité de la cité. / This study is devoted to the story of a small Boiotian city, Chaironeia, from archaic to Roman time. Chaironeia is especially well known as a battlefield (for example, the Greeks were defeated there by Philipp of Macedonia in 338 B.C.). The source materials – in particular epigraphic materials – allow us to reconstruct the story of this city, which is situated in the West Boiotian periphery, and which geography could have associated with neighbouring Phocid. So we questioned the way Chaironeia integrated into the Boiotian ethnos and the Boiotian confederation, of which it became a full right member at the end of the 5th century B.C. We also studied its successive political memberships / belongings, from its submission to Orchomenos, probably as soon as archaic time, to its integration into the Roman Empire. As a border city, placed on an important road between Central and Northern Greece, Chaironeia was thrown into « great history », much more than other cities maybe.This study is divided into three parts. The first one is devoted to historical geography. The second one is devoted to the history of Chaironeia and is divided into four chapters : the origins of the city (archaic time) ; Chaironeia becoming an independent city and a member of the Boiotian confederation (classical time) ; Chaironeia at the age of the Boiotian hellenistic confederation (335-171) ; Chaironeia under Roman domination (171 B.C. –3d century A.D.). The third one presents a catalogue of the cults of Chaironeia, which also attest to the history and identity of the city.

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